de manière antidémocratique et antilibérale, et pour redistribuer les richesses au profit des riches.
« Une Europe géopolitiquement unie et politiquement affirmée, associée à une Russie puissante et tournée vers l’Occident, constituerait une rivale potentielle pour les États-Unis. La tâche américaine est donc d’empêcher une telle alliance et de maintenir l’Europe liée à l’Amérique atlantique. L’ancrage de l’Europe aux États-Unis par le biais de l’OTAN demeure la condition indispensable à l’équilibre des puissances mondiales. Une Europe véritablement indépendante réduirait l’Amérique à une simple puissance de l’hémisphère occidental. » (Extrait de « Le Grand Échiquier » de Zbigniew Brzezinski)
Dans l'ancien royaume des Deux-Siciles, à Naples, les canons du Maschio Angioino (sa grande forteresse) étaient principalement dirigés vers la ville plutôt que vers la mer, d'où pouvaient provenir les ennemis. Il s'agissait donc d'une répression intérieure (contrôler la ville et étouffer toute rébellion) plutôt que d'une défense contre les menaces extérieures.
Les élites actuelles souhaitent remodeler l'Europe sur les plans économique, politique et social, car elle serait devenue, selon elles, trop démocratique, riche, libre, individualiste, désunie, ouverte d'esprit et culturellement indépendante. Et aussi, de surcroît, décadente…
Jusqu'à organiser des manifestations de masse contre le génocide palestinien perpétré par Israël (euphémisme !), devinez quoi ! Quelle audace !
Sur le plan politique et matériel, l'Europe n'est plus et ne sera plus démocratique ; elle n'est plus en mesure de se défendre, notamment en raison de l'absence totale de représentation politique au sein de l'UE.
L'Europe n'est plus un continent, c'est une décharge abandonnée surveillée par ses propres démolisseurs.
Un continent enfin réuni après un XXe siècle de frontières et de murs.
Cela semblait annoncer l'aube d'un nouvel équilibre, mais ce fut en réalité le début du suicide géopolitique de l'Europe.
Derrière les toasts portés à Bruxelles se cachait un plan plus ancien : intégrer les États qui pensaient en termes russophobes, afin de lier définitivement le destin de l'Europe à celui des États-Unis.
Une intégration apparente qui, en réalité, a consolidé la subordination.
Les élites économiques européennes ont accepté ce compromis avec enthousiasme.
Ils avaient entrevu un avantage immédiat : la main-d’œuvre bon marché de l’Est, un cheval de Troie pour comprimer les salaires nationaux et freiner l’inflation.
Pendant quelques années, le mécanisme a semblé parfait.
Les entreprises produisaient, les statistiques étaient au beau fixe et Bruxelles chantait les louanges du « marché unique », tandis que les pays d’Europe du Nord humiliaient ceux du Sud, transformant la domination économique en domination morale.
De toute évidence, il ne s'agissait pas de progrès : c'était du dumping social déguisé en intégration.
Ce fut le début d'un processus qui a bouleversé les fondements matériels de la citoyenneté dans toute l'UE.
Finalement, le mécanisme a dysfonctionné.
La rupture avec la Russie, la fin des approvisionnements en matières premières bon marché et la hausse des coûts de l'énergie ont révélé une vérité : le capitalisme européen ne produit plus de véritable richesse.
L’Europe vit des loyers, des plus-values financières et des paris sur des produits dérivés qui ne durent que tant que le dollar se maintient.
Le capital productif s'est fondu dans la finance, et la politique en est devenue le masque.
Dans le ballet incessant des postes à responsabilité au sein des institutions européennes et des chancelleries d'État (voir Macron et Merz, entre autres), on voit défiler des personnes issues de BlackRock, des Rothschild, de Goldman Sachs et des cabinets d'avocats londoniens.
Dans le système contemporain, on observe une formation technocratique des élites.
Aujourd’hui, la formation des dirigeants politiques ne se fait plus principalement au sein des partis de masse ou par le biais de l’activisme local, mais dans des cercles privés et supranationaux très sélectifs.
Le programme des jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial est l'exemple le plus visible et le mieux documenté de ce système.
