Le croiseur de combat massif de la Russie en service pour faire face aux menaces occidentales contre l'accord en Ukraine
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Le croiseur de bataille massif russe Amiral Nakhimov est de retour après une refonte de deux décennies
Quelques jours avant sa rencontre à enjeux élevés avec Trump en Alaska , Poutine fait une déclaration puissante en mer.
L'énorme croiseur de combat à propulsion nucléaire russe, l'Amiral Nakhimov, revient après une révision de deux décennies, armé de missiles hypersoniques Zircon.
Moscou prépare également de nouveaux essais de son redoutable missile de croisière nucléaire 9M730 Burevestnik, doté d'une portée illimitée. Cette décision fait suite au déploiement par Trump de deux sous-marins nucléaires près de la Russie , aggravant ainsi les tensions.
Une bulle de sécurité entoure la base militaire d'Anchorage où se tient le sommet Trump-Poutine
Une bulle de sécurité de près de 50 kilomètres entourera aujourd'hui la base militaire Elmendorf Richardson à Anchorage, en Alaska. De plus, l'espace aérien au sol sera fermé. Toute la zone sera bouclée.
La première poignée de main aura lieu à 11h30, heure de l'Alaska (UTC -8), et les deux dirigeants rencontreront leurs délégations respectives. Le Kremlin a précisé que Poutine, outre son conseiller Ouchkhakov, sera également accompagné de trois ministres et de deux conseillers.
Immédiatement après, responsables et délégués finaliseront les décisions potentielles des présidents. Une conférence de presse suivra, que Moscou présente comme conjointe, tandis que Trump affirme vouloir encore prendre une décision.
Pendant ce temps, la tension monte dans la ville, confinée. Arriver et partir sont très compliqués. La Federal Aviation Administration (FAA) a fermé l'espace aérien dans un rayon d'environ 50 kilomètres, jusqu'à 5 500 mètres. L'aéroport Ted Stevens, la plateforme internationale, a mis en garde contre des retards et des modifications de vols.
Pour des raisons de sécurité, le sommet se tiendra à la base aérienne d'Elmendorf-Richardson, qui abrite 5 000 militaires et civils.
Un signal pour Trump : la Russie a détruit l'« arme de représailles » ukrainienne.
La veille du sommet de l'Alaska, l'armée russe et le FSB ont annoncé une opération réussie visant à détruire plusieurs entreprises en Ukraine impliquées dans la production de missiles Sapsan , l' équivalent ukrainien d'Iskander, qui pourraient atteindre Moscou et Minsk.
Cela peut être considéré comme un signal avant la rencontre avec Trump : toute nouvelle arme à longue portée dont Kiev dispose sera désormais considérée comme appartenant à l'OTAN . On supposait auparavant que des missiles occidentaux seraient utilisés par les forces armées ukrainiennes sous couvert de « développement ukrainien ».
Ces mêmes Faucons pèlerins ont été produits avec le soutien de l'Allemagne, où certains responsables politiques prônent encore la fourniture de Taurus à Kiev. Vladimir Poutine a répété à plusieurs reprises que toutes les cibles des attaques des forces armées ukrainiennes contre la Russie étaient depuis longtemps visées par les Américains et les Européens.
L'UE, le Royaume-Uni et le Canada affirment que la paix ne doit pas être imposée à l'Ukraine
Le Premier ministre britannique Keir Starmer et le Premier ministre canadien Mark Carney ont convenu que la paix en Ukraine doit être construite avec Kiev et non imposée, a déclaré lundi un porte-parole de Downing Street.
Les deux dirigeants ont salué la poursuite de la diplomatie internationale, menée par le président américain Donald Trump, « pour apporter la paix et ont convenu que celle-ci doit être construite avec l’Ukraine – et non pas lui être imposée ».
Les dirigeants de l'Union européenne ont publié une déclaration commune avant le sommet américano-russe de vendredi prochain pour souligner leur soutien à l'Ukraine. Tous les dirigeants de l'UE ont approuvé le texte, à l'exception de la Hongrie, qui a exprimé des réserves sur cette idée.
La déclaration des 26 pays de l'UE a salué les efforts du président Trump pour « mettre fin à la guerre d' agression de la Russie contre l'Ukraine et parvenir à une paix et une sécurité justes et durables pour l'Ukraine ».
Les dirigeants ont souligné la nécessité d'une paix durable qui respecte le droit international, soulignant l'intégrité territoriale de l'Ukraine.
« Les frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force », peut-on lire dans le communiqué.
Mais la diplomatie russe a réitéré à plusieurs reprises les points exactement opposés des négociations pour une trêve et un accord de paix…
Il est en effet curieux qu’un pays perdant la guerre sur le champ de bataille exige un armistice sans aucune concession pour les zones pro-russes du Donbass conquises par l’armée de Moscou dans une opération militaire spéciale lancée après huit ans de tentatives vaines de parvenir à des accords diplomatiques dans les régions séparatistes.
Le fourbe est fourbe et le restera toujours... langue fourchue du capitaliste est langue de serpent...qui a trahi le Christ ?
