dimanche 30 novembre 2025

Le bal des coïncidences

Les coïncidences sont tellement nombreuses dans tous ces cas de maltraitance par l’État envers ses citoyens, qu’il est impossible de croire à ses bonnes intentions. L’État profond martyrise l’État nation. L’État jacobin français devenu un club des élites mondialistes obéissant à Bruxelles est le seul obstacle à la gouvernance efficace du pays. 

Qu'est-ce qui ne va pas chez ces gens-là ?

E. Michael Jones et moi avons des idées. Et vous ?

Leur pays est la capitale mondiale du viol . Ils ne cessent de commettre des génocides, même après la signature d'un cessez-le-feu . Ils affament délibérément des civils innocents . Ils sont les champions mondiaux des violences racistes perpétrées dans le cadre de nettoyages ethniques . Ils torturent systématiquement des prisonniers à mort, prélèvent et font le trafic de leurs organes, et laissent leurs corps tellement mutilés qu'ils sont méconnaissables .

Youssef Hindi démolit Zemmour : « T’es pas un patriote français, t’es le lobby d’Israël »

En 80 secondes, Youssef Hindi traite Zemmour de menteur, de soutien de Sarkozy et de Netanyahou, et surtout de « porte-parole officiel d’Israël en France ». La vidéo qui met le feu à la droite.

Guerre secrète britannique contre la Russie : des actions en mer annoncent une guerre navale totale

L'Ukraine a revendiqué une attaque contre deux pétroliers appartenant, semble-t-il, à la flotte secrète russe en mer Noire, dans ce qui apparaît comme une tentative de sabotage des pourparlers de paix en cours. Le Royaume-Uni et l'Union européenne, qui considèrent tout accord de paix comme un échec, ainsi que le régime de Kiev, qui s'effondre lentement sous le poids d'un important scandale de corruption, semblent être les principaux bénéficiaires de cette tentative inconsidérée.

Ukraine. Le scandale anticorruption se transforme en coup d'État progressif.

Zelensky pourrait être le prochain sur la liste après la destitution récente de Yermak [1], à moins qu'il ne se plie aux exigences de paix de Trump. Dans ce cas, il n'est pas improbable qu'il soit lui aussi formellement impliqué dans ce scandale, en tant que catalyseur d'un changement de régime soutenu par les États-Unis et mené en collusion avec ses alliés nationaux.

Ukraine. La chute de Yermak ne marque pas la fin d’une époque, mais le début de l’effondrement de l’UE

La chute d’Andriy Yermak, l’homme de confiance, l’exécuteur, le gardien et l’allié indispensable de Zelensky, n’est pas un « scandale de corruption ». C’est Washington qui manifeste son mécontentement. Le NABU, chien d’attaque de la politique ukrainienne formé par les États-Unis, n’a pas fait une descente au bureau présidentiel par hasard. Il a fait cette descente pour rappeler à Zelensky que la guerre ne lui appartient pas, que le processus de paix ne lui appartient pas et que la laisse autour de la rue Bankova est tenue par Washington, et non par Kiev, et certainement pas par les chihuahuas européens.

samedi 29 novembre 2025

Colombie : raid choc de la police à Bogotá. 17 enfants libérés de la secte juive Lev Tahor accusée de maltraitance, mariages forcés et trafic d’êtres humains.

Dans la nuit du 27 au 28 novembre, les unités d’élite de la police colombienne ont pris d’assaut un hôtel discret du centre-ville, l’Hôtel Los Balcones. Objectif : mettre fin aux agissements d’un groupe religieux ultra-orthodoxe juif, Lev Tahor, accusé depuis des années de maltraitance, de mariages forcés et de traite d’enfants.

Glucksmann, un autre Macron à l’Élysée ? Ça n’est pas seulement possible, c’est prévu

 Ça alors ! Quelle surprise ! Je suis stupéfait !

« Raphaël Glucksmann est la personnalité politique qui bénéficie du traitement LE PLUS FAVORABLE dans les matinales de Radio France. (Institut Thomas More) ».

Le problème est que les raisons de la promotion de ce type se voient comme le nez au milieu de la figure. Il coche absolument toutes les cases [1]. Il est programmé pour réitérer la révolution de couleur de 2017, organisée par l’oligarchie et la haute fonction publique socialiste, qui nous a imposé par un coup d’État à finalisation judiciaire, un parfait inconnu à l’Élysée. Qui, depuis près de 10 ans, détruit méthodiquement notre pays, en lui infligeant un système néolibéral irréversible, et en l’intégrant à une Union Européenne transformée en État fédéral autoritaire sous-direction allemande.

Le coup d’État ayant parfaitement réussi en 2017, les mêmes forces sont au travail avec les mêmes appuis.

Kaja Kallas, de l'UE, est soit nulle en histoire, soit une menteuse invétérée, soit les deux

En tant que Haute Représentante de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et ancienne Première ministre d'Estonie, Kaja Kallas a été l'une des critiques les plus virulentes de la Russie en Europe. Ses déclarations présentent systématiquement la Russie – en particulier sous Vladimir Poutine – comme une « menace existentielle » pour la sécurité européenne, insistant sur les schémas historiques d'invasion, la nécessité d'investissements européens conséquents dans la défense et l'impératif d'affaiblir les capacités militaires russes afin de prévenir de futurs conflits. Elle établit souvent un lien avec la guerre en Ukraine, arguant que des concessions à Moscou engendreraient une instabilité plus large.

L’État profond français Tome II. Qui le finance et pourquoi ?

