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Comment ils auraient pu être des artisans de paix…
Mais ils ont choisi d’être des bricoleurs fous, faisant exploser le monde.
« Heureux les artisans de paix… » Quelle occasion manquée !
Les Juifs[1] du monde entier auraient pu jouer un rôle magnifique dans l’ordre post-Guerre froide. Si un peuple était prêt à jouer ce rôle, c’étaient bien les Juifs, notamment en partenariat avec les Anglo-Saxons, les plus grands bâtisseurs d’empires de l’histoire. Les Anglo-Saxons et les Juifs, plus que tout autre peuple, de par leurs traits de caractère, leur formation et leurs tâtonnements, auraient pu faciliter l’avènement d’un Nouvel Ordre Mondial de paix et de prospérité pour l’humanité. Le tragique gâchis de cette chance historique pourrait encore conduire à des crises majeures au XXIe siècle, comparables aux pires horreurs du siècle dernier. Espérons que les grandes puissances émergentes parviendront à détourner et à désamorcer les affrontements provoqués par l’Occident dominé par les suprémacistes juifs.
Un problème évident réside dans la nature actuelle du pouvoir juif. Il est en mode suprémaciste, aggravé (et compliqué) par un suprémacisme « furtif » [comme les drones invisibles au premier abord]. En effet, alors même que les Juifs élaborent et exécutent des politiques fondées sur des objectifs suprémacistes avec le soutien de la classe dirigeante blanche, ils utilisent les illusions du type « wokeness » pour perpétuer l’illusion qu’eux, en tant que peuple éternel de l’Holocauste, sont les meilleurs amis des groupes « marginalisés » contre « l’extrême droite » et le « suprémacisme blanc ».
Était-il inévitable que le pouvoir juif prenne cette tournure ?
Les problèmes du suprémacisme juif peuvent être attribués non seulement à la nature et à la personnalité juives, mais aussi à l’incapacité des goyim, en particulier des Anglo-Saxons (aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Canada, en Australie, etc.) à servir de contre-pouvoir, de rempart ou de rappel des réalités. La critique constructive n’a jamais fait de mal à personne.
Certes, on pourrait dire que le pouvoir juif a mis les goyim en échec et mat, les plaçant dans une position où toute opposition significative est devenue pratiquement impossible. Autrement dit, toute critique ou contre-argumentation exprimée est interprétée comme « antisémite », évoquant le souvenir des nazis et de l’Holocauste, contraignant ainsi les critiques, aussi bien intentionnées et non malveillantes soient-elles, à une position défensive. Pire encore, à mesure que les Juifs ont pris le contrôle des institutions et des secteurs clés du droit, de l’université, des médias, de la finance, des arts et de la culture, tout critique potentiel du pouvoir juif s’est retrouvé encerclé et « contrôlé » de toutes parts. D’où l’échec et mat juif sur les goyim.
Mais les goyim occidentaux, et en particulier les anglo-saxons, auraient pu empêcher cela lorsque le pouvoir juif était loin d’être tout-puissant. Le fait qu’ils aient laissé ce problème s’envenimer au point que le pouvoir suprémaciste juif soit devenu si absolu témoigne de leur stupidité, de leur lâcheté, de leur faiblesse et de leur manque de prévoyance.
Qu’est-ce que la bienveillance ?
Il existe depuis longtemps un débat sur la bonté, qu’il s’agisse essentiellement d’une qualité intérieure ou d’un facteur externe. Si quelqu’un est bon, est-ce principalement parce qu’il est bon intérieurement ou parce qu’il est conditionné à l’être par des forces extérieures ? Selon le behaviorisme de B.F. Skinner, parler de « personnalité » ou de « nature morale » n’a guère de sens, car le comportement humain est considéré comme la somme de toutes les pressions extérieures qui l’ont conditionné, tout comme une sculpture est le produit de tous les coups de marteau et de burin. Le soi-disant libre arbitre, selon cette idée, est en grande partie une illusion. Faire le « bien » ou le « mal » relève moins d’un choix individuel que d’un conditionnement social. À ne pas confondre avec le traitement Ludovico dans Orange mécanique, où Alex est biochimiquement programmé pour ne pas agir de manière violente, sauvage ou licencieuse. Alex est incapable de faire ce qu’il veut vraiment faire, alors que selon le behaviorisme, la myriade de conditionnements non seulement façonne le comportement d’une personne, mais la personnalise en lui faisant croire qu’il fait « ce qui est bon » (et s’abstient de faire le « le mal »).
