dimanche 18 juin 2017

Consanguinité musulmane: Impacts sur l’intelligence, la santé mentale, la santé et sur la société (terrorisme)



La consanguinité massive dans la culture musulmane au cours des 1.400 dernières années continue de causer des dégâts catastrophiques au patrimoine génétique des musulmans. Les conséquences de mariages entre cousins germains ont souvent des conséquences graves sur l’intelligence, la santé mentale, la santé de leur enfants et dans leur environnement (terrorisme).

L’exemple le plus célèbre de la consanguinité se passe en Égypte antique, où plusieurs dynasties pharaoniques se sont effondrées après une centaine d’années de règne. Afin de maintenir la richesse et le pouvoir au sein de la famille, les Pharaons, souvent, se mariaient à leur propre sœur ou demi-sœur. Après une poignée de générations, les descendants étaient mentalement et physiquement inaptes à gouverner. Un autre exemple historique se passe au sein des maisons royales d’Europe où les familles royales se mariaient également entre elles parce que la tradition ne leur permettait pas de se marier avec gens de classe autre que royale.
Le nombre élevé des arriérés mentaux et des handicapés tout au long de l’histoire européenne montre les conséquences malsaines de cette pratique.
La culture musulmane pratique toujours les mariages entre personnes d’une même famille et ce depuis plus longtemps que toutes les dynasties égyptiennes.
Une estimation grossière montre que près de la moitié de tous les musulmans dans le monde sont consanguins: Au Pakistan, 70% de tous les mariages se font entre cousins germains (consanguinité) et en Turquie, le chiffre se situe entre 25% et 30% (Jyllands-Posten, 27/2 2009 More stillbirths among immigrants)
Les statistiques pour les pays arabes montrent :
Taux de consanguinité
Pays
67 %
Arabie saoudite,
64%
Jordanie,
64%
Koweït,
63%
Soudan,
60%
Irak,
54%
Qatar,
54%
Émirats Arabes Unis
48%
Libye,
47%
Mauritanie,
46%
Bahreïn,
45%
Yémen
42%
Liban,
40%
Syrie,
39%
Tunisie,
34%
Algérie,
33%
Égypte,
28%
Maroc

