dimanche 12 novembre 2023

La Russie & la Palestine

La question complexe et nuancée de la neutralité géopolitique de la Russie dans la tragédie Israël-Palestine a finalement été clarifiée la semaine dernière.

Le président russe Vladimir Poutine s’est adressé – en personne, le 30 octobre – au Conseil de sécurité de son pays, aux hauts responsables gouvernementaux et aux chefs des agences de sécurité.

Parmi les autres notables, son public comprenait le Premier ministre Mikhail Mishustin, le président de la Douma Vyacheslav Volodin, le secrétaire du Conseil de sécurité Nikolai Patrushev, le ministre des Affaires étrangères Sergei Lavrov, le directeur du FSB Alexander Bortnikov, et le directeur du SVR (informations étrangères) Sergei Narishkin.

Poutine a pris le temps de détailler la position officielle de la Fédération de Russie dans le contexte géopolitique actuel de deux guerres entrelacées, l’Ukraine et l’Israël-Palestine. Cela s’adressait autant à son public de haut niveau qu’aux dirigeants politiques de l’Hégémon occidental (USA, GB, France, Allemagne et Italie).

« Il n’y a aucune justification pour les terribles événements qui se déroulent à Gaza en ce moment, où des centaines de milliers de personnes innocentes sont massacrées sans discernement, sans avoir nulle part où fuir ou se cacher des bombardements.

Quand vous voyez des enfants tachés de sang, des enfants morts, la souffrance des femmes et des personnes âgées, quand vous voyez des médecins tués, bien sûr, cela vous fait serrer les poings et monter les larmes aux yeux. »

La coalition du chaos dirigée par les États-Unis

Puis est venu un aperçu du contexte : « Nous devons comprendre clairement qui, en réalité, est à l’origine de la tragédie des peuples au Moyen-Orient et dans d’autres régions du monde, qui a organisé ce chaos mortel et qui en profite. »

En termes clairs, Poutine a décrit « les élites dirigeantes actuelles aux États-Unis et ses satellites » comme « les principaux bénéficiaires de l’instabilité mondiale qu’ils utilisent pour encaisser leur loyer sanglant. Leur stratégie aussi est évidente. Les États-Unis, en tant que superpuissance mondiale, s’affaiblissent et perdent leur position. Tout le monde le voit et le comprend ; on peut d’ailleurs en juger par les tendances de l’économie mondiale. »

Le président russe a établi un lien direct entre la volonté états-unienne d’étendre « sa dictature mondiale » et l’obsession politique de promouvoir le chaos non-stop : « Ce chaos les aidera à contenir et à déstabiliser leurs rivaux ou, comme ils les appellent, leurs adversaires géopolitiques – parmi lesquels ils classent notre pays – qui en réalité sont des nouveaux centres de croissance mondiale et des pays indépendants souverains qui ne sont pas disposés à se plier à leur volonté et à jouer le rôle de serviteur ».

Fondamentalement, Poutine s’est fait un point d’honneur de « répéter à nouveau » à son auditoire interne et au Sud Global que « les élites au pouvoir des États-Unis et de leurs satellites sont derrière la tragédie des Palestiniens, le massacre au Moyen-Orient en général, le conflit en Ukraine et de nombreux autres conflits dans le monde – en Afghanistan, en Irak, en Syrie, et ainsi de suite ».

La Palestine est un point d’une importance vitale. En associant les auteurs du conflit ukrainien et de la guerre contre Gaza – « les États-Unis et leurs satellites » – le président russe a effectivement mis Israël dans le camp de l’hégémon occidental et de son programme d’installer et promouvoir le  “chaos”.

Moscou s’aligne sur la véritable « communauté internationale »

Essentiellement, ce que cela nous dit, c’est que la Fédération de Russie s’aligne sans équivoque sur l’écrasante majorité de l’opinion publique mondiale du Sud et de la majorité mondiale – du monde arabe à toutes les terres de l’islam et au-delà, en Afrique, en Asie et en Amérique latine.

Fait intéressant, Moscou rejoint les analyses du leader iranien Ayatollah Khamenei – un partenaire stratégique de la Russie – et du secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah, dans son discours brûlant, sophistiqué et teinté de Sun-Tzu de vendredi dernier, sur « l’araignée qui essaie d’enchevêtrer le monde entier dans sa toile ».

La position officielle de la Russie, en particulier sur Israël-Palestine, a été énoncée par le représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU, Vasily Nebenzya, lors d’une session spéciale de l’Assemblée générale de l’ONU sur la Palestine deux jours après le discours de Poutine.

