mardi 5 août 2025

L’occasion tragiquement manquée du talent juif, par Jung-Freud

 Contenus

Comment ils auraient pu être des artisans de paix…

Mais ils ont choisi d’être des bricoleurs fous, faisant exploser le monde.

« Heureux les artisans de paix… » Quelle occasion manquée !

Les Juifs[1] du monde entier auraient pu jouer un rôle magnifique dans l’ordre post-Guerre froide. Si un peuple était prêt à jouer ce rôle, c’étaient bien les Juifs, notamment en partenariat avec les Anglo-Saxons, les plus grands bâtisseurs d’empires de l’histoire. Les Anglo-Saxons et les Juifs, plus que tout autre peuple, de par leurs traits de caractère, leur formation et leurs tâtonnements, auraient pu faciliter l’avènement d’un Nouvel Ordre Mondial de paix et de prospérité pour l’humanité. Le tragique gâchis de cette chance historique pourrait encore conduire à des crises majeures au XXIe siècle, comparables aux pires horreurs du siècle dernier. Espérons que les grandes puissances émergentes parviendront à détourner et à désamorcer les affrontements provoqués par l’Occident dominé par les suprémacistes juifs.

Un problème évident réside dans la nature actuelle du pouvoir juif. Il est en mode suprémaciste, aggravé (et compliqué) par un suprémacisme « furtif » [comme les drones invisibles au premier abord]. En effet, alors même que les Juifs élaborent et exécutent des politiques fondées sur des objectifs suprémacistes avec le soutien de la classe dirigeante blanche, ils utilisent les illusions du type « wokeness » pour perpétuer l’illusion qu’eux, en tant que peuple éternel de l’Holocauste, sont les meilleurs amis des groupes « marginalisés » contre « l’extrême droite » et le « suprémacisme blanc ».

En vérité, la plupart des politiciens blancs (et goys) de Washington DC ne sont guère plus que des chiens obéissants envers leurs maîtres juifs depuis longtemps. Il n’est pas étonnant que ces lèche-bottes applaudissent le chaos à Gaza et l’alliance judéo-nazie en Ukraine, par pure complaisance envers les Juifs, considérés comme un peuple exceptionnel. Oui, ces mêmes Juifs qui organisent sans cesse des conférences pour mettre en garde contre le spectre du mal-blanc-ceci et du mal-blanc-cela.
Bien sûr, l’essentiel de la colère juive n’est pas dirigé contre les « skinheads néonazis », une espèce menacée en Occident (et quasiment anéantie en Ukraine par l’armée russe), mais contre toute personne blanche qui souhaite quitter la ferme Maggie du suprémacisme juif, supervisée par des personnalités comme Ben Shapiro, Bill Maher, Rachael Maddow et Jonathan Greenblatt, avec leurs coups de fouet médiatiques.

l'oncle Sam en marionnette de l'étoile de David

Si vous rejetez le Grand Remplacement des habitants et préférez préserver votre vénérable patrie, vous êtes qualifié d’« extrême droite », et si vous refusez toute participation aux guerres fomentées par les suprémacistes juifs à travers le monde, vous êtes probablement un « isolationniste ». (Rappelez-vous que les néoconservateurs ont vilipendé MAGA, du moins à ses débuts, principalement en raison de son programme généralement anti-guerre.) Et si vous nommez le pouvoir juif, vous êtes un « antisémite ».
Pour démontrer que vous n’êtes pas si maléfique, vous devez soutenir non seulement l’idée d’une patrie juive (ou d’une nation pour les Juifs, dont la plupart nient l’existence nationale pour les goyim, notamment les Européens et les Palestiniens), mais aussi les agressions juives ou sionistes incessantes partout dans le monde. Et n’oubliez pas de continuer à prétendre qu’Israël ne fait jamais de mal, ce qui a pour corollaire que tout ce que font les sionistes est juste. (Voilà, la définition sioniste du bien et du mal, c’est : si les Juifs le font, c’est bien. Si les Juifs aiment ça, c’est bien aussi. Si les Juifs n’aiment pas ça, c’est mal.)
Si on veut un bonus, on est comparé à Winston Churchill si l’on soutient la guerre juive par procuration en Ukraine contre la Russie, ce conflit où le pouvoir juif a activement encouragé les forces ukro-nazies. Les choses peuvent difficilement devenir plus démentes que cela, mais la folie continue parce que pratiquement chaque goy blanc en position d’élite est un chien de Sion, pitoyable et pathétique.

Entrée du gouvernement du Montana, avec drapeau israélien

Était-il inévitable que le pouvoir juif prenne cette tournure ?

Peut-être, compte tenu de la combinaison de la tradition ethno-religieuse juive (la Tribu étant l’Élu de Dieu) et de l’image que les Juifs se font d’eux-mêmes, plus intelligents, plus déterminés, plus retors (l’honneur est un gros mot, pour certains) et plus ambitieux que les autres groupes.
Malgré cela, les tendances suprémacistes sont généralement atténuées par la réalité. Le boxeur à l’ego démesuré ajustera son attitude après quelques défaites. Vouloir gagner le marathon est une chose, y parvenir en est une autre. Si l’Allemagne nationale-socialiste et le Japon impérial avaient été freinés plus rapidement, la situation n’aurait peut-être pas atteint un point critique en Europe et dans le Pacifique. Même le dirigeant le plus dangereux du monde ne l’est pas autant s’il est bridé par des puissances plus grandes et plus puissantes. Erdogan et Netanyahou sont à peu près aussi dérangés, mais le premier est moins dangereux car ses ambitions n’ont pas encore été assouvies sur la scène internationale.

Les problèmes du suprémacisme juif peuvent être attribués non seulement à la nature et à la personnalité juives, mais aussi à l’incapacité des goyim, en particulier des Anglo-Saxons (aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Canada, en Australie, etc.) à servir de contre-pouvoir, de rempart ou de rappel des réalités. La critique constructive n’a jamais fait de mal à personne.