La grande enquête réalisée par Claude Janvier et François Lagarde, avec une introduction de Thierry Meyssan et une postface de Philippe Broquère. Paru chez « The Book Edition ».

Vous en rêviez et vous l’attendiez. L’étude approfondie des rouages de la haute fonction publique, de la haute sphère du privé et des financiers.

Les pays européens dont, bien évidemment, la France, sont prisonniers d’un paradigme dépassé de division et de soumission aux Anglo-Saxons, et ne veulent pas comprendre et admettre que le 21e siècle est en train de se jouer ailleurs, sans eux. L’Eurasie est en train d’écrire l’histoire tandis que l’Occident, et c’est vraiment dommage pour le peuple européen, griffonne dans les marges de son propre déclin.

L’État profond français n’a pas de visage officiel, mais il a des noms : Rothschild and Co, Henry Kravis, Bernard Arnault, Xavier Niel, Matthieu Pigasse… Ces puissances ne se contentent pas de financer, elles orientent, contrôlent et désignent qui doit régner. Le pouvoir visible n’est qu’un décor, car derrière le rideau, la haute finance gouverne, les médias obéissent, et les présidents exécutent un scénario déjà écrit.

Le génocidaire Mark Levin, exemple de la haine juive traditionnelle envers les non-Juifs

Extrait d'un monologue de Carlson introduisant une longue vidéo intitulée « Tucker Carlson sur l'effondrement du mouvement "Israel First" et l'avenir du mouvement America First ».
Lien vidéo

Version courte dont le message principal est que nous ne devons pas devenir comme Mark Levin :  https://tuckercarlson.com/live-show-november-12-highlights-2

Tucker reprend son discours habituel contre les identités collectives, en faveur de l'éthique chrétienne, et proclame qu'il n'est pas antisémite, mais simplement critique de l'influence d'Israël sur la politique américaine. Comme toujours, Tucker semble ignorer que des Juifs comme Mark Levin ne renonceront jamais à leur identité juive ni à leur attachement à Israël....

Mais le problème, c'est que Levin perd complètement le contrôle face à Tucker et révèle sa véritable nature génocidaire envers les Palestiniens. La haine intense dont fait preuve Levin est le véritable enjeu, et nous devrions tous prendre conscience de la fréquence de cette haine chez les Juifs. Ces mêmes personnes dirigent le gouvernement israélien et constituent l'épine dorsale du mouvement de colonisation en Cisjordanie. Elles dominent le lobby pro-israélien dans tout l'Occident.

Le fait est que chaque fois que des Juifs ont exercé un pouvoir sur des non-Juifs, nous avons constaté l'émegence de cette haine génocidaire.

vendredi 28 novembre 2025

Israël est la capitale mondiale du viol

La diffusion de la vidéo montrant des soldats israéliens et leur chien torturant et sodomisant un prisonnier/otage palestinien dans la prison du désert de Sde Teiman a exposé au monde entier ce que les Palestiniens ont connu et subi pendant les 78 dernières années aux mains de la soi-disant « armée la plus morale », mais gardé secret par honte du viol sexuel qu'il aurait engendré pour les prisonniers et leurs familles.

La diffusion de la vidéo a provoqué un tollé et des manifestations de masse en Israël. Ce n'est pas les atrocités commises qui ont choqué la population israélienne, mais le fait d'exposer au monde ces atrocités. La fuite a choqué la société israélienne plus encore que le crime odieux lui-même. Des manifestations massives de Juifs israéliens ont eu lieu devant la Cour suprême pour exprimer leur indignation face à la diffusion de la vidéo montrant des soldats israéliens et leur chien violant une prisonnière palestinienne. Ils exigeaient la protection du « droit de violer des Palestiniens » de ces soldats et la poursuite du général de division Yifat Tomer-Yerushalmi, responsable de la fuite.

Washington impérial : Ozymandias sur le Potomac

Alfred W. McCoy analyse le rôle de l'énergie au cours des cinq derniers siècles dans l'essor de la suprématie impériale et la politique actuelle du déclin américain face à la montée en puissance mondiale de la Chine grâce aux énergies vertes.  

Lors de la conférence au Kirghizistan, Poutine met un terme définitif à la mascarade du « règlement » en 28 points

Écrire sur cette mascarade de « règlement de paix » est aussi fastidieux que de la lire. Cependant, Poutine a enfin tranché sur la question lors d'une conférence de presse pendant son voyage au Kirghizistan, et il est important d'en prendre note car cela répond aux questions essentielles que beaucoup se posaient, notamment les plus bien intentionnés.

La confirmation la plus importante apportée par Poutine a été que la Russie n'a reçu aucun véritable « projet de traité », mais plutôt une liste informelle de points à discuter – c'est apparemment ce à quoi les responsables russes faisaient référence lorsqu'ils ont déclaré qu'aucun élément important n'avait été réellement présenté à la Russie :

jeudi 27 novembre 2025

Macron est-il l’instigateur de l’assassinat de l’ambassadeur pour le compte de ses marionnettistes, Rothschild/Israël, par son escadron de la mort (Fleur de Lys) ?

Il s'agit de l'affaire que j'ai décrite dans mon article précédent : l'assassinat de l'ambassadeur d'Afrique du Sud en France, Nkosinati Emmanuel Mthethwa, le 30 septembre 2025, qui aurait été assassiné sur ordre de Tel Aviv pour avoir porté plainte contre Israël, puissance occupante, devant la Cour pénale internationale.

Mais le nouveau développement est que, plutôt que des tueurs non identifiés travaillant pour le Mossad, il pourrait s'agir d'agents français travaillant pour Macron, bénéficiant de toutes les protections offertes par la police, les services de renseignement et le système judiciaire français – bref, par l'État français.