Quoi qu’il en soit des individus, l’externalisme est le meilleur modèle à l’échelle macro-internationale. Autrement dit, il est insensé de compter sur un pays, surtout très puissant, pour être bon et faire le bien sur la base de son système de valeurs prétendument « intériorisé ». Pour preuve, il suffit de considérer l’Occident actuel avec ses discours incessants sur la « démocratie », les « droits de l’homme », la « diversité-équité-inclusion », l’« ordre fondé sur des règles », la « tolérance », etc., alors que son véritable modus operandi est un gangstérisme suprémaciste juif, aidé et encouragé par un « Occident démocratique » flagorneur blanc et lèche-bottes.
Une société ou une nation, sans parler d’un empire, c’est trop vaste et complexe pour une conscience individuelle. Si une société composée majoritairement de gens bienveillants est susceptible d’être agréable, il n’en demeure pas moins que même les gens bienveillants peuvent être amenés à croire les choses les plus stupides ou les plus folles. Être bienveillant, c’est bien, mais c’est un sentiment et une attitude, qui est loin d’être une garantie de vérité ou de sens (ce qui peut d’ailleurs être considéré comme « inamical », comme lorsqu’un médecin doit annoncer à son patient un diagnostic désastreux). La plupart des chiens sont gentils. Beaucoup de chats sont gentils. Beaucoup de gens sont gentils, ce qui est bien, mais cela signifie aussi qu’ils sont dociles, avides de complaisance et d’approbation, et donc faciles à manipuler par des individus vénaux et sournois, pour qui les gens bienveillants ne sont que des pigeons nés de la dernière pluie.
Habituellement, même parmi les gens bien, ceux qui arrivent au sommet ont tendance à ne pas l’être autant ; ils sont souvent motivés par la cupidité, l’égoïsme, l’opportunisme, la soif de pouvoir, etc. Grâce à leurs leviers de contrôle et de manipulation, ils peuvent pousser les masses bienveillantes (avec une âme de scouts) vers des choses stupides ou folles, un peu comme les adultes jouent avec le cœur et l’esprit des enfants. Sinon, comment expliquer que tant de gens BIEN s’emportent et propagent l’hystérie du Covid, sans parler du scandale Black Lives Matter et de la « collusion » avec la Russie ? 70 % des Américains soutiennent le « mariage gay ». Ils se croient tellement bienveillants. De la folie par manipulation de la gentillesse.
Si les Juifs étaient pour la plupart des gens passifs, soumis et/ou résignés, de telles complaisances bienveillantes de la part des goyim auraient été inoffensives. En réalité, les Juifs ont toujours été parmi les peuples les plus déterminés, les plus capables, les plus impitoyables, les plus retors et/ou les plus névrosés de la planète. Étiqueter la judéité avec le culte de la sainte victime d’Anne Frank, l’adorable culte du sage Albert Einstein et le culte attachant du comique de Seinfeld a tout simplement manqué la véritable nature du suprémacisme juif et de ses victimes.
L’image sacralisée des Juifs et la nature réelle du pouvoir juif sont tellement en contradiction que la contradiction est devenue cancéreuse, corrompant complètement l’Occident au point de défendre le massacre de masse de civils par Israël à Gaza comme un acte de « défense », comme si les Juifs étaient des Anne Frank pour toujours, quoi qu’ils fassent, tandis que leurs victimes sont des nazis pour toujours ou des antisémites pour toujours, simplement parce qu’ils se trouvent être en désaccord avec l’agenda de ces suprémacistes-là.