Fondé en 2004 par Klaus Schwab grâce à un financement d'un million de dollars provenant du prix Dan David, le programme a créé « une communauté multipartite de plus de 1.400 membres issus de plus de 120 pays ».
Les critères de sélection sont rigoureux : candidats de moins de 38 ans, nommés par les anciens élèves et « susceptibles de recours au cours du processus de sélection ». L’objectif affiché est d’« informer et d’influencer » les décisions dans les secteurs clés de la société.
La liste des anciens élèves est impressionnante par la concentration de pouvoir politique qu'elle représente.
Parmi ses membres figurent des chefs d'État et de gouvernement actuels et récents : Emmanuel Macron (France), Justin Trudeau (Canada), Sanna Marin (Finlandaise), Alexander Stubb (Finlande), Mark Rutte (Pays-Bas), Kyriakos Mitsotakis (Grèce), et même des rois comme Frédéric X du Danemark.
À cela s'ajoutent des personnalités clés de l'administration américaine comme Pete Buttigieg, et des ministres de nombreux pays.
L'étendue de ce réseau devient encore plus évidente lorsqu'on considère les postes occupés par ses anciens élèves dans des institutions supranationales et de grandes entreprises technologiques : Mark Zuckerberg (Facebook), les fondateurs de Cloudflare, des cadres chez Moderna, et d'innombrables postes dans des banques centrales et des organisations internationales.
Ce modèle n'est pas propre au WEF.
D'autres institutions fonctionnent sur le même modèle : la Commission trilatérale, fondée avec le soutien de David Rockefeller, réunit des élites d'Amérique du Nord, d'Europe et d'Asie-Pacifique, dont les membres ont occupé des « postes clés au sein des administrations américaines et des gouvernements d'autres pays membres ».
Le Council on Foreign Relations est décrit comme « l'organisation américaine extérieure au gouvernement qui a eu la plus grande influence sur la politique étrangère de Washington », nombre de ses membres les plus éminents devenant « secrétaires d'État, conseillers de la Maison Blanche ou conseillers personnels du président ».
Voilà pourquoi les élites européennes d'aujourd'hui ne fuient pas la guerre : elles la recherchent et la poursuivent.
On pourrait dire : c'est de la folie. Non, c'est l'instinct de survie.
Le réarmement et la culture de la guerre servent à lier les États-Unis au continent, à empêcher tout désengagement convenu avec Moscou qui scellerait la marginalisation définitive de l'Europe.
C'est le dernier élément qui maintient un bâtiment en place, lequel s'effondrerait sinon dans un fracas.
Ainsi, l'Europe, qui était censée être un projet de civilisation, est devenue une mine à ciel ouvert.
Ses classes moyennes, son épargne, ses connaissances, sa main-d'œuvre, voire son patrimoine culturel, sont considérés comme des gisements à exploiter tant qu'il y a quelque chose à extraire.
Les élites pro-européennes traitent le peuple comme des mines à vider rapidement : la valeur accumulée au fil des générations ne durera qu'une seule génération.
Représentation ? Zéro.
Leur rôle est de manipuler et d'écraser toute dissidence.
Il suffit de voir le nombre de mesures liberticides et d'attaques contre les forces politiques gênantes pour le système qu'ils mettent en place.
De nos jours, ce sont principalement les clients du système qui votent.
L'important est de rester au point de la chaîne alimentaire où parvient encore un fragment de richesse.
Ils prétendent être nés de la chute du mur de Berlin, mais aujourd'hui ils se protègent avec le mur de Kiev.
Après eux, les décombres.
Post-scriptum :
Par Claudio Resta
Source 13 novembre 2025
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COMMENTAIRE
«
« Une Europe géopolitiquement unie et politiquement affirmée, associée à
une Russie puissante et tournée vers l’Occident, constituerait une
rivale potentielle pour les États-Unis »
Rien de plus vrai !
Cependant,
il ne faut pas perdre de vue que la Russie a, de tout temps, été
rejetée par les européens pour qui elle (la Russie) ne faisait pas
partie du club à consonance « blancos », les européens la considéraient
comme un pays de l'Est.
De surcroît, les comparer avec la Turquie et la Perse était chose normale.
« Les manières sont si proches de celles des Turcs… »
Siegmund
von Herberstein, écrivain, historien, diplomate, membre du Conseil
impérial du Saint-Empire romain germanique et spécialiste de la Russie.