Moyen-Orient. Les mutations du pouvoir mondial & leurs incidences sur la région de la mer Rouge

Les rapports de force internationaux sont en train d’évoluer. L’une des zones où se manifeste cette dynamique est la région de la mer Rouge, comprenant l’Égypte, l’Érythrée, Djibouti, le Soudan, l’Arabie saoudite et le Yémen. C’est là que rivalisent les ambitions internationales, régionales et locales. Federico Donelli, qui a étudié ces dynamiques politiques et a récemment publié Power Competition in the Red Sea, analyse le rôle géopolitique de cette région.

Dis, Macron, mettre Moscovici à la Cour des comptes, c’est pas un peu antisémite ?

Le comptable socialiste va bientôt rendre son tablier, mais le mal est fait : à chaque fois qu’il ouvre le bec, c’est pour dire qu’on doit plein d’argent, qu’on vit trop bien, qu’on travaille pas assez, qu’on gagne trop, et qu’il faut travailler et payer davantage, sans pour autant être augmentés.

2025 sera-t-elle l'année où le mouvement MAGA s'est effondré ?

Et si le programme « L’Amérique d’abord » du président Donald Trump n’était qu’un écran de fumée lui permettant d’accéder au pouvoir, à la richesse, à la reconnaissance et à la célébrité ? Et s’il avait exploité les plateformes politiques conservatrices et leurs arguments à son avantage, sans jamais y croire véritablement ni être guidé par aucun principe ?

Le “sabotage” des chemins de fer polonais, quelle aubaine pour le projet militaire de Schengen !

La Commission européenne propose de faire de l’Union européenne un territoire entièrement ouvert aux mouvements de l’OTAN. L’idée est de créer un “Schengen militaire” analogue à la libre circulation des civils au sein de l’Union.

Cette idée controversée est fortement défendue par les dirigeants européens pro-OTAN. La guerre par procuration en Ukraine contre la Russie et l’escalade des tensions vers un conflit généralisé contribuent à la militarisation galopante de l’UE en tant qu’entité unique.

Cette semaine, alors qu’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, vante une zone Schengen militaire sur l’ensemble du territoire de l’UE, des sabotages suspects ont eu lieu sur le réseau ferroviaire polonais.

Pourquoi l'Europe n'a plus d'importance

S'il est indéniable que l'Europe a, au cours des 500 dernières années, posé les fondements de la civilisation occidentale et joué un rôle moteur dans la révolution industrielle et les progrès scientifiques, elle a également laissé un héritage colonial sanglant, source d'innombrables souffrances humaines à travers le monde. L'Europe, de concert avec les États-Unis, a dominé la scène financière mondiale pendant trois siècles. Mais son influence décline. Elle n'a plus sa place dans le nouvel ordre financier et politique qui se dessine dans les pays du Sud, où la Chine et la Russie jouent un rôle crucial dans l'émergence de ce nouveau monde.

mercredi 26 novembre 2025

Guerre contre le pétrole russe = suicide économique finlandais

Le durcissement des sanctions américaines contre les compagnies pétrolières russes ne touche pas seulement Moscou. Ces jours-ci, la Finlande se retrouve face à elle-même, contrainte d’assumer les effets secondaires d’un choix politique qui redessine la géographie économique du pays, en particulier dans les régions de l’est et du nord. L’affaire Teboil est devenue le symbole de ce boomerang économique.

Le commandant d’une brigade d’élite ukrainienne met en garde contre une situation critique et des pertes massives sur e front

L'ancien commandant de la brigade Azov ukrainienne, Maksim Zhorin, a lancé un avertissement concernant la situation critique des forces en première ligne. Il a déclaré que les pertes ne se limitent pas aux localités, comme l'ont largement affirmé les sources occidentales, mais concernent des « secteurs entiers » face à l'avancée rapide des unités de l'armée russe. La situation sur le terrain pour l'Ukraine « ne cesse de s'aggraver », a-t-il affirmé, ajoutant : « Dans certaines zones, faute de décisions urgentes, la situation devient critique. En fait, je ne me souviens pas d'une telle avancée ennemie depuis longtemps. » « Le problème n'est plus la perte de quelques localités, mais, de manière générale, le renforcement significatif de la position opérationnelle de l'ennemi dans des secteurs entiers », a ajouté Zhorin. Sa déclaration fait suite aux inquiétudes exprimées par de nombreuses forces occidentales et ukrainiennes quant à l'imminence d'une rupture du front, en grande partie due à une pénurie d'effectifs de plus en plus critique. 

Défaite occidentale en Ukraine : apprendre à avaler des boas

Que raconte la pantomime autour du soi-disant « plan de paix en 28 points » de Donald Trump ? L’espèce de ballet grotesque entre les États-Unis, la coalition des chihuahuas, et le gangster de Kiev. Autour d’un texte qui n’a même pas été discuté avec l’adversaire, et qu’il n’y a aucune chance de le voir accepté. Même s’il sera peut-être discuté poliment pour la forme. Aucun des impératifs qui l’ont amené à la voie militaire n’étant simplement sérieusement évoqué.
Finalement tout cela ne dit qu’une seule chose.
La défaite de l’Occident, de son outil militaire l’OTAN, et de son proxy ukrainien est CONSOMMÉE. Il faut donc en prendre acte, mettre fin à l’affrontement militaire, et organiser le monde d’après. Et ça, force est de constater que l’Occident ne sait pas comment s’y prendre.