L’autre grande contradiction de l’esprit occidental actuel concerne les Noirs états-uniens, présentés de manière narrative et idolâtrique comme sages, magiques, gentils, attentionnés, nobles, ou si cool et durs à cuire que leurs transgressions sont pardonnables, mais qui, en réalité, sont comme les autres, capables du meilleur et du pire. Ainsi, même si des Noirs ont transformé des zones urbaines entières en mini-Detroit et continuent de dégrader le tissu social, ils sont généralement considérés comme des saints Emmett Till ou des victimes du « racisme systémique ».
Nous avons des Juifs psychopathes qui utilisent les États-Unis comme seule superpuissance pour ravager des régions entières du monde, et nous avons des Noirs sociopathes qui détruisent des communautés entières à travers les États-Unis, mais la grande majorité blanche américaine reste accrochée au récit iconique d’Anne Frank et d’Emmett Till.
Dans l’Occident actuel, nous devons faire comme si Benjamin Netanyahou était une voix sage et morale dans le désert, un leader et un prophète, le « plus grand homme du monde » (selon Donald Trump), alors qu’il est entouré de sionistes d’extrême droite qui l’aident et le soutiennent dans ses guerres maniaques. Et nous devons faire comme si George Floyd était le plus grand saint depuis saint Paul, plus grand même que Martin Luther King, Mandela et Michael Jackson réunis.
La civilisation ne se résume pas à la richesse et aux moyens matériels. Elle repose sur la vision de la vérité qui la guide, et la vision occidentale actuelle est peut-être plus décrépite que jamais dans l’histoire. Ainsi, aussi riche et puissant soit-il, l’Occident déclinera (et devra décliner) à cause de son délire obstiné selon lequel les assassins de masse suprémacistes juifs sont une bande d’Anne Frank et les voyous noirs sont le sel de la terre, le genre de personnes aux pieds desquelles les Blancs doivent ramper et gémir.
Quoi qu’il en soit, avec le manque de sagesse et de retenue du pouvoir juif, et avec la plupart des goyim, en particulier la majorité blanche à genoux devant les suprémacistes juifs, les considérant comme la source de toute sagesse, de toute sainteté, de toute splendeur et de tout malheur, la dégradation continue de l’Occident semble une certitude. On peut s’interroger sur un pays qui confie la politique étrangère à des personnalités comme Victoria Nuland, Anthony Blinken, Marco Rubio et Pete Hegseth ; un pays où des individus comme Mike Pompeo et John Hagee, des imbéciles humains, incarnent les valeurs « conservatrices ».
Qu’il s’agisse de Blancs à faible QI (évangéliques) ou à QI élevé (libertariens et HBD), ce qui les unit est un esclavage mental envers Sion, qu’il s’agisse des Élus ou des Champions. Les évangéliques considèrent les Juifs comme la race supérieure spirituelle, tandis que les Blancs libertariens et HBD les considèrent comme la race intellectuellement championne. Mais le résultat final en termes politiques se résume au même principe : il est du devoir des Blancs, qu’ils soient sionistes chrétiens ou sionistes adeptes du QI, de se soumettre aux membres de tribus manifestement supérieurs, sans l’aide desquels les Blancs n’auraient ni direction ni avenir.
Si, compte tenu des événements de la Seconde Guerre mondiale, la sentimentalité envers les Juifs était compréhensible avant l’apothéose de l’ascension juive, elle ne peut aujourd’hui être diagnostiquée que comme une forme d’arriération ou d’opportunisme lâche, alimenté principalement par la peur.