Certes, on pourrait dire que le pouvoir juif a mis les goyim en échec et mat, les plaçant dans une position où toute opposition significative est devenue pratiquement impossible. Autrement dit, toute critique ou contre-argumentation exprimée est interprétée comme « antisémite », évoquant le souvenir des nazis et de l’Holocauste, contraignant ainsi les critiques, aussi bien intentionnées et non malveillantes soient-elles, à une position défensive. Pire encore, à mesure que les Juifs ont pris le contrôle des institutions et des secteurs clés du droit, de l’université, des médias, de la finance, des arts et de la culture, tout critique potentiel du pouvoir juif s’est retrouvé encerclé et « contrôlé » de toutes parts. D’où l’échec et mat juif sur les goyim.

Extraits de presse US

Mais les goyim occidentaux, et en particulier les anglo-saxons, auraient pu empêcher cela lorsque le pouvoir juif était loin d’être tout-puissant. Le fait qu’ils aient laissé ce problème s’envenimer au point que le pouvoir suprémaciste juif soit devenu si absolu témoigne de leur stupidité, de leur lâcheté, de leur faiblesse et de leur manque de prévoyance.

Si les anglo-saxons et les anglo-américains, ayant perdu la volonté de puissance nécessaire pour lutter pour la domination, se sont résignés à disparaître de l’histoire, ils auraient au moins dû former d’autres groupes pour faire contrepoids au pouvoir juif. Or, au moment même où les juifs ont pris le contrôle des WASP, l’exemple donné par ces derniers était celui d’une servilité molle et boiteuse envers les juifs (en tant que sages tragiques et magiques de l’histoire). S’il y a pire que d’avoir de mauvais dirigeants, c’est bien de leur rendre culte.

Qu’est-ce que la bienveillance ?

Il existe depuis longtemps un débat sur la bonté, qu’il s’agisse essentiellement d’une qualité intérieure ou d’un facteur externe. Si quelqu’un est bon, est-ce principalement parce qu’il est bon intérieurement ou parce qu’il est conditionné à l’être par des forces extérieures ? Selon le behaviorisme de B.F. Skinner, parler de « personnalité » ou de « nature morale » n’a guère de sens, car le comportement humain est considéré comme la somme de toutes les pressions extérieures qui l’ont conditionné, tout comme une sculpture est le produit de tous les coups de marteau et de burin. Le soi-disant libre arbitre, selon cette idée, est en grande partie une illusion. Faire le « bien » ou le « mal » relève moins d’un choix individuel que d’un conditionnement social. À ne pas confondre avec le traitement Ludovico dans Orange mécanique, où Alex est biochimiquement programmé pour ne pas agir de manière violente, sauvage ou licencieuse. Alex est incapable de faire ce qu’il veut vraiment faire, alors que selon le behaviorisme, la myriade de conditionnements non seulement façonne le comportement d’une personne, mais la personnalise en lui faisant croire qu’il fait « ce qui est bon » (et s’abstient de faire le « le mal »).

Pas en mon nom

La réalité se situe assurément quelque part entre internalisme et externalisme. Il serait insensé de se fier uniquement au conditionnement externe. Cultiver le caractère moral contribue à la formation de membres honnêtes de la société. On dit que le Japon s’appuie davantage sur son propre béhaviorisme. Là-bas, on apprend aux individus à être attentifs à l’opinion des autres et à agir en conséquence, au détriment de leur propre sens du bien et du mal, ou de leur conscience personnelle.
À l’inverse, on dit que l’Occident chrétien, et en particulier le Nord protestant, est une culture de la culpabilité (ou du péché), où le sens premier de la vérité et de la décence réside quelque part entre soi et Dieu, ou, à l’ère laïque, entre soi et une connaissance rationnelle du monde fondée sur les faits. (On pourrait soutenir que le christianisme, loin de favoriser une véritable conscience, a conduit à un esprit de ruche puritain, une sorte de sanctimonie[2] collective faite d’hystérie et de panique morale, dont la variante laïque et dégénérée peut être trouvée dans le « wokisme ».)

Quoi qu’il en soit des individus, l’externalisme est le meilleur modèle à l’échelle macro-internationale. Autrement dit, il est insensé de compter sur un pays, surtout très puissant, pour être bon et faire le bien sur la base de son système de valeurs prétendument « intériorisé ». Pour preuve, il suffit de considérer l’Occident actuel avec ses discours incessants sur la « démocratie », les « droits de l’homme », la « diversité-équité-inclusion », l’« ordre fondé sur des règles », la « tolérance », etc., alors que son véritable modus operandi est un gangstérisme suprémaciste juif, aidé et encouragé par un « Occident démocratique » flagorneur blanc et lèche-bottes.

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Une société ou une nation, sans parler d’un empire, c’est trop vaste et complexe pour une conscience individuelle. Si une société composée majoritairement de gens bienveillants est susceptible d’être agréable, il n’en demeure pas moins que même les gens bienveillants peuvent être amenés à croire les choses les plus stupides ou les plus folles. Être bienveillant, c’est bien, mais c’est un sentiment et une attitude, qui est loin d’être une garantie de vérité ou de sens (ce qui peut d’ailleurs être considéré comme « inamical », comme lorsqu’un médecin doit annoncer à son patient un diagnostic désastreux). La plupart des chiens sont gentils. Beaucoup de chats sont gentils. Beaucoup de gens sont gentils, ce qui est bien, mais cela signifie aussi qu’ils sont dociles, avides de complaisance et d’approbation, et donc faciles à manipuler par des individus vénaux et sournois, pour qui les gens bienveillants ne sont que des pigeons nés de la dernière pluie.

Habituellement, même parmi les gens bien, ceux qui arrivent au sommet ont tendance à ne pas l’être autant ; ils sont souvent motivés par la cupidité, l’égoïsme, l’opportunisme, la soif de pouvoir, etc. Grâce à leurs leviers de contrôle et de manipulation, ils peuvent pousser les masses bienveillantes (avec une âme de scouts) vers des choses stupides ou folles, un peu comme les adultes jouent avec le cœur et l’esprit des enfants. Sinon, comment expliquer que tant de gens BIEN s’emportent et propagent  l’hystérie du Covid, sans parler du scandale Black Lives Matter et de la « collusion » avec la Russie ? 70 % des Américains soutiennent le « mariage gay ». Ils se croient tellement bienveillants. De la folie par manipulation de la gentillesse.

