Le président Donald Trump a personnellement approuvé une
mission des Forces Aérospatiales russes qui ont ciblé et détruit presque toute la
direction d’Al-Nosra, qui est financée, armée et
dirigée par la CIA. Trump a, en outre chargé l'US Air Force d'aider
les forces militaires russes, syriennes et du Hezbollah à reprendre l'ancienne
ville de Palmyre, des mains des terroristes islamistes.
Le 27 février, le bureau de la liaison du Pentagone avec la Coalition
RSII (centre de coordination entre la Russie, l'Iran, l'Irak et la Syrie, située dans la zone verte de Bagdad, en Irak) a remis au
commandant des Forces aérospatiales de la Fédération un document de
renseignement américain précisant que la CIA avait organisé une réunion secrète
de
tous leurs principaux commandants du Front Al-Nosra Front, qui devait se tenir le
lendemain (28 février) près du village de Rasm al-Eis (28 kilomètres au
sud-ouest d'Alep). Dans les 26 heures suivant la réception de ces informations, un
chasseur unique Su-24 a pu cibler et tuer, avec une bombe guidée KAB-500,
au moins 67
de ces terroristes islamistes, dont 19 de leurs principaux commandants sur le
terrain.
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Dans cette opération, non seulement le Pentagone du président Trump a aidé à l'élimination de ces terroristes du Front Al-Nusra dirigés par la CIA, mais il a également ordonné à son aviation de l’US Air Force de cibler les unités combattantes, les blindés, et les dépôts, et les centres de commandement des terroristes islamistes à Palmyre et ses environs. En con séquence, l'armée syrienne et les forces armées du Hezbollah ont repris cette ancienne ville, et l'état-major général syrien a déclaré une victoire décisive avec au moins 1.000 terroristes "daéchiens enragés" d’ISIS tués ou blessés, ce qui a permis la libération de 36 domaines agricoles situés dans un Superficie de 400 kilomètres carrés.
Ce qui est remarquable, c’est que non seulement le président Trump
a ordonné que les propres terroristes islamistes de la CIA en Syrie soient
détruits par les forces aériennes russes, mais qu’il a lancé aussi l'armée
américaine contre les
forces Al-Qaïda financées par la CIA au Yémen, ce
que l’ex président Obama n'a jamais permis d’attaquer, et encore moins, de détruire.
À partir du mois dernier, le président Trump a ordonné aux
troupes des forces spéciales américaines d'attaquer un quartier général
d'Al-Qaïda au Yémen. Ce raid fulgurant a permis au Pentagone d’obtenir un très
bon point, ce qui a amené Trump à ordonner
plus de 20 attaques aériennes contre ces
terroristes islamistes , en visant leurs dirigeants et leurs infrastructures.
Dans une riposte rapide contre le Président Trump pour sa
destruction de ses terroristes islamistes alliés de l’Etat
Profond, en Syrie et au Yémen, la "Maison Noire"
[1] d'Obama, aidée par les médias de propagande et de "fausses nouvelles"
américains, ont relevé leur "hystérie anti russe"contre
lui à des niveaux inédits depuis les années 1950. Ce qui a fait dire au ministre
russes des affaires étrangères Serguéi Lavrov: “Je
peux me référer à une citation répandue dans les médias d'aujourd'hui: tout
cela ressemble beaucoup à une chasse aux sorcières identique à celle du maccarthisme,
alors que nous pensions que les Etats-Unis avaient, depuis longtemps, dépassé
ce stade et étaient devenus un pays civilisé. ”
Le ministère des Affaires étrangères a également déclaré que les
actions de ces gauchistes américains contre le président Trump ont maintenant
atteint le niveau du «vandalisme médiatique» car 88% de
la couverture médiatique de Trump par les médias américains lui est "hostile"
.
La porte-parole du Ministère russe des A.E., Maria Zakharova, a
même été contrainte de dire à CNN, plus
tôt aujourd'hui, «un bon
conseil pour vous : Cessez de répandre des mensonges et de fausses
nouvelles».
Comme le président Trump est maintenant pressé
de purger de son administration tout ceux qui sont associés à la "Maison
Noire" Obama, les experts politiques américains avertissent que cette
tâche est plus facile à dire qu’à faire. Ils citent l’exemple du
dernier dirigeant américain qui a cherché la paix avec la Russie, le
président Richard Nixon, dont la bataille contre les forces de cet "Etat
Profond" est décrite comme: "Nixon
a essentiellement essayé de contourner la bureaucratie fédérale, mais la
bureaucratie l’a vaincu, et l'a destitué de son poste. ”
Mais, à la différence du président Nixon qui a été renvoyé du
pouvoir par ces forces «d'Etat profond», le président Trump a déjà vaincu, lors
de son incroyable ascension : les médias de «fausses nouvelles» américains,
le Parti républicain, Le
Parti démocrate, le régime Obama, le régime Clinton et le régime Bush. Il a
ainsi prouvé, à ceux qui veulent l’éliminer, qu’il a plus d’un tour dans son
sac, que c’est un dur à cuire, et non pas le falot qu’ils s’imaginaient. Il
a des burnes en acier trumpé.
[1] L'ancien président Obama a rassemblé autour
de lui, à Washington DC, un «gouvernement d'ombre» dans son enceinte,
appelée « la Maison Noire », située à quelques pâtés de maisons de la
«Maison Blanche» du Président Trump, La «maison noire» est «le centre
névralgique pour le plan d'Obama-Clinton pour la destruction de Trump»,
et dans laquelle, l'ancienne
aide d'Obama, Valerie Jarrett, vient
d'emménager, ainsi que son ancien procureur général Eric Holder.
Ce qui fait peur au binôme Obama/Clinton, c’est que le procureur général
de Trump, Jeff Sessions, est en train d’accélérer l'installation d'un grand
jury pour enquêter sur un vaste blanchiment de capitaux à l'échelle
internationale mis en place en 2011, lorsque Obama
et Clinton ont mis en place un accord de libre-échange avec le Panama, ce
qui a pour conséquence de faire exploser
le transfert de fonds illégaux dans le monde entier.
Hannibal GENSERIC