La presse est « l'ennemi du peuple américain », a lancé Donald Trump le mois dernier. « La guerre avec la presse ne va faire qu'empirer », a prévenu son conseiller Steve Bannon.
Et comme les faits sont têtus, ils démontrent, sans l'ombre d'un doute, que Trump a raison.
Tous les grands médias américains, et occidentaux sont des organes de propagande et de fausses nouvelles. En voici la démonstration pour CNN.
On pourrait démontrer la même chose pour l'ImMONDE, Libération, BFM-TV (la radio communautaire juive), Euronews, France-24, et les autres, sans parler des organes "arabes" sous contrôle impérialiste-sioniste, tels que al-Jaazira et RTCI (Radio Tunisienne Chaîne Internationale).
On pourrait démontrer la même chose pour l'ImMONDE, Libération, BFM-TV (la radio communautaire juive), Euronews, France-24, et les autres, sans parler des organes "arabes" sous contrôle impérialiste-sioniste, tels que al-Jaazira et RTCI (Radio Tunisienne Chaîne Internationale).
Consternés
par ces propos, une vingtaine de patrons de presse et de journalistes
(Reuters, CNN, New York Times, New Yorker, etc.) se sont réunis à
l'Université de Columbia début mars pour partager leur émoi et
comprendre comment faire évoluer leur métier. « Les dictatures commencent toujours par une ostracisation de la presse », a rappelé David Remnick, directeur de la rédaction du « New Yorker ».
Le Vice-président Pence l’a dit le
23 février : « Avec la victoire de Trump, il
ne s’agit pas du gouvernement de l’élite, par les médias, pour l’establishment… mais de celui du peuple, par le peuple pour le peuple ».
Le match
ne fait que commencer.
D’un côté, l’homme du « nationalisme économique », de
l’autre une « grande coalition globaliste » droite-gauche,
intensément active, contrôlant les grands médias, encore furieuse de l’échec des Clinton, mais dont le plan
pour l’impeachment de Trump
se déroule par étapes.
Dans la première phase (suivant
l’élection) les médias ont resservi les arguments de la campagne
électorale : Trump n’est pas sérieux, il n’est pas éduqué, il n’est pas
compétent, il est un Mussolini ressuscité, ses cellules grises dégénèrent sous
l’attaque de maladies vénériennes contactées dans sa folle jeunesse, c’est un
suppôt de Poutine, etc.
La deuxième phase, celle de
la contre-révolution, a pour objet d’empêcher Trump de réussir en deux ans le
redressement économique, devenir populaire, et transformer le pays selon ses
vœux. Ce que Reagan avait pu faire, dans un autre cadre idéologique. Or, on
constate déjà l’immense effet boursier produit par l’élection de Trump :
dopé par l’espoir de réformes fiscales comme de grands travaux d’infrastructures,
le pays connait une croissance phénoménale des indices boursiers
(consécutivement la plus longue depuis 1992), avec plus de trois mille
milliards de dollars de plus-value. Et le dernier sondage du Wall Street Journal montre que
davantage d’américains voient l’avenir avec espoir.
Les médias ignorent délibérément ces faits,
pour se concentrer sur la distribution des messages émis par le « Deep State », principal
grossiste en désinformation. Il ne s’agit plus à ce stade de
montrer que Trump est moralement dépravé, mais de le camper en traître
potentiel.
Ainsi, au 2 février, le site The Federalist avait
identifié seize manœuvres « classiques », assises sur de vrais mensonges massivement cliqués et
recliqués.
