samedi 20 septembre 2025

Pour le pape Léon et pour Trump, il n’y a pas de génocide à Gaza

Le fait que les deux hommes soient américains n’a rien à voir avec cette congruence. Leur positionnement sur le génocide, un déni, donc, s’analyse de deux façons différentes, mais seulement en apparence.


Trump est le président des États-Unis, Léon (XIV) le pape en exercice. Jusque-là, tout va bien. Ce qui les relie, c’est la responsabilité politique : d’une superpuissance d’un côté, de deux milliards de croyants de l’autre. On ne peut donc dire n’importe quoi. Mais il faut surtout savoir à qui on s’adresse, qui on représente vraiment, et qui nous tient par les, par les, par la barbichette.

Le pape, on l’a vu avec ses prédécesseurs, plus largement depuis Vatican 2, et pour les Français depuis 1905 avec la « défaite » de l’Église face à la Loge, s’agenouille de plus en plus devant les responsables de la communauté juive. Il est vrai que le Vatican, qui a des dettes comme n’importe quel pays (sauf la Russie), emprunte de l’argent à la haute banque juive depuis deux siècles (voir notre article sur les Rothschild).

Le pape précédent était un modèle du genre soumis, ou Zion-friendly, mais avec quelques sorties pro-palestiniennes, comme il se doit. Les mots ne mangent pas de pain. Les chrétiens ne doivent pas être en guerre contre les juifs, mais le pape a le droit de critiquer Israël. Ce que se gardent bien de faire Trump et Léon. Pourquoi ?

Parce que la majorité des congressistes et des sénateurs doivent une partie de leur élection et de leur position à l’AIPAC, qui achète des élus avec l’argent que l’Amérique refile à Israël chaque année, en plus des bombes et des avions. Trump ne peut donc pas dire qu’Israël est un pays génocidaire, même s’il laisse (habilement) Tucker et Candace balancer sur l’État hébreu et ses crimes de guerre.

On l’a vu ici, le cas Trump est complexe. Il faut comprendre ce qui l’anime avec son processus de déclaration et de décision, qui peuvent être deux choses très différentes (voir les frappes US en Syrie puis en Iran). Trump, pour schématiser, ne s’appartient pas totalement : il est constitué de 30 % de sionisme, de 30 % de populisme, et de 30 % de trumpisme.

C’est-à-dire qu’il doit à la communauté juive américaine, et par extension au pouvoir de Tel-Aviv ; il doit à sa base électorale, l’Amérique hors côtes, celle des travailleurs blancs, la classe moyenne et inférieure ; et là-dessus, il y a forcément sa nature de businessman et de dealer, de milliardaire fort en gueule. On mélange le tout, et on obtient un OVNI difficile à lire, surtout pour les médias français, qui sont globalement limités, mais qui a une logique propre.

Il est évident que l’Amérique de Trump rend possible la destruction de Gaza et de ses habitants, plus la déportation, la deuxième Nakba, en cours. Sans les bombes US, Israël ne tient pas une semaine. C’est bien l’Amérique de Trump qui tue des femmes et des enfants, et on pourrait ne voir à travers Israël qu’un proxy, comme l’Ukraine entre l’OTAN et la Russie. Sauf que netanyahou tient beaucoup d’élus américains par les, par les, par la barbichette, et que l’AIPAC a les moyens d’influer sur la politique intérieure.

Chez nous, que ce soit le CRIF ou plus récemment l’ELNET, le lobby ne se cache plus : de ce point de vue aussi, on s’américanise. On vient d’apprendre que 20 influenceurs juifs avaient mis la pression sur l’Elysée, pardon, à la demande du Président, pour faire remonter le cahier de doléances de ceux qui représentent à peine 1 % des Français. Ce 1 % fête son Noël à l’Elysée et réquisitionne les ministres de la république une fois par an, lors d’un dîner fastueux, ou chacun reçoit le menu. Le menu, c’est la feuille de route du CRIF, par la carpe farcie et le cholent.

Au fond, on ne saura jamais vraiment de sa bouche ce que Trump pense vraiment, mais on peut reconstituer sa pensée avec ses déclarations, ses décisions, et son entourage, sans oublier le Pentagone, la CIA et tout le tintouin. Un président ne s’appartient pas, il est (à) la confluence de forces parfois antagonistes, on le voit avec Israël et le génocide.

Pour l’instant, on peut dire que la force génocidaire aux USA est supérieure à la force anti-génocidaire. Et le rôle des Candace et autres Tucker ressemble à celui de la gauche anti-Netanyahou en Israël. Mais les masses sont en train de bouger, la jeunesse américaine s’est levée contre le génocide. D’abord celle de gauche, puis, on l’a vu avec Kirk, une partie de la jeunesse de droite, qui commence à piger de quoi l’Amérique souffre.

