samedi 25 mars 2017

Trump contre les médias scélérats

La presse est « l'ennemi du peuple américain », a lancé Donald Trump le mois dernier. « La guerre avec la presse ne va faire qu'empirer », a prévenu son  conseiller Steve Bannon.
Et comme les faits sont têtus, ils démontrent, sans l'ombre d'un doute, que Trump a raison. 
Tous les grands médias  américains, et occidentaux sont des organes de propagande et de fausses nouvelles. En voici la démonstration pour CNN. 
On  pourrait démontrer la même chose pour l'ImMONDE, Libération, BFM-TV (la radio communautaire juive), Euronews, France-24, et les autres, sans parler des organes "arabes" sous contrôle impérialiste-sioniste, tels que al-Jaazira et RTCI (Radio Tunisienne Chaîne Internationale). 

Consternés par ces propos, une vingtaine de patrons de presse et de journalistes (Reuters, CNN, New York Times, New Yorker, etc.) se sont réunis à l'Université de Columbia début mars pour partager leur émoi et comprendre comment faire évoluer leur métier. « Les dictatures commencent toujours par une ostracisation de la presse », a rappelé David Remnick, directeur de la rédaction du « New Yorker ».

Le Vice-président Pence l’a dit le 23 février : « Avec la victoire de Trump, il ne s’agit pas du gouvernement de l’élite, par les médias, pour l’establishment… mais de celui du peuple, par le peuple pour le peuple ». 
Le match ne fait que commencer. 
D’un côté, l’homme du « nationalisme économique », de l’autre une « grande coalition globaliste » droite-gauche, intensément active, contrôlant les grands médias, encore furieuse de l’échec des Clinton, mais dont le plan pour l’impeachment de Trump se déroule par étapes.
Dans la première phase (suivant l’élection) les médias ont resservi les arguments de la campagne électorale : Trump n’est pas sérieux, il n’est pas éduqué, il n’est pas compétent, il est un Mussolini ressuscité, ses cellules grises dégénèrent sous l’attaque de maladies vénériennes contactées dans sa folle jeunesse, c’est un suppôt de Poutine, etc.
La deuxième phase, celle de la contre-révolution, a pour objet d’empêcher Trump de réussir en deux ans le redressement économique, devenir populaire, et transformer le pays selon ses vœux. Ce que Reagan avait pu faire, dans un autre cadre idéologique. Or, on constate déjà l’immense effet boursier produit par l’élection de Trump : dopé par l’espoir de réformes fiscales comme de grands travaux d’infrastructures, le pays connait une croissance phénoménale des indices boursiers (consécutivement la plus longue depuis 1992), avec plus de trois mille milliards de dollars de plus-value. Et le dernier sondage du Wall Street Journal montre que davantage d’américains voient l’avenir avec espoir.
Les médias ignorent délibérément ces faits, pour se concentrer sur la distribution des messages émis par le « Deep State », principal grossiste en désinformation. Il ne s’agit plus à ce stade de montrer que Trump est moralement dépravé, mais de le camper en traître potentiel.
Ainsi, au 2 février, le site The Federalist avait identifié seize manœuvres « classiques », assises sur de vrais mensonges massivement cliqués et recliqués.
On atteint maintenant la troisième phase, qui consiste à changer la Constitution sans le dire. Deux objectifs : rogner juridiquement les pouvoirs présidentiels (espérant en final déposer Trump)… et mettre en place un « shadow cabinet » qui se greffera sur un ministère déjà composé des représentants du complexe militaro industriel. Transition en souplesse…
Trump résiste et contre attaque
Après avoir humilié  les grands médias en les ostracisant, il est passé au grand style en tenant une conférence de presse surprise le 17 février, dans laquelle il a pris les questions des médias hostiles, tout en les laminant. Un tour de force qui a rassuré sa base…
Le lendemain il s’est rendu en Floride afin de désigner officiellement comme ennemi du peuple, devant 10.000 supporters, les médias menteurs
Puis, dans son discours du 24 février, il a repris le contrôle du lobby conservateur du puissant CPAC (Conservative Political Action Conference), tout en démolissant les médias, ce qu’avait fait la veille son conseiller stratégique, Steve Bannon, qui expliquait : « nous avons trois objectifs : la souveraineté… le nationalisme économique… et enfin la déconstruction de l’état administratif… Les grands médias, globalistes corporatifs, représentent l’opposition… ils haïssent nos idées… si vous imaginez qu’ils vont vous rendre aisément votre pays… vous vous trompez ! La guerre va s’intensifier, justement parce que nous tenons nos promesses

Il en résulte que la plupart des sondages considèrent maintenant que les médias, trop durs avec Trump, sont synonymes de « fake news ». 