On aimerait croire qu’un ordre sociopolitique peuplé de gens bienveillants reflète une bienveillance générale au sommet, mais cela n’a pas toujours été le cas, notamment parce que ces gens bienveillants ont tendance à être dupes des PT Barnums de ce monde.
Ainsi, le seul véritable espoir pour les pays de bien se comporter réside dans le mécanisme des pressions extérieures : par exemple, un pays plus fort exerçant une pression sur un pays plus faible, des pays plus faibles agissant de concert contre un pays plus fort, ou un pays fort contrebalançant un autre pays fort. Quant aux empires, ils sont voués à l’échec sur le plan de la décence en raison de l’orgueil intrinsèque à l’impérialisme. Les États-Unis l’ont amplement démontré après la fin de la Guerre froide. Ils auraient pu jouer le rôle du bon policier mondial, mais ils sont devenus accros à leur pouvoir et à leur prestige de superpuissance solitaire.

L’issue du changement politique aux États-Unis aurait pu être tolérable si l’élite dirigeante juive qui a supplanté les WASP avait été représentée par des personnes dotées d’une certaine sagesse, de patience et de compréhension. À défaut, si des groupes non juifs avaient joué le rôle de contrepoids par une critique constructive.
Au contraire, année après année, les juifs ont consolidé leur emprise sur les institutions et les secteurs clés, non seulement sur les plans politique, économique et culturel, mais aussi spirituel. L’identité juive s’est alors principalement identifiée à l’Holocauste (et au culte d’Anne Frank), ainsi qu’à l’image des Juifs comme humoristes, sages et/ou victimes malheureuses, Woody Allen jouant souvent les trois rôles.

Si les Juifs étaient pour la plupart des gens passifs, soumis et/ou résignés, de telles complaisances bienveillantes de la part des goyim auraient été inoffensives. En réalité, les Juifs ont toujours été parmi les peuples les plus déterminés, les plus capables, les plus impitoyables, les plus retors et/ou les plus névrosés de la planète. Étiqueter la judéité avec le culte de la sainte victime d’Anne Frank, l’adorable culte du sage Albert Einstein et le culte attachant du comique de Seinfeld a tout simplement manqué la véritable nature du suprémacisme juif et de ses victimes.

Trump et Netanyahou rigolent devant une petite fille palestinienne

Historiquement, les Juifs ont compté parmi les idéologues les plus fervents et les plus radicaux, prônant souvent la violence pour provoquer le changement. Ils ont été parmi les bourreaux du communisme les plus terrifiants. Ils ont été parmi les financiers les plus sournois et les plus parasites, parmi les influences les plus corruptrices sur la société et la culture, parmi les plus cruels du crime organisé.
Ce sont des suprémacistes juifs qui ont orchestré les événements qui ont conduit à la guerre d’Ukraine, laquelle a peut-être coûté la vie à jusqu’à un million de chrétiens slaves. Pourtant, la SEULE préoccupation juive est : « Est-ce bon pour les Juifs ? » Les Juifs sionistes en Israël commettent aujourd’hui ce que certains qualifient de « génocide » — si un dixième des violences commises à Gaza l’étaient contre Israël, toute élite occidentale parlerait assurément de « génocide » —, mais le discours dominant dans les cercles politiques et médiatiques traditionnels se résume à : « Nous devons protéger Anne Frank d’un nouvel holocauste ».

L’image sacralisée des Juifs et la nature réelle du pouvoir juif sont tellement en contradiction que la contradiction est devenue cancéreuse, corrompant complètement l’Occident au point de défendre le massacre de masse de civils par Israël à Gaza comme un acte de « défense », comme si les Juifs étaient des Anne Frank pour toujours, quoi qu’ils fassent, tandis que leurs victimes sont des nazis pour toujours ou des antisémites pour toujours, simplement parce qu’ils se trouvent être en désaccord avec l’agenda de ces suprémacistes-là.

L’autre grande contradiction de l’esprit occidental actuel concerne les Noirs états-uniens, présentés de manière narrative et idolâtrique comme sages, magiques, gentils, attentionnés, nobles, ou si cool et durs à cuire que leurs transgressions sont pardonnables, mais qui, en réalité, sont comme les autres, capables du meilleur et du pire. Ainsi, même si des Noirs ont transformé des zones urbaines entières en mini-Detroit et continuent de dégrader le tissu social, ils sont généralement considérés comme des saints Emmett Till ou des victimes du « racisme systémique ».

Le mythe de l'humanité occidentale, pancarte

Nous avons des Juifs psychopathes qui utilisent les États-Unis comme seule superpuissance pour ravager des régions entières du monde, et nous avons des Noirs sociopathes qui détruisent des communautés entières à travers les États-Unis, mais la grande majorité blanche américaine reste accrochée au récit  iconique d’Anne Frank et d’Emmett Till.

Dans l’Occident actuel, nous devons faire comme si Benjamin Netanyahou était une voix sage et morale dans le désert, un leader et un prophète, le « plus grand homme du monde » (selon Donald Trump), alors qu’il est entouré de sionistes d’extrême droite qui l’aident et le soutiennent dans ses guerres maniaques. Et nous devons faire comme si George Floyd était le plus grand saint depuis saint Paul, plus grand même que Martin Luther King, Mandela et Michael Jackson réunis.

La civilisation ne se résume pas à la richesse et aux moyens matériels. Elle repose sur la vision de la vérité qui la guide, et la vision occidentale actuelle est peut-être plus décrépite que jamais dans l’histoire. Ainsi, aussi riche et puissant soit-il, l’Occident déclinera (et devra décliner) à cause de son délire obstiné selon lequel les assassins de masse suprémacistes juifs sont une bande d’Anne Frank et les voyous noirs sont le sel de la terre, le genre de personnes aux pieds desquelles les Blancs doivent ramper et gémir.