Une grande partie des musulmans consanguins sont nés de parents qui sont eux-mêmes nés de parents consanguins, ce qui augmente considérablement les risques et les conséquences physiques et mentaux.
Le taux des mariages connexes de sang est plus faible chez les immigrants musulmans vivant en Occident. Parmi les Pakistanais vivant au Danemark, le taux est tombé à 40%. Il est tombé à 15% chez les immigrants turcs (Jyllands-Posten, 27/2 2009 More stillbirths among immigrants »).
Plus de la moitié des immigrés pakistanais vivant en Grande-Bretagne sont mariés à des cousins/cousines. la recherche sur ce sujet, menée par la BBC et diffusée à choqué les téléspectateurs. Ils ont pu constater qu’au moins 55% de la communauté était mariée à un cousin germain. Ceci laisse à penser que le risque, pour une famille pakistanaise britannique, est 13 fois plus important d’avoir des enfants qui présentent des troubles génétiques récessifs. Times of India, 17/11 2005 Ban UK Pakistanis from marrying cousins).
Faible intelligence
Plusieurs études montrent que les enfants issus de mariages consanguins ont une intelligence inférieure aux enfants de parents non apparentés. Les recherches montrent que le QI est de 10 à 16 points de moins chez les enfants nés de parents connexes, et que les capacités liées au comportement social se développent plus lentement chez les bébés consanguins:
Les effets de la consanguinité des parents sur le comportement cognitif et social des enfants ont été étudiés chez les musulmans auprès de the Ansari Muslims of Bhalgapur, Bihar.
Le QI chez les enfants consanguins (8-12 ans) est jugé inférieur (69 en milieu rural et 79 dans les populations de banlieue) que celle des enfants à faible consanguinité (79 et 95 respectivement). L’apparition de différents profils sociaux comme la fixation visuelle, le sourire, la compréhension des sons, de l’expression orale et de la saisie d’un objet sont considérablement retardés chez les bébés consanguins nouveau-nés. (Indian National Science Academy, 1983 Consanguinity Effects on Intelligence Quotient and Neonatal Behaviours of nsari Muslim Children »).
L’article du « Effects of inbreeding on Raven Matrices  » conclut que :
«des écoliers indiens musulmans, âgés de 13 à 15 ans, dont les parents sont cousins germains, ont été comparés avec leurs camarades dont les parents sont génétiquement indépendants sur le Raven Progressive Matrices, un test non verbal d’intelligence. Le groupe consanguin a marqué significativement le taux de réussite le plus faible et avait significativement plus de différences que le groupe non-consanguins, à la fois sur les scores bruts et les scores statistiquement ajustés par âge et le statut socio-économique. (Behaviour Genetics, 1984).
L’étude montre des effets délétères possibles de consanguinité et sont la cause  « d’apparition de tumeurs malignes, anomalies congénitales, un retard mental et un handicap physique et étaient significativement plus élevés chez les enfants de consanguins que pour les mariages non consanguins » .
Les maladies mentales et la mort
Le risque de mortalité infantile double quand les parents sont cousins germains (Jyllands-Posten, 27/2 2009 More stillbirths among immigrants). Une étude a analysé le risque de mortalité périnatale (décès de l’enfant au cours de sa propre naissance), la mort du nourrisson et les maladies autosomiques récessives (maladies génétiques graves et souvent mortelles telles que la fibrose kystique et l’atrophie musculaire spinale):
La mortalité périnatale chez les enfants pakistanais était 1,5 fois plus élevé que chez les enfants norvégiens, et la mortalité infantile chez les enfants pakistanais a plus que doublé que chez les enfants norvégiens. Les décès dus à des maladies autosomiques récessives sont 18 fois plus fréquents chez les enfants pakistanais. De même, les décès dus à des malformations multiples, qui peuvent faire partie de la non reconnaissance des syndromes autosomiques récessifs, étaient 10 fois plus communs. (BMJ, 1994 Infant death and consanguineous marriage).
Il y a aussi des preuves suggérant que les personnes consanguines ont un risque plus élevé de développer des troubles mentaux: «Les observations cliniques ont indiquées que la dépression est très élevée dans certaines communautés où la consanguinité des mariages est également élevée. » (Indian Journal of Psychiatry, 2009 « Relationship between consanguinity and depression in a south Indian population »).
Une autre étude a porté sur la relation entre les mariages mixtes et la schizophrénie: « Plus les parents sont liés par le sang, plus il y a de probabilité qu’ils aient des enfants atteints de schizophrénie. » (American Psychiatric Press, 1982 The role of genetic factors in the ethiology of the schizophrenic disorders).
Consanguinité et djihadisme
Yusuf Yadgari de l’université médicale de Kaboul a autopsié les restes de kamikazes et ses conclusions soutiennent les résultats énoncés ci-dessus.
Yadgari a constaté que près de quatre-vingt dix pour cent souffraient de maladies graves telles que la cécité, le cancer, l’amputation ou la lèpre.
De nombreuses sociétés musulmanes, y compris celle de l’Afghanistan, ont une faible acceptation sociale des handicaps et des maladies graves. 
Lorsque vous êtes au marché ou simplement dans la rue, que vous soyez à Islamabad, Le Caire, ou Tunis, vous êtes frappés par le nombre de handicapés laissés à leur sort. S’ils sont pacifiques, ils tendent la main gentiment. D’autres sont agressifs et menaçants. D’autres pratiquent le vol à la tire, souvent en bande organisée sous la conduite d’un chef. La population laisse généralement faire, car chacun a peur pour sa pomme. La police brille généralement par son absence et son inefficacité. D’autres deviennent terroristes islamistes, voire kamikazes.
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Selon Yadgari, être handicapé physiquement ou être mentalement retardé conduit souvent à l’exclusion dans une société minée par l’islamisme, comme en Afghanistan, en Tunisie ou en Arabie, et devenir un martyr pourrait être la seule chance d’obtenir la reconnaissance sociale et l’honneur, si ce n’est pas juste une façon de mettre fin à la douleur d’être isolé socialement .
L’utilisation par Al-Qaïda, de Daech, etc. de personnes atteintes du syndrome de Down pourrait être un autre effet secondaire désagréable des nombreuses maladies chromosomiques résultant de consanguinité entre cousins germains. Les personnes à faible intelligence (en raison de la consanguinité) pourraient aussi être plus faciles à manipuler (lavage de cerveau) pour l’islam fondamentaliste. La très grande majorité des islamistes sont analphabètes : le fait de leur donner l’impression que, du jour au lendemain, ils sont devenus des « savants en islam » parce qu’ils s’habillent à l’afghane, laissent pousser une barbe hirsute, etc. est un excellent moyen pour en faire des tueurs, des violeurs, des voleurs, …au « nom d’allah et de son prophète ».Aucun texte alternatif disponible.
Être un paria en raison d’un handicap physique, vivant dans un pays qui ne parvient pas à prendre soin de personnes handicapées, souffrant de douleurs physiques après la maladie, être déprimé ou schizophrénique, s’est maintenant avéré être un facteur important du terrorisme islamiste.
La culture malsaine de la consanguinité dans les sociétés musulmanes augmente le nombre de martyrs musulmans qui cherchent une façon « religieusement » honorable d’être acceptés.
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Conclusion
Il ne fait aucun doute que la grande tradition de propagation de premiers mariages entre cousins parmi les musulmans a nui à l’ensemble des gènes chez les musulmans. Les dommages génétiques causés à leur patrimoine génétique depuis leur prophète a permis les premiers mariages entre cousins il y a 1400 ans et sont les plus répandus. Les conséquences humaines et sociales directes et indirectes accablantes ont été expliquées ci-dessus.
La compassion pour la santé des générations futures devrait être suffisante pour interdire les mariages entre cousins germains. Les conséquences économiques et sociales sont réelles aussi
http://www.consang.net/images/c/c4/Globalcolourlarge.jpg
Sans commentaires

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L' islamiste préfère copuler avec sa cousine

Hannibal GENSERIC