Un
vent de guerre ouverte souffle en ce moment
entre d’une part le "Deep State" américain, et d’autre part les
forces de la NSA fidèles au président Donald Trump, et les forces saoudiennes
fidèles au prince
héritier Mohammed bin Salman. Après avoir ciblé les
pervers sexuels et les pédophiles des élites démocrates des médias américains
et de Hollywood, Trump cible maintenant les comploteurs du coup d'État qui
s’est traduit par les attaques du 11
septembre 2001 (9 / 11).
En effet, selon http://www.whatdoesitmean.com/index2427.htm, le 16 février 2016, Trump avait promis t que s’il est élu "on découvrira qui a vraiment démoli le World Trade Center ... ce n'étaient pas les Irakiens .. .Ce sont peut-être des Saoudiens ".
Trump savait très bien de quoi il parlait. En tant que constructeur de classe mondiale de
gratte-ciels emblématiques, le président Trump a immédiatement compris que
l'effondrement des bâtiments du World Trade Center était causé par un évènement d'implosion de
démolition contrôlée. En effet, aucun esprit sain ne peut croire qu’un carburéacteur kérosène pourrait faire fondre
les poutres massives en béton armé avec lesquelles ces types de bâtiments sont
construits. Si cela était possible, on verrait maintenant des dizaines de
millions de radiateurs résidentiels au kérosène dans le monde entier déjà
réduits en bassins de métal fondu.
Pour ce qui est de la véritable cause des attentats du 11
septembre, Trump savait (et
tout le monde sauf le peuple américain) que c’était un ignoble et
sinistre complot orchestré par la Famille
du Crime Bush et par la puissante famille
Ben Laden (aidées par la Famille
du Crime Clinton ) afin de détruire le Moyen-Orient et l'Afghanistan
afin de construire des pipelines pour contrôler le flux mondial de gaz naturel
et de pétrole. Pour les crimes commis dans ce dernier pays, la
CPI Cour pénale
internationale prépare des accusations de crimes de guerre et de crimes
contre l’Humanité contre les États-Unis
Le complot du 11 septembre a commencé en novembre 1998, lorsque l'ancien
président George H.W. Bush, au nom de la compagnie financière privée
multinationale The Carlyle Group s'est rendu à
Djeddah, en Arabie Saoudite, pour
rencontrer la famille Ben Laden, à laquelle assistait
le milliardaire singapourien Leonard Glenn Francis, propriétaire de la
compagnie maritime internationale Glenn Marine Group.
Une dernière réunion entre le président Bush et la famille Ben Laden pour
"officialiser" et "activer" le
complot du 11 septembre, a eu
lieu à nouveau à Djeddah, en janvier 2000 , durant laquelle une
"séance
d'essais" a été approuvée, mais «certaines parties» n'acceptant de procéder
effectivement à cette vile attaque qu’à la condition que George W. Bush est élu président des États-Unis. Ce fut effectivement le cas cette année-là, lorsque la Cour suprême des
États-Unis ordonna à la Floride de stopper le décompte de ses voix de vote,
permettant ainsi à Bush de l’emporter.
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George W. Bush devenant président en janvier 2000, le complot du 11
septembre s'est accéléré avec l’achat
et le paiement par ces comploteurs assassins d’agents de renseignement de la Navy américaine
pour coordonner les attaques contre le World Trade Centers (WTC) et contre le l'US
Capitol Building. En effet, Leonard
Glenn Francis avait si complètement corrompu la Navy que presque
tous les amiraux de la marine américaine étaient sous son contrôle.
Ces traîtres du Renseignement de l’US Naval Intelligence craignant
que leur centre de contrôle du Pentagone pour les attentats du 11/9 pourrait
éventuellement faire l'objet d'une contre-attaque, ils l’avaient massivement renforcé, notamment en l’équipant
de fenêtres résistantes de 2 pouces d'épaisseur et pesant chacune 2500 livres,
pouvant résister aux explosions, et dont
le travail a été achevé tôt le matin du 11 septembre 2001.