Quoi qu’il en soit, avec le manque de sagesse et de retenue du pouvoir juif, et avec la plupart des goyim, en particulier la majorité blanche à genoux devant les suprémacistes juifs, les considérant comme la source de toute sagesse, de toute sainteté, de toute splendeur et de tout malheur, la dégradation continue de l’Occident semble une certitude. On peut s’interroger sur un pays qui confie la politique étrangère à des personnalités comme Victoria Nuland, Anthony Blinken, Marco Rubio et Pete Hegseth ; un pays où des individus comme Mike Pompeo et John Hagee, des imbéciles humains, incarnent les valeurs « conservatrices ».

liste des agressions US, face à l'iran, qui n'a attaqué aucun pays

 

Qu’il s’agisse de Blancs à faible QI (évangéliques) ou à QI élevé (libertariens et HBD), ce qui les unit est un esclavage mental envers Sion, qu’il s’agisse des Élus ou des Champions. Les évangéliques considèrent les Juifs comme la race supérieure spirituelle, tandis que les Blancs libertariens et HBD les considèrent comme la race intellectuellement championne. Mais le résultat final en termes politiques se résume au même principe : il est du devoir des Blancs, qu’ils soient sionistes chrétiens ou sionistes adeptes du QI, de se soumettre aux membres de tribus manifestement supérieurs, sans l’aide desquels les Blancs n’auraient ni direction ni avenir.

Si, compte tenu des événements de la Seconde Guerre mondiale, la sentimentalité envers les Juifs était compréhensible avant l’apothéose de l’ascension juive, elle ne peut aujourd’hui être diagnostiquée que comme une forme d’arriération ou d’opportunisme lâche, alimenté principalement par la peur.

De même, à l’époque romaine antique, la partialité envers les chrétiens était passée d’une sympathie volontaire pour un groupe victimisé à une adhésion obligatoire à un groupe puissant, nouvellement consacré comme le plus puissant. Si, à une époque, certains Romains païens ont pu avoir pitié des chrétiens opprimés, ils ont ensuite tremblé de peur, car tous étaient tenus de prêter allégeance à la seule et unique foi. des chrétiens. De même, il n’y a plus rien de consciencieux, ni de personnel, dans les expressions de sympathie des Blancs envers les Juifs à notre époque. Ce n’est plus une question de choix, il faut ramper avec une sympathie obligatoire (ce qui n’est pas de la vraie sympathie, mais une question de choix personnel) aux pieds des Juifs. Quand des gens comme Mike Johnson, Mitt Romney et Donald Trump lèchent le cul de Sion, nous savons que c’est par peur et par effroi, mais bien sûr, personne ne veut admettre sa plropre lâcheté, donc il y a le prétexte pratique qu’il s’agit avant tout de prendre soin de ces pauvres Juifs qui pourraient bien être à nouveau Anne Frank.

Pourquoi les Juifs étaient-ils particulièrement bien placés pour devenir les grands artisans de paix du XXIe siècle ?

De multiples raisons peuvent expliquer ce phénomène. La diaspora juive est non seulement vaste, mais aussi étroitement liée à un réseau complexe. Ainsi, alors que les Grecs ou les Arméniens, dans différentes régions du monde, se concentrent principalement sur des questions personnelles et locales, les Juifs du monde entier ont développé une conscience mondiale. Ainsi, un Juif en Allemagne, en France, en Angleterre ou en Pologne n’est pas simplement un Juif vivant dans un pays, mais un membre d’une communauté mondiale plus vaste.
De plus, non seulement la diaspora juive est vaste et variée, mais les Juifs ont acquis un statut d’élite dans la plupart des pays où ils résident, ce qui leur confère une influence institutionnelle considérable. Les Juifs ont également fait preuve d’une double nature qui pourrait s’avérer bénéfique dans les affaires internationales : au lieu d’une loyauté absolue envers leur propre nation, ils ont développé un sens plus profond du devoir envers l’humanité tout entière. (Il s’est avéré que le pouvoir juif était moins divisé entre le nationalisme [du pays goy dans lequel résident les Juifs] et l’internationalisme qu’entre l’internationalisme et le suprémacisme juif.) De plus, l’intellectualisme juif, en particulier l’intérêt pour l’histoire, la politique, la philosophie et la culture, a donné à la communauté une aptitude à exceller dans les domaines consacrés aux relations internationales qui nécessitent des connaissances étendues et approfondies pour comprendre et traiter avec des peuples d’origines, de coutumes et d’intérêts différents. Et l’expérience juive en tant que marchands voyageurs et érudits querelleurs les a bien préparés à la profession ardue mais enrichissante de la diplomatie et aux domaines connexes.

Diaspora + talent + connaissances + influence + sociabilité = avantage juif en tant qu’interlocuteurs pour la communauté mondiale.

Peu de groupes étaient aussi bien équipés que les Juifs pour remplir ce rôle.

Erdogan,Netanyahou, Jolani et Trump tendent leur assiette pour se partager le gâteau couleur pastèque

Et quand on pense à des hommes comme Jeffrey Sachs et Chas Friedman, on ne peut s’empêcher de déplorer cette occasion manquée. Sachs et Friedman semblent être des individus honorables qui, bien que fidèles à leur pays de naissance/résidence, souhaitent le bien de l’humanité entière. Leur vision est celle d’une situation gagnant-gagnant pour toutes les nations. Les États-Unis n’ont pas à considérer des pays comme la Russie ou la Chine comme des adversaires ou des ennemis. Les différends peuvent être aplanis ou surmontés. Ou bien, un compromis est toujours préférable à la diabolisation et à l’escalade des tensions. Ils peuvent se sentir patriotes américains et même nourrir un profond sentiment d’appartenance juive, mais ces sentiments n’empêchent pas de reconnaître qu’Américains et Juifs font partie d’une communauté plus vaste, composée de nombreux pays et cultures.

Si de tels Juifs avaient dominé la politique étrangère américaine, le XXIe siècle aurait peut-être été celui de la paix, rendu possible en grande partie par leurs efforts.

