Les courriels censés être
«perdus» (puis prétendument volés par des hackers russes !) appartenant à l'ancienne secrétaire d'État américaine, Hillary
Clinton, ont été récupérés le 1er juin par des agents spéciaux du FBI dans une maison à Dearborn (Michigan), appartenant à
une société appartenant au frère et à la sœur d’Huma Abedin,
l'assistante principale d’H. Clinton.
Comme c'est bizarre !
Pourtant, les médias américains continuent d'affirmer mordicus que c'est Poutine qui a volé ces emails !!
Comme c'est bizarre !
Pourtant, les médias américains continuent d'affirmer mordicus que c'est Poutine qui a volé ces emails !!
Nous avons déjà vu que Seth Rich, ancien directeur adjoint pour la protection de données
de vote du Parti Démocrate, avait contribué à l'élaboration d'un programme informatique pour le
Comité National Démocrate (DNC) qui permet aux gens de taper leur adresse et d’obtenir
une carte situant leur bureau de vote. Mais comme
il était un supporter de Bernie Sanders, et constatant les manipulations
malhonnêtes et illégales des partisans d’Hillary Clinton (afin de faire
éliminer Sanders au profit d’Hillary), il décida de fournir des dizaines de milliers de documents secrets
et d’e-mails du DNC à WikiLeaks. Ce n'était pas un hacker russe.
Huma Abedin |
En effet, selon whatdoesitmean.com, dans l'après-midi
du 1er juin, une équipe spécialisée d'agents spéciaux du FBI et de procureurs
du Ministère de la Justice quittait rapidement Washington DC , pour aller à
Dearborn, dans le Michigan. Dès leur atterrissage, ils ont été pris en charge
par un grand convoi, dont la destination était une maison située au 7246, rue
Jonathon, qu'ils ont rapidement investie pour enquête. Ils ont déclaré à la
presse locale qu'ils «enquêtaient
sur une question de sécurité nationale» et disaient aux voisins curieux ou
inquiets : «Il n'y a aucune menace pour la sécurité publique dans la région,
donc les gens ne doivent pas être
préoccupés par une situation dangereuse. "
Or, cette maison appartient à
une «société coquille vide», créée par le Journal of Muslim Minority Affairs qui est depuis longtemps connu comme une entreprise de la famille
Abedin, dans laquelle le
frère de Huma Abedin, Hassan Abedin, est éditeur de livres de « bondieuseries »,
et sa sœur, Heba Abedin, est éditeur assistante.
Née dans une illustre famille
de dirigeants des Frères Musulmans, Huma Abedin a été qualifié de
«princesse de la Fraternité Musulmane». Elle
a grandi à Kalamazoo, située à deux heures de Dearborn dans le Michigan.
Au mois d’août 2016, elle a mystérieusement rompu avec la campagne
présidentielle d’Hillary Clinton pour faire un voyage
secret à Dearborn, qui est actuellement la plus grande ville musulmane d’Amérique.
Les agents
spéciaux du FBI retirent les preuves de la maison familiale d'Abedin à Dearborn, Michigan, le 1er juin 2017 |
Or, quelques mois avant sa
visite secrète à Dearborn, Huma
Abedin avait été interviewée par le FBI, qui enquêtait sur les courriels
«perdus» d’Hillary Clinton. De son
témoignage, le FBI a retenu qu'un ordinateur portable contenant une copie de
ces courriels provenant du serveur privé d’Hillary Clinton, avait
été apparemment perdue (lors d’un envoi postal) avec
une clé USB qui contenait également une copie des courriels de Clinton.
Il y a douze jours, le mari d’Huma
Abedin, Anthony Weiner (délinquant sexuel maintenant condamné, et ancien
député au Congrès), a été inculpé par un grand jury américain secret, puis arrêté
par le FBI, et a plaidé coupable pour des accusations sexuelles. En l'espace de 2 heures, sa
condamnation a été prononcée, ce qui est
un record dans l'histoire américaine.
Surprise par l'arrestation et
la condamnation de son mari à 2 ans de prison, Huma
Abedin a demandé le divorce d’Anthony Weiner, quelques heures après sa
condamnation.
Cependant, il y a trois
jours, soit le 31 mai, Huma Abedin et son mari, Anthony Weiner,
ont rencontré à New York des agents hauts placés du FBI. Immédiatement après, les
deux tourtereaux ont renouvelé le bail de leur luxueux duplex à Union Square et
sont revenus à la vie commune, comme si de rien n’était.
Huma Abedin et son mari Anthony Weiner |
À peine 24 heures après qu’Huma
Abedin et son mari Anthony Weiner soient rentrés dans leur luxueuse
maison de New York City, les agents spéciaux du FBI et des procureurs du
ministère de la Justice des États-Unis ont effectué leur raid sur la propriété
des Abedin à Dearborn, ce qui veut dire que lors de son voyage secret à
Dearborn l'été dernier, Huma "a secrètement planqué " dans
cette maison des preuves critiques concernant les emails "perdus" de
Hillary Clinton, et peut-être même l'ordinateur "perdu" et la clé
USB.
