Des dirigeants israéliens se livrent à des abus rituels sataniques

La société israélienne est imprégnée de satanisme.

Plusieurs Israéliennes ont témoigné devant la Knesset des abus sexuels subis durant leur enfance lors de cérémonies rituelles religieuses. Elles ont affirmé que « des médecins, des éducateurs, des policiers et des membres anciens et actuels de la Knesset étaient impliqués dans ces abus ».

« Ceux qui tomberont sont des personnalités de très haut rang. Ces personnes dirigent des communautés et des agences gouvernementales. Elles nous menacent. J'ai des enfants que je dois protéger. » Il faut mettre en place une structure pour gérer cela.

Source : https://www.hopegirlblog.com/2025/06/17/survivors-claim-knesset-members-other-senior-figures-took-part-in-sadistic-sexual-rituals-involving-children/

Lors d'une séance spéciale conjointe de la Knesset mardi, ces femmes, principalement issues des communautés ultra-orthodoxe et sioniste religieuse, ont témoigné des années de maltraitance subies durant leur enfance lors de « rituels sexuels sadiques » pratiqués lors de cérémonies religieuses en Israël.

Elles ont affirmé que « des médecins, des éducateurs, des policiers et des membres anciens et actuels de la Knesset étaient impliqués dans ces abus ».

L'une des femmes a déclaré avoir déposé plainte auprès de la police concernant ces abus, mais que l'affaire avait été classée sans suite quelques mois plus tard…

Yael Ariel, l'une des survivantes de ces abus, a partagé : « J’ai subi des abus rituels pendant de nombreuses années jusqu’à la fin de mon adolescence et j’ai été forcée de faire du mal à d’autres enfants. J’ai choisi de parler et de faire entendre ma voix. J’ai reçu des menaces après avoir révélé mon histoire. De cinq à vingt ans, j’ai été agressée lors de ces cérémonies.»

Ariel a reçu le témoignage de plusieurs femmes affirmant que des médecins, des éducateurs, des policiers et des membres, anciens et actuels, de la Knesset étaient impliqués dans ces abus.

« J’ai déposé une plainte auprès de la police, qui a été classée sans suite au bout de quelques mois, et je connais d’autres affaires qui ont été classées sans suite. M’exprimer aujourd’hui à la Knesset est un moment historique », a-t-elle déclaré.

Une autre survivante, Yael Shitrit, a témoigné : « Vous n’avez aucune idée de ce qu’est un abus rituel. Le cerveau humain ne peut pas le comprendre. Vous n’imaginez pas ce que signifie programmer une fillette de trois ans par le viol et le sadisme pour qu’elle puisse faire ce qu’elle veut sans que personne ne le sache. »

Leur trafic s'est étendu à tout le pays. Ils m'ont déplacée de cérémonie en cérémonie. Des hommes nus se tenaient en cercle. Ma thérapeute, son mari et son fils m'ont fait du mal, et des dizaines d'autres filles et garçons m'ont fait du mal.

« Il y avait des cérémonies et des rituels destinés à me faire oublier », a poursuivi Shitrit. « La police est au courant depuis un an, mais elle n'a pas les outils pour y faire face. Ceux qui tomberont sont des personnalités très haut placées. Ces personnes dirigent des communautés et des agences gouvernementales. Elles nous menacent. J'ai des enfants que je dois protéger. Il faut mettre en place une structure pour gérer cela. »
« Ils ont essayé de nous faire ressembler à eux, à ceux qui nous ont causé une souffrance infinie », a déclaré Shitrit. « Votre rôle est de mettre fin à cela à Safed, Jérusalem, Jaljulya ou ailleurs », a-t-elle déclaré.

Dr Naama Goldberg, directrice de l'ONG Lo Omdot MeNegged (« Ne pas rester les bras croisés » en hébreu), qui vient en aide aux victimes de la prostitution, a expliqué que les représentations sont parfois si horribles qu'elles sont difficiles à croire, mais que cette incrédulité sert les agresseurs, qui convainquent les victimes de ne pas porter plainte en prétextant qu'elles ne seront pas crues.