Même Henry Kissinger, bien que naturellement vilipendé dans certains milieux (notamment à gauche), incarnait une conception plus profonde et plus complexe de la diplomatie : si les conflits et les confrontations sont inévitables dans l’histoire, il existe des intérêts communs, même entre rivaux, et ceux-ci peuvent être débusqués pour empêcher le monde de sombrer dans la Troisième Guerre mondiale. À tout le moins, respectez vos ennemis comme des adversaires dignes de ce nom. La diplomatie du XXIe siècle, menée par des hommes comme Kissinger, n’aurait peut-être pas été idéale, mais même elle aurait produit des résultats préférables à ceux obtenus jusqu’à présent (et qui risquent de s’aggraver).

Certes, Kissinger exerçait ses talents à une époque où les États-Unis étaient une superpuissance rivale (ou du moins une puissance comparable en termes de puissance militaire, de population et de ressources) et où les Juifs jouaient un rôle de soutien (plutôt que dominant) dans la structure du pouvoir. Ainsi, Kissinger (et d’autres Juifs de sa génération) était moins tenté de privilégier l’hégémonie juive, qui ne s’était pas encore matérialisée comme dans les années à venir. (Compte tenu du rôle de la CIA et de la LJB dans la dissimulation et la défense du programme nucléaire israélien et de l’attaque, loin d’être accidentelle, contre l’USS Liberty, on pourrait affirmer que les Juifs avaient déjà acquis une supériorité au niveau de la volonté et de l’esprit avant même d’avoir acquis la maîtrise des moyens. Même lorsque les Anglo-Américains ou les WASP étaient au sommet, ils ont peut-être senti que les Juifs incarnaient une force indomptable à laquelle il fallait soit acquiescer, soit se soumettre. Bien sûr, il y avait même des signes avant-coureurs, comme lorsque Harry Truman avait cédé aux exigences des sionistes malgré son aversion personnelle pour eux.)

Au cours de la dernière décennie du XXe siècle, plusieurs événements et tendances ont convergé, rendant l’hégémonie irrésistible pour une certaine école de pensée juive. Les baby-boomers, parmi lesquels les Juifs ont joué un rôle essentiel dans les diverses mini-révolutions (ou « libérations »), ont pris le contrôle des leviers du pouvoir. Ce changement générationnel a marqué un changement ethnique dans l’équilibre des pouvoirs, notamment avec l’effondrement soudain de la confiance, de la fierté et de l’autorité des WASP.
Les déréglementations de l’ère Reagan ont donné le feu vert à la finance pour s’appuyer sur le principe « l’avidité est une bonne chose », ce qui a permis aux Juifs, si importants dans ce secteur, de gagner beaucoup plus d’argent. Cela a également entraîné l’essor des monopoles et des oligopoles, comme la concentration de tous les médias entre quelques mains, pour la plupart juives. (Les Juifs avaient longtemps dominé les médias, mais cette domination est devenue plus odieuse à partir de la fin des années 1980.)

La chute de l’Union soviétique a signifié qu’il n’y avait plus qu’une seule superpuissance : les États-Unis qui, sous la présidence du baby-boomer Bill Clinton, sont devenus le cuirassé du pouvoir juif des baby-boomers.

Cette décennie a été marquée par deux déclins et deux ascensions : la chute des WASPS (et la disparition de la Génération la plus puissante) et la chute de l’Union soviétique, l’essor des baby-boomers juifs et l’accession des États-Unis à la position de superpuissance.

Si les Juifs avaient été plus sages, ils auraient pu saisir cette opportunité pour assumer le rôle d’artisans de paix dans le monde. Et il y avait sûrement des Juifs, peut-être comme Chas Freeman dans sa jeunesse, qui considéraient ce moment (appelé aussi la Fin de l’Histoire) comme une occasion en or d’instaurer une plus grande paix dans le monde. Après tout, l’URSS s’est dissoute et les nations de l’ancien bloc de l’Est ont suivi leur propre voie. La Chine a renoncé au maoïsme dans les années 1980 et a rejoint l’économie mondiale. L’Allemagne s’est réunifiée malgré l’alarmisme des autres nations européennes, et même le Vietnam et Cuba évoluaient vers l’économie de marché. Les États-Unis auraient pu être la seule superpuissance, sans leur arrogance (qui a rapidement conduit à une arrogance démesurée), et auraient pu incarner la force constructive des immigrants venus du monde entier.

Pourtant, alors même que l’on insistait tant sur le fait que « la diversité est notre force », le pouvoir réel aux États-Unis se concentrait de plus en plus sur le principe que « la judéité est notre maître ». Alors même que les élites goy se diversifiaient d’année en année — Noirs, métis, jaunes, etc., accédant à des postes plus élevés —, le thème « national » se concentrait de plus en plus sur « Israël est notre plus grand allié » et « Israël est notre plus proche allié », ainsi que sur « Juif ceci, juif cela et juif quoi que ce soit ». Tous les « arabisants » en politique étrangère furent sommairement éliminés, et les deux partis politiques devinrent de plus en plus obéissants aux néoconservateurs, dont le pendant démocrate était les néolibéraux. Et le moindre soupçon d’attitude critique envers Israël (et les politiques adjacentes au sionisme) était un motif de renvoi, ce qui a donné lieu à des équipes de politique étrangère (des deux partis) qui sont devenues de plus en plus aveuglément, fanatiquement et stupidement pro-israéliennes, pro-néoconservatrices et pro-suprémacistes juives.

