samedi 18 mars 2017

Trafic massif de drogue. Hollande protège Obama

Le ministère français des Affaires étrangères a refusé une demande de l'Attaché juridique du FBI à Paris, pour interroger l’ex président Barack Obama, qui s’est planqué dans l'île polynésienne française de Tahiti, alors qu’il était poursuivi par des enquêteurs du Financial Crimes Enforcement Network (FinCEN) du Département américain du Trésor qui cherchent à l'interroger sur l'une des plus importantes saisies de drogue de l'histoire américaine à bord d'un « navire de pêche » nommé Lady Michelle , du prénom de  Michelle (Mikael) Obama [1].
4.2 tonnes de cocaïne, valeur $125 million,
saisis sur un bateau lié à Obama,
appelé Lady Michelle, le 16 Février 2017

En effet, selon whatdoesitmean.com, à dater du 10 mars, l’ex président Obama a fui de son domicile de Washington DC en empruntant un «chemin d'évasion» de plus de 9.600 kilomètres (6.000 milles) qui l'a amené d'abord à New York où il a rencontré ses avocats privés, puis à Omaha ( Nebraska), où il a rencontré le célèbre investisseur milliardaire Warren Buffett, puis en Californie où il a rencontré des titans technologiques américains, puis à Hawaï où il a dit au revoir à sa femme et sa famille, pour aboutir finalement à Tahiti, territoire français dans lequel il est presque impossible d'extrader quelqu'un. D’ailleurs, des hurluberlus  français  ont lancé une pétition sur Internet afin de présenter « Barack à frites françaises» comme candidat à l’élection présidentielle française de mai 2017.
 
En effet, dans le cadre d’une opération de répression massive de l'Administration Trump contre la plus grande organisation de contrebande illégale de drogue du monde connue sous le nom de CIA, les agents américains cherchent à interviewer l’ex président Obama.  Nous savons que la CIA a, au fil des décennies, versé des centaines de millions de dollars sur les comptes bancaires des dirigeants américains, comme nous l'avons rapporté dans notre article du 15 mars intitulé Saisie massive de drogue à bord du navire "Lady Michelle". Obama en fuite ?
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De son côté, Hillary Clinton semble avoir choisi, dans cette affaire, d’aider l’administration-Trump. Après avoir été interviewée par les agents du FBI sur cette affaire, la Clinton a reçu, pour sa collaboration, un «cadeau inattendu» : le procureur général des États-Unis, Jeff Sessions, l’a soutenue dans une Cour fédérale des États-Unis, en demandant à cette cour de ne plus poursuivre son affaire de courriels secrets.
La réunion d’Obama avec l'investisseur milliardaire Warren Buffett avant sa fuite avait pour but de lui demander secours pour sa survie, car Buffett est depuis longtemps connu comme le «fixateur» entre les personnes et le “Deep State”. Un fixateur est un intermédiaire qui prend des dispositions pour d'autres personnes, en particulier de nature illicite, secrète ou détournée. Ainsi, après les attentats « sous faux drapeau terroriste » du 11 septembre 2001, W. Buffet attendait l'arrivée du président Bush au Q.G. du Commandement stratégique des États-Unis (situé à Offutt Air Force Base à Omaha, au Nebraska) pour «négocier» une cessation des hostilités entre l’Etat apparent (dirigé par Bush) et l’Etat Profond (dirigé par la CIA).

D’ailleurs, Buffett a aidé l’ex président Obama à voler des centaines de milliards de dollars aux géants hypothécaires Fannie et Freddie Mae, afin de financer secrètement sa débâcle socialisante appelée Obamacare.

D’un autre côté, le "plan directeur" conçu par les factions Obama/Buffett/«Deep State» afin de détruire le président Trump consiste à manipuler leur «arme de choix» appelée Réserve Fédérale, en «crevant la plus grande bulle de l'histoire humaine» afin de faire effondrer l'ensemble du marché boursier américain, et toute l'économie américaine.
Ainsi, le plus grand test de la présidence Trump a commencé hier, après que les États-Unis aient atteint le plafond de leur dette, amenant le Trésor américain à suspendre la quasi-totalité de ses opérations. Ses ennemis du «Deep State», dirigés par Buffett, ont accéléré la croissance des marchés boursiers américains à des niveaux insoutenables qui ne correspondent à aucune réalité économique, assurant ainsi un effondrement catastrophique de toute l’économie américaine lorsque cette bulle éclatera.
Le président Trump devra alors survivre à l'effondrement de presque tous les régimes de retraite des États-Unis, qui sont presque tous en faillite et vont laisser des dizaines de millions d’Américains au risque de tout perdre. Ce sera «l'enfer absolu» pour l'Amérique si cela se produit.
Alors, comment le président Trump survivra-t-il à cette guerre de «l'État profond» contre lui?
Beaucoup d'Américains spéculent désormais, en disant qu’il devra imposer la loi martiale (Ballon d'essai pour un coup ?, Trump / Bannon Planification de la loi martiale?). D’ailleurs, la secrète directive présidentielle de sécurité nationale et de sécurité intérieure (encore connue sous le nom de Directive 51) lui donne, à tout moment, un pouvoir absolu et total sur les États-Unis, s’il a l’intention d’écraser pour toujours ses ennemis.


[1] Obama a-t-il épousé un homme