LIBERTÉS- Pour une femme, porter un short, un top et des baskets le soir peut être un motif d'arrestation, à en croire le témoignage d'une jeune femme, qui a raconté sa mésaventure avec des policiers sur son compte Facebook, relayée par de nombreux internautes.
C'est une énième histoire de harcèlement policier, rapportée d'abord par les réseaux sociaux puis par les médias.
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Pour avoir la version des faits, le HuffPost Tunisie a contacté le ministère de l'Intérieur, qui affirme ne pas avoir d'informations sur cette affaire.
Comment y faire face?
"Lors d'un contrôle d'identité de la police, vous êtes tenus de coopérer mais le policier n'a pas le droit de s’immiscer davantage dans votre vie privée ", a déclaré au HuffPost Tunisie Oussema Helal, avocat.
En
cas d'excès de zèle, de harcèlement, comment procéder, sachant que
l'article relatif à l'outrage à un agent public est agité comme une épée
de Damoclès?
"Il faut essayer de faire comprendre calmement aux
policiers qu'ils sont hors la loi, comme pour tout abus similaire. Si ça
dégénère, il ne faut surtout pas signer le procès verbal rédigé par les
policiers au poste", préconise l'avocat.
HuffPost Tunisie | Par Rihab Boukhayatia
Commentaire :
Sous le "dictateur Ben Ali", la police respectait le citoyen en général, et les femmes en particulier. Réciproquement, les citoyens respectaient la police, les lois, et les règlements, comme par exemple les règles de la conduite automobile ou bien celles de non dépôt des ordures partout et à n'importe quelle heure. Depuis "la révolution de la brouette", qui n'est qu'un coup d'état américano-islamiste, la Tunisie est gouvernée par les ordures islamistes terroristes, de plus en plus soutenues par l'Occident philo-sioniste. Aucune loi n'est respectée, sauf celle consistant à racketter la population afin d'enrichir la nouvelle classe des arrivistes islamistes, des repris de justice devenus, soit des ministres soit des djihadistes violeurs et coupeurs de têtes.
Au secours Poutine !
Hannibal GENSERIC