Il
y a des gens qui aiment l'isolement et la clôture. Le milliardaire juif David Geffen en fait partie. Il a posté la photo
ci-dessous de son yacht sur les médias sociaux en disant "Isolé dans les
Grenadines pour éviter le virus, j'espère que tout le monde est en sécurité."
C'est probablement très différent de votre confinement, et sûrement différent
de la clôture imposée à une famille de cinq personnes vivant dans un
bidonville, dans leur petit de deux pièces. Mais les gens très riches, eux, y
sont habitués. Ils ne vont jamais à Walmart. Tout ce qu'ils achètent leur est
livré. Ils voyagent en jet privé. Ils n'ont jamais serré la main d'un étranger.
Ils vivent dans des résidences fermées. Ils sont naturellement auto-isolés.
Pour
eux, le confinement signifie une nouvelle prospérité. Si vous en êtes à votre
dernier dollar, vous serez probablement ravis d'apprendre que les milliardaires
américains ont ajouté 280 milliards de dollars à leurs comptes grâce au
confinement, et qu'ils en valent maintenant 3,3 trillions [1]. Ils aiment tellement le confinement
qu'ils considèrent les opposants au confinement comme des tenants de la
suprématie blanche et des "nazis", la pire étiquette qu'ils puissent
imaginer.
L'état
d'urgence sanitaire, c'est trop bon, pour ceux qui ont la responsabilité des
populations. Ils
s'empressent de faire adopter des règlements, s'emparent de terres, constitueent
des gouvernements, créent la "nouvelle normalité", éliminent nos
droits, le tout en utilisant le virus comme justification [2]. Même si la mortalité saisonnière de
nombreux pays est tombée en dessous des chiffres de l'année dernière, ils nous
menacent déjà d'une deuxième vague. Trop
c'est trop [3] écrivais-je il
y a quinze jours, mais ce n'est toujours pas suffisant pour certains. Le monde
sort lentement, trop lentement, de l'ère glaciaire du confinement, car il y a
des forces qui veulent que la fête continue toujours. Quelles que soient les
indications et contre-indications médicales: les
objectifs sont politiques.
L'aspect
médical de la crise du Corona n'est pas particulièrement impressionnant. Nous
savons maintenant que le virus est parti pour rester parmi nous; aucun pays ne
pourra y échapper éternellement. Avec ou sans confinement, il y a des gens qui
vont mourir, mais qu'elles puissent au moins mourir en liberté. Prenons le cas
du Royaume-Uni. Ils se sont précipités dans leur confinement sur les conseils
du Dr Ferguson. Maintenant, ils
ont plus de morts que la Suède qui n'avait pas de confinement du tout
(Royaume-Uni - 384 morts par million, Suède - 244 morts par million). En outre,
la Grande-Bretagne est maintenant en proie à une grave récession, la pire
depuis 300 ans selon la Banque d'Angleterre, conséquence directe du confinement.
Le
gouvernement britannique n'aurait pas du écouter le tristement célèbre Dr
Ferguson. Il s'est trompé bien des fois auparavant, et il se trompe encore
aujourd'hui. Regardez la liste de ses précédentes recommandations :
-
En 2002, Ferguson a prédit 150.000 décès dus à la maladie de la vache folle,
mais il n'y a eu que 177 décès.
-
En 2005, Ferguson a affirmé que jusqu'à 200 millions de personnes pourraient
succomber à la grippe aviaire, mais seulement 282 personnes sont mortes de la
maladie dans le monde entre 2003 et 2009.
-
En 2009, Ferguson et son équipe impériale ont prédit que la grippe porcine
entraînerait la mort de 65.000 personnes au Royaume-Uni. Au final, la grippe
porcine a tué 457 personnes au Royaume-Uni.
Pourquoi
les Britanniques ont-ils choisi ce faux prophète de malheur comme guide ?
Pour la même raison que d'autres pays européens sont entrés dans le maelström
des fermetures, détruisant leurs propres industries et causant la détresse de
millions de personnes : ils ont été convaincus ou poussés par le consortium
mondial des médias libéraux, l'outil des Deep Pockets, des rapaces aux
poches profondes.[4]
Pourquoi
la Suède a-t-elle refusé de se soumettre ? Ils ont eu de la chance. Les médias
libéraux de Suède sont principalement concentrés dans les mains de la famille Bonnier.
Ils sont extrêmement riches et puissants. Ils aiment souligner leur origine
juive, au moins depuis 1944, quand ils l'ont fait pour effacer les relents de leur collaboration avec l'Allemagne nazie. Voilà à
quoi ça leur sert maintenant : chaque fois qu'ils sont condamnés pour leur mainmise sur 80 % de la
presse écrite suédoise, les Bonnier crient à l'antisémitisme, et les critiques se dispersent dans la honte.