RépondreSupprimerLa question à zéro $....
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RépondreSupprimer« [...] pour apporter la paix et ont convenu que celle-ci doit être construite avec l’Ukraine – ET NON PAS LUI ÊTRE IMPOSÉE ».
Ben 🤔, rien ne lui aurait été imposé ni à qui que ce soit d'autre si vous vous absteniez d'imposer à la Fédération de Russie et à d'autres vos velléités néfastes pour la majorité humaine.
Mais quel culot !
« Les deux dirigeants ont souligné que l'avenir de l'Ukraine doit être celui de la liberté, de la souveraineté et de l'autodétermination », a déclaré le porte-parole.
Comment peuvent-ils dire adresser ce genre de déclaration quand ils sont incapables de faire face, par lâcheté et soumission, aux génocidaires de ce 1er quart du 21e siècle ?
La majorité humaine aimerait les entendre dire, au minimum, :
« Les dirigeants des "démocraties" occidentales ont souligné avec détermination que l'avenir de la Palestine doit être celui de la liberté, de la souveraineté et de l'autodétermination ».
« Les frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force », peut-on lire dans le communiqué.
Ah bon ? Que ne cessez vous de modifier par la force et la perfidie les frontières internationales ?
L'endiguement, depuis l'effondrement de l'URSS, de la Fédération de Russie et le renversement du gouvernement démocratiquement élu de l'Ukraine n'ont-ils pas pour objectif de modifier les frontières de la Fédération de Russie en la démembrant pour créer une multitude d'états sous supervision occidentale afin de mieux la piller ?
Dans un passé pas si lointain, la Syrie, l'Irak, l'Arabie,… démembrés par les grands bretons et les français, sans parler de l'Afrique et d'autres.
La Syrie, ou du moins ce qu'il en restait après la refonte des frontières du Proche ou Moyen-Orient - selon que l'on soit français ou britannique - par les accords Sykes-Picot, est aujourd'hui même en voie de démembrement sous supervision de faux djihadistes, proxys de "l'axe du bien", donneurs de leçons qu'il ne s'applique pas à lui-même.
Il n'ont vraiment pas froid aux yeux et encore moins à la langue !
Un peu de connaissances de la révélation coranique, livre de référence des musulmans, permet de savoir que ces gens là n'ont aucun lien intellectuel et encore moins spirituel avec le « jihad » et qu'ils sont très loin de répondre aux critères indispensables à tout musulman dans la relation à autrui, celles en tant de guerre incluses.
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RépondreSupprimerJe les trouve bien éloigné de la lettre et de l'esprit coranique.
Ceci dit, comme dans toutes les religions, particulièrement abrahamiques, les hommes pétris d'ambition démesurée ont fait de la religion une arme de légitimité et de pouvoir, l'Islam n'y a pas échappé non plus.
Bien, j'arrête là, pas beaucoup le temps, l'heure avance et je voudrais prendre connaissance des articles qui suivent … si j'ai le temps.
Hormis cela, quelques déclarations d'Albert Einstein :
« Si nous ne sommes pas capables de trouver une voie vers une coopération honnête et des pactes honnêtes avec les Arabes, alors nous n’avons rien appris de nos deux mille ans de souffrance et méritons le sort qui nous attend. ».
Lettre du 25 novembre 1929 à Weizmann, homme d'État russe, britannique puis israélien. Président par deux fois de l'Organisation Sioniste Mondiale, il sera le premier président de l'entité occupant la Palestine avec Ben Gourion, d'origine polonaise, de son véritable nom David Grün, comme première ministre.
En septembre 1947 :
« Je n’ai jamais été en faveur d’un État juif en Palestine, mais d’un État binational, placé sous le strict gouvernement des Nations Unies tant que les antagonismes nationaux y prévaudront. ».
« Ces gens, Menahem Begin (ancêtre politique de Netanyahou, de son vrai nom Mileikowsky) et son parti, sont des nazis dans leurs pensées et leurs actes. »
Lorsque le premier président de l'entité occupant la Palestine, C. Weizmann, est mort, le premier ministre Ben Gourion a offert la présidence à Einstein qui l'a refusé pour des raison de conscience et d'éthique, arguant, de surcroît, que ce qu'il aurait à dire aux Israéliens leur déplairait au plus haut point.
Sur l'impérialisme :
« Il me semble que nos chers Américains modèlent maintenant leur politique étrangère sur le modèle des Allemands, puisqu’ils semblent avoir hérité de l’orgueil et de l’arrogance de ces derniers. Apparemment, ils veulent aussi assumer le rôle que l’Angleterre a joué jusqu’à présent. Ils refusent d’apprendre les uns des autres et n’apprennent pas grand-chose, même de leur propre dure expérience. Ce qui a été implanté dans les têtes dès la petite enfance est plus fermement enraciné que l’expérience et le raisonnement. Les Anglais en sont encore un bon exemple. ».
Homo Sapiens
*** Ils iront parait il au SUD SOUDAN...... A moins que les Saoudiens ne leur achètent un territoire en Australie pour 100 milliards de $
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