On atteint maintenant la troisième phase, qui consiste à changer la Constitution sans
le dire. Deux objectifs : rogner juridiquement les pouvoirs présidentiels
(espérant en final déposer Trump)… et mettre en place un « shadow
cabinet » qui se greffera sur un ministère déjà composé des représentants
du complexe militaro industriel. Transition en souplesse…
Trump
résiste et contre attaque
Après avoir humilié les
grands médias en les ostracisant, il est passé au grand style en tenant une conférence de presse surprise le 17 février, dans laquelle
il a pris les questions des médias hostiles, tout en les laminant. Un tour de
force qui a rassuré sa base…
Le lendemain il s’est rendu en Floride afin de désigner officiellement
comme ennemi du peuple, devant 10.000 supporters, les médias menteurs…
Puis, dans son discours du 24 février, il a repris le contrôle du
lobby conservateur du puissant CPAC (Conservative
Political Action Conference), tout en démolissant les médias, ce qu’avait fait la veille son conseiller stratégique,
Steve Bannon, qui expliquait : « nous avons trois objectifs : la
souveraineté… le nationalisme économique… et enfin la déconstruction de l’état
administratif… Les grands médias, globalistes corporatifs, représentent
l’opposition… ils haïssent nos idées… si vous imaginez qu’ils vont vous rendre
aisément votre pays… vous vous trompez ! La
guerre va s’intensifier, justement parce que nous tenons nos promesses.»
Il en résulte que la plupart des sondages
considèrent maintenant que les médias, trop durs avec Trump, sont synonymes de « fake
news ».
Le 28 février le Président a cru triompher
lors de son discours devant les deux chambres réunies en congrès, l’ensemble
des médias concluant comme CNN que
ce jour là Trump était « devenu » président. C’était sans compter la
cérémonie du lendemain, organisée par Dana Bash
(toujours CNN) en
l’honneur des ennemis jurés de Trump, les sénateurs républicains McCain et
Graham, lesquels ont servi de locomotive à écoute et amplification pour que
Bash puisse livrer la « fuite » du Washington
Post sur les liens du ministre de la justice, Jeff Sessions
avec l’ambassadeur russe.
Exemple de CNN.
Dana
Bash, la principale journaliste de CNN est une espionne de la CIA
Selon le site whatdoesitmean.com, la
correspondante politique en chef de CNN News, nommée Dana Bash, s’est
révélée être un agent de renseignement de la CIA, impliquée dans le coup d’État
silencieux contre le président Donald Trump, sous les ordres des hauts
responsables du renseignement et politiques de l'ancien régime Obama.
En effet, le
10 janvier 2017, CNN est devenu le premier organisme médiatique américain
majeur à faire un rapport sur ce qui est appelé le «Dossier
russe».
Le
légendaire journaliste du Washington Post, Bob Woodward, qui a
fait découvrir le fameux scandale du Watergate, a qualifié ce «Dossier
russe» de «déchets
de poubelle».
De son côté, l'ancien directeur adjoint de la CIA et conseiller d’Hillary Clinton, Michael Morell),
déclarait que , Christopher
Steele, le rédacteur de ces dossiers, avait
« payé » ses sources russes, et ne leur avait parlé que par le biais
d'intermédiaires.
Préoccupé
par le fait que des agents de renseignement russes aient peut-être été en
contact avec Christopher Steele (l'auteur du «Dossier russe»), le Service Fédéral de Sécurité russe (FSB) a commencé une enquête le 11 janvier 2017.
Ce qui a conduit à l'arrestation
pour trahison, le 27 janvier 2017, de l'administrateur délégué du FSB, Sergei
Mikhailov, son adjoint, Dmitry Dokuchaev, et Ruslan Stoyanov,
responsable des enquêtes sur les cybercriminels chez Kaspersky Labs. Ils ont été
en communication par courriel et par téléphone avec le correspondant politique
principal de CNN, et agent de la CIA, Dana Bash.
Sergueï
Mikhaïlov avoua alors ses crimes de trahison, en détaillant que Dana Bash était
le «coupe-circuit» entre lui et son mari, Jeremy Bash. Tout
en travaillant pour le régime d'Obama, Jeremy était le Chef d'état-major du
Département américain de la Défense, entre 2011-2013, et pour la CIA entre
2009-2011. Il est maintenant un analyste de sécurité MSNBC.
Sergei
Mikhailov a aussi révélé aux agents de contre-espionnage du FSB, que le « dossier
russe » était une «création» du président de CBS News, David
Rhodes, et de son frère Ben
Rhodes . En plus d'être le premier assistant
du président Obama et aspirant romancier, Ben Rhodes avait déclaré l'an
dernier (2016) avec quelle facilité
on pouvait manipuler les médias américains
pour en faire une «chambre d'écho».