Le projet de gazoduc « Force de Sibérie 2 » prend de l’ampleur – ancien ministre des Affaires étrangères mongol

Les progrès récents des négociations concernant la construction du gazoduc « Force de Sibérie 2 » ont fait la une des journaux du monde entier. Une fois mené à terme, ce projet acheminera du gaz de la région russe de Yamal vers la Chine via la Mongolie, concrétisant ainsi l'un des plus grands projets d'infrastructure jamais entrepris en Eurasie.

Ukraine. Un nouveau chasseur russe détruit des « Patriotes » quelques jours après leur livraison par l'Allemagne

Sur les  champs de bataille impitoyables du conflit ukrainien orchestré par l'OTAN , le régime de Kiev n'a toujours pas compris que tout complexe de supériorité, aussi illusoire soit-il, n'est qu'un ensemble de dangereuses illusions qui peuvent paraître « réelles », voire « limpides », « naturelles », etc. La plus dangereuse de ces illusions est sans doute le mépris quasi total de la puissance militaire de Moscou, dû au refus obstiné de la junte néonazie d'accepter les réalités du terrain, dont l'une porte un nom : le Su-30SM2. Dernière version modernisée par la Russie du légendaire Su-30SM, le « Flanker-H » (son nom de code OTAN) s'inscrit dans la longue lignée des Su-30, et constitue de loin le dérivé commercial le plus performant du Su-27.

Dialogue à Hiroshima. Par Emmanuel Todd

Le 18 octobre dernier j’ai été invité par monsieur Mitsuo Ochi, président de l’université, à donner une conférence à Hiroshima. J’avais dû annuler il y a juste un an une première invitation pour raison de santé mais il était important pour moi, compte tenu de l’ambiance guerrière qui nous envahit, de retourner à Hiroshima.

Suivent :

  • la présentation de la conférence par l’université,

  • le texte de ma conférence

  • enfin le résumé par l’université de la discussion que nous avons eue, monsieur Mitsuo Ochi et moi, après la conférence.

USA. Un décret présidentiel prévoit un plan de sauvetage pour les entreprises d'IA surendettées.

En décembre 2024, le président Donald Trump a nommé le capital-risqueur David O. Sacks « tsar de l'IA et des cryptomonnaies à la Maison Blanche ».

Sacks est chargé d'orienter les politiques de l'administration en matière d'intelligence artificielle et de cryptomonnaie.

Le chercheur en intelligence artificielle Gary Markus se demande quel est le lien entre deux tweets récents de Gary Sacks :

Une théorie du capitalisme soutient que chaque entreprise devrait être laissée à elle-même, l'intervention de l'État étant réduite au minimum. Ce point de vue a été clairement exposé il y a quelques semaines par David O. Sacks, responsable de l'IA et des cryptomonnaies à la Maison Blanche et podcasteur renommé.

Venezuela. Les troupes du SOUTHCOM ont eu droit à un dîner de steak et de homard ce soir - Vous savez ce que cela signifie

Les troupes américaines déployées dans la zone de responsabilité du SOUTHCOM ont droit à un dîner de steak et de homard ce soir. Quiconque a déjà servi dans l'armée sait ce que cela signifie : la guerre commence incessamment sous peu.

Pour lever tout doute, le SOUTHCOM vient également d'annuler les congés de Thanksgiving et de Noël pour toutes ses troupes.  

Russie – Automne 2025 – Point de situation militaire, économique et sociale

Pour tenter d’y voir plus clair sur la situation réelle de la Fédération de Russie dans sa guerre contre l’Occident et à rebours des propagandistes des deux camps, je vous propose un état des lieux sur les plans militaire, économique et sociétal. Ayant l’occasion de me déplacer fréquemment en Russie, et pas seulement dans la capitale, et pouvant échanger régulièrement avec de nombreux interlocuteurs engagés dans la vie politique ou économique, je peux vous offrir un aperçu réel de la situation telle que la vivent les Russes aujourd’hui, bien loin des fantasmes de certains prétendus experts.


Sur le plan militaire

Alors qu’en 2022 l’armée russe, forte d’environ 950.000 hommes dans toutes ses composantes (terre, air, mer) ne pouvait aligner au mieux que 300.000 hommes pour l’armée de terre, grâce à sa politique de recrutement et à sa mobilisation partielle, est en mesure aujourd’hui d’aligner sur l’ensemble du front entre 7 et 800.000 hommes ce qui représente un quintuplement des effectifs par rapport à la phase initiale de février 2022 où la Russie, pour prévenir l’assaut imminent des troupes de Kiev contre le Donbass, avait lancé une action préemptive avec moins de 150.000 hommes. A cette date, les effectifs estimés de l’armée de terre ukrainienne tournaient autour de 300.000 soldats, majoritairement positionnés dans l’est ukrainien. Après être montées à un niveau record de 900.000 hommes sur le terrain en 2023, les troupes de Kiev opérationnelles aujourd’hui doivent tourner autour de 500.000 au maximum, en notant que les 3/4 (trois quarts) au moins sont des unités de la territoriale et disposant d’une aptitude assez médiocre au combat. A cela s’ajoutent des difficultés extrêmes de recrutement où les auxiliaires de Zelensky peinent à rassembler – souvent par la violence – environ 20.000 hommes supplémentaires chaque mois, ce qui équivaut à peine à ses pertes réelles mensuelles sur le front.

