Le Ministère Russe de la Défense a informé que l’Ukraine prépare une provocation le jour de la visite (19 août) du secrétaire général de l’ONU à Lvov où il rencontrera Zelenski et Erdogan. La provocation en question concerne le complexe nucléaire de Zaporozhe, centrale de 6 réacteurs (dont 2 seulement sont en service).
Il est amusant (?) de constater que les Ukrainiens accusent les Russes de bombarder la centrale, alors que cette centrale est sous le contrôle des forces Russes depuis plusieurs semaines. Les Russes se bombarderaient donc eux-mêmes? Ceci ne semble pas gêner les médias et les responsables occidentaux qui reprennent tous en chœur les stupides accusations ukrainiennes. La réalité est que Kiev bombarde la centrale depuis que les Russes en ont pris le contrôle, tout simplement dans le but de faire pression sur les Occidentaux pour recevoir plus encore d’armes, de munitions et d’argent.
Or les Occidentaux commencent d’une part à comprendre que l’Ukraine n’a aucune chance de gagner contre la Russie, mais aussi et surtout que leurs stocks de matériel militaire est gravement bas. Un haut responsable de l’OTAN déclarait en substance que si la Russie voulait maintenant attaquer un pays de l’Alliance, elle n’aurait pas grand monde en face…
L’Ukraine envisagerait donc une
provocation « majeure » pour convaincre les Occidentaux malgré tout
de renforcer leurs livraisons d’armes, voire d’intervenir directement par
exemple sous couvert d’une « force d’interposition » de l’ONU sur le
territoire de la centrale nucléaire. Cette provocation « majeure »
ordonnée par Zelensky lui-même est une action de commandos ukrainiens infiltrés
sur le territoire de la Centrale pour endommager les réacteurs ou faire
exploser les protections des stocks de déchets enfouis. Ces commandos sont
composés de membres des forces spéciales ukrainiennes sous un commandement
mixte ukrainien-OTAN, plus particulièrement ukrainien-Angleterre.
Une telle opération provoquerait une situation de type « Chernobyl ».
Les services Russes ont d’ailleurs arrêté avant-hier 2 employés ukrainiens qui
donnaient des informations pour faciliter des actes de terrorisme.
Par mesure de sécurité les autorités locales font actuellement évacuer les alentours immédiats de la centrale.
Une autre opération est envisagée par Zelensky: Attaquer le pont de Crimée, qui relie la Crimée au continent. Cette action pourrait être menée symboliquement le 24 août, « jour de l’indépendance » en Ukraine. Cette opération a d’ailleurs été en quelque sorte annoncée par plusieurs personnalités ukrainiennes. Il est clair que malgré le système de protection du pont (plusieurs batteries S-400 et autres systèmes), une attaque massive menée à l’aide des armes occidentales pourrait permettre à quelques projectiles de passer au travers des défenses. Zelensky, selon nos informations, hésiterait encore à donner l’ordre par peur des représailles.
Cette dernière semaine plusieurs opérations de sabotage ont d’ailleurs eu lieu en Crimée. Il faut bien comprendre qu’il est très facile à des commandos de frapper n’importe où. Si une décision par exemple de faire exploser le Palais de l’Élysée était prise, cela serait fait sans grande difficulté. L’ancien président Medvedeev l’a d’ailleurs rappelé hier en déclarant que « il y a d’autres centrales dans le monde qui peuvent faire l’objet d’attaques ».
Tout ceci se place dans une logique d’escalade de la part de l’Ukraine dont les forces laminées sur le terrain ne sont plus en mesure de s’opposer aux avances russes qui se poursuivent lentement mais sûrement sur tous les fronts.