Sans aucun doute, Huma Abedin
et son mari, Anthony Weiner, sont maintenant en pleine coopération avec
le ministère de la Justice du président Trump. Mais les grands médias de
propagande américains restent muets sur cette affaire. Ils restent constamment scotchés
sur leurs «fausses nouvelles» et sur leur campagne d'hystérie anti russe,
ce qui fait dire au président Poutine
qu'ils auraient besoin d'une «pilule calmante»
afin de se soigner.
Un exemple parmi d’autres,
démontrant l’ignorance crasse de ces médias menteurs nous a été donné récemment
par la fameuse journaliste Megyn Kelly, qui a choqué tout
le monde après avoir demandé hier au Premier ministre indien, Narendra Modi
«Êtes-vous sur Twitter? ". La pauvre ignorante ne sait
pas que Modi a le 2ème flux Twitter le plus important au monde avec plus de 30
millions d'adeptes, dépassé seulement par le président Trump.
Poutine à Megyn Kelly : le Web définit le score
«Megyn Kelly était
très en sueur alors qu’elle a essayé de piquer l’ours. Heureusement,
Poutine a été à la hauteur», les internautes établissent le score de la
«bataille verbale» de la journaliste américaine, connue pour avoir pris
au dépourvu Donald Trump, contre le Président russe sur la défensive… où
à l’offensive?
Le
Président russe Vladimir Poutine s'est retrouvé le 2 juin sous une avalanche
de propos piquants et de questions épineuses de la journaliste
américaine de NBC News, Megyn Kelly, devenue célèbre grâce à ses
critiques de Donald Trump.« Avez-vous lu ses rapports? », a à son tour demandé M. Poutine.
« J'ai lu la version publique et non classée secrète », a répondu l'animatrice.
« Moi, j'ai lu ces rapports. Il n'y a que des
suggestions et des conclusions basées sur des suggestions. Savez-vous
comment on disait dans une organisation où j'ai travaillé auparavant:
adresses, faits, noms? », a dit M. Poutine.
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D'autres internautes ont ironisé sur les propos de Megyn Kelly au sujet des « empreintes digitales » des hackers.
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« Des centaines de faits sont contre la Russie: des adresses IP, des empreintes digitales, des codes. Tout cela pointe la Russie et aucune autre preuve ne mène vers quelqu'un d'autre », a souligné la journaliste américaine.
« Quelles empreintes digitales? Les empreintes
de sabots, de cornes? À qui sont ces empreintes? On peut inventer des
adresses IP. Savez-vous combien y-a-t-il de spécialistes? Ils feront de
sorte [que cela ait l'air, ndlr] d'avoir été envoyé de votre domicile
par vos enfants », a lancé Vladimir Poutine.
Une fois de plus, il est démontré qu’aujourd’hui, en Occident, seuls les journalistes « idiots et sans éducation » sont autorisés à « bourrer le mou » aux citoyens de leur pays.
C'est le Pentagone et l’État Profond qui mènent la danse
Le maintien de toute relation entre les États-Unis et
la Russie est maintenant considéré comme une trahison par l’establishment
anti-Trump
Stephen F.
Cohen, professeur d’études russes à Princeton et NYU – un espion russe
évidemment – était hors de lui ce soir, dans l’incrédulité absolue à propos
de la pathétique insignifiance de la gigantesque chasse aux sorcières
lancée contre Trump pour assaillir sa présidence.
Il a déclaré
: « Aujourd’hui, je dirais que la plus grande menace pour la sécurité
nationale est cette agression contre le président Trump. Soyons clairs, il est
accusé de trahison. Cela n’a jamais eu lieu en Amérique, que nous ayons un
agent russe à la Maison Blanche. »
Cohen croit
que Flynn n’a rien fait de mal en parlant à l’ambassadeur de Russie, expliquant
qu’il n’a ainsi fait que son job.
Il a ensuite
mis en lumière le fait indélébile qu’il y a une quatrième branche du
gouvernement, la communauté du renseignement, qui s’est mêlée des affaires
de politique étrangère américaine, entravant les trois autres branches du
gouvernement, ajoutant :
« En
2016, le président Obama a conclu un accord avec le président russe Poutine,
pour la coopération militaire en Syrie. Il a dit qu’il allait partager les
renseignements avec la Russie, exactement ce que Trump et les Russes sont
supposés avoir fait l’autre jour.
Notre
ministère de la Défense, le Pentagone, a déclaré qu’il ne partagerait aucun
renseignement. Et quelques jours plus tard, ils ont tué des soldats syriens,
violant l’accord, et ça s’est terminé là. Alors, nous pouvons nous demander qui
fait aujourd’hui notre politique étrangère à Washington ? »
Le
professeur Cohen a précisé :
« Vous
et moi devons poser une question subversive, y a-t-il vraiment trois branches
du gouvernement, ou y en a-t-il une quatrième ? Ces services de
renseignement. Ce que nous savons, en fait, c’est que Obama a essayé – pas trop
– mais il a essayé de forger une alliance militaire avec Poutine, en Syrie,
contre le terrorisme et il a été saboté par le département de la Défense et ses
alliés dans les services de renseignement. »
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