En Tunistan, ex Tunisie, comme dans beaucoup de pays musulmans, les violeurs et les pédophiles sont à la fête. La loi les oblige à épouser la gamine qu'ils viennent de violer, même si celle-ce n'est ni consentante ni pubère. C'est paraît-il la charia qui l'exige. De Rabat à Islamabad, en passant par Alger, Tunis, Tripoli, Le Caire, etc., le sort des gamines est aux mains des pédophiles. Si la PizzaGate [1] constitue un méga scandale aux USA, dans les pays islamiques, la PizzaGate est la norme.
Maintenant, il suffit au pédophile islamique de guetter sa proie devant les écoles et les collèges, enlever et violer celles qui lui plaisent. Mais attention : la loi est très sévère : il ne doit pas violer plus de quatre fillettes.
Quant aux organisations Internationales de défense des drois humains, il ne faut pas trop y compter. Lorsque vous avez l'Arabie Saoudite élue comme défenseur des droits de l'homme de l'ONU, vous avez élu les promoteurs du viol et de l'esclavage comme défenseurs des droits des femmes. Les miracles du pétrodollars sont incommensurables, non seulement à Tunis ou à la Mecque, mais à New-York aussi.
Tunisie : une loi sur le mariage des mineures qui fâche
Colère et consternation
ce mercredi devant le Parlement tunisien à Tunis, la capitale. Des
dizaines de contestataires y ont exprimé leur désaccord, exigeant la
révision d’une loi qui ne laisse pas indifférent dans le pays : celle-ci
permet à un homme d‘échapper à des poursuites pour des relations
sexuelles avec une mineure, en épousant sa victime.
Les mécontents ne sont pas passés par quatre chemins pour
crier leur colère. “A bas l’article 227 bis”, “Loi rétrograde”, “Révisez
l’article de la honte”, scandaient-ils. Composés majoritairement de
femmes, les détracteurs de cette loi ont fait pendant des heures le pied
de grue devant l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).
La veille déjà, soit le mardi dernier, un appel à
manifester avait été lancé. Cela, suite à la décision du tribunal de
première instance du Kef (nord-ouest du pays) d’autoriser le mariage
d’une fille de 13 ans avec un proche de 20 ans. Ce dernier, faut-il le
préciser, a violé la fille à plusiers reprises et elle tombée enceinte.
Feriecha Fedine, membre de l’organisation du rassemblement :
“la loi 227bis, qui donne le droit au violeur d’épouser la victime, et
dans ce cas là, il n’y aura pas de poursuite judiciaire (contre
l’agresseur). On est là parce que cette loi est inhumaine, et va à
l’encontre de la Constitution tunisienne.”
“On veut, en particulier, que cette loi 227bis soit
abrogée, par rapport au viol et au fait de forcer les filles à se marier
avec le violeur”, renchérit Zahra, manifestante.
L’affaire a enflammé les réseaux sociaux. Aussi, plusieurs
organisations crient au viol de la fille de 13 ans, estimant par la même
occasion que l’“agresseur” de 20 ans échappe de fait aux poursuites
judiciaires, étant donné la loi adoptée.
L’article 227 bis, loi scélérate
En Tunisie, l’article 227 bis du Code pénal condamne à six
ans de prison tout individu qui a “fait subir sans violence l’acte
sexuel à un enfant de sexe féminin âgé de moins de 15 ans accomplis”.
Et si la victime est un bébé de 1 an ou 2 ? le violeur l'épouse ? Bizarre, cette loi scélérate.
Mais là où les choses fâchent, c’est que ce même article (227 bis) ajoute que “le mariage du coupable avec la victime (…) arrête les poursuites”.
Et si la victime est un bébé de 1 an ou 2 ? le violeur l'épouse ? Bizarre, cette loi scélérate.
Mais là où les choses fâchent, c’est que ce même article (227 bis) ajoute que “le mariage du coupable avec la victime (…) arrête les poursuites”.
Aïda, âgée de 52 ans, est toute retournée par cette loi :
“cette loi doit être révisée ! C’est honteux pour la Tunisie de laisser
un article aussi rétrograde et injuste qui permet le viol des enfants.
Et je dis bien viol, parce qu’il ne faut pas parler de consentement
quant il s’agit des enfants ! “
Sur certaines banderoles de manifestants, l’on pouvait lire
“Il l’a violée une fois, la loi lui a permis de la violer chaque nuit”,
ou encore “La perpétuité pour le viol d’une mineure et pas le mariage”.
Face à cette vague de colère, le porte-parole du parquet de
Kef a fait savoir que le procureur général du tribunal s‘était
constitué partie civile, exigeant l’annulation pure et simple de la
décision judiciaire qui a autorisé ce mariage entre le jeune homme de 20
ans et la mineure de 13 ans.
“On attend la décision du président du tribunal pour que la
partie civile puisse réclamer un procès”, dans le cas notamment où la
famille de la jeune fille continuerait de soutenir un tel mariage, a
aussi mentionné le porte-parole du parquet de Kef.
La Tunisie est considérée comme un modèle en matière de
respect des droits de la femme, dans le monde arabe. Et pourtant, les
femmes y sont victimes de plusieurs discriminations.
Dans ce pays, un projet de loi rédigé contre les violences à
l’encontre des femmes et élaboré en 2014, reste toujours en attente
d‘être examiné par les parlementaires.
Le chemin pour l‘émancipation des Tunisiennes (et des femmes musulmanes en général) est encore long.
La Tunisie s'inspire de la terrifiante théologie wahhabite du viol
Des 21 témoignages recueillis par le journal américain New York Times de femmes et jeunes filles récemment échappées de
l’État islamique, ressortent des pratiques sexuelles communes – ils
prient avant et après avoir violé des captives, affirment que cela les
rapproche de Dieu, ignorent le bas âge des fillettes –, autant de
similarités qui prouvent, s’il fallait, l’institutionnalisation du viol
par le groupe wahhabite. Ce lavage de cerveau hors du commun était déjà palpable
avec les témoignages des premières captives rescapées ou les revendications publiées des combattants
eux-mêmes qui codifient leurs sévices et les justifient par la « loi
islamique ». « Les seules qui n’ont pas été violées » parmi celles
interrogées « sont celles qui étaient déjà enceintes au moment où elles
ont été capturées, ou celle ménopausées », note l’article.
Aujourd’hui, le viol est devenu un outil très convaincant de recrutement pour attirer
les hommes des sociétés musulmanes. Les victimes sont toujours majoritairement des
jeunes femmes capturées . Emmenées par bus sur leurs territoires,
elles ont ensuite été vendues comme
du bétail, contrats à l’appui, à des combattants.
VOIR AUSSI :
- 30 septembre 2012. Viols impunis en terre d'islam
- 9 mars 2015. Arabie Heureuse : 200 coups de fouet pour une Saoudienne victime d'un viol collectif
- 26 novembre 2015. Amnesty International: En Tunisie, les violeurs échappent à toute sanction et les victimes sont sanctionnées
- 6 mai 2016. Exorcisme et "viol halal"
Hannibal GENSERIC