C’est une vidéo très importante
et elle devrait être partagée par tous les chercheurs de vérité dans le
monde. J’ai envoyé la vidéo à quelqu’un de ma famille et ça a secoué son
petit monde. Il a commencé à se réveiller pour la première fois depuis
le 11 septembre! C’était quelqu’un de très lobotomisé par les fausses
infos car il n’avait pas accès à un ordinateur. Quand j’ai vu quelqu’un
de ma famille se réveiller grâce à ce Général, je me suis dis que je
devais la publier et la partager aux autres! Partagez cette vidéo
partout! Elle aidera les têtus à réaliser la cruelle vérité qu’on leur a
lavé le crâne!
Quand vous avez un Général qui déclare
que le 11 Septembre était un ‘inside job’ (coup monté de l’intérieur) et
il peut prouver qu’aucun avion n’a touché le Pentagone! Quand il y a eu
le 11 septembre, le Général Stubblebine a cru au conte de fée officiel
tout comme la grande majorité des gens, mais
sa femme a continué de faire des recherches. Quand il a commencé à
jeter un œil méticuleux sur les photographies du Pentagone grâce aux
recherches de sa femme il comprit que quelque chose clochait! Il n’y
a pas eu d’avion qui a touché le Pentagone comme on aimerait nous le
faire croire. Il a découvert que tous les capteurs du Pentagone ont été
désactivés ce jour-là aussi! Il a commencé à relier les points ensemble!
Cette information est en lien avec celle
de VeteransToday (voir plus bas) que le Pentagone a été touché par un
missile de croisière américain tiré par un sous-marin Israélien [1] . Ce
missile a visé la salle de conférence où ils ont dit à tous les
enquêteurs de Able Danger [2] de la Navy de se réunir d’urgence.
Nous savons cela grâce aux quelques survivants de l’équipe. Ils
voulaient anéantir la totalité des membres de Able Danger car ils
avaient découvert plus de 300 missiles nucléaires dans l’inventaire des
USA!
J’aime vraiment cette vidéo car on
assiste à l’éveil du Général Stubblebine et il admet même qu’on lui
avait lavé le cerveau afin de ne jamais songer que le gouvernement
pourrait mentir à propos de quelque chose d’aussi gros! Partagez la
vérité partout comme vous le pouvez et courage! vidéo ici
Albert N. Stubblebine III est un
Major Général de l’armée des Etats-Unis à la retraite. Il était le
commandant général de l’INSCOM (U.S. Army Intelligence & Security
Command) de 1981 à 1984. Dans cette interview remarquable (voir
vidéo ci-dessus), Stubblebine révèle l’information suivante (ce qu’il appelle
des points) en rapport aux attaques contre le Pentagone et le World
Trade Center le 11 septembre 2001:
– A la base, Stubblebine croyait à la version officielle des attentats du 11 septembre.
– Puis il a vu le trou dans le Pentagone. Il peut prouver que le Pentagone n’a pas été touché par un Boeing 757. POINT.
– Tous les capteurs aux alentours du Pentagone ont été désactivés à l’exception d’un seul. Le seul capteur qui a pris des photos de l’objet qui a touché le Pentagone. Il ressemble à un missile. Mais après avoir été diffusées au public, les photos ont été changées pour qu’elles fassent ressortir l’image d’un avion. POINT.
– La chute des deux tours a été provoquée par une démolition contrôlée, et pas par le carburant des avions. POINT.
– Larry Silverstein, le titulaire du contrat de location du complexe du WTC, a admis que le bâtiment 7, qui n’a pas été touché par un avion et n’avait que quatre étages en feu, a été intentionnellement « tiré » (pulled en anglais, mais avec la préposition ‘down’ le verbe prend alors le sens de démolir),qui est la phraséologie utilisée pour la démolition contrôlée. POINT.
– Tous les systèmes de défense aériens autour de Washington D.C. ont été coupés ce jour-là. POINT.