De même, à l’époque romaine antique, la partialité envers les chrétiens était passée d’une sympathie volontaire pour un groupe victimisé à une adhésion obligatoire à un groupe puissant, nouvellement consacré comme le plus puissant. Si, à une époque, certains Romains païens ont pu avoir pitié des chrétiens opprimés, ils ont ensuite tremblé de peur, car tous étaient tenus de prêter allégeance à la seule et unique foi. des chrétiens. De même, il n’y a plus rien de consciencieux, ni de personnel, dans les expressions de sympathie des Blancs envers les Juifs à notre époque. Ce n’est plus une question de choix, il faut ramper avec une sympathie obligatoire (ce qui n’est pas de la vraie sympathie, mais une question de choix personnel) aux pieds des Juifs. Quand des gens comme Mike Johnson, Mitt Romney et Donald Trump lèchent le cul de Sion, nous savons que c’est par peur et par effroi, mais bien sûr, personne ne veut admettre sa plropre lâcheté, donc il y a le prétexte pratique qu’il s’agit avant tout de prendre soin de ces pauvres Juifs qui pourraient bien être à nouveau Anne Frank.
Pourquoi les Juifs étaient-ils particulièrement bien placés pour devenir les grands artisans de paix du XXIe siècle ?
Diaspora + talent + connaissances + influence + sociabilité = avantage juif en tant qu’interlocuteurs pour la communauté mondiale.
Peu de groupes étaient aussi bien équipés que les Juifs pour remplir ce rôle.
Et quand on pense à des hommes comme Jeffrey Sachs et Chas Friedman, on ne peut s’empêcher de déplorer cette occasion manquée. Sachs et Friedman semblent être des individus honorables qui, bien que fidèles à leur pays de naissance/résidence, souhaitent le bien de l’humanité entière. Leur vision est celle d’une situation gagnant-gagnant pour toutes les nations. Les États-Unis n’ont pas à considérer des pays comme la Russie ou la Chine comme des adversaires ou des ennemis. Les différends peuvent être aplanis ou surmontés. Ou bien, un compromis est toujours préférable à la diabolisation et à l’escalade des tensions. Ils peuvent se sentir patriotes américains et même nourrir un profond sentiment d’appartenance juive, mais ces sentiments n’empêchent pas de reconnaître qu’Américains et Juifs font partie d’une communauté plus vaste, composée de nombreux pays et cultures.
Si de tels Juifs avaient dominé la politique étrangère américaine, le XXIe siècle aurait peut-être été celui de la paix, rendu possible en grande partie par leurs efforts.
Même Henry Kissinger, bien que naturellement vilipendé dans certains milieux (notamment à gauche), incarnait une conception plus profonde et plus complexe de la diplomatie : si les conflits et les confrontations sont inévitables dans l’histoire, il existe des intérêts communs, même entre rivaux, et ceux-ci peuvent être débusqués pour empêcher le monde de sombrer dans la Troisième Guerre mondiale. À tout le moins, respectez vos ennemis comme des adversaires dignes de ce nom. La diplomatie du XXIe siècle, menée par des hommes comme Kissinger, n’aurait peut-être pas été idéale, mais même elle aurait produit des résultats préférables à ceux obtenus jusqu’à présent (et qui risquent de s’aggraver).
Certes, Kissinger exerçait ses talents à une époque où les États-Unis étaient une superpuissance rivale (ou du moins une puissance comparable en termes de puissance militaire, de population et de ressources) et où les Juifs jouaient un rôle de soutien (plutôt que dominant) dans la structure du pouvoir. Ainsi, Kissinger (et d’autres Juifs de sa génération) était moins tenté de privilégier l’hégémonie juive, qui ne s’était pas encore matérialisée comme dans les années à venir. (Compte tenu du rôle de la CIA et de la LJB dans la dissimulation et la défense du programme nucléaire israélien et de l’attaque, loin d’être accidentelle, contre l’USS Liberty, on pourrait affirmer que les Juifs avaient déjà acquis une supériorité au niveau de la volonté et de l’esprit avant même d’avoir acquis la maîtrise des moyens. Même lorsque les Anglo-Américains ou les WASP étaient au sommet, ils ont peut-être senti que les Juifs incarnaient une force indomptable à laquelle il fallait soit acquiescer, soit se soumettre. Bien sûr, il y avait même des signes avant-coureurs, comme lorsque Harry Truman avait cédé aux exigences des sionistes malgré son aversion personnelle pour eux.)
