mardi 21 mars 2017

Alerte russe contre un attentat nucléaire en Europe



Le président Poutine a ordonné une nouvelle alerte des forces militaires de la Fédération après que le Service des renseignements étrangers (SVR) a confirmé qu'une bombe atomique d'origine inconnue est entrée dans l'Union européenne (UE) et, peut-être en Bulgarie, ce qui signifierait que la Crimée pourrait être l’objectif.

Devant la gravité de cette menace ; le Ministère russe de la Défense a, selon http://www.whatdoesitmean.com/index2265.htm, mobilisé un nombre massif de forces aériennes, de forces aérospatiales et de troupes de la flotte de la mer Noire. Le commandant de la Force aérienne, le colonel-général Andrei Serdyukov, a déclaré: Pour la première fois de l’histoire de l'armée russe, les trois grandes unités des Forces Aéroportées ont été simultanément alertées dans le cadre de ces exercices, et partiellement redéployées en Crimée avec des armes et de l'équipement adéquats.
Le fait qui a déclenché cette alerte est la découverte par le SVR d'un avion cargo venant d'Arménie, qui a atterri à l'aéroport de Gomel en République de Biélorussie, puis est parti pour la Bulgarie. Il contenait une substance radioactive dont la "signature" l'identifiait comme étant une matière radioactive "très dangereuse" appelée Ir-192 qui était stockée dans une boîte de protection de la taille d'un ordinateur portable. Cette matière radioactive a été volée dans une installation de stockage appartenant aux États-Unis à Basra (Irak) en novembre 2015. [1]
Il est essentiel de noter que le régime Obama a omis d'avertir quiconque lorsque ce matériel radioactif a été volé. Pire encore : le Département d'État des États-Unis a nié en avoir connaissance. Par contre, les autorités irakiennes ont réagi en notifiant le vol à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Devant le refus des Américains de faire un effort pour retrouver cette matière radioactive, les responsables irakiens ont diffusé cette information secrète à Reuters New Service .
Une fois informé du vol présumé de cette substance radioactive Ir-192 "extrêmement dangereuse", le Service fédéral de sécurité des Frontières (Frontières / gares / aéroports, etc.) a installé sa "signature nucléaire" dans tous les détecteurs de rayonnement dans tous les points critiques de la Fédération et de la Communauté des États indépendants (CEI), dont, justement, l'aéroport de Gomel en Biélorussie.
Donc, le 19 mars, le détecteur de rayonnement à l'aéroport de Gomel en Biélorussie "a alerté", grâce à sa signature, la présence de ces matières radioactives Ir-192 à bord d'un cargo en provenance d'Arménie et se dirigeant vers la Bulgarie, mais que les autorités n'avaient pas arrêté ni détenu. Comme justification, le président de la Biélorussie, Alexandre Lukashenko, a déclaré que cela était dû à un fonctionnaire frontalier qui a été corrompu pour fermer les yeux.
Bien que le nom exact et le propriétaire de ce cargo soient connus par le SVR, la diffusion de ces informations dans ce communiqué de presse du Kremlin est interdite en raison de son classement top secret. Mais il nous laisse nous demander pourquoi le SVR a demandé des informations supplémentaires aux États-Unis, à l'UE et à l'OTAN pour expliquer pourquoi les plans de vol de cet avion cargo incluent des voyages en Allemagne, à Londres, en Jordanie et à New York City dans la semaine à venir. Il attend toujours la réponse, bien qu’il la connaisse d’avance : c’est la « faute à Poutine ».
Nous prépare-t-on un attentat nucléaire sous faux drapeau ?


Hannibal GENSERIC