« Il y a plusieurs années, j'ai reçu des descriptions d'abus sadiques sur des enfants », a déclaré Goldberg. « Les récits semblaient absurdes. [Mais] les témoignages continuaient d'affluer sans relâche. Ils décrivaient des viols collectifs commis par des hommes, et parfois par des femmes. Les abus étaient filmés et des drogues étaient utilisées. Il y avait des pratiques rituelles et symboliques. »

« J'ai présenté à la police les témoignages écrits de cinq femmes. À ce jour, personne ne m'a contactée. Depuis la publication du rapport, d'autres témoignages ont fait surface », a déclaré Goldberg.

Une représentante de la police israélienne, la surintendante Anat Yakir, a déclaré qu'une unité nationale examinait tous les dossiers et que les plaintes étaient « une priorité absolue au sein de la division du renseignement ».

Ces témoignages sont un tournant décisif.

Les députés présents à la réunion ont été visiblement bouleversés par certains témoignages, l'un d'eux qualifiant ce moment de « tournant décisif » et un autre de « titanesques ».

Tameno-Shete a déclaré : « La réalité nous montre que la police n'est pas suffisamment compétente pour traiter les infractions sexuelles. Personne ne veut parler de viols brutaux et de viols d'enfants. Il y a ici des cas d'une monstruosité inimaginable. »

Lazimi a ajouté : « J'ai eu du mal à respirer en entendant parler d'un réseau d'abus rituels contre les filles, d'un mécanisme organisé et dangereux, et de l'absence de mesures pour y mettre fin. Ici, nous allons discuter et tenter de dénoncer ce phénomène afin de provoquer un changement. »

Deux autres survivantes ont pris la parole lors de la réunion sous couvert d'anonymat.

L'une d'elles a témoigné qu'un cousin l'avait exploitée dès l'âge de 11 ans. À 14 ans, il m'a emmenée dans des clubs sadiques. J'ai subi la torture et la famine aux mains de personnalités connues et influentes. J'ai subi d'innombrables préjudices.

« Il y avait des événements publics, et des cérémonies internes où j'étais attachée à un haut poteau avec des menottes. Autour de moi, d'autres victimes menottées se livraient à des rituels de consommation de sang menstruel et d'abattage de chats et d'autres animaux. Ils m'ont dit que personne ne me croirait si je parlais.»

Elle a ajouté avoir déposé plainte à la police il y a cinq ans. « Le parquet a classé l'affaire faute de preuves, j'ai donc fait appel, et la plainte a été acceptée. Je suis venue témoigner pendant mon alitement pour cause de grossesse, mais l'affaire a été classée à nouveau faute de preuves.

« Ils ont dit que j'imaginais des choses. J'ai présenté un témoignage enregistré d'une personne qui a admis m'avoir fait du mal, mais elle n'a jamais été convoquée pour interrogatoire. » Considérez cela comme du terrorisme.

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Article connexe : Israël - « Au cœur des ténèbres » : Des enfants violés lors de cérémonies rituelles révèlent les horreurs

De nombreuses femmes témoignent d'abus organisés, notamment de cérémonies rituelles menées par des personnes qu'elles connaissaient, voire des membres de leur famille proche. Après des mois d'entretiens avec des victimes, leurs familles, des professionnels de santé et des experts en Israël et à l'étranger, un tableau inquiétant se dessine, avec des descriptions difficiles à déchiffrer.

https://www.theoccidentalobserver.net/2025/06/17/from-israel-hayom-ritual-rape-in-israel/

(Abrégé par henrymakow.com)

17 juin 2025

Source : https://henrymakow.com/2025/06/israeli-leaders-engage-in-sata.html

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Hannibal Genséric