Nous avons
vu, dans notre article C’est la CIA qui a causé la chute catastrophique de l’avion
russe en Mer Noire
, que
cette chute est due à une attaque radio-électronique commanditée par la CIA.
Selon l’expert russe Alexandre Artamonov, les exécutants pourraient être des
navires français qui étaient présents en Mer Noire.
Un avion de la Défense russe se dirigeant à
Khmeimim, base aérienne russe en Syrie, est tombé après le décollage dans les
eaux territoriales russes. Les musiciens et les journalistes se trouvant à bord
ont tous péri dans cet accident. Aucun rescapé, comme toujours lorsqu'il s'agit
d'une catastrophe aérienne... Ces lignes qui ont fait le tour du monde ne
reflètent pas vraiment tout le dramatisme de ce qui est en train de se jouer
dans le bassin de la mer Noire.
Il se trouve que l'avion en question a été
en « grande visite », comme disent les avionneurs, en septembre
dernier ce qui veut dire que tous les systèmes - avionique, propulseurs,
hydraulique - ont été mis en révision. Qui plus est, cet avion desservait une
commande spéciale : les musiciens de l'ensemble de musiciens Alexandrov
(Chœur de l'Armée Rouge), les ballerines qui s'y sont associées et les
journalistes de la grande chaîne de télévision devant participer aux festivités
du Nouvel An organisées par la Défense russe pour le corps expéditionnaire
russe en Syrie. Vous pouvez bien imaginer que l'appareil aurait dû être
bichonné jusqu'au dernier boulon. Mais voilà qu'il tombe sans raison apparente,
un peu comme si c'était dans le Triangle de Bermudes.
Il est à dire que le désastre est arrivé
juste après le décollage les 3 moteurs s'étant arrêtés simultanément parce que
le Tupolev est tombé dans un total silence - tel que les observateurs de
passage se trouvant sur la berge, à une distance d'1,5 km, ont entendu le bruit
de l'eau qui se refermait sur la coque engloutie. L'épave gît à une profondeur
de 50-70 mètres avec les débris qui se sont dispersés à une très grande
distance à cause du courant qui est particulièrement fort dans cet endroit et
une mer hivernale démontée. Tout ça pour dire qu'il serait difficile de
retrouver les boîtes noires qui, dans ce type d'avion, ne sont pas encore
pourvus de balises électroniques. Difficile, mais possible puisqu'une équipe de
plongée faisant plus d'un millier de personnes est déjà sur place pour
travailler dans les conditions particulièrement éprouvantes.
Les avions tombent, hélas, et assez
régulièrement, mais la bizarrerie de ce dernier crash a été remarquée par plus
d'un observateur. Non seulement l'avion était dans un état excellent et le vol
étroitement surveillé, mais, qui plus est, l'équipage n'a donné aucune alerte
par radio. La tour de contrôle a pu juste constater la disparition du Tupolev.
Point, à la ligne.
Ayant
passé plus de 15 ans dans l'aviation civile et militaire, je suis en droit de dire qu'il s'agit d'un cas rarissime -
beaucoup plus rare que la disparition de l'avion de ligne Malaysian Airlines
dont l'épave n'a jamais été découverte ni aucune hypothèse viable sur le crash
avancé. Quoi qu'il en soit, un grand nombre de professionnels militaires russes
estiment qu'aucune raison logique n'aurait pu mener à un tel dénouement
tragique. D'aucuns avancent l'hypothèse d'un missile de croisière ou d'un
missile antiaérien portable de type « Stinger ». Il est cependant sûr
que si ça avait eu lieu, on aurait dû enregistrer l'impact et l'éclair au
moment de la déflagration sans parler du suivi du tracé du missile qui eût pu
être réalisé par les moyens de surveillance de la mer Noire. Donc une telle éventualité
de tir terroriste est fort peu probable.
