Le cessez-le-feu récemment annoncé est une bénédiction pour les Palestiniens comme pour les Israéliens : une chance pour les prisonniers d’être échangés, de l’aide humanitaire pour ceux qui en ont besoin et pour que les émotions des deux côtés du conflit s’apaisent.
Même si le cessez-le-feu, négocié entre Israël et le Hamas par le Qatar, a été mutuellement convenu entre les deux parties, que personne ne se laisse tromper en pensant qu’il s’agit de rien de moins qu’une victoire du Hamas. Israël a adopté une position très agressive : compte tenu de son objectif déclaré de détruire le Hamas en tant qu'organisation, il n'accepterait un cessez-le-feu sous aucune condition.
Le Hamas, de son côté, a fait de la libération des prisonniers palestiniens, et en particulier des femmes et des enfants, détenus par Israël, l'un de ses principaux objectifs en lançant le cycle actuel de combats avec Israël. Vu sous cet angle, le cessez-le-feu représente une victoire importante pour le Hamas et une défaite humiliante pour Israël.
L’une des raisons pour lesquelles Israël a évité un cessez-le-feu était qu’il était convaincu que l’opération offensive qu’il avait lancée dans le nord de Gaza allait neutraliser le Hamas en tant que menace militaire, et que tout cessez-le-feu, quelle que soit la justification humanitaire, ne ferait que gagner du temps pour un nouveau cessez-le-feupermettant au Hamas de se reposer, se rééquiper et se regrouper. Le fait qu’Israël ait signé un cessez-le-feu est le signe le plus sûr que tout ne va pas pour le mieux dans l’offensive israélienne contre le Hamas.
Ce résultat n’aurait dû surprendre personne. Lorsque le Hamas a lancé son attaque contre Israël le 7 octobre, il a lancé un plan en préparation depuis des années. L’attention méticuleuse aux détails qui était évidente dans l’opération du Hamas a souligné la réalité selon laquelle le Hamas avait étudié les services de renseignement et les forces militaires israéliennes déployés contre lui, révélant des faiblesses qui ont ensuite été exploitées. L’action du Hamas représentait bien plus qu’une planification et une exécution tactiques et opérationnelles solides : elle était également un chef-d’œuvre de conceptualisation stratégique.
L’une des principales raisons de la défaite israélienne du 7 octobre était le fait que le gouvernement israélien était convaincu que le Hamas n’attaquerait jamais, sans tenir compte de ce que disaient les analystes des services de renseignement chargés de surveiller les activités du Hamas à Gaza. Ce manque d’imagination est dû au fait que le Hamas a identifié les buts et objectifs politiques d’Israël (l’annulation du Hamas en tant qu’organisation de résistance en entreprenant une politique fondée sur « l’achat » du Hamas à travers un programme élargi de permis de travail délivrés par Israël aux Palestiniens vivant à Gaza.). En jouant avec le programme de permis de travail, le Hamas a endormi les dirigeants israéliens dans la complaisance, permettant au Hamas de préparer son attaque à la vue de tous.
🇮🇱
The Qatari Foreign Ministry says the starting time of the humanitarian
pause in the Gaza Strip, reached by Palestinian movement Hamas and
Israel, will be announced within the next 24 hours and last for four
days with possible extension.
The ministry also says that "the number of those released will be increased in later stages of implementing the agreement."
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L'attaque du Hamas du 7 octobre n'était pas une opération isolée, mais plutôt une partie d'un plan stratégique comportant trois objectifs principaux : 1) remettre la question d'un État palestinien sur le devant de la scène internationale, 2) libérer les milliers de prisonniers palestiniens détenue par Israël, et 3) contraindre Israël à cesser de profaner la mosquée Al Aqsa, le troisième lieu saint de l'Islam. L’attaque du 7 octobre, à elle seule, n’a pas permis d’atteindre ces résultats. L'attaque du 7 octobre visait plutôt à déclencher une réponse israélienne qui créerait les conditions nécessaires pour que les objectifs du Hamas se concrétisent.