Nebenzya a très clairement indiqué qu’Israël, en tant que puissance occupante, n’a pas « le droit à l’autodéfense » – un fait étayé par une décision consultative de la Cour internationale des Nations Unies en 2004.

À l’époque, la cour a également établi, dans un vote de 14 sur 15, que la construction par Israël du mur de séparation dans la Palestine occupée, y compris Jérusalem-Est, était contraire au droit international.

Nebenzya, en termes juridiques, a annulé l’argument sans cesse évoqué du « droit à l’autodéfense » brandi par Tel Aviv et toute la galaxie de l’OTAN.

L’Hégémon, le protecteur de Tel Aviv, a récemment opposé son veto au projet humanitaire présenté au Conseil de sécurité de l’ONU par le Brésil, simplement parce qu’il ne mentionnait pas le « droit à l’autodéfense » d’Israël.

Même s’il a souligné que Moscou reconnaît le droit d’Israël d’assurer sa sécurité, Nebenzya a précisé que ce droit « ne pourrait être pleinement garanti qu’en cas de résolution équitable du problème palestinien sur la base des résolutions reconnues du Conseil de sécurité de l’ONU ».

Le dossier montre qu’Israël ne respecte aucune résolution du Conseil de sécurité de l’ONU sur la Palestine.

Les priorités de Lavrov en Palestine occupée

La position de la Russie concernant Israël/Palestine a été fournie par le ministre des Affaires étrangères Sergei Lavrov lors d’une conférence de presse avec le ministre koweïtien des Affaires étrangères Sabah Al-Sabah, deux jours après l’intervention de Nebenzya à l’ONU.

Lavrov a réitéré les priorités de Moscou déjà soulignées par Poutine et Nebenzya : un cessez-le-feu urgent, des couloirs humanitaires et un retour à la table pour négocier « un État palestinien indépendant, comme prévu par le Conseil de sécurité de l’ONU, dans les frontières de 1967, qui coexisterait en paix et en sécurité avec Israël ».

Lavrov a mis en évidence, une fois de plus, que différentes tactiques de diversion américano-israéliennes sont utilisées « dans le but de retarder (sinon enterrer) la décision du Conseil de sécurité de l’ONU d’établir un État palestinien ».

Cela, dit le ministre russe des Affaires étrangères, revient à condamner les Palestiniens « à une existence éternelle sans droits. Cela n’assurera ni la paix ni la sécurité dans la région, cela ne fera qu’approfondir le conflit. Et vous ne serez pas en mesure de le résoudre radicalement. Cela n’aura pour résultat que les semailles, la germination, la croissance et la maturation des prochains ‘raisins de la colère’ ».

L’analyse de Lavrov, autant que l’analyse de Poutine, converge avec celles de Khamenei et de Nasrallah : « Il ne s’agit pas de Gaza, mais du conflit israélo-palestinien. L’État de Palestine fait partie intégrante de cette solution. »

La Russie pose des jalons pour exercer le rôle de médiateur de confiance pour toutes les parties en Israël/Palestine – un rôle totalement inadapté à l’Hégémon, en particulier après l’approbation tacite de l’actuel nettoyage ethnique israélien de Gaza.

Tout est ici, clairement formulé par Lavrov : « Il sera très important pour nous de connaître l’opinion unanime du monde arabe. » C’est un message ciblant spécifiquement les régimes sunnites vassalisés par Washington. Ensuite, quand ils se réuniront, « nous soutiendrons la solution arabe à cette question très difficile ».

La condition préalable de la multipolarité : la paix en Palestine

Tout cela montre que Moscou mène la partie. Le message global – qui est minutieusement décodé dans l’ensemble du Sud et de la majorité mondiale – est que malgré les manœuvres incessantes de l’Empire du Chaos, l’immuable projet sioniste d’exclusion est maintenant mort et enterré.

La moins mauvaise solution à ce jour est l’Initiative de paix arabe de 2002 – souscrite par tout le monde, des terres de l’Islam à la Russie, en passant par l’Iran et la Chine : un État palestinien indépendant, de retour aux frontières de 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale.

Le problème est de savoir comment amener le sionisme incontrôlable à reculer. Au-delà des impératifs du terrain, il faudrait couper le cordon ombilical militaire Washington-Tel Aviv et expulser du spectre géopolitique la matrice sioniste chrétienne néoconne états-unienne, enracinée aux plus profond de l’État profond.

Ces deux impératifs sont des impossibilités – à court, à moyen et même à long terme.