Sachant la
facilité avec laquelle on pouvait manipuler les journalistes, les « Frères Rhodes » ont communiqué leur
canular à Dana Bash, laquelle avait soutiré à Sergei Mikhailov "certains détails" qu'elle a,
à son tour, fourni à son mari opérationnel de la CIA, Jeremy Bash.
Ce dernier,
à son tour, les a transmis à Christopher Steele qui les a compilés dans le «
Dossier russe ».
Sergei
Mikhailov, avec ses coconspirateurs
et traîtres Dmitry Dokuchaev et Ruslan Stoyanov, indiquent que Dana Bash les a
payés pour l'information qu'elle a reçue. Tous les trois reconnaissent qu'ils
savaient que ces fonds illicites étaient canalisés par La CIA à travers CNN,
grâce, en particulier à l'agent de la CIA Jeremy Bash. Ils ajoutent qu'ils
croyaient que personne ne pouvait croire aux mensonges qu'ils donnaient, car
c'était une opération de renseignement américaine contre leurs propres citoyens.
En direct sur CNN et MSNBC en même temps ?
Une intervenante semble bénéficier du don d’ubiquité ou bidouillage ?
Capture d'écran d'une vidéo YouTube |
Un téléspectateur a diffusé une vidéo sur YouTube dans laquelle il fait part de sa surprise de voir la
même intervenante interrogée par CNN et MSNBC. Rien d'incroyable si les
deux médias ne prétendaient pas être en direct.
La chaîne américaine CNN et
sa consœur MSNBC, accusées sans relâche par Donald Trump de propager des
«fake news», lui donnent du grain à moudre.
Une vidéo a émergé sur YouTube dans laquelle un téléspectateur attentif a noté qu'une invitée donnait simultanément deux interviews distinctes aux deux médias, alors que l'un et l'autre prétendaient être en direct...
Vêtue de la même robe rouge, de la même écharpe léopard et arborant un sourire identique, l'invitée ne se distingue d'une chaîne à l'autre que par le contenu de ses interventions.
Les réseaux sociaux penchent plus pour un mensonge d'au moins une des deux chaînes que pour un improbable don d'ubiquité de l'intervenante.
Cette «l'hystérie anti russe» qui balaye actuellement les États-Unis et ses vassaux occidentaux, grâce à ces mensonges fabriqués, est une honte pour tout le monde occidental, qui vit en réalité dans une fausse démocratie, contrôlée par les magnats de la presse, qui ne sont autres que, les oligarques de la finance, du pétrole et de la vente des armes. Par intérêt personnel, ils sont mondialistes et antinationaux,
Une vidéo a émergé sur YouTube dans laquelle un téléspectateur attentif a noté qu'une invitée donnait simultanément deux interviews distinctes aux deux médias, alors que l'un et l'autre prétendaient être en direct...
Vêtue de la même robe rouge, de la même écharpe léopard et arborant un sourire identique, l'invitée ne se distingue d'une chaîne à l'autre que par le contenu de ses interventions.
Les réseaux sociaux penchent plus pour un mensonge d'au moins une des deux chaînes que pour un improbable don d'ubiquité de l'intervenante.
Auteur: Mark Dice
D'autant
plus que c'est la deuxième fois en une semaine qu'une telle mésaventure
arrive à CNN. Le 21 mars, alors que la chaîne indiquait être en direct
avec le député Ben Sasse, celui-ci était également en train
d'auditionner le juge Neil Gorsuch dans le cadre de sa nomination à la
Cour suprême sur C-SPAN. En direct, donc.Cette «l'hystérie anti russe» qui balaye actuellement les États-Unis et ses vassaux occidentaux, grâce à ces mensonges fabriqués, est une honte pour tout le monde occidental, qui vit en réalité dans une fausse démocratie, contrôlée par les magnats de la presse, qui ne sont autres que, les oligarques de la finance, du pétrole et de la vente des armes. Par intérêt personnel, ils sont mondialistes et antinationaux,
Hannibal GENSERIC