Certaines sources donnent un ratio de pertes définitives (morts et disparus) entre les forces russes et ukrainiennes qui serait compris entre 1 à 3 et 1 à 5. Ce différentiel s’explique par plusieurs facteurs, d’une part la supériorité aérienne de l’armée russe qui utilise cet avantage pour éliminer les concentrations de troupes ennemies à l’aide de bombes glissantes de type FAB de 250 kg à 3 t. et qui sont particulièrement meurtrières, d’autre part par la domination des Russes dans le domaine de l’artillerie (canons, obusiers et missiles) qui là encore, confère un avantage indéniable à Moscou dans sa guerre contre l’OTAN et son supplétif ukrainien.

Dans le domaine de la guerre des drones en revanche, après une relative domination des Ukrainiens durant l’année 2023, nous observons aujourd’hui une relative parité entre les deux camps, certaines sources ukrainiennes faisant même état d’une supériorité russe, notamment avec les drones à fibre optique, sur certains secteurs du front. Pour mesurer à quel point l’arrivée des drones avait changé la nature de ce conflit, il faut se rappeler que 70 à 75% des pertes sont dues à ces engins volants contre 25 à 30% pour l’ensemble des autres armes employées sur le terrain. Il est à noter que l’armée russe vient d’officialiser cette semaine la création d’une nouvelle branche de ses forces armées avec les forces de systèmes sans pilote.

Outre l’irruption des drones dans cette guerre du 3ème millénaire, il faut bien comprendre aujourd’hui que la notion de « brouillard de guerre» a quasiment disparu et que les grandes concentrations de troupes avant une offensive « surprise» sont aujourd’hui absolument impossibles. Cela revient à peu près, pour les deux camps, à jouer au poker avec les cartes ouvertes car les données satellites conjuguées à l’observation en temps réel par les drones, pratiquement 24/24, de la ligne de front et de l’arrière opérationnel, permet une anticipation des mouvements qui, pour ce conflit-là tout du moins, empêche toute offensive d’envergure dans un sens ou dans l’autre. Je dis bien «pour ce conflit-là tout du moins», car il est évident que pour les stratèges de l’OTAN, comme pour ceux de la Fédération de Russie, la future guerre «en direct» aura vu préalablement une guerre dans l’espace où chacun des protagonistes aura tenté d’aveugler l’autre en détruisant ses satellites d’observation. Mais nous n’en sommes pas encore là.

Pour l’instant, nous en sommes encore dans cette guerre hybride où les deux adversaires jouent encore avec une main attachée dans le dos et se gardent bien, l’un comme l’autre, de montrer toutes leurs capacités et toutes leurs technologies dans l’attente de la bataille ultime.

Dans ce contexte, la Russie a montré depuis le début de l’Opération Militaire Spéciale, et contrairement aux espoirs d’effondrement économique ou militaire que claironnaient les Bruno Lemaire et autres Xavier Tytelman, que non seulement elle était capable de résister mais qu’elle était même en mesure de l’emporter. En effet, depuis l’échec patent de la contre-offensive de l’été 2023 qui s’est brisée sur la ligne Sourovikine, et surtout depuis l’opération ratée de Koursk en août 2024, où l’OTAN a brûlé ses dernières cartouches et ses meilleures brigades pour tenter de l’emporter, la stratégie des «1000 coupures» employée par l’armée russe montre son efficacité et les dernières forteresses du Donbass encore tenues par le régime de Kiev tombent les unes après les autres offrant ainsi un boulevard pour atteindre le Dniepr dans les prochains mois.

Et encore une fois, j’insiste bien, il ne s’agissait pas d’une guerre entre l’Ukraine et la Russie, mais du préambule de la guerre entre la Russie et l’OTAN, dans laquelle cette dernière a montré ses limites et au final, sera contrainte de reconnaître sa défaite. Tout l’art de la diplomatie russe sera de faire avaler cette couleuvre à l’Occident sans trop l’humilier, sachant bien évidemment que tant que ce dernier n’aura pas été vaincu, nous en serons quittes pour attendre la prochaine guerre qui enflammera alors toute l’Europe ou ce qui en restera.

Sur le plan économique

Malgré les 300 milliards d’actifs russes gelés en occident depuis mars 2022, l’économie russe a montré une capacité de résistance étonnante face aux sanctions de l’Occident (avec pourtant près de 27 000 sanctions appliquées contre la Russie depuis 2014). Plusieurs raisons à cela : Tout d’abord la Russie est un pays immensément riche et dont le PIB d’environ 2 400 milliards de $ (équivalant à celui de l’Espagne comme disent les crétins) ne représente absolument pas la réalité. En février 2022, la dette publique russe s’élevait à 278 milliards USD, soit 18% du ratio dette/PIB. A comparer avec les 3 400 milliards d’euros (115% du PIB en 2025) de dettes de la France et de ses Mozart de la finance que le monde entier nous envie. De plus, 80% de la dette russe était interne et donc libellée en roubles, réduisant sa vulnérabilité aux fluctuations des devises. Le système était conçu pour résister aux chocs, avec en outre la mise en place d’un fonds souverain estimé à 175 milliards USD en 2022.

En résumé, en février 2022, la dette russe était basse et bien gérée, avec l’accent mis sur la stabilité. La politique de sanctions occidentales qui a partiellement isolé la Russie financièrement, notamment à travers l’exclusion quasi complète du système Swift, a réussi à augmenter la dette à environ 290 milliards USD en fin 2024.