Il notait que les vêtements russes sont très similaires à ceux des Tatars et des Turcs.
« Et jusqu'à aujourd'hui, ils ont peu de caractéristiques européennes, et les caractéristiques asiatiques prédominent »
Jacob
Reitenfels, diplomate auteur d'un livre sur la Russie. Ambassadeur, il a
écrit sur le faste oriental des célébrations, sur les méthodes de
gouvernement asiatiques et le mode de vie … si différent de notre
système européen.
Bien avant, Giles Fletcher, ambassadeur de la
reine Elizabeth, s'étant rendu en Russie, fit une description détaillée
de la Russie. Description considérée comme encyclopédique en Europe et,
par extension, en Occident dont, pour faire bref, je vous livre extrait
de sa conclusion :
« Leur forme de gouvernement est très
similaire à celle des Turcs qu'ils tentent apparemment d'imiter, selon
la position de leur pays et dans la mesure de leurs capacités en matière
politique ».
Côté russe, certaines personnalités n'étaient pas dupes :
« Les comparaisons avec les sultans turcs sont même devenues monnaie
courante pour les écrivains étrangers lorsqu'ils caractérisent le
souverain de Moscou ».
V. O. Klyuchevsky, historiens russe de la fin de la période impérial.
Mais Pierre le grand devenu empereur travailla à arrimer la Russie à l'Europe qui se lançait à l'assaut de la modernité.
On
comprend mieux pourquoi la russie a subi les invasions de Charles XII
(de Suède), de Napoléon, du Kaiser, d'Hitler, pour les plus connues, et
diverses agressions anglo-saxonnes, sans parler des multiples croisades
anti orthodoxes et anti slaves (les croisades n'ayant pas visé que les
musulmans … loin de là, comme dirait l'autre)
« L'Europe n'est plus un continent, … »
L'Europe
n'a jamais été un continent, il suffit de regarder une carte pour s'en
convaincre, nul besoin d'être un expert en ceci ou cela.
Ce qu'on
appelle « Europe » est la partie ouest du continent asiatique, encore
une fois, il suffit de regarder une carte pour s'en convaincre. Ça crève
les yeux !
L'Europe comme continent est une construction
racialo-religieuse¹ imposé au monde par le métarécit occidental qui est,
il faut le reconnaître, d'une telle efficacité que personne ne remet en
cause l'inexistence d'une Europe-continent.
⇺ une construction
racialo-religieuse¹ : Blancs d'un côté, bruns et jaunes (quoique tout
aussi blancs pour nombre d'entre eux) de l'autre.
Serait-il qu'on ne mélange pas la "crème de l'humanité" et le reste ?
Notez que la séparation du continent asiatique qui ferait de l'Europe un continent, nous a-t-on inculqué, est … le Bosphore 🤔
Suite en Page 2Répondre

Cela ne fait que démontrer l'arrogance narcissique et l'ignorance sectaire habituelles qui règne en Occident.
Dans la vie ordinaire, qui voudrait d'un tel ami ?
Je
pense, peut-être me trompé-je, mais l'Europe et particulièrement la
France ont tout à perdre, à long terme voir à moyen terme, à persister
sur cette voie.
Imaginez l'Afrique blanche se séparer de
l'Afrique noire et imposer l'idée d'un "continent magrébin", par
exemple; la majorité humaine crierait au scandale et penserait : « pour
qui se prennent-ils ! » … et elle aurait raison.
Pour le reste, ce sera pour une autre fois … peut-être.
Ceci dit,
« Il n'y a pas plus libre que celui qui comprend comment il est opprimé »
Adage chinois
Homo Sapiens
Le Q posé sur 1500 ogives nucléaires IL EST DE FAIT IMPOSSIBLE de VAINCRE la RUSSIE....(Vivent Staline+URSS). SAUF effondrement interne comme avec l'URSS.....Par contre il est possible de l'affaiblir sérieusement et durablement.....et lui faire prendre ,beaucoup de retard....aussi bien technique qu'industriel. HEUREUSEMENT que dans les cas présent la CHINE fournit beaucoup de CHOSES.....