Reste la dernière version des faits qui, à
bien y réfléchir, n'est pas si futuriste que ça. Depuis très longtemps, les
Russes parlent de leurs armes ultra-sophistiquées dans le domaine de la défense
anti-aérienne et du brouillage électronique. Les moyens de la guerre
électronique seraient tellement sophistiqués que le passage d'un seul avion
russe au-dessus d'un croiseur américain qui était d'ailleurs en mer Noire à ce
moment-là, a provoqué le blocage de tous les systèmes électroniques y compris
la liaison avec le satellite et les systèmes d'armements embarqués [1].
Le
croiseur a dû même rebrousser chemin pour revenir à Istanbul.
Cette information prouve, de façon
éloquente, que l'on peut très bien bloquer l'avionique de bord avec les moyens
de guerre radio-électronique qui peuvent servir d'arme offensive.
Si
les Russes l'ont fait, il serait logique de supposer que l'OTAN a à sa
disposition les armements de même type. Un groupe aéronaval américain est
actuellement localisé en mer Noire et a été même renforcé de plusieurs
bâtiments. Deux bâtiments de guerre français « Dupuy- De-Lôme », le
meilleur d'ailleurs dans le domaine de la lutte radio-électronique et « Le
Chevalier Paul » croiseraient également dans le même périmètre.
Il est
extrêmement difficile de repérer un faisceau radio-électronique dirigé [2].
Et
quand bien même les Russes réussissent à démêler l'écheveau, auraient-ils le
courage de faire porter le chapeau à l'OTAN ?
Il est également vrai que s'il s'agit d'une
acte ennemi (l'usage d'un bâtiment de guerre n'a rien d'un acte terroriste mais
équivaut à des hostilités ouvertes entre les États), le moment a été très bien
choisi. Non seulement la date est symbolique : c'était Noël hier (c'est
vrai que les Russes orthodoxes le fêtent selon le calendrier julien plutôt le 7
janvier, mais une partie d'Églises orthodoxes le fait bien le 25). En plus,
l'avion appartenait à la Défense russe et le Chœur de l'Armée Rouge est le
symbole même de l'armée russe. Enfin, dernière chose à dire, la catastrophe
s'est passée au moment du départ d'Obama qui crache le feu à propos de
l'avènement de Donald Trump et de l'éventuelle amélioration des relations avec
la Russie.
Le symbolisme a forcément un rôle a joué. On n'a pas oublié la tempête diplomatique qu'avait déchaînée le concert donné par l'orchestre russe dirigé par le très célèbre Guerguiyev dans le théâtre antique de Palmyre, juste après la libération de la cité antique. De tout temps les symboles ont leur force et leur mysticisme : faire tomber un avion militaire avec le Chœur de l'Armée Rouge qui s'est envolée pour célébrer le Nouvel An après la libération d'une grande partie de la Syrie est plus que symbolique.
Quant aux moyens mis à exécution, je
considère que la piste mentionnée serait à prendre en considération.
Et si la France en sait quelque chose, on
ne serait pas étonné par le laquais de l'Élysée qui, à la différence de la
majorité des chefs de l'État (y compris les Américains), s'est bien gardé
d'exprimer ses condoléances au Kremlin se limitant juste à un bref message de
la part de l'ambassadeur à Moscou. S'agit-il juste d'un acte cynique ou y
a-t-il là matière à réflexion ?
Alexandre Artamonov
Docteur ès sciences sociales à l’Institut Catholique de Paris, DEA
de littérature générale et comparée à Paris 3 (Sorbonne Nouvelle) et
DEA en aéronautique militaire et civile au CEDS IHEDN (Promotion 1995),
Alexandre Artamonov est l’un des animateurs des émissions FM sur les
fréquences de la Radio Spoutnik à Paris, chef de Service radio en
français de MIA « Rossiya Segodnya » et observateur politique à ses
heures perdues.