Rassurez-vous, les journaux et les magazines de Bonnier ont effectivement
appelé au verrouillage du pays.
Seulement
voilà, la presse écrite n'est pas si influente de nos jours en Suède, par
rapport à la télévision. Il y a quelques années (2005-2007), les rusés Bonnier
ont acheté TV4 pour quelques centimes de dollar, dans le cadre du schéma
habituel des privatisations crapuleuses. L'année dernière, ils ont succombé à
la cupidité et l'ont revendue à l'État (par l'intermédiaire d'une société
publique) avec un bénéfice énorme. L'accord a été conclu en décembre 2019. Et
soudain, la crise du virus a surpris les médias libéraux sans qu'ils aient à
disposition leur propre chaîne de télévision ; et l'État a vaincu la presse
écrite en utilisant le pouvoir de TV4. C'est la raison principale pour laquelle
la Suède a réussi à s'en tenir à son modèle libre de lutte contre les maladies,
sans confinement.
Cela
n'a pas été facile ; la pression sur la Suède était exceptionnellement forte.
Les médias main stream ont publié des milliers d'articles dans lesquels
ils prédisaient que les Suédois allaient mourir en masse à cause du virus. Les
Suédois ont été vilipendés pour avoir sacrifié leurs personnes âgées. Rien de
tout cela n'était vrai, mais depuis quand la vérité interfère-t-elle avec la
machinerie de la propagande ? Aujourd'hui, alors que les voisins de la Suède
commencent tardivement à ouvrir leurs écoles, on peut dire que la Suède a fait
le bon choix. Même la stricte OMS l'a admis : "La Suède
représente un modèle d'avenir... si nous voulons revenir à une société dans
laquelle nous n'ayons pas d'enfermement". Même le principal journal
libéral israélien Haaretz a publié un long article du virologiste Eyal
Shahar, intitulé "La Suède prouve que le monde a fait fausse route".
Il faut garder à l'esprit qu'Israël a connu un confinement très strict. Même le
New York Times a publié un article de Tom Friedman suggérant que nous
aurions dû suivre le modèle suédois.
Les
experts suédois pensent qu'il n'y a pas d'autre moyen de vaincre le virus : il
faut s'habituer à vivre avec pour longtemps, comme nous vivons avec d'autres
virus. Le confinement est inacceptable quelle qu'en soit la durée; il ne peut
que retarder votre rencontre avec le virus, à moins que vous ne puissiez vous
retirer de la société comme Howard Hughes. Nous devons donc continuer à vivre
sans avoir recours à des extrêmités telles que le confinement.
Cependant,
au Royaume-Uni, comme aux
États-Unis, les médias libéraux sont tout-puissants. Ils appartiennent aux
"Poches profondes" qui sont tout aussi puissantes que l'État profond.
La destruction des économies, le chômage et la récession sont tous des facteurs
positifs pour les Poches profondes. Les
gouvernements seront contraints d'emprunter ou de vendre des actifs, et les
rapaces sont prompts à prêter de l'argent et à acheter des actifs.
Partout dans le monde, cette
récession provoquée artificiellement va enfoncer les États et les
citoyens dans l'endettement, et pendant des années, ils rembourseront l'argent
emprunté avec intérêts et intérêts composés aux Deep Pockets
anglo-américains.
Il
y avait un homme qui aurait pu faire échouer ce projet au Royaume-Uni ; il
s'appelait Jeremy Corbyn, mais, comme vous le savez, il a perdu la
direction de son parti travailliste suite à des accusations d'antisémitisme [5]. Et le Premier ministre actuel, M.
Johnson, a accepté le verrouillage de l'accès à l'information exigé par les
Deep Pockets.
Maintenant,
le pic du virus est pratiquement passé, comme d'habitude pour les maladies
saisonnières. Cependant, les tests se poursuivent sans relâche, pour provoquer
une auto-réalisation. Plus vous effectuerez de tests, plus vous découvrirez de
porteurs de virus. Ce n'est pas très important, ni pertinent d'ailleurs : la
Suède a échappé aux tests de masse. Mais en confondant les termes "infecté",
"porteur" et "malade", les adeptes de la quarantaine
peuvent affirmer que la pandémie continue de se propager. Pour
améliorer leurs scores, ils fournissent des tests pré-infectés. Sachez, pour
commencer, que de nombreux kits de test se sont
révélés avoir été infectés par le virus corona.