RépondreSupprimerL'exposé de Claudio Resta est un résumé fidèle des agissements de la Caste. Rien à redire. En ce qui concerne la censure, elle est à double tranchant. Le meilleur reste le support papier qui ne nécessite aucune énergie autre que l'énergie humaine. Tous les avantages sont de son côté. Le progrès et l'honnêteté de ces dirigeants mal intentionnés nous ramènera aux libelles, pamphlets, affiches collées nuitamment, aux emprisonnements, aux oubliettes... Race de cafards!
RépondreSupprimerPILER l' EUROPE ??Qu'y a t'il à piler encore en Europe?? RIEN!
RépondreSupprimerIl y a dans le MONDE, CINQ états qui ont des ressources naturelles diverses,variées en quantité ASTRONOMIQUE . AUSTRALIE.....RDC......BRÉSIL et CANADA.... dans le désordre :
Le CINQUIÈME est HORS CONCOURS = RUSSIE !
** ""Voilà pourquoi votre fille est sourde....""
Piller l'Europe, et la France.6400 milliards d'épargne ça en fait saliver plus d'un.Faut bien payer les retraites des citoyens US
SupprimerSVP, cessez l'usage inapproprié des MAJUSCULES ! C'est un manque de respect pour vous-mêmes et particulièrement désagréable à la lecture, donc à la compréhension. Se qui se conçoit bien s'énonce clairement.
SupprimerLe guide complet de l'usage des majuscules en français.
https://www.lalanguefrancaise.com/articles/guide-complet-usage-majuscules-francais
Page 1/2
RépondreSupprimer« « Une Europe géopolitiquement unie et politiquement affirmée, associée à une Russie puissante et tournée vers l’Occident, constituerait une rivale potentielle pour les États-Unis »
Rien de plus vrai !
Cependant, il ne faut pas perdre de vue que la Russie a, de tout temps, été rejetée par les européens pour qui elle (la Russie) ne faisait pas partie du club à consonance « blancos », les européens la considéraient comme un pays de l'Est.
De surcroît, les comparer avec la Turquie et la Perse était chose normale.
« Les manières sont si proches de celles des Turcs… »
Siegmund von Herberstein, écrivain, historien, diplomate, membre du Conseil impérial du Saint-Empire romain germanique et spécialiste de la Russie.
Il notait que les vêtements russes sont très similaires à ceux des Tatars et des Turcs.
« Et jusqu'à aujourd'hui, ils ont peu de caractéristiques européennes, et les caractéristiques asiatiques prédominent »
Jacob Reitenfels, diplomate auteur d'un livre sur la Russie. Ambassadeur, il a écrit sur le faste oriental des célébrations, sur les méthodes de gouvernement asiatiques et le mode de vie … si différent de notre système européen.
Bien avant, Giles Fletcher, ambassadeur de la reine Elizabeth, s'étant rendu en Russie, fit une description détaillée de la Russie. Description considérée comme encyclopédique en Europe et, par extension, en Occident dont, pour faire bref, je vous livre extrait de sa conclusion :
« Leur forme de gouvernement est très similaire à celle des Turcs qu'ils tentent apparemment d'imiter, selon la position de leur pays et dans la mesure de leurs capacités en matière politique ».
Côté russe, certaines personnalités n'étaient pas dupes :
« Les comparaisons avec les sultans turcs sont même devenues monnaie courante pour les écrivains étrangers lorsqu'ils caractérisent le souverain de Moscou ».
V. O. Klyuchevsky, historiens russe de la fin de la période impérial.
Mais Pierre le grand devenu empereur travailla à arrimer la Russie à l'Europe qui se lançait à l'assaut de la modernité.
On comprend mieux pourquoi la russie a subi les invasions de Charles XII (de Suède), de Napoléon, du Kaiser, d'Hitler, pour les plus connues, et diverses agressions anglo-saxonnes, sans parler des multiples croisades anti orthodoxes et anti slaves (les croisades n'ayant pas visé que les musulmans … loin de là, comme dirait l'autre)
« L'Europe n'est plus un continent, … »
L'Europe n'a jamais été un continent, il suffit de regarder une carte pour s'en convaincre, nul besoin d'être un expert en ceci ou cela.