De son côté, le pape devrait se souvenir d’un de ses prédécesseurs, qui avait été accusé de ne pas nommer le génocide des juifs à l’époque. Il s’appelait Eugenio Pacelli, il avait été élu, pour son malheur, en 1939. Aujourd’hui, au tour de Léon de faire ses preuves. La question, dans sa tête, c’est combien de sionisme, combien de christianisme et combien de courage personnel.

On a trouvé ça dans Le Figaro du 19 septembre 2025 :

Sa vision géopolitique se trouve d’ailleurs calquée sur la tradition diplomatique du Saint-Siège. Il ne prendra aucune liberté en ce domaine, contrairement à son prédécesseur. Interrogé sur le drame de Gaza, il s’interdit d’utiliser le mot « génocide » : « Officiellement, le Saint-Siège ne pense pas que nous puissions faire une déclaration à ce sujet pour l’instant », même si, « selon certains experts, ce qui se passe à Gaza a les caractéristiques d’un génocide ».

De même vis-à-vis de son compatriote Donald Trump. Léon XIV, né à Chicago, considère qu’il est du rôle des évêques américains de traiter avec lui, notamment sur la question de l’immigration - il appuie à cet égard la lettre du pape François adressée aux évêques américains sur le traitement des migrants contre la politique de Trump - mais il se dit prêt à « soutenir » Donald Trump dans ses efforts pour « la promotion de la paix dans le monde ».

Par E&R        20 septembre 2025

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Israël menace la France si elle reconnaît l’État de Palestine

Le gouvernement de Benjamin Netanyahou a averti la France d’une «réponse forte» si elle venait à reconnaître l’État de Palestine lundi prochain.

Parmi les mesures envisagées :

La fermeture du Consulat français à Jérusalem

La prise de contrôle des domaines français a Jérusalem (comme le Tombeau des Rois, le Couvent du Pater Noster ou l’Église Sainte-Anne), administrés par la France depuis les accords ottomans du XVIe siècle pour protéger et accueillir les pèlerins chrétiens.

source : Infos Brutes

6 commentaires:

  1. La TRISTE vérité est que les GAZAOUIS veulent quitter cet ENFER. MAIS pour ALLER où ? GAZA est une NASSE ! l’Égypte ne VEUT PAS des Gazaouis, les autres RÉGIMES ARABES non plus!
    TOUT LE MONDE (même les Martiens) soutient les Gazaouis MAIS à la condition qu'ils crèvent tous à GAZA.....

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    1. La triste verite c'est qu'aucun palestinien ne veut quitter sa terre et ceux qui pensent le contraire devraient se rensegner a gaza et pas dans les merdias.

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  2. La fureur du Reich khazar des mensonges collectivistes occidentaux
    La Chine vient d'imposer son système de paiement à 54 États africains !
    Le système SWIFT est-il au bord de l'effondrement ?

    La Chine a déployé stratégiquement son système de paiement numérique à travers l'Afrique, pour 54 États africains, défiant ainsi la domination néocoloniale du Reich khazar des mensonges collectivistes occidentaux sur le système financier mondial.

    Plongez au cœur de la géopolitique mondiale avec des analyses approfondies des stratégies des nations libres, des tensions internationales et des dynamiques économiques qui façonnent notre époque.

    Les putschistes du Reich khazar des mensonges collectivistes occidentaux gémissent en vers. Gaza ou la Grande Palestine ne sont rien d'autre qu'un nuage de fumée blanche destiné à tromper l'opinion publique mondiale.

    Le réalisme des enjeux en Turquie, désormais cible des Khazars qui tentent de maintenir leur présence au Moyen-Orient par tous les moyens possibles, voire génocidaires, à condition que la Turquie ne devienne pas le garant stratégique des enjeux géopolitiques du Sud global, et que les partisans de l'unipolarité se trouvent dans une équation de déclin très avancée dans la compréhension de cet équilibre des pouvoirs entre les États Géostratégiques de l'équilibre mondial.

    Analyse des enjeux territoriaux et militaires.
    Il semble que la Turquie ait été choisie par le Sud global comme un allié plus fiable dans l'équilibre des pouvoirs qui bouleverse le monde actuel, notamment au Moyen-Orient.
    Le projet du foyer de terrorisme de la tumeur cancéreuse implantée au cœur du Moyen-Orient, n'apporte aucun bénéfice aux grandes civilisations du monde, ni même à lui-même.

    Il est temps pour elle de s'installer en Ukraine afin d'assurer l'équilibre du monde multipolaire, car les attentats terroristes du régime néonazi au Qatar, devenu un simple nain de jardin faisant office de terroristes au Moyen-Orient, ne sont plus d'actualité !