Oui,
en Tanzanie, ils ont décidé de tester les tests sur une chèvre, un agneau et
une papaye. Il s'est avéré que la chèvre et la papaye souffraient du
coronavirus, selon les tests. Cette histoire anecdotique montre que grâce aux
tests, on peut prolonger les confinements indéfiniment.
Aux États-Unis, les Deep Pockets
et le Deep State sont unis dans leur rêve de détrôner le président Trump. Ils ont échoué
avec leur RussiaGate, ils ont échoué avec leur tentative de destitution, et le
COVID est leur dernier espoir. Ils clament qu'il n'a pas réussi à sauver les
États-Unis du virus, que tous les décès à New York sont de sa faute. Un
éditorial du Boston Globe a déclaré que Trump a "du sang sur les
mains" à cause du coronavirus. Comme ces campagnes médiatiques laissent de
marbre l'électorat, ils ont l'intention de nuire à l'économie en prolongeant le
confinement, pour faire en sorte que même les Sans-dents (les
"déplorables") refusent de voter pour Trump lors des prochaines
élections de novembre.
Aux
États-Unis, la bataille pour la levée du confinement ou son maintien est
essentiellement une bataille pour ou contre Trump, bien que les deux parties
utilisent des arguments quasi médicaux. Un observateur de la politique
terrienne basé sur Mars pourrait supposer que les libéraux voudraient
l'ouverture, alors que les conservateurs préféreraient maintenir le
confinement. En pratique, c'est l'inverse. Les libéraux veulent que le
verrouillage dure pour toujours. Il est évident que les libéraux représentent
l'élite riche et les cols blancs de la nouvelle économie ; ils peuvent
travailler à domicile, ils ne perdent ni argent ni emploi tant que dure la
quarantaine. Les
"déplorables", eux risquent fort de se retrouver sur la paille.
Une
solution, ce pourrait être la rupture de l'Union. Il n'y a plus de raison pour
que New York et le Dakota du Nord, le Kansas et Washington restent unis, car
ils ont des tendances et des aspirations très différentes et antagonistes.
Certains États libéraux aimeraient rester dans leur rêve de confinement à
jamais ; d'autres préféreraient se libérer du joug fédéral. Cette solution,
certains y pensent depuis longtemps : Le New York Times a, un jour,
demandé à ses lecteurs : "Comment aimeriez-vous vivre dans la nouvelle
nation de Nouvelle-Angleterre ? tandis que Californiens et Texans jouent
périodiquement avec l'idée de l'indépendance. Si Trump gagne en novembre, les
libéraux risquent de se diviser ; si Trump perd, les États rouges pourraient
faire sécession. Une telle rupture serait une bonne solution pour les
Américains des deux côtés, et ce serait une très bonne solution pour l'humanité
en général car elle manifesterait l'effondrement des rêves de Tour de Babel des
mondialistes.
Dans
l'ancienne URSS, le Belarus et son président de tous les défis, M.
Loukachenko, ont fait preuve d'une grande indépendance. Ce pays plutôt petit
de dix millions d'habitants a suivi le modèle suédois avec de très bons
résultats : 13 morts par million contre 21 par million chez son voisin, la
Pologne verrouillée. Le Belarus a célébré Pâques avec ses églises ouvertes, et
ils ont commémoré le jour de la Victoire en Europe, avec la seule parade
militaire de tout l'espace post-soviétique. Prudent, M. Poutine a autorisé la
fermeture des églises à Pâques et a annulé la parade militaire - son événement
favori depuis vingt ans. La prudence est une bonne qualité chez un dirigeant,
mais l'audace est plus excitante et porteuse.
En
Russie, c'est le maire de Moscou, Sergey Sobyanin, qui a mené la
campagne de bouclage. Ses mesures strictes n'ont pas été reproduites ailleurs
en Russie, malgré ses admonestations. À Moscou, il faut un laissez-passer avec
un code QR pour quitter son domicile et utiliser les transports publics. Vous
n'êtes pas autorisé à vous promener dans la forêt "pour prévenir les
incendies". Une personne de plus de 65 ans n'est pas autorisée à sortir du
tout "pour prévenir les infections", comme si elle n'avait pas plus
de chances de mourir par manque d'air frais et d'exercice dans son minuscule
logis de l'époque soviétique. Les familles ne sont pas autorisées à se promener
avec leurs enfants, mais les travailleurs invités d'Asie centrale sont
autorisés à travailler dans la construction et ailleurs. (Heureusement, la
rigueur des lois russes est atténuée par une faiblesse chronique dans leur
application, comme l'avait souligné l'auteur russe Shchedrin il y a 150 ans).