– Le jour du 11 septembre, il y a eu un exercice conçu pour imiter une attaque contre les tours par des avions. POINT.
– Quand vous reliez les POINTs, l’image nous dit que ce que les médias nous ont raconté n’était pas la vraie histoire.
– Stubblebine, apparemment énervé, décrit comment il s’est senti quand il a réalisé la vérité à propos du gouvernement américain, et sa foi inébranlable envers son pays a été sérieusement endommagée.
(…)– Puis il a vu le trou dans le Pentagone. Il peut prouver que le Pentagone n’a pas été touché par un Boeing 757. POINT.
– Tous les capteurs aux alentours du Pentagone ont été désactivés à l’exception d’un seul. Le seul capteur qui a pris des photos de l’objet qui a touché le Pentagone. Il ressemble à un missile. Mais après avoir été diffusées au public, les photos ont été changées pour qu’elles fassent ressortir l’image d’un avion. POINT.
– La chute des deux tours a été provoquée par une démolition contrôlée, et pas par le carburant des avions. POINT.
– Larry Silverstein, le titulaire du contrat de location du complexe du WTC, a admis que le bâtiment 7, qui n’a pas été touché par un avion et n’avait que quatre étages en feu, a été intentionnellement « tiré » (pulled en anglais, mais avec la préposition ‘down’ le verbe prend alors le sens de démolir),qui est la phraséologie utilisée pour la démolition contrôlée. POINT.
– Tous les systèmes de défense aériens autour de Washington D.C. ont été coupés ce jour-là. POINT.
– Le jour du 11 septembre, il y a eu un exercice conçu pour imiter une attaque contre les tours par des avions. POINT.
– Quand vous reliez les POINTs, l’image nous dit que ce que les médias nous ont raconté n’était pas la vraie histoire.
– Stubblebine, apparemment énervé, décrit comment il s’est senti quand il a réalisé la vérité à propos du gouvernement américain, et sa foi inébranlable envers son pays a été sérieusement endommagée.
Motif sérieux : Le vol de l’Or Chinois par les USA et Israël
En 1938, la Chine avait confié 1000 milliards de
dollars d’Or à la Federal Reserve (FED) en 1938 en échange de bons du trésor. Le
but était de protéger leur réserve d’or lors de la guerre sino-japonaise
(1937-1945). Cet or était supposé être restitué à ses propriétaires
60 ans après, donc en 1998.
En 1998, la Chine poursuit la FED qui refuse de rendre
l’or à la Chine. Le Conseil de la FED prétend l’avoir complètement restitué lorsque les
États-Unis, dans les années 1970, lors de la reprise des relations
diplomatiques
avec la Chine de Mao.
Une action en justice a été intentée le 23 novembre
2011 auprès du Tribunal américain du District Sud de New York. Cependant, la Cour internationale de Justice, saisie de l'affaire, avait ordonné aux USA de restituer cet or. Les Américains avaient répondu «D’accord».
La
première cargaison de l’or qu’ils étaient censés restituer devait partir le 12 septembre
2001. Le World Trade Center a été détruit
le 11 septembre. L’or qui
était entreposé dans les sous-sols avait disparu.
Hannibal GENSERIC
[1] Le Mossad est lié aux attentats du 11/9
Selon un article publié par l’hebdomadaire American Free Press,
la révélation selon laquelle le cousin de Ziad al-Jarrah, un présumé
pirate de l’air du 11/9, travaillait en fait depuis longtemps comme
agent du Mossad, démontre qu’Israël trempait dans les attentats
terroristes sur le sol des États-Unis. Le New York Times a récemment rapporté que le ressortissant
libanais Ali al-Jarrah, un soi-disant fervent partisan palestinien,
était en fait un espion de grande valeur pour Israël durant les deux
dernières décennies.Ses liens avec l’un des principaux cerveaux des attentats terroristes
ont alimenté la spéculation au sujet du fait qu’Israël recrute des gens
se prétendant Musulmans pour s’en servir comme atouts secrets.