Par ailleurs, un simple coup d’œil sur la carte – de la Cisjordanie à la bande de Gaza – montre qu’à toutes fins pratiques, la solution à deux États a fait long feu. Il peut être déchirant pour les dirigeants de la multipolarité de l’admettre. Il faudra un certain temps, et un changement du discours public, pour reconnaître que la seule solution viable est l’anathème suprême du projet sioniste : un État unique avec des Juifs et des Arabes vivant ensemble en paix.

Tout cela nous amène à une formulation dure : sans une solution juste pour la Palestine, une paix tangible à travers le spectre émergent de la multipolarité reste inaccessible. L’horreur actuelle à Gaza montre que la paix n’est toujours pas une priorité pour l’Empire du Chaos, et il faudra que la Russie – et peut-être aussi la Chine – se chargent de changer la donne.

Par Pepe Escobar   7 novembre 2023

Article original en anglais sur The Cradle  Via ISM-France

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La Russie joue-t-elle un double-jeu en Palestine?

Janvier 2022 - Poutine reçoit le couple Netanyahu à Moscou - Une relation particulière entre les deux hommes est attestée, basée sur un certain nombre de connivences et aussi sur des traits de caractère - Photo : extrait vidéo

Depuis le début de la guerre en Ukraine, une guerre froide mondiale s’est également enclenchée.

En tant qu’allié de Washington et foyer d’un grand nombre de juifs russes, ukrainiens et d’Europe de l’Est, il était tout à fait naturel que Tel Aviv soit au cœur des tensions mondiales.

Lorsque la guerre a commencé, Israël était alors dirigé par une coalition très hétéroclite, réunissant des partis politiques de droite, de centre et de gauche.

Ces partis étaient conscients de l’importance électorale des juifs russes israéliens, arrivés pour la plupart en Israël après l’effondrement de l’ex-Union soviétique à la fin des années 1980 et au début des années 1990.

Cet électorat important et en croissance rapide est largement anti-Moscou, comme l’ont montré les sondages d’opinion.

Ces données démographiques, ajoutées à la loyauté d’Israël envers Washington, ont compliqué la position israélienne.

D’une part, Israël a voté en faveur d’une résolution des Nations Unies en mars 2022 qui condamnait la Russie. En réponse, Moscou a exprimé sa « déception » à l’égard d’Israël.

En outre, Israël a ouvert ses portes aux Ukrainiens et aux juifs russes qui souhaitaient fuir les zones de guerre.

D’autre part, le Premier ministre israélien de l’époque, Naftali Bennett, a prétendu jouer le rôle de médiateur en organisant des réunions avec les présidents russe et ukrainien, Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky.

En outre, Israël a été proposé à plusieurs reprises comme lieu de rencontre possible pour de futures négociations, ce qui lui aurait conféré un statut étrange « d’artisan de la paix », bien que cela n’ait pas été plus loin qu’une couverture médiatique.

Cela n’a abouti à rien. En fait, cette idée a donné lieu à de multiples controverses, notamment d’une querelle diplomatique en cours sur ce qu’Israël considère comme la vénération par l’Ukraine des collaborateurs nazis.

Un autre épisode embarrassant a suivi les allégations de Bennett selon lesquelles Zelensky avait cherché à obtenir, par l’intermédiaire du dirigeant israélien en personne, l’assurance que Poutine ne le ferait pas liquider. L’Ukraine a nié qu’un tel marchandage a eu lieu.

Pourtant, alors que Bennett tentait d’insérer Israël dans le conflit en tant que puissance ayant son mot à dire, Yair Lapid, alors ministre israélien des affaires étrangères, condamnait ouvertement la Russie.

La position israélienne peut avoir reflété la composition politico-démographique d’Israël. Il est également possible qu’il s’agisse en grande partie d’un stratagème politique, Bennett tentant d’apaiser Moscou, tandis que son partenaire de coalition, Lapid, cherchait à rassurer Washington.

Malgré les reproches occasionnels adressés à Israël par les États-Unis et la Russie, le langage utilisé par les deux parties n’était guère comparable aux menaces proférées à l’encontre d’autres pays qui refusaient de se plier à leur ligne de conduite.

En fait, l’avertissement le plus ferme de Moscou à l’égard d’Israël est intervenu en février dernier, lorsque la porte-parole du ministère russe des affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré aux journalistes que « tous les pays qui fournissent des armes (à l’Ukraine) doivent comprendre que nous considérerons ces (armes) comme des cibles légitimes pour les forces armées de la Russie ».

L’allusion dans la déclaration de Mme Zakharova a été comprise comme étant Israël, puisqu’elle faisait suite à une interview de CNN avec le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou.