La chute de l’Union soviétique a signifié qu’il n’y avait plus qu’une seule superpuissance : les États-Unis qui, sous la présidence du baby-boomer Bill Clinton, sont devenus le cuirassé du pouvoir juif des baby-boomers.
Cette décennie a été marquée par deux déclins et deux ascensions : la chute des WASPS (et la disparition de la Génération la plus puissante) et la chute de l’Union soviétique, l’essor des baby-boomers juifs et l’accession des États-Unis à la position de superpuissance.
Si les Juifs avaient été plus sages, ils auraient pu saisir cette opportunité pour assumer le rôle d’artisans de paix dans le monde. Et il y avait sûrement des Juifs, peut-être comme Chas Freeman dans sa jeunesse, qui considéraient ce moment (appelé aussi la Fin de l’Histoire) comme une occasion en or d’instaurer une plus grande paix dans le monde. Après tout, l’URSS s’est dissoute et les nations de l’ancien bloc de l’Est ont suivi leur propre voie. La Chine a renoncé au maoïsme dans les années 1980 et a rejoint l’économie mondiale. L’Allemagne s’est réunifiée malgré l’alarmisme des autres nations européennes, et même le Vietnam et Cuba évoluaient vers l’économie de marché. Les États-Unis auraient pu être la seule superpuissance, sans leur arrogance (qui a rapidement conduit à une arrogance démesurée), et auraient pu incarner la force constructive des immigrants venus du monde entier.
Pourtant, alors même que l’on insistait tant sur le fait que « la diversité est notre force », le pouvoir réel aux États-Unis se concentrait de plus en plus sur le principe que « la judéité est notre maître ». Alors même que les élites goy se diversifiaient d’année en année — Noirs, métis, jaunes, etc., accédant à des postes plus élevés —, le thème « national » se concentrait de plus en plus sur « Israël est notre plus grand allié » et « Israël est notre plus proche allié », ainsi que sur « Juif ceci, juif cela et juif quoi que ce soit ». Tous les « arabisants » en politique étrangère furent sommairement éliminés, et les deux partis politiques devinrent de plus en plus obéissants aux néoconservateurs, dont le pendant démocrate était les néolibéraux. Et le moindre soupçon d’attitude critique envers Israël (et les politiques adjacentes au sionisme) était un motif de renvoi, ce qui a donné lieu à des équipes de politique étrangère (des deux partis) qui sont devenues de plus en plus aveuglément, fanatiquement et stupidement pro-israéliennes, pro-néoconservatrices et pro-suprémacistes juives.

Considérez quelques exemples de ce qui aurait pu se passer.
Il est fort probable que la Chine ait compris, autrement dit, que tous ces discours sur la « démocratie libérale » ne sont que des balivernes émanant de Washington. Il fut peut-être un temps où, naïvement ou non, certaines personnalités occidentales croyaient réellement que la démocratisation mondiale pouvait faire du monde un endroit meilleur, plus libre et plus juste. Pourtant, le modèle démocratique impérial actuel (qui a commencé à prendre forme après la déclaration de Francis Fukuyama sur la fin de l’histoire) se concentre sur une seule chose : la stratégie sorosienne de promotion de l’ouverture mondiale afin de faciliter l’infiltration des institutions, l’endoctrinement des esprits et le recrutement de collaborateurs pour effacer la souveraineté nationale au profit d’un statut de satellite de l’ordre mondial unique dominé par l’Occident dirigé par les Juifs. Qu’il s’agisse de la Russie dans les années 1990 ou de l’Ukraine dans les années 2010 (ou de l’Iran, du Venezuela, de Hong Kong, etc.), il ne s’agissait pas d’idéalisme ou de principes, mais de contrôle et de domination.