Selon le New York Times, la connexion israélienne au 11/9 peut
être retracée jusqu’aux cinq « Israéliens dansants » qui ont été
certifiés sautant et se congratulant avec des cris de « joie et de
dérision » quand le Vol 11 et le Vol 175 se sont écrasés sur le World
Trade Center à New York.
Ces Israéliens auraient été maintenus en garde à vue pendant 71 jours
avant d’être libérés discrètement après avoir été soupçonnés d’être des
agents du Mossad.
Citant deux anciens agents de la CIA, Forward weekly avait
rapporté à l’époque qu’il avait été constaté qu’au moins deux des
détenus israéliens étaient membres d’une équipe de surveillance du
Mossad. L’hebdomadaire avait déclaré :
Il n’y avait aucun doute, mais [l'ordre de clore l'enquête] est venu
de la Maison Blanche. Il été immédiatement supposé au quartier général
de la CIA que l’affaire serait étouffée radicalement, afin que les
Israéliens ne puissent être impliqués en aucune façon dans le 11/9.
L’ancien Premier Ministre italien Francesco Cossiga [c’est en fait un ancien Président italien, ndt] a abordé la question, suggérant que les événements du 11/9 ne sont rien d’autre qu’un coup monté de l’intérieur par la CIA et le Mossad :
"… tous les services de renseignements des États-Unis et d’Europe …
savent bien maintenant que ces attentats désastreux ont été planifiés et
réalisés par la CIA étasunienne et le Mossad avec l’aide du monde
sioniste, dans le but d’en faire porter le chapeau aux pays arabes afin
d’inciter les puissances occidentales à prendre part en Irak … et en
Afghanistan."
Son argument a été encore renforcé par la fuite de rapports selon
lesquels les employés de la société israélienne de télécommunications
Odigo, qui fournit des services de messagerie instantanée (SMS), a reçu
un avertissement deux heures avant les attentats contre les tours du
World Trade et a prévenu les Juifs de ne pas aller au travail ce
jour-là.
Le siège d’Odigo est situé à 2 pâtés de maisons de l’ancien emplacement des tours du World Trade.
Article original en anglais : Mossad linked to 9/11 attacks: Report
[2] Le lieutenant-colonel Anthony Shaffer prend le contrôle de la
mission "Able Danger" en 1999. Il est celui dont l’unité découvrira en
premier l’existence de Mohammed Atta et ses boys.
Quel était le but de "Able Danger"?
Able Danger était un programme conçu pour traquer Al-Qaïda et mener des actions offensives contre l’organisation terroriste. Nous avons récolté et croisé toutes les données déjà existantes et celles que l’on a trouvées par nous-mêmes sur Al-Qaïda. On a utilisé Able Danger comme un social network. On s’est dit que si on comprenait à qui tous ces gens parlaient et à quelle fréquence ils le faisaient, on pouvait en tirer un schéma, une sorte de cartographie des protagonistes de la terreur, et déterminer ainsi les connexions entre eux. Donc c’était plus le système dans son ensemble sur lequel on travaillait, et non pas tant Ben Laden en personne. Ça, c’était plutôt le travail de la CIA.
Able Danger était un programme conçu pour traquer Al-Qaïda et mener des actions offensives contre l’organisation terroriste. Nous avons récolté et croisé toutes les données déjà existantes et celles que l’on a trouvées par nous-mêmes sur Al-Qaïda. On a utilisé Able Danger comme un social network. On s’est dit que si on comprenait à qui tous ces gens parlaient et à quelle fréquence ils le faisaient, on pouvait en tirer un schéma, une sorte de cartographie des protagonistes de la terreur, et déterminer ainsi les connexions entre eux. Donc c’était plus le système dans son ensemble sur lequel on travaillait, et non pas tant Ben Laden en personne. Ça, c’était plutôt le travail de la CIA.
Que voulez-vous dire par “offensive action”?