Dans cette interview, Netanyahou a déclaré que son pays « envisageait » d’envoyer « d’autres types d’aide », en plus de l’aide humanitaire à l’Ukraine.

Dans la même interview, Netanyahou a qualifié de « complexes » les relations entre Tel-Aviv et Moscou, précisément en raison de leurs intérêts contradictoires en Syrie et des liens étroits de Moscou avec Téhéran, l’ennemi juré d’Israël dans la région.

Contrairement aux deux premiers ministres précédents, Bennett et Lapid, M. Netanyahou a tenu à conserver une certaine neutralité dans la guerre entre la Russie et l’Ukraine et dans le conflit mondial qui en a résulté.

Que Netanyahou ait été sincère ou non, il semble que Moscou soit beaucoup plus à l’aise avec la nouvelle position de Tel-Aviv qu’avec celles des gouvernements précédents.

Par exemple, en juillet 2022, le ministère russe de la justice a déclaré une guerre légale à l’ « Agence juive pour Israël », dont la mission, depuis un siècle, est de faciliter l’immigration juive en Palestine puis ensuite en Israël.

L’action de la Russie était clairement politique et visait à envoyer un message clair à Israël : la Russie dispose de nombreux outils au cas où Israël dévierait trop du côté ukrainien.

Israël a réagi en bombardant la Syrie à une fréquence plus élevée qu’auparavant, afin de faire comprendre à Moscou qu’il dispose lui aussi d’options.

En réalité, les mesures juridiques prises à l’encontre de l’Agence juive ont suscité de vives inquiétudes en Israël. Elles démontrent le sérieux de la Russie dans sa lutte contre la politique et les agendas mixtes d’Israël.

Pourtant, la dégradation des relations entre la Russie et Israël n’a pas encore eu d’impact positif direct sur les Palestiniens. Il y a plusieurs raisons à cela.

  • Premièrement, historiquement, le point de vue de la Russie, et auparavant de l’Union soviétique, sur Israël a été basé sur les propres priorités politiques de Moscou.
  • Deuxièmement, le discours de politique étrangère de la Russie, au cours des dernières décennies, a été largement lié à la position collective des pays arabes à l’égard de Tel-Aviv.
    Cela s’est traduit par la rupture des liens entre Moscou et Tel-Aviv après la guerre de 1967 et par la reprise des liens lors des pourparlers de paix en 1991.
    L’absence d’une position arabe unie concernant la Palestine rend aujourd’hui peu pressant un renforcement de la pression russe contre l’occupation israélienne.
  • Troisièmement, les dirigeants palestiniens n’ont pour la plupart pas réussi à naviguer dans les espaces géopolitiques qui se sont ouverts depuis la guerre entre la Russie et l’Ukraine, ce qui en fait un élément marginal dans les calculs politiques de la Russie.

En fait, dès qu’Israël a commencé à adopter une position cohérente et moins agressive sur la guerre en Ukraine, il a commencé à en récolter les fruits.

En juillet, le ministre israélien des affaires étrangères, Eli Cohen, a célébré le « succès diplomatique » de son pays à la suite de la décision russe d’ouvrir des bureaux consulaires à Jérusalem-Ouest.

Cette annonce surprenante s’est accompagnée de l’utilisation, par certains médias financés par le gouvernement russe, du terme « Jérusalem-Ouest » au lieu de Tel-Aviv pour désigner la capitale d’Israël.

On pourrait faire valoir que la position russe sur la Palestine est malgré tout constante et que les concessions de la Russie à Israël sont probablement temporaires, simplement rendues nécessaires par la guerre.

Cela pourrait en effet être le cas, surtout si l’on garde à l’esprit la forte composante pro-arabe du Kremlin et de la Douma.

Il est également très probable que la politique étrangère de la Russie à l’égard d’Israël et de la Palestine soit actuellement entièrement conditionnée par les priorités russes.

Cela signifie que Moscou ne peut pas être considéré comme un allié solide des Palestiniens et qu’une reconnaissance pure et simple par Moscou de Jérusalem comme capitale d’Israël n’est pas totalement exclue.

Par Ramzy Baroud (revue de presse : Chronique de Palestine – 25 août 2023)

*Dr Ramzy Baroud est journaliste, auteur et rédacteur en chef de Palestine Chronicle.

7 commentaires:

  1. L’État d'Israël a été créé sur une montagne de mensonges, en premier lieu l'Holocauste.
    Le Pape Saint Pie X répondit à Théodore Herzl, le fondateur du moderne sionisme, qui lui avait demandé la reconnaissance du futur État d’Israël : "LE SAINT-SIÈGE NE PEUT PAS LE RECONNAÎTRE CAR LES JUIFS NE RECONNAISSENT PAS JÉSUS-CHRIST."