Sobyanin utilise également le
verrouillage pour son propre profit : sautant par-dessus les consultations
avec les citoyens, il a accéléré une grande vague d'expropriation et de
privatisation de terres communales auparavant utilisées à des fins récréatives.
Il est si actif dans l'extension des restrictions que de nombreux Russes
soupçonnent qu'il espère remplacer Poutine à la tête de l'État. (Poutine a
autorisé les maires et les gouverneurs à décider par eux-mêmes comment et quand
lever les restrictions). Les Russes qui ont l'esprit conspirationniste pensent
que Poutine a déjà perdu son pouvoir, ce qui est quand même loin d'être vrai.
Peut-être que les Moscovites ont tenté de protester, mais le verrouillage rend
cela impossible à la grande satisfaction des responsables en poste.
C'est
vrai pour d'autres pays également. Comme entre les cow-boys et les Indiens,
nous nous sommes battus férocement, en grinçant des dents et en nous
égratignant jusqu'à ce que la nounou intervienne et impose la paix aux nations
en guerre de notre jardin d'enfants. Avez-vous remarqué qu'avec la crise du Corona, la culture actuelle
des révolutions a disparu comme par magie ? Les Gilets
Jaunes ne défilent plus à Paris, les révolutionnaires de Hong Kong ne cassent
plus les distributeurs automatiques. À Beyrouth, la forte vague révolutionnaire
s'est éteinte. En Afrique du Sud, le gouvernement a interdit l'alcool et le
tabac, mais grâce au confinement, il n'y a pas de protestations. En
Angleterre, la police a interrompu une manifestation pacifique en faveur de
Julian Assange, parce que contraire aux règles de la quarantaine. C'est une
incitation supplémentaire à faire durer la crise du virus, pour les
dirigeants.
Au-delà
de ces considérations pratiques et politiques, le confinement conduit à
un nouveau style de vie, à une "nouvelle normalité". Plus le
verrouillage dure longtemps, plus cette solution finale a des chances de se
concrétiser.
Maintenant on entrevoit le plan, tel que tracé par les Deep
Pockets.
Nous
enfermer dans des cellules individuelles, communiquant par le biais de
l'électronique. Ensemble et seuls à la fois. Pas de mariage, pas de famille,
pas de religion. Juste la télévision, le chat en ligne et le porno gratuit.
Toute chose emballée dans du plastique. Le rationnement, la privatisation et
les Ausweiss mettront fin à l'encombrement des rues et des parcs. Chaque
conducteur sera suivi, les rations attribuées seront vérifiées, les permis
contrôlés, la situation professionnelle scrutée, les opinions politiques
vérifiées, le casier judiciaire régulièrement vérifié, l'utilisation du temps
libre dûment contrôlée et revérifiée en temps réel. Les abus seront notés et
affecteront le budget mensuel pour le rationnement du conducteur. La présence
de la police sera généralement invisible, car elle compte sur les frais et les
amendes pour maintenir l'ordre. Même pour faire du vélo il faudra être
propriétaire enregistré, avec une assurance, un permis et un dispositif de
repérage.
Finis
les déplacements, pour nous. Les
gens très riches retrouveront leur possession solitaire de Venise, de la Côte
d'Azur, et de toutes les autres destinations d'élite si inopinément gâchées par
le tourisme de masse. À nouveau, les beaux sites vont retrouver leur
enchantement du XIXème siècle. Voyager est un luxe, et les gens ordinaires ne
méritent pas le luxe. Ils ont essayé de nous en tenir à l'écart en rendant les
voyages aussi désagréables que possible avec les fouilles corporelles, mais
cela n'a pas suffi.
Si cette
pandémie mondiale ne nous arrête pas, ils vont tout simplement nous couper les
vivres.
Vous
aimeriez, vous, que des hordes d'Allemands ivres, d'Indiens arrivistes et de
Chinois impénétrables envahissent vos plages préférées et vos refuges de
montagne cachés ? Les riches non plus, et ce sont eux qui font les règles. Nous aurons besoin d'un visa et
d'un permis pour aller partout, et nos déclarations d'impôts devront justifier
pleinement nos dépenses. Et si vous n'êtes pas assez riche, on vous
refusera un visa, même si vous avez économisé pour des vacances à l'étranger
comme le font les élites.
Cette tendance existe aussi en Russie.