Les charmes discrets de la démocratie
Il fut un temps où l’Occident, et en particulier les États-Unis, était accusé de soutenir les dictatures à travers le monde (comme leurs marionnettes), mais qui aurait cru que la démocratisation se révélerait un moyen encore plus puissant de prise de pouvoir, de contrôle et de domination ? Le Japon, en tant que démocratie, jouit peut-être de certaines libertés individuelles (absentes en Chine), mais la nation est-elle politiquement souveraine et culturellement indépendante ? Ou doit-elle obéir à son maître politique, les États-Unis dirigés par les Juifs, et se conformer au programme culturel consistant à brandir le drapeau GlogoHomo ? Si l’UE actuelle est l’essence même de la « démocratie », qui en veut ?
Au lieu d’œuvrer à la paix et à la coopération entre les États-Unis et la Chine (en tant que pays souverain), les Juifs attisent désormais les flammes du Péril Jaune (ou Danger du Dragon) parce que (1) ils sont amers que la Chine ait soutenu la Russie dans la guerre judéo-russe en Ukraine et parce que (2) diriger la colère occidentale contre la Chine détourne l’attention du parasitisme juif en Occident. Et comme les élites blanches sont trop effrayées et trop faibles pour s’attaquer aux problèmes du pouvoir juif, elles sont plus qu’heureuses de faire preuve d’une fausse bravoure en soufflant très fort … sur Fu Manchu.
Et puis, considérons le Moyen-Orient. La récente attaque surprise contre l’Iran a été la manifestation la plus flagrante de la suprématie juive. Prétendre négocier un compromis de bonne foi tout en planifiant un changement de régime total et une prise de pouvoir. La tentative d’Israël contre l’Iran n’était que la répétition la plus violente et la plus dramatique de ce que la communauté juive mondiale préparait contre la Russie et la Chine.
Et l’Occident lui-même n’a pas été épargné, car la réalité perverse aux États-Unis et dans l’UE ne peut être comprise indépendamment du fait que les Juifs ont opéré des « changements de régime » dans presque tous les pays occidentaux (alors que même ceux qui ont résisté, comme la Hongrie, vivent dans la peur et cherchent à apaiser les Juifs en déroulant le tapis rouge à d’ignobles sionistes comme Netanyahou).
Les révolutions de couleur en Occident
Ceux qui auraient pu être les plus grands artisans de paix sont devenus les plus grands briseurs de paix, détruisant des pans entiers du monde. Apparemment, d’une certaine manière, tous les traits qui qualifiaient les Juifs pour être des artisans de paix les préparaient également à devenir des briseurs de paix, s’ils devaient emprunter cette voie.
La faute à qui
En fin de compte, il appartenait aux Juifs de décider comment utiliser leurs capacités et leurs atouts uniques dans les affaires mondiales : pour le bien de l’humanité, où les Juifs joueraient un rôle clé, ou pour la vanité du suprémacisme juif. D’une manière ou d’une autre, les bons Juifs ont perdu face aux mauvais. L’ignoble Netanyahou, si meurtrier et menteur consommé, est devenu le visage du pouvoir juif.
Mais la faute incombe aussi aux goyim qui ont laissé faire. Qu’ils sont pathétiques, les goyim du monde entier, pour se laisser si facilement duper, manipuler et se rendre si facilement coupables des plus grands crimes du XXIe siècle ! Et il ne s’agit pas seulement de voyous comme Lindsey Graham en Occident. Les Juifs ont provoqué une guerre en Ukraine qui a coûté la vie à plus d’un million de Slaves, mais Vladimir Poutine et ses acolytes ont désigné à peu près tout – les nazis, les Anglo-Saxons, les Américains, l’OTAN, les Européens, etc. – sauf le principal responsable, les suprémacistes juifs. Ce serait comme si Staline avait fait la Seconde Guerre mondiale sans désigner les Allemands comme les envahisseurs. Les goyim sont franchement pathétiques.