L’attaque du 7 octobre avait pour but d’humilier Israël à un point irrationnel, afin de garantir que toute réponse israélienne serait régie par un besoin émotionnel de vengeance, par opposition à une réponse rationnelle destinée à annuler les objectifs du Hamas. Ici, le Hamas a été guidé par la doctrine israélienne établie de punition collective (connue sous le nom de doctrine Dahiya, du nom de la banlieue ouest de Beyrouth qui a été lourdement bombardée par Israël en 2006, afin de punir le peuple libanais pour l'échec d'Israël à vaincre le Hezbollah au combat. .) En infligeant à Israël une défaite humiliante qui a brisé à la fois le mythe de l'invincibilité israélienne (en ce qui concerne les Forces de défense israéliennes) et de l'infaillibilité (en ce qui concerne les renseignements israéliens), et en prenant des centaines d'Israéliens en otage avant de se retirer dans son repaire souterrain sous Gaza, le Hamas a tendu un piège à Israël. dans lequel, comme on pouvait s’y attendre, le gouvernement du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’est précipité tête baissée.
Le Hamas a préparé un réseau de tunnels sous la bande de Gaza qui s’étend au total sur plus de 500 kilomètres. Surnommés « Métro de Gaza », ces tunnels sont constitués de bunkers souterrains profonds interconnectés utilisés pour le commandement et le contrôle, le soutien logistique, les soins médicaux et le cantonnement, ainsi que d’autres réseaux de tunnels dédiés aux opérations défensives et offensives. Les tunnels sont enfouis suffisamment profondément pour éviter d’être détruits par la plupart des bombes en possession d’Israël et ont été aménagés pour résister à un siège pouvant durer jusqu’à trois mois (90 jours).
Le Hamas sait qu’il ne peut pas engager Israël dans une confrontation classique force contre force. Au lieu de cela, l’objectif était d’attirer les forces israéliennes à Gaza, puis de soumettre ces forces à une série interminable d’attaques éclair de la part de petites équipes de combattants du Hamas qui émergeraient de leurs repaires souterrains, attaqueraient une force israélienne vulnérable, puis disparaître sous terre. Bref, soumettre l’armée israélienne à ce qui équivaut à une mort par mille coupures.
Et ça a marché. Même si les forces israéliennes ont réussi à pénétrer dans les zones les moins urbanisées du nord de la bande de Gaza, en profitant de la mobilité et de la puissance de feu de ses troupes blindées, les progrès sont illusoires, car les forces du Hamas harcèlent continuellement les Israéliens, en utilisant des roquettes tandem meurtrières pour désactiver ou détruire des véhicules israéliens, tuant des dizaines de soldats israéliens et en blessant des centaines d'autres. Alors qu'Israël s'est montré réticent à divulguer le nombre de véhicules blindés perdus de cette manière, le Hamas affirme que ce nombre se compte par centaines. Les affirmations du Hamas sont renforcées par le fait qu'Israël a interrompu la vente d'anciens chars Merkava 3 et a plutôt organisé son inventaire de ces véhicules en nouveaux bataillons blindés de réserve pour compenser les lourdes pertes subies à la fois à Gaza et le long de la frontière nord avec le Liban, où les forces du Hezbollah sont engagées dans une guerre d'usure meurtrière avec Israël dans le cadre d'opérations destinées à soutenir le Hamas à Gaza.
Mais la principale raison de la défaite d’Israël jusqu’à présent est Israël lui-même. Après avoir mordu à l’hameçon et être tombé dans le piège du Hamas, Israël a continué à appliquer sa doctrine Dahiya contre la population palestinienne de Gaza, en menant des attaques aveugles contre des biens civils au mépris flagrant du droit de la guerre. On estime que 13 000 civils palestiniens ont été tués par ces attaques, dont plus de 5 000 enfants. Plusieurs milliers d'autres victimes restent ensevelies sous les décombres de leurs logements détruits.