Source : http://www.pravdafrance.com/authored/26-12-2016/1303914-RUSSIA-0/
[2]
C’est
la CIA qui a causé la chute catastrophique du Tupolev russe
Les Occidentaux déçus : ils croyaient que Poutine était sur l'avion abattu |
Mise à jour du 28/12
Voici ce que publie La Pravda du 28/12 (extrait) :
...Cet accident correspond aux propos de John Kirby, (contre-amiral de la Marine des États-Unis, il est porte-parole du département de la Défense des
États-Unis) qui a déclaré
que la Russie perdrait plus d'avions si elle n'arrêtait pas ses opérations en
Syrie.
....
Des transpondeurs,
des transpondeurs et des systèmes de communication remarquables peuvent être
expliqués comme suit. Le
navire de reconnaissance français Dupuy de Lomé est entré dans la mer Noire à
la veille de la tragédie. Le
navire peut envoyer une forte impulsion pour désactiver tous les équipements
électroniques à bord de l'avion. Israël
recourt à cette pratique contre les avions russes en Syrie. Il
a été signalé que les corps des victimes de l'accident Tu-154 portaient des
gilets de sauvetage. Par
conséquent, l'équipage avait le temps d'avertir les passagers, mais pas les
agents de contrôle de vol.
Dans
ce cas, il s'agit d'une guerre de l'OTAN plutôt que d'un acte de
terrorisme....
Le général Sergey Bainetov, chef du Service de
sécurité aérienne du ministère russe de la Défense, qui dirige un comité d'Etat chargé
d'enquêter sur les raisons de l'accident, n'a pas exclu la possibilité d'un
acte terroriste à bord de l'avion.
"Un acte de terreur n'est pas nécessairement une
explosion", a-t-il dit.
Mise à jour le 29/12 :
Le site officiel russe RusRéinfo – Agence Russe de Ré-Information
reprend notre analyse.
Selon des sources internes, les enquêteurs qui travaillent sur le crash du vol TU-154 qui transportait les « Choeurs de l’Armée Rouge » envisagent très sérieusement qu’une attaque par des moyens électroniques et électromagnétiques ait été à l’origine de la chute de l’avion.
Il est notoire que la Russie a développé des moyens d’attaques dans ce domaine, comme elle l’a montré en avril 2014 lorsque un simple survol par des jets Russes du bâtiment « USS Donald Cook » en Mer Noire avait bloqué tous ses équipements électriques. Le Donald Cook avait dû se faire remorquer pour rentrer à son port d’attache.
Il est donc tout a fait probable que l’OTAN et les Etats-Unis aient développé le même type d’armes.
On notera que des navires français sont positionnés dans la Mer Noire, dont le bâtiment « Dupuy de Lome »spécialisé dans les mesures radio électroniques. Dans l’Etat Major Russe on fait remarquer que le message de « condoléances » de la France n’a été transmis que par l’ambassadeur à Moscou, alors que la plupart des autres pays l’ont fait par leurs Présidents. Une manière de signer le crime?
Il sera quoiqu’il en soit très difficile de prouver une telle attaque, tout au moins sera-t’il possible de réfuter les autres hypothèses. Dans un tel cas de figure, cette attaque qui, selon un très haut responsable Russe, « nous atteint dans ce que nous avons de plus cher » devrait alors provoquer des « faits inexpliqués » touchant certains pays occidentaux dans les semaines à venir.
Mise à jour le 29/12 :
Le site officiel russe RusRéinfo – Agence Russe de Ré-Information
reprend notre analyse.
TU-154: Une attaque électronique?
Selon des sources internes, les enquêteurs qui travaillent sur le crash du vol TU-154 qui transportait les « Choeurs de l’Armée Rouge » envisagent très sérieusement qu’une attaque par des moyens électroniques et électromagnétiques ait été à l’origine de la chute de l’avion.
Il est notoire que la Russie a développé des moyens d’attaques dans ce domaine, comme elle l’a montré en avril 2014 lorsque un simple survol par des jets Russes du bâtiment « USS Donald Cook » en Mer Noire avait bloqué tous ses équipements électriques. Le Donald Cook avait dû se faire remorquer pour rentrer à son port d’attache.