Via https://plumenclume.com/2025/08/04/loccasion-tragiquement-manquee-du-talent-juif-par-jung-freud/
[1] 1. Précisons, pour que l’on comprenne bien l’usage du terme « les Juifs » : « Dans les sociétés traditionnelles, organisées en castes reconnaissables pour tout le monde, il était naturel de mentionner « les Juifs » sans plus de précision, comme le faisaient les auteurs et polémistes du monde entier. Dans le monde moderne, où les frontières ethniques, spirituelles, chronologiques et sociales se sont diluées, il est utile de préciser, comme Thomas Dalton, « Quand je dis “les juifs” (les gens de confession juive) ou “les Juifs” (les gens déclarant représenter le peuple juif), je ne veux pas dire littéralement tous les juifs. En utilisant de tels termes, je fais référence à la plupart des juifs, ou aux juifs les plus puissants, ou à l’élite juive, selon le contexte. Si vous avez du mal à comprendre ce fait, inutile de continuer votre lecture. »
[2] Symétrique et inséparable de son revers l’acrimonie.









https://www.lefigaro.fr/international/vers-une-occupation-totale-de-la-bande-de-gaza-netanyahou-va-preparer-des-instructions-sur-la-poursuite-de-la-guerre-20250805?origine=VNE19001
RépondreSupprimerNetanyahou se prépare à occuper totalement Gaza!
""Après l’attaque conjointe israélo-américaine, le président iranien, fade et sans âme, veut toujours négocier un accord sur le programme nucléaire"" Écrire un si long article qui passe du coq à l'âne, tout en admiration du GÉNIE JUIF....Et reprocher à l'Iran sa position politique....c'est IGNORER complétement ce qu'est la DIPLOMATIE.....
RépondreSupprimerL'IRAN se devait INTELLIGEMMENT d'adopter cette attitude AFIN de calmer le JEU......et GAGNER du TEMPS.......!!!!
Celui de recevoir et maitriser les équipement TRÈS /TROP sophistiqués, fournis par la Chine(contrairement à un autre partenaire...)
De faire le point sur les attaques Israéliennes et réorganiser le pays.
De prendre une décision collégiale sur LEUR nucléaire.
Il me semble que l’Homme naît naturellement bon à cause des hormones de sa mère. Ceux qui ne le sont pas ayant été conditionnés par des événements malheureux qu’ils ont vécu, ou sont nés dans la famille Rothschild, ou ont été circoncis au moment de leur première puberté.
RépondreSupprimerDans des conditions normales (donc, pas forcément à notre époque), les femmes enceintes sont influencées par des hormones qui les font aimer leur progéniture, et elles restent bonnes envers leurs enfants durant toute leur vie. Cela fait que, par mimétisme, les enfants adoptent l’attitude de leur mère.
Pour déterminer si quelqu’un est un bon ou un mauvais bougre, il me semble que des moyens permettant de le voir. En gros, on montre au bougre des séquences pénibles et agréables, et en mesurant ses réactions inconscientes avec un polygraphe, on voit s’il réagit normalement.
Par exemple, on branche le bougre sur le polygraphe et on lui projette un film sur le génocide à Gaza. Si le polygraphe reste calme au lieu de se mettre à signer façon Trump, il faut faire attention que le bougre ne parte pas avec l’argenterie.
MacHin
La juiverie mondialiste ne forme ni un peuple, ni une race, mais une secte religieuse génocidaire pour qui les non-juifs aka les Goyims sont comme des animaux … Cette secte a infiltré tous les gouvernements occidentaux par le mensonge et la tromperie …
RépondreSupprimerOUI à la fois SECTE et société secrète.....
SupprimerLa photo de l'entrée du bureau (du gouverneur ?) du Montana est particulièrement scandaleuse, obscène et affligeante. Mais la réalité c'est que nous avons la même chose en France à la mairie de Nice.
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