L’OTAN pense par ailleurs ouvrir un nouveau front contre la Russie, toujours par pays tiers interposé, cette fois dans les Balkans. Le 1-er novembre, en effet, les autorités du Kosovo vont mettre en place de sérieuses mesures discriminatoires contre les Serbes. Ces mesures avaient été mises en place il y a 2 semaines mais les vives réactions serbes les avaient fait reporter au 1-er septembre. La Serbie et la Russie ne reconnaissent pas l’état fantoche du Kosovo et la Russie a déjà annoncé qu’elle soutiendrait la Serbie. L’OTAN de son côté s’est déclarée « prête à intervenir en cas de besoin »… Le but réel est ici de forcer la Russie à intervenir sur place et donc à dégarnir ses forces en Ukraine, c’st du moins ce que pensent les stratèges de l’OTAN…
Enfin, en Géorgie, au Kazakhstan et au Tadjikistan, les services spéciaux américains sont à pied d’œuvre pour organiser des actions hostiles à la Russie et pour que les autorités locales « harcèlent » la Russie. Attaques de citoyens Russes, déclarations anti-Russes, etc.
Ces évènements se placent dans le contexte international où non seulement les sanctions prises contre la Russie n’ont pas changé le déroulement de son opération militaire, mais se sont retournées contre les pays occidentaux bien plus qu’elles n’ont frappé la Russie. Les livraisons d’armes occidentales à l’Ukraine n’ont rien changé sur le terrain, elles ne font que ralentir l’issue finale qui reste la même: Les objectifs de la Russie seront pleinement atteints. C’est pourquoi les pays occidentaux tentent maintenant d’une part d’aggraver encore la situation en Ukraine (Centrale de Zaporozhe) mais surtout d’ouvrir de nouveaux fronts contre la Russie.
Ceci est un très mauvais calcul: Quand un pays joue sa survie pure et simple, il ne recule pas. La Russie non seulement ne reculera pas, mais se réserve d’avancer contre tout pays hostile. Ses nouvelles armes ne sont toujours pas entrées en action, faut-il le rappeler…
Boris Guennadevitch Karpov
https://boriskarpov.tvs24.ru
---------------------------------------------------------------------------------
Commentaire
Les centrales nucléaires ukrainiennes, au cœur de l'opération spéciale
russe, sont devenues des armes par destination, ainsi que des enjeux de
propagande et de terreur.
Les efforts russes pour organiser une inspection de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) de la centrale nucléaire de Zaporozhye se heurtent à une forte opposition des pays occidentaux, a déclaré la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova sur la chaîne de télévision Soloviev Live : "Nous nous battons pour que des spécialistes, des représentants de l’AIEA puissent se rendre à la centrale nucléaire de Zaporojié. Et c’est ce qu’ils veulent bien. Et l’AIEA en tant que structure est prête à le faire depuis longtemps. Mais cette soi-disant communauté occidentale, avec le régime de Kiev bien sûr, fait tout pour l’empêcher".
Hannibal Genséric
Zelensky est devenu fou et les Occidentaux avec, donc une grande partie des moutons des peuples de l'Europe. Les lobotomisés ne manifestent pas, ni n'organisent une grève générale. L'ancienne génération celle du Vietnam, un pays lointain, était dans la rue. Aujourd'hui il s'agit de satisfaire les loisirs. Le général hiver approche, il faudrait interroger les soldats Allemands encore survivants de cet allié de la Russie. Il fera froid dans les demeures de l'Europe.
RépondreSupprimerA en juger par le comportement des OXY-DENTAUX , je me demande si dans un quelconque labo des USA , les amerloques ne seraient pas parvenus à créer un virus qui a contaminé et annihilé les capacités de logique et de réflexion des euronouilles .
RépondreSupprimerCOURAGE A LA RUSSIE DE POUTINE POUR UN MONDE MULTIPOLAIRE DE PAIX .
RépondreSupprimerMais ne vous inquiétez pas ? Parce que Macrotte est Zelensky le meilleur copain de cul, toute Radiation s'échappant de la Centrale Nucléaire bombardée s'arrêtera à la frontière Est de la France
RépondreSupprimerArticle faux . Poutine bombardé la centrale à mesure Que l armée ukrainienne récupére sa Crimée . C est un chantage des russes pour empêcher la reconquista de la Crimée . Sî vous avancez on fait Tout sauter
RépondreSupprimer