Il est donc tout a fait probable que l’OTAN et les Etats-Unis aient développé le même type d’armes.
On notera que des navires français sont positionnés dans la Mer Noire, dont le bâtiment « Dupuy de Lome »spécialisé dans les mesures radio électroniques. Dans l’Etat Major Russe on fait remarquer que le message de « condoléances » de la France n’a été transmis que par l’ambassadeur à Moscou, alors que la plupart des autres pays l’ont fait par leurs Présidents. Une manière de signer le crime?
Il sera quoiqu’il en soit très difficile de prouver une telle attaque, tout au moins sera-t’il possible de réfuter les autres hypothèses. Dans un tel cas de figure, cette attaque qui, selon un très haut responsable Russe, « nous atteint dans ce que nous avons de plus cher » devrait alors provoquer des « faits inexpliqués » touchant certains pays occidentaux dans les semaines à venir.
Hannibal GENSERIC
La guerre radio-électronique et le crash du Tu-154
Un avion de la Défense russe se dirigeant à Khmeimim,
base aérienne russe en Syrie, est tombé après le décollage dans les eaux
territoriales russes. Les musiciens et les journalistes se trouvant à
bord ont tous péri dans cet accident. Aucun rescapé, comme toujours
lorsqu'il s'agit d'une catastrophe aérienne... Ces lignes qui ont fait
le tour du monde ne reflètent pas vraiment tout le dramatisme de ce qui
est en train de se jouer dans le bassin de la mer Noire.
Il se trouve que l'avion en question a été en
« grande visite », comme disent les avionneurs, en septembre dernier ce
qui veut dire que tous les systèmes - avionique, propulseurs,
hydraulique - ont été mis en révision. Qui plus est, cet avion
desservait une commande spéciale : les musiciens de l'ensemble de
musiciens Alexandrov (Choeur de l'Armée Rouge), les ballerines qui s'y
sont associées et les journalistes de la grande chaîne de télévision
devant participer aux festivités du Nouvel An organisées par la Défense
russe pour le corps expéditionnaire russe en Syrie. Vous pouvez bien
imaginer que l'appareil aurait dû être bichonné jusqu'au dernier boulon.
Mais voilà qu'il tombe sans raison apparente, un peu comme si c'était
dans le Triangle de Bermudes.
Il est à dire que le désastre est arrivé juste après
le décollage les 3 moteurs s'étant arrêtés simultanément parce que le
Tupolev est tombé dans un total silence - tel que les observateurs de
passage se trouvant sur la berge, à une distance d'1,5 km, ont entendu
le bruit de l'eau qui se refermait sur la coque engloutie. L'épave gît à
une profondeur de 50-70 mètres avec les débris qui se sont dispersés à
une très grande distance à cause du courant qui est particulièrement
fort dans cet endroit et une mer hivernale démontée. Tout ça pour dire
qu'il serait difficile de retrouver les boîtes noires qui, dans ce type
d'avion, ne sont pas encore pourvus de balises électroniques. Difficile,
mais possible puisqu'une équipe de plongée faisant plus d'un millier de
personnes est déjà sur place pour travailler dans les conditions
particulièrement éprouvantes.
Les avions tombent, hélas, et assez régulièrement,
mais la bizarrerie de ce dernier crash a été remarquée par plus d'un
observateur. Non seulement l'avion était dans un état excellent et le
vol étroitement surveillé, mais, qui plus est, l'équipage n'a donné
aucune alerte par radio. La tour de contrôle a pu juste constater la
disparition du Tupolev. Point, à la ligne.