Ce qu'on appelle « Europe » est la partie ouest du continent asiatique, encore une fois, il suffit de regarder une carte pour s'en convaincre. Ça crève les yeux !
L'Europe comme continent est une construction racialo-religieuse¹ imposé au monde par le métarécit occidental qui est, il faut le reconnaître, d'une telle efficacité que personne ne remet en cause l'inexistence d'une Europe-continent.
⇺ une construction racialo-religieuse¹ : Blancs d'un côté, bruns et jaunes (quoique tout aussi blancs pour nombre d'entre eux) de l'autre.
Serait-il qu'on ne mélange pas la "crème de l'humanité" et le reste ?
Notez que la séparation du continent asiatique qui ferait de l'Europe un continent, nous a-t-on inculqué, est … le Bosphore 🤔
Suite en Page 2
Page 2/2
RépondreSupprimerCela ne fait que démontrer l'arrogance narcissique et l'ignorance sectaire habituelles qui règne en Occident.
Dans la vie ordinaire, qui voudrait d'un tel ami ?
Je pense, peut-être me trompé-je, mais l'Europe et particulièrement la France ont tout à perdre, à long terme voir à moyen terme, à persister sur cette voie.
Imaginez l'Afrique blanche se séparer de l'Afrique noire et imposer l'idée d'un "continent magrébin", par exemple; la majorité humaine crierait au scandale et penserait : « pour qui se prennent-ils ! » … et elle aurait raison.
Pour le reste, ce sera pour une autre fois … peut-être.
Ceci dit,
« Il n'y a pas plus libre que celui qui comprend comment il est opprimé »
Adage chinois
Homo Sapiens
Merci pour votre articles. M. Resta, je vous encourage à continuer votre travail.
RépondreSupprimerLes élites occidentales, vaincues par leurs propres incarnations du nazisme mondiales, dévoilent leur nazisme à corps nu !
RépondreSupprimerDerrière l'opération spéciale du 24 février 2014, visant à dénazifier et à désarmer la source de ce fléau de la tumeur cancéreuse des espèces des serpents venimeux, ils s'inquiètent pour leur avenir, leur survie et leur exploitation des ressources brutes de leurs royaumes de la treizième tribu khazar de néonazis ukrainiens.
Sans vergogne, avec peur et humiliation, elles ont décidé de camoufler la guerre des Six Jours (répétée) sous l'opération du 7 octobre 2023 « organisée par des colons néonazis et les Barabbas endocoloniaux hamassistes depuis les balcons polonais de l'anarchie pétro-khazar aux peaux noires et masques blancs du chaos pétroliers khazars sous-traitants et adeptes directs, animés par le même zèle messianique que celui du Psaume 27, Isaïe Khazar, s'en prenant derrière le dos aux peuples palestiniens sémitiques et apparaissent aux yeux du monde entier comme des cannibales assoiffés du sang des innocents !
Bonjour la ponctuation …
SupprimerTANT de BARATIN pour finir par oublier l'essentiel: LA DISTANCE.......facteur VALABLE même en 2025 avec des avions à 900 kms/h: LONDRES/VLADIVOSTOK c' LONG....... PRESK DEUX FOIS la distance LONDRES/NY......
RépondreSupprimerCONTRAIREMENT aux puissances d'Europe de l'Ouest qui bataillaient pour des broutilles dans leurs "jardins" et autres arrières cours....La RUSSIE(des tsars) menait des BATAILLES continentales vers le SUD et l' EST......CES/SES champs d'actions se déroulaient sur des superficies CINQ FOIS supérieures à celles de TOUS les état Européens d' HIER et même d'aujourd'hui.....Donc on change d'échelle de temps et de vision....( AUSSI les avis et opinions de X..Y...Z....qui ne sont que conjoncturels, c' du pipi de chat.....CAR la GÉOGRAPHIE COMMANDE... les "analyses" viennent ensuite comme une sorte d'enduit....) De plus...Jusqu'à l'arrivée des communistes et du travail COLOSSAL effectué PARTOUT en URSS.....Les FABULEUSES RESSOURCES de cette Russie n'était ni exploitables ni accessibles!
INCOMPREHENSIBLE car illisible : Trop de majuscules.
SupprimerC'est n'est pas celui qui hurle le plus fort qui a raison.
