Au cours des
dernières décennies, le gouvernement des États-Unis a ouvertement financé,
soutenu et armé divers réseaux terroristes à travers le monde pour transmettre
un programme de déstabilisation et de guerres par procuration. Ce n'est pas un
secret, ni une théorie de la conspiration, l'Amérique a toujours armé et
soutenu les vilains et les assassins.
Compte tenu
de l'histoire insidieuse de l'empire américain et de la création et de la
promotion de régimes terroristes à travers le monde, il ne serait pas
surprenant que l'écrasante majorité des politiciens refuse de s'associer à une
loi qui les oblige à «arrêter d’armer les terroristes» ‘Stop
Arming Terrorists.’ Et c'est exactement ce qui s'est passé.
La loi "Stop
arming Terrorists" a été introduite par la représentante Tulsi Gabbard, [D-HI],
le 23 janvier de cette année. Vidéo
Le projet de loi n'a rien de spécialement insensé, et ses parrains regroupent aussi bien des républicains que des démocrates, soulignant ainsi qu'il transcende les lignes du parti.
Le projet de loi n'a rien de spécialement insensé, et ses parrains regroupent aussi bien des républicains que des démocrates, soulignant ainsi qu'il transcende les lignes du parti.
Tulsi Gabbard |
Le texte du
projet de loi est simple.
Il dit simplement qu'il interdit l'utilisation de fonds d'agences fédérales pour fournir une assistance couverte pour:
(1) Al Qaeda, Jabhat Fateh al-Sham, l'Etat islamique d'Irak et Levant (ISIL), ou tout individu ou tout groupe affilié, associé, coopérant ou adhérent à de tels groupes;
(2) le gouvernement de tout pays que le Bureau du directeur du renseignement national (ODNI) détermine, dans les 12 mois les plus récents, comme ayant fourni une assistance ouverte ou cachée à de tels groupes ou personnes.
Il dit simplement qu'il interdit l'utilisation de fonds d'agences fédérales pour fournir une assistance couverte pour:
(1) Al Qaeda, Jabhat Fateh al-Sham, l'Etat islamique d'Irak et Levant (ISIL), ou tout individu ou tout groupe affilié, associé, coopérant ou adhérent à de tels groupes;
(2) le gouvernement de tout pays que le Bureau du directeur du renseignement national (ODNI) détermine, dans les 12 mois les plus récents, comme ayant fourni une assistance ouverte ou cachée à de tels groupes ou personnes.
La seule
chose que ce projet de loi fait est d'interdire au gouvernement américain de
donner de l'argent et des armes à des personnes qui veulent tuer des innocents,
Américains et non Américains. Ils tuent des innocents, hommes, femmes et enfants
à travers le monde. C'est peut-être le projet de loi le plus simple et le plus
rationnel proposé par le Congrès. Compte tenu de son caractère rationnel et
humanitaire, on pourrait penser que les représentants du peuple américain se seraient
tous alignés pour montrer leur soutien à ce projet de loi. Mais on se trompe.
Cinq mois après
son introduction, seuls 13 des 535 membres du Congrès l’ont signé en tant que
coauteurs. Ce manque de soutien pour le projet de loi montre que les élus et le
gouvernement fédéral sont accros au financement de la terreur et n'ont aucune intention
de l'arrêter.
Pour démontrer
encore plus l’insulte et la trahison de
ces commanditaires de meurtres par procuration, le sénateur Rand Paul [R-KY] a
présenté cette même loi au
Sénat : il ne compte actuellement aucun cosponsor.
Étant donné
le manque de soutien pour un projet de loi qui demande simplement au
gouvernement d'arrêter de donner de l'argent aux personnes qui
décapitent les enfants en le filmant en vidéo qu’ils diffusent ensuite, il
n’est guère surprenant que Donald Trump signe des contrats de plusieurs centaines de
milliards de dollars en armes avec le principal pays qui finance ces terroristes
islamistes.
Alors que l’attention
des Américains est efficacement détournée par le faux et inexistant « scandale russe »
de Trump, celui-ci en profite pour signer un contrat de plusieurs centaines de
milliards de dollars avec le
plus grand sponsor du terrorisme dans le monde, assurant ainsi des
décennies de guerres futures et la poursuite du cycle du terrorisme.
Cette attitude
fait donc de Trump un autre bailleur de fonds du terrorisme islamiste.
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Hannibal GENSERIC