Le 28 février le Président a cru triompher lors de son discours devant les deux chambres réunies en congrès, l’ensemble des médias concluant comme CNN que ce jour là Trump était « devenu » président. C’était sans compter la cérémonie du lendemain, organisée par Dana Bash (toujours CNN) en l’honneur des ennemis jurés de Trump, les sénateurs républicains McCain et Graham, lesquels ont servi de locomotive à écoute et amplification pour que Bash puisse livrer la « fuite » du Washington Post sur les liens du ministre de la justice, Jeff Sessions avec l’ambassadeur russe.
Exemple de CNN. 
Dana Bash, la principale journaliste de CNN est une espionne de la CIA
Selon le site whatdoesitmean.com, la  correspondante politique en chef de CNN News, nommée Dana Bash, s’est révélée être un agent de renseignement de la CIA, impliquée dans le coup d’État silencieux contre le président Donald Trump, sous les ordres des hauts responsables du renseignement et politiques de l'ancien régime Obama.
En effet, le 10 janvier 2017, CNN est devenu le premier organisme médiatique américain majeur à faire un rapport sur ce qui est appelé le «Dossier russe».
Le légendaire journaliste du Washington Post, Bob Woodward, qui a fait découvrir le fameux scandale du Watergate, a qualifié ce «Dossier russe» de «déchets de poubelle». 
De son côté, l'ancien directeur adjoint de la CIA et conseiller d’Hillary Clinton, Michael Morell), déclarait que , Christopher Steele, le rédacteur de ces dossiers, avait « payé » ses sources russes, et ne leur avait parlé que par le biais d'intermédiaires.
Préoccupé par le fait que des agents de renseignement russes aient peut-être été en contact avec Christopher Steele (l'auteur du «Dossier russe»), le Service Fédéral de Sécurité russe (FSB) a commencé une enquête le 11 janvier 2017. Ce qui a conduit à l'arrestation pour trahison, le 27 janvier 2017, de l'administrateur délégué du FSB, Sergei Mikhailov, son adjoint, Dmitry Dokuchaev, et Ruslan Stoyanov, responsable des enquêtes sur les cybercriminels chez Kaspersky Labs. Ils ont été en communication par courriel et par téléphone avec le correspondant politique principal de CNN, et agent de la CIA, Dana Bash.
Sergueï Mikhaïlov avoua alors ses crimes de trahison, en détaillant que Dana Bash était le «coupe-circuit» entre lui et son mari, Jeremy Bash. Tout en travaillant pour le régime d'Obama, Jeremy était le Chef d'état-major du Département américain de la Défense, entre 2011-2013, et pour la CIA entre 2009-2011. Il est maintenant un analyste de sécurité MSNBC.
Sergei Mikhailov a aussi révélé aux agents de contre-espionnage du FSB, que le « dossier russe » était une «création» du président de CBS News, David Rhodes, et de son frère Ben Rhodes . En plus d'être le premier assistant du président Obama et aspirant romancier, Ben Rhodes avait déclaré l'an dernier (2016) avec quelle facilité on pouvait manipuler les médias américains pour en faire une «chambre d'écho».
 
Sachant la facilité avec laquelle on pouvait manipuler les journalistes,  les « Frères Rhodes » ont communiqué leur canular à Dana Bash, laquelle avait soutiré à Sergei Mikhailov  "certains détails" qu'elle a, à son tour, fourni à son mari opérationnel de la CIA, Jeremy Bash.
Ce dernier, à son tour, les a transmis à Christopher Steele qui les a compilés dans le « Dossier russe ». 
Sergei Mikhailov, avec ses coconspirateurs et traîtres Dmitry Dokuchaev et Ruslan Stoyanov, indiquent que Dana Bash les a payés pour l'information qu'elle a reçue. Tous les trois reconnaissent qu'ils savaient que ces fonds illicites étaient canalisés par La CIA à travers CNN, grâce, en particulier à l'agent de la CIA Jeremy Bash. Ils ajoutent qu'ils croyaient que personne ne pouvait croire aux mensonges qu'ils donnaient, car c'était une opération de renseignement américaine contre leurs propres citoyens. 

En direct sur CNN et MSNBC en même temps ? 

Une intervenante semble bénéficier du don d’ubiquité ou bidouillage ?

En direct sur CNN et MSNBC en même temps ? Une intervenante semble bénéficier du don d’ubiquité
Capture d'écran d'une vidéo YouTube
Un téléspectateur a diffusé une vidéo sur YouTube dans laquelle il fait part de sa surprise de voir la même intervenante interrogée par CNN et MSNBC. Rien d'incroyable si les deux médias ne prétendaient pas être en direct.
La chaîne américaine CNN et sa consœur MSNBC, accusées sans relâche par Donald Trump de propager des «fake news», lui donnent du grain à moudre.
Une vidéo a émergé sur YouTube dans laquelle un téléspectateur attentif a noté qu'une invitée donnait simultanément deux interviews distinctes aux deux médias, alors que l'un et l'autre prétendaient être en direct...
Vêtue de la même robe rouge, de la même écharpe léopard et arborant un sourire identique, l'invitée ne se distingue d'une chaîne à l'autre que par le contenu de ses interventions.
Les réseaux sociaux penchent plus pour un mensonge d'au moins une des deux chaînes que pour un improbable don d'ubiquité de l'intervenante.
Auteur: Mark Dice
D'autant plus que c'est la deuxième fois en une semaine qu'une telle mésaventure arrive à CNN. Le 21 mars, alors que la chaîne indiquait être en direct avec le député Ben Sasse, celui-ci était également en train d'auditionner le juge Neil Gorsuch dans le cadre de sa nomination à la Cour suprême sur C-SPAN. En direct, donc.

Cette «l'hystérie anti russe» qui balaye actuellement les États-Unis et ses vassaux occidentaux, grâce à ces mensonges fabriqués, est une honte pour tout le monde occidental, qui vit en réalité dans une fausse démocratie, contrôlée par les magnats de la presse,  qui ne sont autres que, les oligarques de la finance, du pétrole et de la vente des armes. Par intérêt personnel, ils sont mondialistes et antinationaux, 


Hannibal GENSERIC