Ayant passé plus de 15 ans dans l'aviation civile et
militaire, je suis en droit de dire qu'il s'agit d'un cas rarissime -
beaucoup plus rare que la disparition de l'avion de ligne Malaysian
Airlines dont l'épave n'a jamais été découverte ni aucune hypothèse
viable sur le crash avancé. Quoi qu'il en soit, un grand nombre de
professionnels militaires russes estiment qu'aucune raison logique
n'aurait pu mener à un tel dénouement tragique. D'aucuns avancent
l'hypothèse d'un missile de croisière ou d'un missile antiaérien
portable de type « Stinger ». Il est cependant sûr que si ça avait eu
lieu, on aurait dû enregistrer l'impact et l'éclair au moment de la
déflagration sans parler du suivi du tracé du missile qui eût pu être
réalisé par les moyens de surveillance de la mer Noire. Donc une telle
éventualité de tir terroriste est fort peu probable.
Reste la dernière version des faits qui, à bien y
réfléchir, n'est pas si futuriste que ça. Depuis très longtemps, les
Russes parlent de leurs armes ultra-sophistiquées dans le domaine de la
défense anti-aérienne et du brouillage électronique. Les moyens de la
guerre électronique seraient tellement sophistiqués que le passage d'un
seul avion russe au-dessus d'un croiseur américain qui était d'ailleurs
en mer Noire à ce moment-là, a provoqué le blocage de tous les systèmes
électroniques y compris la liaison avec le satellite et les systèmes
d'armements embarqués. Le croiseur a dû même rebrousser chemin pour
revenir à Istanbul. Cette information prouve, de façon éloquente, que
l'on peut très bien bloquer l'avionique de bord avec les moyens de
guerre radio-électronique qui peuvent servir d'arme offensive. Si les
Russes l'ont fait, il serait logique de supposer que l'OTAN a à sa
disposition les armements de même type. Un groupe aéronaval américain
est actuellement localisé en mer Noire et a été même renforcé de
plusieurs bâtiments. Deux bâtiments de guerre français « Dupuy-
De-Lôme », le meilleur d'ailleurs dans le domaine de la lutte
radio-électronique et « Le Chevalier Paul » croiseraient également dans
le même périmètre. Il est extrêmement difficile de repérer un faisceau
radio-électronique dirigé. Et quand bien même les Russes réussissent à
démêler l'écheveau, auraient-ils le courage de faire porter le chapeau à
l'OTAN ?
Il est également vrai que s'il s'agit d'une acte
ennemi (l'usage d'un bâtiment de guerre n'a rien d'un acte terroriste
mais équivaut à des hostilités ouvertes entre les Etats), le moment a
été très bien choisi. Non seulement la date est symbolique : c'était
Noël hier (c'est vrai que les Russes orthodoxes le fêtent selon le
calendrier julien plutôt le 7 janvier, mais une partie d'Eglises
orthodoxes le fait bien le 25). En plus, l'avion appartenait à la
Défense russe et le Choeur de l'Armée Rouge est le symbole même de
l'armée russe. Enfin, dernière chose à dire, la catastrophe s'est passée
au moment du départ d'Obama qui crache le feu à propos de l'avènement
de Donald Trump et de l'éventuelle amélioration des relations avec la
Russie.
Le symbolisme a forcément un rôle a joué. On n'a pas
oublié la tempête diplomatique qu'avait déchaînée le concert donné par
l'orchestre russe dirigé par le très célèbre Guerguiyev dans le théâtre
antique d'Alep, juste après la libération de la cité antique. De tout
temps les symboles ont leur force et leur mysticisme : faire tomber un
avion militaire avec le Choeur de l'Armée Rouge qui s'est envolée pour
célébrer le Nouvel An après la libération d'une grande partie de la
Syrie est plus que symbolique. Quant aux moyens mis à exécution, je
considère que la piste mentionnée serait à prendre en considération. Et
si la France en sait quelque chose, on ne serait pas étonné par le
laquais de l'Elysée qui, à la différence de la majorité des chefs de
l'État (y compris les Américains), s'est bien gardé d'exprimer ses
condoléances au Kremlin se limitant juste à un bref message de la part
de l'ambassadeur à Moscou. S'agit-il juste d'un acte cynique ou y a-t-il
là matière à réflexion ?
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