Même si Israël a pu obtenir le soutien de la communauté internationale à la suite de l’attaque du Hamas du 7 octobre, sa réaction excessive et flagrante a retourné l’opinion publique mondiale contre lui – ce sur quoi le Hamas comptait. Aujourd’hui, Israël est de plus en plus isolé, perdant son soutien non seulement dans ce qu’on appelle le Sud global, mais aussi dans les bastions traditionnels pro-israéliens aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Europe. Cet isolement, combiné au type de pression politique à laquelle Israël n’est pas habitué, a contribué à l’acquiescement du gouvernement Netanyahu au cessez-le-feu et à l’échange de prisonniers qui a suivi.
Reste à savoir si le cessez-le-feu tiendra ou non. De même, la question de savoir comment transformer le cessez-le-feu en une cessation durable des hostilités reste une question ouverte. Mais une chose est sûre : après avoir déclaré que la victoire est définie par la défaite totale du Hamas, les Israéliens ont préparé le terrain pour une victoire du Hamas, ce que le Hamas obtient simplement en survivant.
Mais le Hamas fait plus que survivre : il gagne. Après avoir combattu les Forces de défense israéliennes jusqu’à l’arrêt sur le champ de bataille, le Hamas a vu chacun de ses objectifs stratégiques dans ce conflit se concrétiser. Le monde exprime activement la nécessité absolue d’une solution à deux États comme condition préalable à une paix durable dans la région. Les Palestiniens détenus par Israël sont échangés contre les Israéliens pris en otage par le Hamas. Et le monde islamique est uni pour condamner la profanation de la mosquée Al Aqsa par Israël.
Aucune de ces questions n'était sur la table le 6 octobre. Le fait qu'elles le soient maintenant témoigne du succès remporté par le Hamas le 7 octobre, ainsi que dans les jours et les semaines qui ont suivi, alors que les forces israéliennes ont été vaincues grâce à la ténacité du Hamas et à cause de leur propre prédilection pour la violence aveugle contre les civils. Loin d’être éliminé en tant que force militaire et politique, le Hamas est devenu peut-être la voix et l’autorité la plus pertinente lorsqu’il s’agit de défendre les intérêts du peuple palestinien.
Par Scott Ritter
Ancien inspecteur de la commission spéciale des Nations unies (UNSCOM) en Irak entre 1991 et 1998. Dans la période qui précède la guerre américaine en Irak en 2003, il devient l'un des détracteurs américains les plus connus de la politique des États-Unis vis-à-vis de l'Irak.
Source : Sputnik
L´œuvre de Dieu à travers Ses fidèles et humbles Serviteurs. "La faciliter peut être considéré comme l´un des pires ennemis du progrès et de la réussite". Nous l´observons bien avec l´entité 404 en Terre Sainte !
RépondreSupprimerC´est une guerre entre les Croyants vs les mécréants et hypocrites (bien sur tous les mécréants, c.a.d ceux qui ont renié DIEU, les Prophètes, et la Réalité Invisible, ne sont pas concernés. Il y en a qui soutienne la résistance mais on ne peut se fier totalement à eux, car le fond de leurs pensées et de leurs visions de la vie est identique à celui des mécréants allies des hypocrites, ennemis jurer des croyants de toutes les voies religieuses monothéiste).
Et celui qui mène une guerre depuis la nuit des temps contre les humains (qui naissent naturellement croyant tout comme le reste de la Création, qui dépourvu de libre arbitre - excepter les Hommes et les Djinns - ne manque jamais à l´accomplissement de ses fonctions révélé par le Divin à travers la méthode de communication qui convient à la nature de chacun, d´où la paix et l'harmonie dans l´Univers et la Nature) est Iblis, devenu Satan après Sa Rébellion et la Malédiction Divine en réponse.
Satan est le père du suprématisme et il a instauré cette philosophie satanique parmi les civilisations humaine (ce fut l´une des causes principales de la disparition des anciennes civilisations). Il a fait cela en corrompant la pureté de la croyance en l´Unicité du Divin, qui établit l´Unicité de la Création, l´unicité de l´Humanité ainsi de suite et par la suite la pureté de la Loi Révélé a différente période de l´Histoire depuis Adam et Eve - excepter le Saint Coran, dernière Révélation envoyé pour tout l´Univers, d´où les brulages de Coran a défaut de pouvoir le corrompre comme ce fut le cas avec les anciennes révélations.