    Les États du Moyen-Orient viennent de tendre un piège au Reich khazar des collectivistes occidentaux avec cette attaque qui dit : « Vous ne garantissez plus la sécurité de nos plateformes pétrolières et gazières aux pétromonarchies du Golfe.
    Nous vous tournons le dos.
    Allions-nous aux pays du soleil levant.»
    Car la Turquie, qu'on le veuille ou non, offre au Sud global un monde beaucoup plus multipolaire, une voie possible contre les bellicistes, une sorte d'équilibre des forces plus stabilisateur pour une transition réussie vers la Route de la Soie !

    Du coup, la fureur du Reich Khazar des mensonges collectivistes occidentaux qui ne savent plus faire d'économie que par le biais des rentiers des veuves femmes sans mari, on ne peut plus leur faire confiance, ils ne savent que voler et trahir, voir génocidaires de leurs adversaires et leurs mondes impérialistes néocolonial des colonies ont depuis longtemps étés à leurs avantages sur la géopolitique du monde
    Maintenant ils s'effondrent pour de vrais à jamais

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  3. Presque personne, parmi ceux qui pourraient faire changer les choses – politiciens et journalistes – n'a la lucidité, ni même le courage, d'affirmer ouvertement : premièrement, que les institutions occidentales, à commencer par l'ONU, ont été créées à la fin de la Seconde Guerre mondiale par les sionistes ; deuxièmement, qu'Israël est un État illégitime fondé sur le terrorisme et la brutalité la plus démoniaque ; et troisièmement, que les Juifs occupent un territoire qui ne leur appartient plus depuis la condamnation à mort de JÉSUS-CHRIST et la destruction du Temple en 70 après J.-C. par les légions romaines de Titus. Ils doivent évidemment plier bagage et quitter la Palestine, comme l'affirme clairement le Juif Norman Finkelstein. Bien que non chrétien, il a parfaitement et honnêtement compris le problème de son peuple, sans pouvoir toutefois ajouter que la seule solution pour les Juifs est la reconnaissance de JÉSUS-CHRIST comme le véritable et unique Messie. https://www.youtube.com/live/vu58snUmDBY.

    Puisque le Sanhédrin ne reconnaîtra jamais cette vérité, une guerre mondiale éclatera presque certainement. En effet, les Juifs ont délibérément construit, surtout au cours des deux ou trois derniers siècles, un système financier gigantesque et puissant, capable de manipuler, de façonner et, à terme, d'emprisonner l'Occident tout entier, contraint aujourd'hui et pour des siècles à obéir aux diktats (plus ou moins cachés, plus ou moins directs, plus ou moins dissimulés) de la Synagogue de Satan.

    Cela explique pourquoi les dirigeants occidentaux, au service d'une politique contrôlée par les Juifs, prennent des décisions totalement absurdes, contraires aux intérêts, voire à la survie, de leurs pays.

    Pourquoi cela se produit-il ?

    Parce que ces décisions sont prises par des gens – les Juifs – qui se moquent des non-Juifs, qu'ils considèrent comme des animaux, au point de vouloir les décimer, d'une manière ou d'une autre, par des pandémies et des guerres.

    Le reste est constitué d'analyses, utiles même à ceux qui ignorent presque totalement ce qui se passe en géopolitique, mais qui ne mènent finalement à rien de concret, ou plus précisément et paradoxalement, à ce que tout le monde redoute le plus.

    Tout cela parce que l'Occident, par son acceptation (volontaire ou involontaire) de la corruption financière juive au cours des 250 à 300 dernières années, a été poussé à un tel degré d'aveuglement, notamment spirituel, qu'il est aujourd'hui incapable de voir clairement la réalité et donc d'en éviter les conséquences.

    Il convient de noter que ceux qui sont spirituellement aveugles, en tant que tels, ne se rendent même pas compte qu'ils le sont.

    Cela dit, nous devons nous préparer au pire, alors que malheureusement, une fois de plus, pour les raisons évoquées plus haut, presque personne ne le comprend.

    Ce qui devient de plus en plus probable est inimaginable, car la plupart des Occidentaux en particulier, prisonniers de leur aveuglement spirituel, courent un grave danger non seulement de mort temporelle, mais aussi, et surtout, de mort éternelle.

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  4. https://lemediaen442.fr/les-pieges-de-lalliance-souverainiste-pourquoi-lunion-dasselineau-dupont-aignan-et-philippot-risque-de-les-faire-tous-disparaitre/
    Bercov le sionard veut piéger les souverainistes!

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    1. OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIII avec leurs 6 % Additionnés.....Les deux 1érs sont des branleurs....PHILIPPOT est INTÉRESSANT mais sans PARTI AVEC ou DERRIÈRE LUI = 2%

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