    Dans les décennies suivantes la Franc-maçonnerie JUIVE a infiltrée abondamment la Hiérarchie, ce qui lui a permis au Conclave 1958 de placer sur la Chaire de Pierre, le rose-croix (une autre branche de la franc maçonnerie juive), Roncalli/Jean XXIII, chargé de détruire l’Église Catholique.
    Ce qui est arrivé avec le Concile Vatican II et tout le reste, y comprise la pleine et chaleureuse reconnaissance, après 2000 ans de lutte souterraine et extrêmement haineuse des Juifs, de l’État d’Israël.

    Bien que reconnu par les puissances sionistes occidentales, à commencer par l’ONU, Israël est un État fictif qui occupe illégalement, depuis 1948, des terres qui n’appartiennent plus aux Juifs.

    Les Juifs n’en veulent absolument pas des Palestiniens. Ceux qui proposent deux états avec en plus Jérusalem partagée par les deux, sont des menteurs avérés qui trompent tout le monde et prolongent l’agonie des Palestiniens.

    Le seule solution est que les Juifs quittent la Palestine.

    Cette solution ne sera jamais prise car l’argent juif gouverne et contrôle au moins l’Occident depuis des siècles. Tout le reste n’est que du bavardage qui montre une hypocrisie à vomir, car elle est une complice de premier plan de l’assassinat d’innombrables innocents et de la guerre mondiale à venir, causée principalement par le fanatisme messianique juif.

    Ensuite chacun aura ce qu’il mérite. Comme 2 plus 2 fait 4.

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  2. J’ai bien peur que ce message contrevienne à la loi, mais tant pis.

    Ça y est ! Machia’h sort de son trou ! Sortez votre béret.

    C’est Rav Ron Chaya (le sympathique lapin aux trois coqs) qui raconte : Blessé à Gaza, un troufion israélien a fait une mort clinique. Puis il a ressuscité en sursaut. Ensuite, il a raconté que dans le Ciel où il avait été, il y avait une grande dispute de zèbres qui se demandaient si on balance Machia’h maintenant ou dans quelques semaines.

    C’est vachement inquiétant, non ? Pas le Machia’h, non je parle du Ciel où des zèbres se disputent à propos du moment où ils comptent nous jeter le Machia’h dessus, au lieu du Ciel émanant l’amour que racontent les goyim ressuscités.

    La vidéo est sur le site du Libre Penseur :
    https://www.lelibrepenseur.org/en-israel-plusieurs-rabbins-confirment-la-venu-du-machiah-dans-les-semaines-a-venir-dixit-rav-ron-chaya/

    Quand les Palestiniens auront tous été chassés de Palestine, on pourra parler de l’asile d’aliénés Israël, c’est-à-dire, nommer correctement les choses.

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  3. le "lobbie" tout puissant est aussi très présent en Russie ce qui limite la marge de manoeuvre du président et de son gouvernement.

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  4. Le constat paraît assez clair : apparemment le gouvernement russe actuel a pris position pour les Palestiniens. Ça c'est la parole. Toute parole non validée par les actes n'a pas de valeur. Dans les faits le Kremlin ne contredit pas l'agenda ashkénaze, le génocide continue. L'ami de mon ennemi est mon ennemi.
    Les faits sont criants:
    Le génocide des hommes chrétiens ukrainiens par une guerre qui ne dit pas son nom a bien eu lieu.
    Le génocide des populations musulmanes déguisé en guerres a bien eu lieu et continue.

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  5. Poutine n'aura fait que tuer 500.000 frères slaves. Pour le reste il obéit aux agendas de ses maîtres.

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    1. Nuance, c'est l'OTAN qui a exterminé 500.000 slaves et plus. Apparemment votre cerveau ne fonctionne que depuis le 24 février 2022 !

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    2. Guerre d'Ukraine - La stratégie de Chabad pour le génocide des Slaves
      https://numidia-liberum.blogspot.com/2023/02/guerre-dukraine-la-strategie-de-chabad.html
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      Ukraine / Russie. Le rôle sous-jacent des oligarques juifs
      https://numidia-liberum.blogspot.com/2022/03/ukraine-russie-le-role-sous-jacent-des.html
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      Ukraine vs Russie. Chris Hedges, Victoria Nuland et les Khazars
      https://numidia-liberum.blogspot.com/2022/04/ukraine-vs-russie-chris-hedges-victoria.html

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