Le but final d’"Able Danger" était de proposer des solutions afin d’empêcher Al-Qaïda de commettre des actions terroristes sur le sol américain.
Le but final d’"Able Danger" était de proposer des solutions afin d’empêcher Al-Qaïda de commettre des actions terroristes sur le sol américain.
Que s’est-il passé?
Ces options ont été présentées au général Shelter, au Pentagone. Et tout s’est arrêté.
Ces options ont été présentées au général Shelter, au Pentagone. Et tout s’est arrêté.
Arrêté?
Oui, et on ne sait toujours pas pourquoi. Le programme a été stoppé en janvier 2001. Et jusqu’à aujourd’hui, je n’ai toujours pas eu le droit de témoigner devant le Congrès, afin d’expliquer ce qu’était "Able Danger", et sur le rôle que j’avais dans cette unité.
Oui, et on ne sait toujours pas pourquoi. Le programme a été stoppé en janvier 2001. Et jusqu’à aujourd’hui, je n’ai toujours pas eu le droit de témoigner devant le Congrès, afin d’expliquer ce qu’était "Able Danger", et sur le rôle que j’avais dans cette unité.
Que savait "Able Danger"?
Dès 2000, on a su qu’il y avait deux ou trois cellules d’Al-Qaïda sur le territoire américain. On a donné des noms comme Al-Hazmi, Al-Mihdhar et même Mohammed Atta. Mais légalement je n’avais pas le droit de partager ces informations. Ou, plus exactement, je pouvais en parler soit seulement avec la CIA, soit seulement avec le FBI. Mais interdiction formelle d’établir des passerelles. Je briefais George Tenet deux fois par an. Il était très intéressé par notre façon de faire. Il posait plein de questions. Au point, d’ailleurs, d’essayer de nous espionner afin de découvrir nos méthodes et tout ce que nous savions.
Dès 2000, on a su qu’il y avait deux ou trois cellules d’Al-Qaïda sur le territoire américain. On a donné des noms comme Al-Hazmi, Al-Mihdhar et même Mohammed Atta. Mais légalement je n’avais pas le droit de partager ces informations. Ou, plus exactement, je pouvais en parler soit seulement avec la CIA, soit seulement avec le FBI. Mais interdiction formelle d’établir des passerelles. Je briefais George Tenet deux fois par an. Il était très intéressé par notre façon de faire. Il posait plein de questions. Au point, d’ailleurs, d’essayer de nous espionner afin de découvrir nos méthodes et tout ce que nous savions.
Pourquoi selon vous ce projet a-t-il été stoppé?
Les gens connaissent la vérité mais, d’une part, ils ont peur d’admettre qu’ils ont commis de graves erreurs et, d’autre part, ils ont peur d’être poursuivis par les familles et traînés devant un tribunal.
Les gens connaissent la vérité mais, d’une part, ils ont peur d’admettre qu’ils ont commis de graves erreurs et, d’autre part, ils ont peur d’être poursuivis par les familles et traînés devant un tribunal.
Voulaient-ils protéger Bush?
Bonne question. Tout ce que je sais c’est qu’en janvier 2000, le programme prend fin. Et s’il doit y avoir une théorie du complot, elle est à situer non pas à une grande échelle, mais à l’échelle individuelle d’un petit nombre de gens qui ne veut pas être tenu pour responsable, dans cette tragédie. La preuve, dix ans plus tard on n’est toujours pas autorisé à parler de ce programme.
Bonne question. Tout ce que je sais c’est qu’en janvier 2000, le programme prend fin. Et s’il doit y avoir une théorie du complot, elle est à situer non pas à une grande échelle, mais à l’échelle individuelle d’un petit nombre de gens qui ne veut pas être tenu pour responsable, dans cette tragédie. La preuve, dix ans plus tard on n’est toujours pas autorisé à parler de ce programme.
* Opération Dark Heart : Avec les Barbouzes du Pentagone, aux Editions du Rocher, 336 pages, 19 euros