Le problème n´est pas la Religion de l´Unicité (Amour) Révélée a différente période mais les ennemis de la Religion, qu´ils soient laïc/séculier avec leur fausse religion matérialiste et leur pseudo morale laïc, qu´ils soient païens ou qu´ils soient des hypocrites prétendant adhérer à la Religion de l´Amour. Ils sont le problème, avec leurs "père" Satan et leurs Maitre l´Antéchrist et Ses fantassins les Gog et Magog !
Donc tous les soutiens laïc/païen de la résistance en Terre sainte vous êtes grillé par votre haine envers l´Islam (qui est la Seule Voie de la Religion Révélée à avoir été préserver de toute corruption) en particulier et les autres voies de la religion unique révélée - voies qui ont subi des corruptions dans les Ecritures Révélées respective.
La Religion de DIEU - une en substance, multiples dans le monde des formes - ne peut être vaincu car DIEU est Vivant, Eternel et Omniprésent et Ses Serviteurs possèdent les cœurs les plus courageux et grand de l´Histoire.
A bon entendeur !
malcolmx-le-khidr.blogspot.com est un site crée dans le but de rétablir, humblement, la vérité sur l´Islam (dernière Voie de la Religion de l´Amour Révélée, depuis Adam jusqu´au Dernier Muhammad - paix et bénédictions de DIEU sur eux tous) ! Implicitement, le rétablissement de la Vérité concernant la Voie Mohammadienne, permettra le rétablissement de la Vérité concernant les différentes Voies, des différents Prophètes précédents. Car l´Essence de toutes les Voies est la même : L´Unicité de DIEU !
RépondreSupprimerhttps://www.dailymotion.com/video/x2917sa
RépondreSupprimerIL n'y a de dieux que Le Dieu, l'Unique et sans associés.
Supprimerexcellentes nouvelles , j espere que les israeliens creveront tous
RépondreSupprimerun bel article qui affirme bien les vérités évidentes bien loin du narratif véhiculé par les taupes pro sionistes en fRance, tel que Idriss Aberkane...
RépondreSupprimerEncore une fois la résistance se soumet à l'occupation en acceptant un échange de prisonnier avec un rapport de 1 pour 5.
RépondreSupprimerVous vous égarez c´est le contraire qui se passe dans les échanges. Revoyez vos chiffres !
SupprimerLa Resistance a réussi à échanger plus de 1000 prisonniers contre le soldat châlit il y a quelques années !
Oui c'est bien ce que je dis, la vie d'un Juif vaut + que la vie d'un goyim .
SupprimerUne question, pourquoi Marwan Barghouti n'est pas dans cette liste de détenu à libérer ?
Parce que les femmes et les enfants passe avant ! "La vie d´un juif vaut + que la vie d´un goyim" n´engage que ceux qui y croit ! La croyance étant un acte du cœur, elle a donc ses conséquences. Marwan Barghouti doit avoir honte des islamo-laïcs de l´autorité palestinienne !
SupprimerRappel : c´est le monde laïc qui a défié le monde religieux (la majorité du peuple à cette époque en Palestine) en créant un état laïc/nationaliste-religieux plus précisément la bible hébraïque !
Un passage d´un livre que je vous invite à lire :
"Le prêteur d´argent juif et le prêteur d´argent hindou
Le peuple israélite a trahi la Vérité dans une Torah corrompue lorsqu'il est devenu l'usurier du monde et a choisi d'utiliser Riba (usure) comme un instrument par lequel il pouvait chercher à régner sur les autres (y compris sur le Pakistan). Shakespeare les a exposés dans son Marchand de Venise. Lorsque les Banias hindous sont également devenus des prêteurs d´argent, ils ont marché comme des frères sur la même route d'oppression choisie par le prêteur juif.