Les
Russes ont cessé de délivrer des passeports et ont fermé les frontières. Un
citoyen russe ne peut plus du tout aller à l'étranger ; les bi-nationaux et les
étrangers peuvent partir mais ils ne peuvent pas revenir. La porte-parole du
ministère russe des affaires étrangères, Mme Zakharova, a déclaré dans
une interview que les
voyages à l'étranger étaient réservés aux personnes riches et bien informées,
et non aux gens ordinaires qui ont du souci à se faire avec leur
prêt hypothécaire (elle a ensuite affirmé qu'elle avait été mal comprise). Pour
le moment, cette ambition n'est pas très pertinente, parce que la majorité des
destinations est fermée à la circulation. On n'est même pas autorisé à
traverser le pont entre la Suède et le Danemark. On va voir si ça continue...
Nous sommes maintenant à une croisée des chemins historique.
Le
choix est ouvert, et il peut aller dans plusieurs sens en fonction des efforts
que nous ferons aujourd'hui. Nous pouvons finir comme des non-entités
plastifiées, contrôlées, numérisées ; nous pourrions devenir des cobayes pour
les expériences de Bill Gates sur les vaccins ; nous pourrions flamber
dans un holocauste nucléaire, mais nous pouvons aussi devenir des personnes
libres. Il existe de nombreuses façons d'être libre, et la chose la plus
importante pour nous est probablement de préserver la pluralité des choix. Ne
pas succomber à l'Empire, rester libre. Des États nombreux, des cultures
diverses, c'est important et nécessaire pour la planète Terre, tout comme
plusieurs compartiments sont indispensables, pour un sous-marin. Tant que cette
variété sera préservée, nous serons libres de comparer et de décider ce qui est
le mieux pour nous. Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier.
La question de la foi - ne lisez pas ce qui suit si la religion vous
agace.
Au-delà
des faits et des affirmations scientifiques, il y a le point de vue religieux.
La première victime du bouclage a été l'Église. Partout où le pays était
cadenassé, les églises l'ont été aussi. Même lorsque les magasins et les usines
ont été rouverts, les églises sont restées fermées. Les princes de l'Église ont
collaboré à la fermeture universelle. Le pape de Rome a célébré Pâques seul à
Saint-Pierre, les patriarches de Moscou, de Constantinople et de Jérusalem ont
célébré leurs Pâques sans fidèles. Les musulmans font de même : La Mecque est
fermée, Médine est fermée, Al Aqsa de Jérusalem est fermée. Les fêtes de Pâques
et le Ramadan se sont passées sans les gens, comme si le service divin était
juste aussi important que le baseball...
C'est probablement le plus grand succès
de Satan depuis la Crucifixion. C'est la grande apostasie, comme cela avait été
prophétisé. Nous ne pouvons pas encore mesurer le résultat de ce
méga-événement, mais certaines des personnes qui se cachent derrière le
confinement en sont certainement conscientes. Ce n'est pas une coïncidence si Bill Gates a choisi le
numéro 666 pour son brevet, qu'il a demandé de tamponner (tatouer) tous
les hommes avec un sceau invisible, comme le suggérait la prophétie.[6]
Mais
nous ne sommes pas réduits à l'impuissance. Le Ministère de la justice a été
mobilisé par le président Trump pour soutenir l'ouverture des églises. Les
églises et les fidèles sont dociles, tandis que ses ennemis sont effrontés. Les
fidèles devraient être plus insistants, à moins que nous n'acceptions que notre
foi disparaisse ou prenne une place très modeste à côté d'autres
divertissements. Les exemples de l'Église de Suède et de l'Église du Belarus
prouvent qu'il était possible d'observer Pâques. C'est notre faute si cela ne
s'est pas fait partout.
.
….
L'enfermement
des gens dans leur maison, l'interdiction du rapprochement, la promotion de la
pornographie, sont autant d'attaques intentionnelles contre un pilier très
important de l'humanité et de sa relation avec Dieu. Il faut en finir
avec ces attaques le plus rapidement possible afin que nos fils et nos filles
puissent à nouveau s'élancer vers leurs bien-aimés.
…
Par Israël Shamir
adam@israelshamir.net
adam@israelshamir.net
Source The
Unz Review.
Traduction: Maria Poumier
NOTES de H. Genséric
[4] Il en est de même aux États-Unis avec la
Dr Fauci : COVID-arnaque.
La longue histoire criminelle du Dr Fauci
Hannibal GENSÉRIC
Juste à bien des égards, malheureusement le gauchisme de Shamir me désole. Les Juifs sont soit capitalistes soit bolchéviques… Hélas…
RépondreSupprimerTEXTE MAGNIFIQUE VIVE ISRAEL SHAMIR
RépondreSupprimerhttps://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/05/11/israel-shamir-aujourdhui-alors-que-les-voisins-de-la-suede-commencent-tardivement-a-ouvrir-leurs-ecoles-on-peut-dire-que-la-suede-a-fait-le-bon-choix-meme-la-stricte-oms-la-admis-la-suede/