Le 11 septembre 2001, à 9 heures, le président George H.W. Bush, l'ensemble
du groupe Carlyle et la famille Ben Laden, se sont rassemblés à l'hôtel Ritz
Carlton à Washington DC pour célébrer ce qui leur serait une victoire, mais qui,
pour le reste du monde, a été l'un des crimes les plus horribles contre le
peuple américain.
Cependant, ces vils plans ont été contrecarrés quand un mystérieux avion “Aurora Aircraft” a décollé de la région
tout aussi mystérieuse Area 51 du Nevada, a volé à Mach 6 (6 fois la vitesse du son) vers la Pennsylvanie
où il a oblitéré
l'avion destiné à frapper le bâtiment du Capitole des États-Unis. Il s'est ensuite dirigé
vers le Pentagone où il a tiré un puissant missile de
croisière détruisant complètement le bureau (surprotégé) du Centre de Contrôle
du Renseignement Naval, tuant
instantanément de nombreux officiers du
renseignement naval américain. Après cette contre
opération, l’attaque du 11/9 fut immédiatement stoppée,
BI photo d'un trou laissé au Pentagone le 11 septembre
2001 avant l'effondrement de la structure ...
... alors que le peuple américain a été
endoctriné pour croire que ce trou a été fait par un avion comme ça.
Immédiatement après les attentats du 11 septembre, le président
George W. Bush a rapidement
chassé d’Amérique tous les membres de la famille Ben Laden qui pensaient
fêter la victoire à l'hôtel Ritz
Carlton, à Washington DC, en les envoyant par avion d’abord au Texas
d'où ils ont ensuite gagné l'Arabie saoudite.
On se rappelle que
Bush avait déclaré sans vergogne : "Le
fait que mon père rencontre le frère d'Oussama le 11 septembre 2001, ne fait
pas de lui un suspect terroriste" - Mais le "papa", l’ancien
président George HW Bush a néanmoins coupé tous
les liens entre son groupe Carlyle et la famille Ben Laden six
semaines plus tard, le 26 octobre 2001 . Et ce n’est qu’après coup que l’on
a décidé qu’Oussama
Ben Laden, l'ancien agent de la CIA, était le meilleur « bouc
émissaire », on en a fait le "cerveau" des attentats du 11
septembre.
Toujours dans la foulée des événements du 11 septembre 2001, le
général des Marines John Kelly a formé une alliance
avec le général Michael Flynn, qui est considéré comme le plus efficace des
services secrets militaires américains de l'époque moderne, afin de reconstruire l'ensemble de l'organisation du
renseignement naval américain, et ils tentèrent de découvrir les faits réels de
ce crime monstrueux contre l'Amérique et son peuple.
Dans une opération de renseignement classique «suivez
l'argent», les généraux Kelly
et Flynn du ont commencé à découvrir la corruption massive qui avait
mené l'US Navy à faire partie du complot du 11 septembre, mais ils
étaient farouchement combattus tout à la fois par les régimes Bush et Obama à
chaque étape du processus - si bien qu'ils ont dû se détourner de l'armée
américaine et obtenir de l'aide forces du FBI "loyales à leur cause" ,
qui étaient toutes basées en Californie, et non pas à Washington DC.
Appuyés par ces forces du FBI en Californie, Kelly et Flynn
(appuyés par quelques responsables loyaux du renseignement militaire américain)
ont réussi à obtenir, le
17 décembre 2013, un plaidoyer de
culpabilité d'un comploteur de second niveau (du coup d'État du 11 septembre).
Il s’agit d’un officier de renseignement des forces navales américaines, nommé John
Beliveau.
Mais Beliveau est reste caché pendant près de trois ans, par peur d’être
liquidé par le régime d'Obama. Il réapparaît le
14 octobre 2016, date à laquelle il a été traduit devant un tribunal
fédéral américain et condamné pour ses crimes.