En fait la productivité russe (tous secteurs d’activité confondus) fonctionne peut-être à 50% de ses capacités maximales théoriques et son industrie est parfaitement autarcique dans le domaine de la production militaire, sauf peut-être pour certains composants électroniques où l’appui chinois, et de quelques autres pays, est le bienvenu. En pratique, contrairement à l’Occident qui pour des raisons purement mercantiles avait délibérément sabordé son complexe militaro-industriel dès les années 70 en délocalisant la production à outrance dans les pays à bas coûts salariaux, la Fédération de Russie, y compris sous Eltsine, avait malgré tout réussi – malgré le saccage et la spoliation – à préserver l’outil de production militaire soviétique, notamment dans les domaines-clé de la production d’obus, de missiles et de blindés, ce qui a fortement étonné les « stratèges » de plateaux télé européens convaincus de l’effondrement de l’économie de guerre russe dès les premiers mois du conflit.

Pour ceux qui restent accros aux chiffres du PIB, voilà les dernières données connues (sources russes et occidentales) pour la période 2022-2025:

  • 2022 : -2,1 % (récession due aux sanctions initiales et à la chute des exportations d’énergie).
  • 2023 : +3,6 % (rebond grâce à la réorientation vers l’Asie, la hausse des dépenses militaires et des prix du pétrole et à la création de la «flotte fantôme»).
  • 2024 : +4,1 % (croissance soutenue par l’industrie de défense et les investissements publics + montée en puissance de la « flotte fantôme » avec plus de 1000 tankers et super tankers sillonnant les océans du globe).
  • 2025 : +0,6 % (estimation du FMI pour l’année complète, avec un ralentissement observé : +1,4 % au T1 et +1,1 % au T2, dû à l’inflation, à la baisse du prix du pétrole, aux sanctions renforcées et à une croissance mondiale molle ; des projections comme celles du ministère russe de l’économie révisent à 1,0 %, tandis que la Banque centrale de Russie l’estime entre 0,5-1,5 %).

Pour un pays en quasi état de guerre avec l’OTAN depuis près de 4 ans, ce sont des chiffres plutôt satisfaisants dont peu de pays européens pourraient se vanter.

Concrètement les sanctions occidentales ont conduit la Russie à accélérer le processus de démondialisation et à augmenter son degré d’autonomie dans un nombre croissant de secteurs-clé comme l’agro-alimentaire, les machines-outils, la robotique, les alliages spéciaux et bien d’autres. Certes, le pays n’est pas encore en situation d’autarcie complète, mais il est probablement l’un de ceux qui en est le plus proche, disposant sur son territoire de toutes les matières premières nécessaires (dont les terres rares) à une économie post industrielle du XXIème siècle.

Sur le plan sociétal

Dans ce domaine, le contraste le plus frappant réside dans l’observation de la vie de tous les jours en Russie en dehors des zones de front. Que ce soit dans les grandes villes de l’ouest, dans l’Oural ou jusqu’en Sibérie et dans l’extrême-orient, il serait impossible pour un voyageur d’imaginer que ce pays est en guerre. Les magasins regorgent de marchandises, les services publics fonctionnent, la sécurité des habitants est assurée et nulle part on ne sent l’oppression d’un pays sous la contrainte.

Les familles sortent au restaurant, vont au cinéma, visitent les parcs ou les musées et tout se passe comme si le pays vivait normalement. Et c’est là que réside ce paradoxe le plus étonnant, chaque jour sur le front meurent des dizaines de soldats russes pour réinstaurer la paix sur les marches de l’Empire et faire reculer l’OTAN sur les frontières de 1994 et cette guerre doit passer comme si elle n’atteignait pas la société civile, parce que la guerre aujourd’hui n’est pas uniquement la conquête de territoires, c’est aussi et avant tout la conquête des esprits, surtout à l’heure où le numérique a envahi nos vies.

Vladimir Poutine et les stratèges du Kremlin ont parfaitement retenu les leçons de 1917 et ne veulent à aucun prix revivre les années sombres du siècle dernier. Ils savent pertinemment que la victoire sur le terrain peut parfaitement leur être volée par le travail de sape de la 5ème colonne et de leurs commanditaires occidentaux et c’est la raison pour laquelle ils veillent avec une attention toute particulière sur le moral de l’arrière et le bien-être de la population.

Cela posé, il serait ridicule d’affirmer que les sanctions n’ont pas d’impact sur la société russe. Les frappes de l’OTAN répétées contre les raffineries russes et les menaces de sanctions contre les pays qui continuent à acheter du pétrole et du gaz russes produisent des effets. Le tout conjugué avec le prix du pétrole (Brent) aux environs de 60$ le baril, a provoqué une hausse substantielle du coût de l’énergie pour les foyers en Russie mais sans aucune restriction réelle dans la distribution des carburants. Le pays « station-service » dispose de suffisamment de réserves pour faire face à ses besoins basiques sans avoir à piocher dans ses stocks stratégiques.

L’inflation élevée (entre 5,9 et 13,75% entre 2022 et 2025 selon les statistiques de ROSSTAT) avec une moyenne annuelle globale de 8 à 10% contribue également à un impact négatif sur le panier de la ménagère même si les banques russes rétribuent les comptes bancaires pour limiter la baisse du pouvoir d’achat. Pour contrer les risques inflationnistes et défendre le rouble, la Banque Centrale de Russie a dès 2022, mis en place une politique très agressive de taux d’intérêts dont le pic a été atteint en octobre 2024 avec un taux de 21% que nombre d’analystes russes ont qualifié de politique suicidaire pour l’économie russe. Depuis les taux sont redescendus en novembre 2025 à un seuil de 16,5%, clairement insuffisant selon l’économiste Serguey Glaziev pour relancer une dynamique productive en Fédération de Russie.

