vendredi 30 décembre 2016

ObaMinable expulse une équipe médicale russe chargée de soigner des enfants syriens blessés



Un très triste rapport diffusé aujourd'hui au Kremlin par le ministère de la Protection civile, des urgences et de l'élimination des conséquences des catastrophes naturelles (EMERCOM) indique que le président Barack Obama a ordonné l'expulsion immédiate des États-Unis de 15 experts médicaux russes sous couverture diplomatique appartenant à l'équipe de sauvetage aérien central de Tsentrospas (TSCART), qui un stage pratique de formation à l'Hôpital John Hopkins (JHH) de Baltimore, Maryland, sur la façon de créer des prothèses imprimées 3-D pour les enfants et les bébés blessés pendant la guerre civile syrienne.


 
Selon ce rapport, les experts médicaux de TSCART exploitent un hôpital d'urgence aéroporté certifié par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a été classé parmi les trois meilleures équipes mondiales des EMT (Technicien Médical d’Urgence) qui peuvent travailler dans des zones sinistrées et qui, depuis 1992 , a fourni l'aide à plus de 37.000 personnes et ont récemment reçu des récompenses pour leur travail d’aide aux enfants blessés de guerre de Syrie.

Le président Poutine a ordonné le déploiement de l'hôpital aérien TSCART en Syrie le mois dernier, ce rapport continue, à la demande urgente de Dr. Elizaveta Glinka (connue et aimée dans le monde entier comme le Dr Liza), la fondatrice et directrice de la charité palliative de la santé Spravedlivaya Pomosh (Fair Aid) [РУС], et du Prix Nobel, le Dr. Peter Agre, de l'Hôpital John Hopkins, qui avaient tous deux organisé et signé le document intitulé Lettre ouverte: Traitons les patients en Syrie demandant aux puissances belligérantes l’autorisation de soigner les blessés Guerre en Syrie.

Le Dr. Liza (à droite) de renommée mondiale
avec le Président Poutine (à gauche
)

Le rapport souligne que le Dr Liza et son homologue américain, le docteur Agre, ont déclaré que l'une des principales causes de préoccupation pour les enfants blessés par la guerre en Syrie était la perte de membres due à des mines et des pièges cachés par des terroristes islamistes. Ils ont établi un programme instructif coordonné pour que les experts médicaux de TSCART soient formés à l'hôpital de John Hopkins dans la création des prothèses imprimées 3-D, pour lesquelles que cet hôpital américain est un leader mondial.

Les experts médicaux de TSCART s'étant engagés à utiliser les méthodes les plus récentes pour soigner les enfants blessés de guerre en Syrie, ce rapport détaille, le 25 décembre, que le Dr Liza a commencé son voyage en Syrie pour superviser le premier transport de ces jeunes victimes de la terreur islamiste vers l'Hôpital John Hopkins afin de créer des membres artificiels en 3-D pour eux. Mais, le Dr Liza est décédée lorsque l’avion militaire russe qui la transportait s'est écrasé dans la mer Noire, la tuant ainsi que tous les autres à bord, à la suite probable d’un attentat d’État ourdi par les présidents Obama et Hollande [1].

Quatre jours après la mort mystérieuse du Dr Liza, ce rapport indique, le 29 décembre, le président Obama a ordonné l’expulsion des États-Unis des 15 membres de l'équipe médicale de TSCART en formation à l'Hôpital John Hopkins (avec 20 autres diplomates de la Fédération) et a confisqué leur résidence dans le Maryland,  qui appartient à la Fédération depuis 1972 et qui a été le plus fréquemment utilisé par les travailleurs de la Fédération et les diplomates ayant prolongé leur séjour aux États-Unis.

L'expulsion par Obama de ces experts médicaux TSCART,  est largement, et malhonnêtement, dépeint par la "fausses nouvelles" de l'Amérique médiatique de propagande comme étant des représailles contre la Russie pour le soi-disant  piratage de l'élection présidentielle 2016 aux États-Unis, alors qu’AUCUNE preuve n’en a été donnée et que 71% du peuple américain savent que c’est un mensonge éhonté de la clique perdante Obama-Clinton.

Pire encore, l’expulsion par Obama de ces médecins experts du TSCART formation pour aider les enfants blessés de guerre et les bébés de la Syrie montre sa connivence scandaleuse avec les va-t-en guerre néocons. Cette conduite méprisable a été condamnée en Amérique à la fois par la Gauche et par la Droite. Par exemple le metteur en scène Oliver Stone, qui avait gagné un Oscar à Hollywood, a condamné à la fois le régime Obama et la propagande des médias pour leur malhonnête dans leur narrative sur les "russes vont venir«. De son côté, Paul Roberts, ancien secrétaire personnel du Président Ronald Reagan, avertit maintenant des dangers que représentent ces néo-conservateurs qui ont noyauté certaines parties de la CIA, du Département d'État et du Pentagone et, qui conservent encore une forte influence dans les médias.
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 Et pendant qu’Obama sabote l'aide de la Russie aux enfants et bébés blessés de guerre en Syrie, sa machine de guerre de néocon continue de bombarder des hôpitaux en Irak comme ils l’ont fait plus tôt aujourd'hui à Mosel pour la deuxième fois ce mois-ci. Rappelons aussi la barbarie du régime d'Obama qui avait fourni aux terroristes islamistes les coordonnées pour bombarder un hôpital de la Fédération en Syrie alors qu'il traitait des enfants.

Le régime Obama et ses alliés néocons sont devenus si vils qu'ils ne considèrent plus le bombardement des hôpitaux civils comme un crime de guerre. Au lieu de cela, ils appellent ces bombardements d’hôpitaux une «erreur humaine involontaire » et « échec de l'équipement»


Quant à savoir si le président-élu  Trump pourra surmonter ces nébuleuses barbares du régime Obama, cela n’est pas certain. Ainsi, l'un des principaux activistes anti-guerre des Amériques, Justin Raimondo, lance aujourd’hui dans le Angeles Times un avertissement sur ce qu'il appelle Trump Derangement Syndrome, ou TDS, qui a infecté toutes les élites américaines, et dont la conclusion logique,  déclare-t-il: "Si vous demandez à une victime du TDS ce qui pourrait l’aider à se sentir mieux, il va utiliser le mot «normaliser». Or, nous ne devons pas normaliser Trump. Ce qu'ils disent vraiment, c'est que les moyens normaux de traiter avec lui ne suffisent pas.

Ce qui soulève la question: s'il est un autre Hitler, s'il est maqué avec Poutine, alors pourquoi l'assassiner serait hors de question? Poussez un peu une victime de TDS et vous verrez qu'elle ne pense pas que cette «solution» est du tout hors de question. C'est la dernière étape de l'épidémie TDS: la violence contre un chef élu démocratiquement. À moins de trouver un remède pour TDS, c'est là que nous allons. "


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