Le test pour le Jewish Power a peut-être eu lieu lorsque George H.W. Bush (et James Baker) ont fait pression sur Israël pour qu’il cesse de construire des colonies dans les Territoires occupés. Compte tenu notamment de la guerre du Golfe, menée en partie pour apaiser les partisans d’Israël d’abord, Bush espérait peut-être que les Juifs seraient plus reconnaissants et compréhensifs. Il avait tout fait pour écraser Saddam Hussein, l’ennemi tant honni d’Israël, et les Juifs lui seraient peut-être indulgents pour avoir freiné Israël.
Au lieu de cela, le Jewish Power (surtout parmi les démocrates soi-disant « libéraux ») a tout mis en œuvre pour assurer la défaite de Bush aux élections de 1992. Une légère récession a été présentée comme une nouvelle grande dépression. On peut supposer que Bush aurait perdu de toute façon, compte tenu de la lassitude du Parti républicain, de l’émergence de la génération du baby-boom, des conséquences des émeutes de Los Angeles et de nombreux autres facteurs, mais le Jewish Power a ouvertement tout fait pour destituer Bush et Baker en raison de leur position sur Israël. Et en effet, c’était la DERNIÈRE FOIS qu’un président faisait quelque chose de substantiel pour contrôler l’agenda sioniste, même si l’on pourrait peut-être arguer que Bill Clinton, le premier président baby-boomer, pensait être suffisamment en bonnes grâces avec les Juifs pour promulguer une sorte d’accord de paix entre les Juifs et les Palestiniens. (Et puis, le fiston George W. Bush a fini par être le plus grand chien de pute de Sion de tous les temps, et c’est un véritable spectacle de merde depuis, avec Obama se présentant comme l’homme qui s’est opposé à la guerre en Irak mais qui a ensuite utilisé la présidence pour déclencher encore plus de guerres pour Sion.)
Avec George H. W. Bush puni, démoli et brandi comme un épouvantail 
Victoria Nuland inquiétante
pour avoir osé faire pression sur Israël et avec les politiciens goys recevant le message que rien ne doit s’opposer à l’agenda sioniste, le pouvoir juif est devenu encore plus enhardi par le fait que le monde est leur (g)huître. L’aspect le plus emblématique de ce pouvoir fut la transformation hideuse de Victoria Nuland, d’agente à l’air sympathique à monstrueuse sorcière prête à sacrifier la vie de n’importe quel goy au service du suprémacisme juif. Quelle folie !

Considérez quelques exemples de ce qui aurait pu se passer.

Après l’effondrement du communisme en Russie, les Juifs de Russie, des États-Unis et du monde entier auraient pu coordonner leurs efforts pour transformer l’économie et la politique russes au bénéfice de tous, mais l’objectif principal était de soutenir une poignée d’oligarques juifs qui pillaient l’économie.
Le visage de la « réforme » politique sous cette influence juive était Boris Eltsine, rustre, ivrogne et finalement sénile, qui, à plus d’un titre, anticipait le spectacle clownesque Trump-Biden-Trump.
Étant donné que Poutine a stabilisé un pays en ruine, s’en est pris uniquement aux pires oligarques juifs, a établi des relations avec Israël, a interdit l’« antisémitisme » et a offert une coopération bienveillante à la communauté juive mondiale, on aurait pu penser que les Juifs auraient fait de même.
Mais allez dans n’importe quelle bibliothèque, et la quasi-totalité des livres sur Poutine (essentiellement écrits par des Juifs) sont d’une virulence enragée, virulente et carrément dérangée. En effet, même les ouvrages sur Hitler, Staline et Mao ne sont pas aussi biaisés dans leurs appréciations. Au final, à quoi tout cela a-t-il mené ? À la guerre judéo-russe en Ukraine, au cours de laquelle plus d’un million de Slaves ont été sacrifiés sur l’autel de la suprématie juive.

Prenons maintenant le cas de la Chine. Plus que tout autre groupe, les élites mondialistes juives ont gagné la confiance du gouvernement chinois, et la relation semblait symbiotique. Ainsi, les Juifs auraient pu jouer un rôle de médiateur constructif entre les deux géants, les États-Unis et la Chine.
Cependant, l’objectif ultime des Juifs était un changement de régime, promouvoir la « démocratisation » pour transformer la Chine en un autre vassal anémique et malheureux, une « petite chatte asiatique », comme le Japon, la Corée du Sud et, bien sûr, Taïwan. Il semble que les Chinois aient compris cela : la soi-disant démocratie libérale est en réalité une démocratie impériale, l’Occident dirigé par les Juifs étant l’hégémon imposant ses normes de « démocratie » dans le monde entier, quitte à soutenir le régime répressif et répressif de Zelensky en Ukraine, présenté comme le représentant des « valeurs démocratiques ».
Selon les prétendues règles de la démocratie impériale, même les moyens démocratiques sont « autocratiques » ou « d’extrême droite » (ou « d’extrême gauche ») si les résultats vont à l’encontre des desseins de Washington (et de New York et Londres, tous deux dirigés par des Juifs), tandis que même les méthodes répressives et tyranniques sont « démocratiques » et « fondées sur des règles » si les résultats concordent avec les souhaits de l’hégémon. Récemment, même Jolani, le coupeur de têtes de Daech et d’Al-Qaïda, est devenu la coqueluche de la jet-set politique occidentale « fondée sur des règles », car il a joué un rôle déterminant dans le renversement du gouvernement Assad, honni par Sion.

Il est fort probable que la Chine ait compris, autrement dit, que tous ces discours sur la « démocratie libérale » ne sont que des balivernes émanant de Washington. Il fut peut-être un temps où, naïvement ou non, certaines personnalités occidentales croyaient réellement que la démocratisation mondiale pouvait faire du monde un endroit meilleur, plus libre et plus juste. Pourtant, le modèle démocratique impérial actuel (qui a commencé à prendre forme après la déclaration de Francis Fukuyama sur la fin de l’histoire) se concentre sur une seule chose : la stratégie sorosienne de promotion de l’ouverture mondiale afin de faciliter l’infiltration des institutions, l’endoctrinement des esprits et le recrutement de collaborateurs pour effacer la souveraineté nationale au profit d’un statut de satellite de l’ordre mondial unique dominé par l’Occident dirigé par les Juifs. Qu’il s’agisse de la Russie dans les années 1990 ou de l’Ukraine dans les années 2010 (ou de l’Iran, du Venezuela, de Hong Kong, etc.), il ne s’agissait pas d’idéalisme ou de principes, mais de contrôle et de domination.

Les charmes discrets de la démocratie

Il fut un temps où l’Occident, et en particulier les États-Unis, était accusé de soutenir les dictatures à travers le monde (comme leurs marionnettes), mais qui aurait cru que la démocratisation se révélerait un moyen encore plus puissant de prise de pouvoir, de contrôle et de domination ? Le Japon, en tant que démocratie, jouit peut-être de certaines libertés individuelles (absentes en Chine), mais la nation est-elle politiquement souveraine et culturellement indépendante ? Ou doit-elle obéir à son maître politique, les États-Unis dirigés par les Juifs, et se conformer au programme culturel consistant à brandir le drapeau GlogoHomo ? Si l’UE actuelle est l’essence même de la « démocratie », qui en veut ?