De la «graine» de l'officier de renseignement naval
américain John Beliveau, les généraux Kelly et Flynn ont pu commencer à
«faire pousser l'arbre» pour détruire ce nid de complices d'attaque du
11 septembre (maintenant appelé le “Fat Leonard Scandal”
) - et qui a considérablement accéléré sous la direction du président Trump
avec son ordre, en juin dernier, de déposer les
premières accusations contre ces monstres en vertu de la loi militaire
américaine et qui, il y a quelques heures, a commencé
à cibler plus de 440 officiers de la Marine américaine, dont 60 amiraux parmi
les 221 Amiraux de la Marine.
Au moment même où le président Trump se dirige contre ces
comploteurs du 11 septembre, les forces saoudiennes fidèles au prince héritier Mohammed
bin Salman ont, au cours des dernières 48 heures, arrêté
presque tous ceux qui ont assisté à la «célébration de la
victoire» avec la famille du Crime Bush au Ritz Carlton Hotel, à Washington DC,
le 11 septembre 2001, pour inclure les frères d'Oussama Ben Laden Bakr Bin Ladenet Shafiq Bin Laden, à l’exception du prince
Mansour bin Muqrin et d'autres hauts
responsables saoudiens qui ont été tués lorsque leur hélicoptère a été abattu
alors qu'ils tentaient de fuir le pays, et le prince
Abdul Aziz bin Fahd qui est mort dans un échange de tirs avec des forces
qui tentaient de l'arrêter.
Ainsi donc, le président Trump avait chronométré avec le
prince héritier Mohammed bin Salman cette attaque contre ces comploteurs
du 11 septembre pour coïncider avec son séjour en Asie, tout en restant sous la protection de forces loyales pour
l'empêcher d'être assassiné. Cependant, les forces du «Deep State» ne
manqueront pas de contre-attaquer en essayant de pousser le monde au bord de la
guerre.
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VOIR AUSSI :
Entretien de Kevin Barrett sur Press TV:
Les 15 "pirates de l’air" saoudiens du 11 Septembre étaient des agents de la CIA
Quinze des
pirates de l’air des attentats du 11 septembre 2001 étaient saoudiens, agents
de la CIA et travaillaient pour le gouvernement des États-Unis, qui cherchait à
détruire le Moyen-Orient pour le bénéfice d'Israël et pour doubler le budget militaire américain, dit
le Dr. Kevin Barrett, un académique qui a étudié les évènements du 11
septembre depuis la fin 2003.
Le Dr.
Barrett est un membre fondateur de l’association the Scientific Panel
for the Investigation of 9/11, et a fait ces remarques dans un
entretien téléphonique avec Press Tv mercredi, après qu’un bon nombre de
législateurs aient appelé la Maison Blanche à déclassifier des documents qui
jettent la lumière sur la complicité possible de l’Arabie Saoudite dans les
attentats terroristes du 11 septembre 2001.
Les 15 Saoudiens pirates de l’air n’étaient
que des hommes de paille
“Nous savons
que 15 des pirates étaient saoudiens, les supposés pirates, parce qu’ils
n’étaient pas dans les avions, aucun des 19 pirates, ou quelque arabe que ce
soit ne se trouvait dans les quatre avions détournés, ce d’après la liste des
passagers et d’après toutes les preuves qu’il y aurait s’ils avaient été dans
les avions, mais rien n’a été produit,” a dit Barrett.
“Donc,
ces 15 hommes de paille saoudiens, qui furent cadrés pour encaisser le blâme
des attentats, étaient en fait des agents de la CIA. Nous savons cela, j’ai eu
ceci confirmé directement par une source de la CIA, que ces 15 Saoudiens,
entrèrent et ré-entrèrent de manière répétitive avec des soi-disant visas de
travail, mais il y a un numéro spécial de visas de travail qui ne sont donnés
qu’aux agents de la CIA en récompense de leurs services pour l’agence de
renseignement centrale et ces visas leur permettent de venir aux États-Unis.
Typiquement, ils sont payés pour leur travail pour la CIA en Arabie Saoudite,
et on leur donne ce type spécial de visa qui est maquillé comme visa de travail
mais c’est d’un type particulier,” a t-il déclaré.
