Dans notre série "L'Islamiste ne pense qu'à ça !" , le journal
britannique "Financial Times" a révélé un scandale de gros calibre. Lorsque
les services de sécurité britanniques MI6 et Scotland Yard avaient fait irruption dans un appartement
de Londres, ils ont trouvé la princesse qatarie en train d’avoir des relations
sexuelles collectives avec sept étalons payés par la princesse.
Selon le
journal, la police britannique a été surprise, lors du traçage d'un suspect
dans un appartement qui appartient à la princesse du Qatar, de trouver la
princesse en pleine activité sexuelle
avec trois hommes Européens à l'intérieur de la chambre, tandis que
quatre autres, y compris le suspect surveillé par la police, attendaient leur
tour dans le couloir.
Pendant
l'enquête, le suspect (un Saoudien) a admis que la princesse du Qatar, a appelé Sheikha
Salwa, une fille de l'ancien Premier ministre Hamad bin Jassim bin Jabor Al
Thani, et sœur du roi du Qatar, avait convenu avec lui par un intermédiaire, pour lui ramener des hommes ayant des "qualités
physiques particulières" et qui ont une expérience reconnue et
spécifique dans le sexe collectif (partouze) en échange de sommes colossales d'argent.
La princesse du Qatar lui a demandé cette fois d'apporter six hommes à la fois,
et lui a demandé de rester dans le hall de l'appartement jusqu'à ce qu'ils
quittent, car la princesse avait peur de la violence possible de « ses
étalons », qui, pour la plupart, viennent de la pègre londonienne [1]. En
effet, "la pauvre" princesse avait auparavant subi des violences lors de ses précédentes partouzes
grassement tarifées. Car Allah le miséricordieux, ayant donné de l’argent sans
compter aux wahha-bites qataris et saoudiens, la Princesse a préféré acheter ses « houris
mâles » tout de suite, sans attendre un futur paradis improbable, d’autant plus que, selon
certaines lectures du Coran, si des dizaines de vierges houris sont prévues pour chaque terroriste islamiste mâle, rien n’est prévu pour ses pauvres femmes-esclaves.
La "sheikha Salwa Comme "l'habit ne fait pas le moine", le voile peut cacher une gourgandine |
En réponse
aux questions de la Police, la princesse a dit qu’il ne s’agit pas
de prostitution pour de l'argent, car,
selon la loi britannique, payer de l'argent à des hommes pour avoir des
relations sexuelles n’est pas interdit, alors que payer de l’argent pour avoir
des relations sexuelles avec des femmes est interdit. Voyez comme cette princesse est sage et éduquée : elle évite d'embaucher des femmes pour son sexe, sachant que la loi britannique l'interdit.
Mais la police lui a rétorqué
qu'il est interdit d'utiliser comme entremetteur un homme qui a un casier
judiciaire, et que la prostitution masculine est tout aussi malvenue que la prostitution féminine.
C’est un
agent de police initié qui a informé le Financial Times de cet incident et que,
de toutes manières, et comme c’est souvent le cas avec les princes et
princesses saoudiens et qataris, l'affaire a été promptement étouffée, d’autant
plus que la princesse est titulaire d'un passeport diplomatique.
La police
britannique a notifié l’incident à l'ambassade du Qatar, mais celle-ci ne s’est
inquiétée que de la publication du scandale. Ainsi, l'ambassade du Qatar a
offert au Financial Times 50 millions
$ pour empêcher la publication du scandale, mais le journal a rejeté
l'offre, et a publié les faits du cas ainsi que des photos de la
princesse. Les Qataris se croyaient en Tunisie, où, pour cette somme, ils ont acheté l’État, et ses possessions, car dans ce pays, ce sont leurs Frères Musulmans qui commandent.
Source : Veterans ToDay et autres
[1] Le gang bang (dérivé de l'anglais gangbang) désigne ici une pratique orgiaque au sens de forme de sexualité de groupe librement consentie entre une femme et plusieurs hommes.
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Hannibal GENSERIC