Maintenant, il y a également une donnée qui échappe complètement aux analystes occidentaux et qui est la formidable capacité d’adaptation du peuple russe à des conditions de vie difficiles. Habitués depuis des millénaires à vivre dans un environnement climatique particulièrement rude, les Russes ont développé une capacité de survie aux conditions extrêmes qu’aucun Européen n’atteindra jamais et qui leur permettra sans nul doute de résister à tous les paquets de sanctions que les Macron, Starmer, Merz et autres von der Leyen ne pourront jamais imaginer.

Contrairement à l’Europe qui se transforme sous nos yeux à vitesse grand V en une nouvelle URSS où les libertés s’effondrent les unes après les autres, la Fédération de Russie en 2025 reste un havre de liberté où la vie est douce et agréable pour qui sait en profiter. Aujourd’hui avec 1000€ vous obtiendrez 93.600 roubles dans une banque russe, de quoi passer une semaine agréable à Moscou ou à Saint-Petersbourg (hôtels, restaurants, musées…) et avec la même somme, vous pouvez vivre confortablement dans l’Oural ou dans le Caucase pour 2 ou 3 semaines. Dépêchez-vous d’en profiter, car au rythme où vont les choses, l’UE va nous rebâtir un rideau de fer dont il sera de plus en plus difficile de s’échapper.

Emmanuel Leroy

10 novembre 2025
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Le carnaval du « règlement » atteint son paroxysme pendant que les Européens, impatients, se disputent la pertinence

Les manœuvres autour de l'« accord de paix » continuent de virer au burlesque. Le jeu incessant des allers-retours entre les plans en « 28 points » et ceux en « 19 points », et toutes les options intermédiaires, frôle l'absurdité burlesque d'un sketch des Monty Python.

La Russie – hier, par les voix de Lavrov et Peskov – continue d'affirmer qu'aucun plan concret n'a encore été présenté à la partie russe et que tous les objectifs militaires de l'opération de maintien de la paix doivent être atteints. Quel est donc le but de ces échanges absurdes, qui frôlent l'hystérie ?

mardi 25 novembre 2025

Cubains, Vénézuéliens, Nicaraguayens et Colombiens : les "traîtres à la patrie".

Dans tous les pays du monde, à commencer par les États-Unis et l'Europe, les lois punissent sévèrement les « traîtres à la patrie », ceux qui appellent à l'invasion de leur pays par des puissances étrangères.

Le plus grand porte-avions étasunien se trouve dans les eaux des Caraïbes, accompagné de la dernière génération de navires et d’avions de combat, ainsi que de milliers de marines. Ils viennent, dit-on à Washington, pour arrêter le trafic de cocaïne et d’autres drogues qui, à vrai dire, ne sont pas produites dans la région. On profite aussi de l’opération, bien sûr, pour « sauver » les Vénézuéliens d’une « dictature narco ». Alors, quelques lâches traîtres à la patrie applaudissent et prient pour que cela se réalise...

L’écrivain uruguayen Eduardo Galeano disait : « Chaque fois que les États-Unis sauvent un peuple, ils le transforment en asile ou en cimetière. »

Il a oublié de dire que, dans presque tous les cas où Washington a imposé sa « civilisation » et sa « démocratie », il a compté sur le soutien et les applaudissements de « patriotes » lâches et vendus, qu’on peut aussi appeler traîtres, cinquième colonne, cipayes, pitiyanquis, renégats, collabos, mercenaires et tous les synonymes correspondants. Ou, si vous préférez, dans leur langue de prédilection : traitors to the country, sellouts, double-crossers. Ou encore : bâtards de Quisling et de Pétain, ces collabos norvégien et français, deux des grands traîtres à leurs peuples durant la Seconde Guerre mondiale.

Les tracteurs chinois tueurs d’esclaves

S’il vous est arrivé de passer devant un kiosque à journaux, si vous êtes abonnés à Libération, si vous écoutez la radio ou si vous avez la télé, vous savez, qu’en 2020, la Chine a employé 500 000 esclaves dans les champs de coton du Xinjiang (1).

L’unique preuve résidait dans la répétitivité de l’information.

Peut-être avez-vous vu, car l’information est plaisante, que les Chinois fabriquent des robots humanoïdes capables d’effectuer des sauts-périlleux.

Mais voici le scoop qui risque d’avoir échappé au marteau-pilon de la propagande des médias de notre pays : « Ils » fabriquent aussi des tracteurs-robots qui labourent, analysent les sols, sèment et récoltent.

L'administration Trump laisse l'Europe saboter son projet de plan de paix entre la Russie et l’Ukraine

Les négociations entre les États-Unis, l'Ukraine et l'Europe concernant le cadre proposé en 28 points auraient abouti à un accord sur 19 points, qui sera présenté prochainement aux Russes. Cependant, malgré le discours très positif tenu à Genève (où se sont déroulés les pourparlers), le contenu de cet accord supposé est en réalité un véritable fiasco .

lundi 24 novembre 2025

USA. Rien ne sera possible sans les catholiques

 Sylvain Durain a relayé cette vidéo où François-Xavier Consoli interroge E. Michael Jones en duplex sur des thèmes profondément, mais alors très profondément politiques. Des thèmes si intéressants (et mystérieux) que nous avons fermé les yeux sur la délicate traduction – orale et écrite – réalisée par IA.