Au lieu d’œuvrer à la paix et à la coopération entre les États-Unis et la Chine (en tant que pays souverain), les Juifs attisent désormais les flammes du Péril Jaune (ou Danger du Dragon) parce que (1) ils sont amers que la Chine ait soutenu la Russie dans la guerre judéo-russe en Ukraine et parce que (2) diriger la colère occidentale contre la Chine détourne l’attention du parasitisme juif en Occident. Et comme les élites blanches sont trop effrayées et trop faibles pour s’attaquer aux problèmes du pouvoir juif, elles sont plus qu’heureuses de faire preuve d’une fausse bravoure en soufflant très fort … sur Fu Manchu.

Le superman israélien et son valet désignent la Chine

Et puis, considérons le Moyen-Orient. La récente attaque surprise contre l’Iran a été la manifestation la plus flagrante de la suprématie juive. Prétendre négocier un compromis de bonne foi tout en planifiant un changement de régime total et une prise de pouvoir. La tentative d’Israël contre l’Iran n’était que la répétition la plus violente et la plus dramatique de ce que la communauté juive mondiale préparait contre la Russie et la Chine.

Et l’Occident lui-même n’a pas été épargné, car la réalité perverse aux États-Unis et dans l’UE ne peut être comprise indépendamment du fait que les Juifs ont opéré des « changements de régime » dans presque tous les pays occidentaux (alors que même ceux qui ont résisté, comme la Hongrie, vivent dans la peur et cherchent à apaiser les Juifs en déroulant le tapis rouge à d’ignobles sionistes comme Netanyahou).

Les révolutions de couleur en Occident

En effet, considérez les différences flagrantes entre l’UE à la veille de l’invasion de l’Irak par Bush et l’UE aujourd’hui. À l’époque, les gouvernements européens s’opposaient au projet néoconservateur, mais aujourd’hui, rares sont les élites dirigeantes de l’UE qui osent dire NON aux néoconservateurs/néolibéraux, autrement dit aux suprémacistes juifs mondiaux. Qu’est-il arrivé aux élites européennes durant cette période ?
Comme aux États-Unis, il semble que le pouvoir juif mondial ait, par tous les moyens, installé une nouvelle génération de « dirigeants » clones, comme Emmanuel Macron, incapables de dire NON à la moindre revendication des suprémacistes juifs. Lorsque même l’homme le plus harcelé et tourmenté par les Juifs, nul autre que Donald Trump, se donne à fond pour apaiser le pouvoir juif à chaque occasion, allant même jusqu’à fouler aux pieds tous les principes libéraux et/ou conservateurs au cœur du constitutionnalisme américain, l’opération de « changement de régime » juif en Occident semble achevée.
Bien sûr, compte tenu de la mainmise juive totale sur les institutions et les industries occidentales, nul besoin de recourir à des tactiques violentes comme la révolution de couleur en Ukraine, la campagne aérienne au-dessus de la Libye, la « guerre civile » fabriquée en Syrie et l’attaque surprise contre l’Iran. Cependant, il est certain que, lorsque les circonstances l’exigent, le pouvoir juif n’a pas hésité à recourir à des groupes violents d’Antifa et de Black Lives Matter pour semer le chaos aux États-Unis. Cependant, le « changement de régime » en Occident est resté relativement silencieux et discret ; malgré les cycles réguliers d’élections et les successions de politiciens, le résultat final a été un va-et-vient de marionnettes goys (et cocues) du pouvoir juif. Presque tous les politiciens sont comme des clones de Marco Rubio.

Or c’est au Moyen-Orient qu’on observe l’échec juif, le plus tragique. De nombreux Juifs ont longtemps entretenu une double identité : Blancs/Occidentaux et Sémites d’origine proche-orientale. Ainsi, si les Européens du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord ne pouvaient être perçus que comme des colonisateurs et des impérialistes, les Juifs auraient pu jouer un double rôle, à la fois en tant que peuple d’Occident et peuple du Moyen-Orient. Si le sionisme avait été plus humain et plus ouvert sur les autres, il aurait pu parvenir à un accord avec les Palestiniens. Au lieu de cela, le sionisme a opté pour une prise de contrôle massive du territoire, au détriment de sa population autochtone.
Malgré cela, la solution à deux États et une paix durable étaient envisageables, mais même cette possibilité a été gâchée, Israël s’obstinant à conserver des pans entiers de la Cisjordanie, qui resteraient sous occupation militaire juive, même si les Palestiniens obtenaient leur propre État.

Ainsi, au lieu d’agir comme un peuple à double héritage et identité, les sionistes ont décidé d’agir comme les impérialistes européens d’autrefois. Et au lieu d’œuvrer pour la paix entre l’Occident et le Moyen-Orient, ils ont pris le contrôle de l’Occident et l’ont contraint à détruire le Moyen-Orient, les seuls choix pour les Arabes/Musulmans étant de collaborer et de survivre ou de résister et de mourir. Le choix se situe entre la Jordanie, qui collabore et survit comme une marionnette prostituée de Sion, et la Syrie, qui a résisté et qui a été totalement détruite.
Les Juifs, l’un des rares peuples anciens à avoir survécu jusqu’à l’ère moderne, auraient pu s’entendre avec les Iraniens/Perses, un autre peuple à l’histoire riche et profonde. L’existence d’une communauté juive florissante en Iran prouve que Juifs et Perses ne sont pas forcément ennemis. Mais les Juifs ont opté pour une domination régionale totale, même si cela implique des guerres sans fin, voire un génocide.

Ceux qui auraient pu être les plus grands artisans de paix sont devenus les plus grands briseurs de paix, détruisant des pans entiers du monde. Apparemment, d’une certaine manière, tous les traits qui qualifiaient les Juifs pour être des artisans de paix les préparaient également à devenir des briseurs de paix, s’ils devaient emprunter cette voie.

