mercredi 31 août 2016

Arabistan. le "gang bang" de la princesse qatarie


Dans notre série "L'Islamiste ne pense qu'à ça !" , le journal britannique "Financial Times" a révélé un scandale de gros calibre. Lorsque les services de sécurité britanniques MI6 et Scotland Yard avaient fait irruption dans un appartement de Londres, ils ont trouvé la princesse qatarie en train d’avoir des relations sexuelles collectives avec sept étalons payés par la princesse.

Selon le journal, la police britannique a été surprise, lors du traçage d'un suspect dans un appartement qui appartient à la princesse du Qatar, de trouver la princesse en pleine activité  sexuelle avec trois hommes Européens à l'intérieur de la chambre, tandis que quatre autres, y compris le suspect surveillé par la police, attendaient leur tour dans le couloir.

Pendant l'enquête, le suspect (un Saoudien) a admis que la princesse du Qatar, a appelé Sheikha Salwa, une fille de l'ancien Premier ministre Hamad bin Jassim bin Jabor Al Thani, et sœur du roi du Qatar, avait convenu avec lui par un intermédiaire,  pour lui ramener des hommes ayant des "qualités physiques particulières" et qui ont une expérience reconnue et spécifique dans le sexe collectif (partouze) en échange de sommes colossales d'argent. La princesse du Qatar lui a demandé cette fois d'apporter six hommes à la fois, et lui a demandé de rester dans le hall de l'appartement jusqu'à ce qu'ils quittent, car la princesse avait peur de la violence possible de « ses étalons », qui, pour la plupart, viennent de la pègre londonienne [1]. En effet, "la pauvre" princesse avait auparavant  subi des violences lors de ses précédentes partouzes grassement tarifées. Car Allah le miséricordieux, ayant donné de l’argent sans compter aux wahha-bites qataris et saoudiens, la Princesse a préféré acheter ses « houris  mâles » tout de suite, sans attendre un futur paradis improbable, d’autant plus que, selon certaines lectures du Coran, si des dizaines de vierges houris  sont prévues pour chaque terroriste islamiste mâle, rien n’est prévu pour ses pauvres femmes-esclaves.
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La "sheikha Salwa
Comme "l'habit ne fait pas le moine",
 le voile peut cacher une gourgandine
En réponse aux questions de la Police, la princesse a dit qu’il ne s’agit pas de prostitution  pour de l'argent, car, selon la loi britannique, payer de l'argent à des hommes pour avoir des relations sexuelles n’est pas interdit, alors que payer de l’argent pour avoir des relations sexuelles avec des femmes est interdit. Voyez comme cette princesse est sage et éduquée : elle évite d'embaucher des femmes pour son sexe, sachant que la loi britannique l'interdit.
Mais la police lui a rétorqué qu'il est interdit d'utiliser comme entremetteur un homme qui a un casier judiciaire, et que la prostitution masculine est tout aussi malvenue que la prostitution féminine.
C’est un agent de police initié qui a informé le Financial Times de cet incident et que, de toutes manières, et comme c’est souvent le cas avec les princes et princesses saoudiens et qataris, l'affaire a été promptement étouffée, d’autant plus que la princesse est titulaire d'un passeport diplomatique. 
La police britannique a notifié l’incident à l'ambassade du Qatar, mais celle-ci ne s’est inquiétée que de la publication du scandale. Ainsi, l'ambassade du Qatar a offert au Financial Times  50 millions $ pour empêcher la publication du scandale,  mais le journal a rejeté l'offre, et a publié les faits du cas ainsi que des photos  de la princesse. Les Qataris se croyaient en Tunisie, où, pour cette somme, ils ont acheté l’État, et ses possessions, car dans ce pays, ce sont leurs Frères Musulmans qui commandent.

Source : Veterans ToDay  et autres

[1] Le gang bang (dérivé de l'anglais gangbang) désigne ici une pratique orgiaque  au sens de forme de sexualité de groupe librement consentie entre une femme et plusieurs hommes.


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 Hannibal GENSERIC