Hindouisme, judaïsme et civilisation occidentale moderne
Enfin, nous devons nous tourner vers la relation étrange et mystérieuse de la civilisation occidentale moderne à la fois avec l'Inde hindoue et l'Israël juif, et nous nous empressons de noter qu'il s'agit d'une civilisation avec la même prétention jingoïste arrogante à l'exceptionnalisme : l'Occident représente la fin de l'histoire ! Toutes les civilisations précédentes, y compris l'islam, sont aujourd'hui obsolètes et moribondes, et appartiennent aux musées de l'histoire ! L'Occident est venu civiliser le monde !
C'est une caractéristique dominante de la pensée politique laïque occidentale moderne qui a émergé de la civilisation occidentale moderne de reléguer la religion à la vie personnelle située dans l'espace privé, et de lui refuser tout rôle significatif dans l'espace public en ce qui concerne, par exemple, la conduite de l´État.
Nous connaissons la déclaration selon laquelle la religion et la politique doivent être séparées l'une de l'autre ; et quiconque se tourne vers un Livre des Écritures pour des connaissances ou des conseils sur des questions relatives à la politique, à l'économie et aux questions relatives à l'État, est réputé avoir des références savantes douteuses.
Suite :
SupprimerChaque fois que la religion tente de s'immiscer dans l'espace politique séculier et de faire avancer un programme religieux tel que l'effort désespéré de l'Afghanistan pour la reconnaissance de la suprématie de la vérité sur l'État, tant dans la conduite nationale que dans les affaires internationales, elle est diabolisée en tant que fondamentalisme et menace à la paix et à la stabilité politique. Cette arrogance savante imprudente ne fait aucune distinction entre l'État du Khilafah de l'Islam et la vénération continue du Christianisme Orthodoxe pour le Saint État byzantin qui était autrefois situé à Constantinople. Les deux religions sont diabolisées.
Il est assez mystérieux, cependant, que lorsque le même programme religieux est avancé dans le judaïsme pour l'établissement d'un État juif, c'est-à-dire le Saint Israël, et dans la tentative actuelle de l'hindouisme d'imposer la suprématie de l'hindouisme sur l'Inde, l'érudition laïque occidentale est tombée mystérieusement dans le silence. Ce n'est pas non plus par accident que le succès de ce faux Jihad aurait ouvert la voie à la renaissance d'un empire néo-ottoman. Cet effort occidental a été soutenu avec enthousiasme par Israël, l'Arabie saoudite, le Qatar, la Jordanie et, bien sûr, la Turquie. Si cet effort avait réussi, l'Occident aurait également déterminé quel visage de l'Islam le monde aurait vu, et facilement accepté.
Sans l'intervention militaire russe chrétienne orthodoxe exceptionnellement courageuse et étonnamment réussie en Syrie et en Irak, le faux Jihad aurait réussi ; la Syrie serait devenue une autre Libye ; et les deux bases militaires russes en Syrie – une base aérienne située dans la province de Lattaquié, dans l'ouest de la Syrie, et une base navale à Tartous sur la côte méditerranéenne – auraient plutôt cédé la place aux bases militaires de l'OTAN.
La guerre de propagande psychologique occidentale a réussi à laver le cerveau de l'humanité pour étudier ce sujet aujourd'hui sur une toile peinte avec le terrorisme. L'islam c'est du terrorisme ! Les musulmans sont des terroristes ! L'Occident a ouvert la voie avec une attaque terroriste sous fausse bannière du 11 septembre contre l'Amérique (qui a été imputée aux musulmans), pour que les trompettes du terrorisme retentissent avec une égale férocité d'Israël et de l'Inde.
https://malcolmx-le-khidr.blogspot.com/2023/11/lislam-et-lhindouisme-akhir-al-zaman.html
Je rajouterais que la croyance : "qu´une vie vaut plus qu´une autre" donc mathématiquement plusieurs vies, finit par se retourner contre ceux qui y croit et profite aux humbles qui considère que toutes les vies humaines sont égales.
SupprimerVous pouvez dire ce que vous voulez et théoriser à souhait, moi je regarde les faits.
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