Les chiffres montrent qu'il faut environ 5 mois à compter de la réception du vaccin Covid-19 pour que ce taux de mortalité élevé soit atteint.
Cela implique donc que la campagne de vaccination hivernale de masse "Booster" est à blâmer pour l'augmentation soudaine des décès hebdomadaires en excès à travers l'Angleterre depuis la fin avril 2022.
L'Office for National Statistics (ONS) publie des chiffres hebdomadaires sur les décès enregistrés en Angleterre et au Pays de Galles. Les données les plus récentes montrent les décès jusqu'au 15 juillet 2022.
Le graphique suivant, créé par l'ONS, montre le nombre de décès par semaine par rapport à la moyenne quinquennale -
La semaine la plus récente montre qu'il y a eu 10 515 décès en Angleterre et au Pays de Galles, ce qui équivaut à 1 113 décès supplémentaires par rapport à la moyenne quinquennale. Mais c'est une tendance qui se produit depuis fin avril 2022.
La question est, pourquoi ?
Vous avez probablement vu les gros titres ces derniers mois sur les médecins déconcertés par une augmentation du « syndrome de la mort subite de l'adulte » (SADS) ?
Si ce n'est pas le cas, nous l'avons couvert en détail dans un article que vous pouvez lire ici . Mais cette augmentation « déroutante » du nombre de jeunes en bonne santé qui meurent de manière inattendue d’un « syndrome mystérieux », et le fait que les décès excessifs sont à nouveau en hausse en Angleterre et au Pays de Galles sont simplement dus à la vaccination contre le Covid-19.
En effet, d'autres données de l'ONS montrent que la vaccination contre le Covid-19 augmente considérablement le risque de décès et tue des milliers de personnes après cinq mois.
Le 6 juillet, l'Office for National Statistics (ONS) a publié son dernier ensemble de données sur les décès par statut vaccinal en Angleterre, et il a révélé toute une série de résultats choquants.
Par exemple, nous savons maintenant que selon l'ONS, 94 % de tous les décès de Covid-19 en Angleterre concernaient la population vaccinée en avril et mai 2022 . Avec 90% de ces décès chez les triple/quadruple vaccinés.
Nous savons également maintenant que la vaccination contre le Covid-19 augmente le risque de décès des enfants entre 4 423 % et 13 633 %.
Le tableau 2 de l' ensemble de données de l'ONS contient des chiffres sur les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge par statut vaccinal pour les décès entre le 1er janvier 21 et le 31 mai 22. La première injection de Covid-19 a été administrée en Angleterre le 8 décembre 2020, et voici les chiffres sur les taux de mortalité par statut vaccinal dans les 4 mois suivants –
Les personnes non vaccinées étaient beaucoup plus susceptibles de mourir de toute cause autre que Covid-19 que la population vaccinée en janvier et février 2021, avant que les taux ne semblent se normaliser fin avril.
Mais regardez ce qui s'est passé à partir de mai 2021 -
Tout à coup, la population vaccinée dans son ensemble était plus susceptible de mourir que les non vaccinés de toute cause autre que Covid-19, et cette tendance s'est poursuivie mois après mois depuis. Il s'avère également que cette tendance correspond à ceux qui ont reçu les injections de Covid-19 en premier.
Les gens en Angleterre ont été vaccinés par ordre d'âge, les plus âgés se voyant proposer l'injection de Covid-19 en premier.
Le graphique suivant montre les taux de mortalité normalisés selon l'âge pour 100 000 années-personnes par statut vaccinal et groupe d'âge pour le mois de mai 2021 -
Les chiffres montrent qu'en mai, les trois groupes d'âge qui avaient un taux de mortalité plus élevé parmi les vaccinés étaient les 70-79, 80-89 et 90 ans et plus. La tendance se poursuit ensuite en juin avec les 60-69 ans vaccinés rejoignant le club du taux de mortalité le plus élevé.
Les données de l'ONS montrent que cette tendance se poursuit mois après mois jusqu'à ce que tous les groupes d'âge soient plus susceptibles de mourir s'ils ont été vaccinés. Ainsi, avec le gouvernement britannique lançant une campagne nationale de rappel hivernal en décembre 2021, il ne devrait en fait pas être surprenant de savoir pourquoi cinq mois plus tard, nous avons commencé à voir à nouveau un excès de décès en Angleterre et au Pays de Galles –
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