Plutôt que des affirmations péremptoires, proposez-nous des sources historiques, chronologiques, sourcées, vérifiables. Sortez du café du commerce ; participez, de préférence, à l'élévation du débat ou des idées. Merci.
Enfin un article clair et véridique
RépondreSupprimerLe pouvoir s'accompagne toujours de cette forme d'oligarchie et d'ethno entrisme que vous appelez arrogance...
RépondreSupprimerVoyez vous un autre système politique qui combine tout ces "magnifiques idéaux"...?
Et qui ne seront évidemment jamais appliqués par nos "Russo Asiatiques" si demain vos "gens de l'Est" venaient à renversaient l'échiquier...
D'ailleurs les plus avisés auront compris que nos conspirateurs locaux en ont assez de ce système européen qu'ils ont contribué à créér pour prendre le pouvoir, et que désormais le rideau doit tomber...et surprise surprise ...leur vision est concordante avec nos "durs de l'Est"...
Quand à nos naïfs idéalistes de l'Ouest convertis jadis au christianisme et issus du système Greco Romain... Eh bien ils doivent être sacrifiés sur l'hôtel du réalisme politique...
Enfin ce n'est pas totalement exact, le plan est plus subtil car possédant une dynamique messianique, et leur cheval de Troie à toujours été là manipulation de l'idéal...
Mais ce n'est pas le propos ici... L'eschatologie n'est pas une donnée politique propre à être analysée...
Je vais vous dire une chose qui fâche, et Ibn khaldoun l'avait bien compris, l'arrogance occidentale vient de son modèle politico social et moral, qui en soit au départ n'était pas mauvais mais qui s'est retrouvé perverti, il a offert une certaine forme de justice sociale d'egalitarisme et de sécurité pour les individus lambda...
Mais évidemment on ne joue pas éternellement les hypocrites en privilégiant la forme pour avoir dans le fond une malveillance économique et humaine persistante, et désormais elle commence à s'exprimer clairement avec un futur sombre et dysotopique qui nous sera préparé...
Ibn khaldoun avait donc raison, ce sont donc deux facteurs qui font le "succès irrépressible" d'une civilisation, l'esprit de corps de sa population, et son organisation ou modèle social/politique/ religieux cohérent...
A cela je rajouterai un chef charismatique pour l'incarner...
Le seul système qui aurait eu une trajectoire qui pourrait ressembler à l'utopie décrite et tant désirée par nos Russo bolcheviques c'est l'expansion islamique et son essor sur la civilisation mondiale...
Mais la encore observez bien les limites atteintes par les sujets humains...
Cet essor inédit s'est essoufflé lorsque l'esprit de corps et de conquête (aussi bien militaire qu'ideologique) s'est transformé en des luttes intestines incessantes de pouvoir à mesure que l'empire s'étendait et devenait plus difficilement contrôlable...
Et du fait aussi de sa nature multiculturelle, quoique la religion ait réussi assez brillamment à les "fondre" pour transcender en partie ces particularismes...
Il reste que "l'arabisme", parceque substrat culturel historique de l'islamisme, était une condition sine qua non pour s'emparer du pouvoir légitimement et le gouverner tout aussi "légitimement..."
Et la religion elle même ne clarifie pas de façon définitive ce point, laissant la porte ouverte à des interprétations partisanes et favorable évidemment a l'arabisme pour qu'il légitime son pouvoir...
finalement des arabes s'allier à des occidentaux contre des turcs pourtant leurs coreligionnaire...
L'ennemi de mon ennemi... Bref vous avez compris
Donc la réalité crue est que l'application d'un système ne sera jamais idéale ou parfaite car appliqué par des hommes qui eux ne le sont pas, et que forcément, à défaut d'un prophète infaillible qui les dirigerait, le troupeau sera fatalement condamné à la dissension et à la guerre...
C'est ce que l'on nomme cycles par les compilateurs...
Essor apogée déclin et disparition...
La situation actuelle est un peu le résultat d'une petite équipe de fou irrationnels et profondément matérialistes, se faisant passer pour des héritiers (en réalité usurpateurs) d'une spiritualité devenue morte et transformée en ésotérisme et dont les espoirs démesurés conduiront fatalement à une catastrophe annoncée...