La faute à qui

En fin de compte, il appartenait aux Juifs de décider comment utiliser leurs capacités et leurs atouts uniques dans les affaires mondiales : pour le bien de l’humanité, où les Juifs joueraient un rôle clé, ou pour la vanité du suprémacisme juif. D’une manière ou d’une autre, les bons Juifs ont perdu face aux mauvais. L’ignoble Netanyahou, si meurtrier et menteur consommé, est devenu le visage du pouvoir juif.

Mais la faute incombe aussi aux goyim qui ont laissé faire. Qu’ils sont pathétiques, les goyim du monde entier, pour se laisser si facilement duper, manipuler et se rendre si facilement coupables des plus grands crimes du XXIe siècle ! Et il ne s’agit pas seulement de voyous comme Lindsey Graham en Occident. Les Juifs ont provoqué une guerre en Ukraine qui a coûté la vie à plus d’un million de Slaves, mais Vladimir Poutine et ses acolytes ont désigné à peu près tout – les nazis, les Anglo-Saxons, les Américains, l’OTAN, les Européens, etc. – sauf le principal responsable, les suprémacistes juifs. Ce serait comme si Staline avait fait la Seconde Guerre mondiale sans désigner les Allemands comme les envahisseurs. Les goyim sont franchement pathétiques.

Certains disent que le monde se transforme en une « idiocratie » (similaire au film de Mike Judge), mais la plupart des pays sont dirigés par des hommes intelligents et expérimentés. La plupart des membres de l’élite des États-Unis, de l’Union européenne, d’Asie et d’Amérique latine ont fréquenté de bonnes écoles, obtenu des diplômes et acquis de l’expérience. Ils ne sont ni idiots ni dotés d’un faible QI comme les imbéciles du film comique.
Ce qu’ils ont amplement démontré, c’est qu’une intelligence élevée n’est pas une garantie d’intégrité. Autrement dit, des personnes intelligentes, sans être idiotes, peuvent être fades, et la fadeur est la règle dans une grande partie du monde, y compris parmi les élites iraniennes. Après l’attaque conjointe israélo-américaine, le président iranien, fade et sans âme, veut toujours négocier un accord sur le programme nucléaire. Les goyim sont vraiment pathétiques.

Source : https://www.unz.com/jfreud/how-jews-could-have-been-blessed-as-peacemakers-but-chose-to-be-piece-makers-blowing-up-the-world-into-pieces/

Via  https://plumenclume.com/2025/08/04/loccasion-tragiquement-manquee-du-talent-juif-par-jung-freud/

[1] 1. Précisons, pour que l’on comprenne bien l’usage du terme « les Juifs » : « Dans les sociétés traditionnelles, organisées en castes reconnaissables pour tout le monde, il était naturel de mentionner « les Juifs » sans plus de précision, comme le faisaient les auteurs et polémistes du monde entier. Dans le monde moderne, où les frontières ethniques, spirituelles, chronologiques et sociales se sont diluées, il est utile de préciser, comme Thomas Dalton, « Quand je dis “les juifs” (les gens de confession juive) ou “les Juifs” (les gens déclarant représenter le peuple juif), je ne veux pas dire littéralement tous les juifs. En utilisant de tels termes, je fais référence à la plupart des juifs, ou aux juifs les plus puissants, ou à l’élite juive, selon le contexte. Si vous avez du mal à comprendre ce fait, inutile de continuer votre lecture. »

[2] Symétrique et inséparable de son revers l’acrimonie.

6 commentaires:

  1. https://www.lefigaro.fr/international/vers-une-occupation-totale-de-la-bande-de-gaza-netanyahou-va-preparer-des-instructions-sur-la-poursuite-de-la-guerre-20250805?origine=VNE19001
    Netanyahou se prépare à occuper totalement Gaza!

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  2. ""Après l’attaque conjointe israélo-américaine, le président iranien, fade et sans âme, veut toujours négocier un accord sur le programme nucléaire"" Écrire un si long article qui passe du coq à l'âne, tout en admiration du GÉNIE JUIF....Et reprocher à l'Iran sa position politique....c'est IGNORER complétement ce qu'est la DIPLOMATIE.....
    L'IRAN se devait INTELLIGEMMENT d'adopter cette attitude AFIN de calmer le JEU......et GAGNER du TEMPS.......!!!!
    Celui de recevoir et maitriser les équipement TRÈS /TROP sophistiqués, fournis par la Chine(contrairement à un autre partenaire...)
    De faire le point sur les attaques Israéliennes et réorganiser le pays.
    De prendre une décision collégiale sur LEUR nucléaire.

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  3. Il me semble que l’Homme naît naturellement bon à cause des hormones de sa mère. Ceux qui ne le sont pas ayant été conditionnés par des événements malheureux qu’ils ont vécu, ou sont nés dans la famille Rothschild, ou ont été circoncis au moment de leur première puberté.

    Dans des conditions normales (donc, pas forcément à notre époque), les femmes enceintes sont influencées par des hormones qui les font aimer leur progéniture, et elles restent bonnes envers leurs enfants durant toute leur vie. Cela fait que, par mimétisme, les enfants adoptent l’attitude de leur mère.

    Pour déterminer si quelqu’un est un bon ou un mauvais bougre, il me semble que des moyens permettant de le voir. En gros, on montre au bougre des séquences pénibles et agréables, et en mesurant ses réactions inconscientes avec un polygraphe, on voit s’il réagit normalement.

    Par exemple, on branche le bougre sur le polygraphe et on lui projette un film sur le génocide à Gaza. Si le polygraphe reste calme au lieu de se mettre à signer façon Trump, il faut faire attention que le bougre ne parte pas avec l’argenterie.

    MacHin

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  4. La juiverie mondialiste ne forme ni un peuple, ni une race, mais une secte religieuse génocidaire pour qui les non-juifs aka les Goyims sont comme des animaux … Cette secte a infiltré tous les gouvernements occidentaux par le mensonge et la tromperie …

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    1. OUI à la fois SECTE et société secrète.....

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  5. La photo de l'entrée du bureau (du gouverneur ?) du Montana est particulièrement scandaleuse, obscène et affligeante. Mais la réalité c'est que nous avons la même chose en France à la mairie de Nice.

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