“L’ensemble
de ces 15 types possédaient ce genre de visa. Ceci montre qu’ils étaient tous
en fait des agents de la CIA. Certains d’entre eux vivaient avec des personnels
du FBI en Californie. Ces 15 personnes ne travaillaient pas contre le
gouvernement des États-Unis mais pour lui et ils furent spécifiquement cadrés
de manière à ce que l’Arabie Saoudite puisse être éventuellement blâmée pour
les attaques du 11 septembre, qui furent en fait perpétrées par Israël et ses
sbires américains,” a-t-il fait remarquer.
“Le but
était de s’assurer que l’Arabie Saoudite ne puisse pas sortir de l’orbite
gravitationnelle américaine, comme le roi l’avait menacé en Août 2001.
Similairement, le Pakistan fut aussi cadré. Le patron des services de
renseignements pakistanais l’ISI fut trompé, ou on lui donna l’ordre, quoi
qu’il en soit, d’envoyer de l’argent à Mohamed Atta, puis ceci fut révélé dans
un canard indien. De la même manière, le Pakistan menaçait de quitter l’orbite
américaine en 2001.”
“Bien
évidemment, l’appareil impérialiste, dominé par les sionistes ici aux Etats-Unis,
ne voulaient pas du tout d’un Pakistan nucléaire et d’une Arabie Saoudite riche
en pétrole tous deux indépendants. Alors, il a utilisé le 11/9 pour les ramener
dans l’orbite impérialiste, ce n’est qu’un des éléments,” a observé
l’expert.
Quel fut le
but du 11 septembre ?
“Bien sûr
le but du 11/9 fut de détruire sept pays en cinq ans comme en a déjà parlé
l’ancien général Wesley Clark, pays qui étaient des ennemis ou des menaces
perçues pour Israël. Toute cette vérité fera-t-elle surface lors de la
publication des 28 pages manquantes, ce qui pourrait mener à la réouverture de
l’affaire des attentats ?” a dit le Dr. Barrett.
“Bien
si cela rouvre le fait que le bâtiment 7- la plus évidente des démolitions
contrôlées de New York- fut celle du bâtiment 7 du WTC, mais les deux tours
jumelles furent elles aussi des démolitions contrôlées. Il n’y a eu aucun
pirate de l’air dans aucun de ces avions. Pas un seul nom arabe dans ces
avions. Pas un gramme de preuve qu’aucun de ces gars ne fut dans les avions”,
a t-il dit.
“Si ces
faits ressortent et que nous apprenons que le 11 septembre fut une opération de
couverture et d’enfumage
menée par Israël et ses agents américains, ceci incluant les
quasi-agents comme le sont les George W. Bush,
Dick Cheney et Donald Rumsfeld etc, une opération qui fut
agencée comme un nouveau Pearl Harbor, non seulement pour détruire le
Moyen-Orient pour le profit du “Grand Israël”, mais aussi pour permettre
de plus que doubler le budget militaire américain et revigorer l’empire
américain (NdT: via son complexe militaro-industriel et de la sécurité qui
engrange le fric depuis lors…) et bien cela s’est terminé par tuer l’empire
américain,” a t-il continué.
“Cela a
certainement aidé Israël; ils ont détruit tous leurs voisins, virtuellement.
Mais les Etats-Unis sont maintenant dans un triste état. Pour faire tourner la
table, nous
avons besoin de promesses comme celle de Trump de révéler au peuple qui a
vraiment effondré les tours jumelles du WTC et ce fut les sionistes,”
a noté l’analyste.
“Une fois
que nous saurons tout cela, nous serons peut-être dans une position de revamper
radicalement la structure du pouvoir ici aux États-Unis, de reprendre cette
structure corporatiste dominée par les sionistes, les banques, l’industrie de
l’investissement et l’appareil médiatique et ainsi de pouvoir rendre l’Amérique
à son peuple, mettre fin à l’empire américain et nous presser dans une nouvelle
ère de paix multi-polaire,” a conclu le Dr. Barrett.
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Hannibal GENSERIC