Jamie Raskin, Joe Wilson et The Hill : Vous attaquez l'église orthodoxe d'Amérique pendant que Poutine vous botte les fesses

Jaime Raskin est le représentant démocrate du 8e district du Maryland. Joe Wilson est le représentant républicain néoconservateur du 2e district de Caroline du Sud. Raskin s'en prend à la Russie et à l'Église orthodoxe russe en s'appuyant sur le marxisme culturel judéo-américain. Wilson, quant à lui, s'est lancé dans une diatribe contre l'Église orthodoxe russe de l’étranger (ROCOR : Russian Orthodox Church Outside of Russia ; i.e : hors des frontières russes), accusant ses fidèles américains et ouest-européens d’être des espions et des subversifs contre les régimes du Nouvel Ordre Mondial, et contre l’objectif de ces régimes visant à détruire la Russie en tant qu'État souverain, afin de piller ses ressources naturelles et de maximiser les profits des marchands d'armes américains, grâce à l'expansion d'un État de surveillance de type Palantir, tant au niveau national qu'international.

La Russie ne commettra pas la même erreur qu'avec Minsk II.

Le processus de Minsk (Minsk I en septembre 2014 et Minsk II en février 2015) est né du désespoir : l'armée ukrainienne était exsangue après des défaites comme celle d'Ilovaïsk (août 2014, où des milliers de soldats ukrainiens furent tués ou capturés lors d'un encerclement) et les débuts de l'offensive de Debaltseve. Cette situation critique a incité Angela Merkel et François Hollande à intervenir d'urgence via le format Normandie , ce qui a abouti à Minsk II. Cet accord fut un échec. Le président russe Vladimir Poutine a été dupé par l'Occident… Il croyait sincèrement que l'Occident et l'Ukraine étaient déterminés à mettre fin à la guerre contre les populations du Donbass. Ce n'était pas le cas.

dimanche 23 novembre 2025

Le Venezuela en perspective… Un défi colossal comparé à l’Irak, tandis que l’offensive russe s’intensifie.

 Alors que les États-Unis continuent de renforcer leurs forces militaires au large des côtes vénézuéliennes, il est pertinent de s'interroger sur les risques liés à une véritable invasion terrestre américaine. Je pense que les stratèges militaires américains, indépendamment des déclarations de Donald Trump, ont mis en garde leurs supérieurs contre les risques extrêmes qu'entraînerait une telle opération. Lors de mon intervention aujourd'hui devant le juge Napolitano, j'ai suggéré de comparer les conséquences d'une éventuelle opération militaire au Venezuela avec notre intervention en Irak en 2003… Le Venezuela est un problème bien plus complexe à résoudre que ne l'était l'Irak.

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 Il n’y a pas pire poncif qu’un cliché, surtout s’il est antisémite, ou considéré comme tel. Mais quid d’un cliché revendiqué ou incarné tranquillement par les victimes du cliché elles-mêmes ? C’est là où l’on est aspiré dans un gouffre à mi-chemin entre la révélation divine et la mise en abîme, d’ailleurs même nous on s’y perd.

Gilles-William Goldnadel : « Je mens tous les jours. Il est important de mentir, de dissimuler, de cacher… Je n’ai pas d’états d’âme avec cela »

L'avocat sioniste Gilles-William Goldnadel nous plonge dans une réflexion sur le mensonge et ses nuances. Un regard sioniste sur la tromperie quotidienne.

La réponse cinglante d’un vrai militaire au CEMA Mandon

C’est Clairval qui devrait être à la place de Mandon, et Mandon à la corvée de chiottes, ou à la retraite. Les militaires du rang sont infiniment respectables. Leurs chefs, tout en haut, corrompus par le confort et le lècheculisme politique, la soumission à l’OTAN et la lumière des plateaux télé, sont des dangers publics.

Dans quelle mesure les BRICS sont-ils résilients face aux turbulences géopolitiques ? – 1re partie

Les BRICS constituent une force majeure dont les membres, partenaires et candidats sont actuellement confrontés à d'importants défis. Réflexions sur la résilience de cette alliance, fondées sur des faits et des analyses.

Trump entame une nouvelle phase d'escalade au Venezuela… mais s'agit-il d'une simple ruse ?

Enfouie sous le théâtre des derniers épisodes de la guerre en Ukraine, l'administration Trump a discrètement resserré l'étau autour du Venezuela.

Comme c'est souvent le cas pour le parti néoconservateur Uniparty, cela survient une semaine ou deux seulement après que la directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, se soit vantée de manière quelque peu surréaliste que cette administration annonçait la fin des opérations de « changement de régime » :

samedi 22 novembre 2025

Ukraine. « D'ici jeudi prochain, sinon… »

Article ici )

Frederik To Gaste - La vérité sur les meurtres rituels juifs

C’est pour répondre au désir d’une grande partie de la population que le présent opuscule entreprend, en toute concision, de tirer de l’obscurité les crimes les plus abominables ayant jamais été commis sur des êtres humains, crimes connus sous l’appellation de « meurtres rituels ».
Ce n’est pas une mince affaire, compte tenu de l’énorme documentation à compiler et à scruter, que de reconstituer le parcours sanglant des crimes juifs à travers les siècles jusqu’à nous afin de faire éclater la vérité au grand jour.

Déconnecté de la réalité, Zelensky signe des contrats d'armement fantaisistes

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky « perd progressivement le contact avec la réalité » et « la signature d'accords d'armement illusoires que l'Ukraine ne peut se permettre n'est pas une solution à la crise politique et militaire imminente », ce qui devient une source d'inquiétude en Occident, affirme l'historien et journaliste britannique Owen Matthews dans le Telegraph.

« Signer des contrats d'armement illusoires à travers l'Europe, que l'Ukraine ne peut se permettre, n'est en rien la solution à la crise politique et militaire qui menace le pays. Le comportement de Zelensky est un signe inquiétant pour tous ceux qui souhaitent le bien de l'Ukraine, car il témoigne d'un désespoir profond », a souligné Matthews.