mardi 13 décembre 2016

Le FBI soutient Trump pour contrer le coup d’état silencieux de la CIA



FBI agents have their holiday leave cancelled as they prepare to counter CIA coup attempt against Donald Trump
En effet, le FBI a commencé à regrouper, dans la base MacDill Air Force (MAFB) en Floride, 13 de ses 14 équipes spéciales renforcées  (Enhanced Special Weapons and Tactics (SWAT)), qui étaient réparties dans tous les États-Unis.  Là, elles viennent d'être placées sous une structure de commandement conjointe avec le commandement conjoint des opérations spéciales des forces armées américaines (US Militaries Joint Special Operations Command (JSOC)).
Ces équipes SWAT du FBI fonctionnent comme une organisation nationale de commandos de haut niveau dans les situations extrêmement sensibles ou dangereuses, et qui, dans le passé, ont uni leurs forces avec leurs homologues des Forces spéciales militaires américaines du JSOC.
Pour comprendre la raison de cette coopération, il faut revenir au 6 décembre 2016.
Ce jour-là, le général John Mattis (alias "Mad Dog" (chien enragé)), qui a été choisi par Trump pour être le prochain secrétaire d’État à la Défense, a tenu une réunion secrète avec le président Obama à la base de l'armée de l'air MacDill. Après cette réunion, Obama a fait une déclaration choquante en disant à un rassemblement des soldats américains qu'ils «ont la liberté de poser des questions à leurs autorités, ce qui inclut le droit de critiquer tout président en exercice».
Dans les 72 heures qui ont suivi cette stupéfiante déclaration du Président Obama aux soldats américains, signifiant qu'ils pouvaient désobéir librement aux ordres de leurs commandants militaires et au président, la Maison Blanche a annoncé le 9 décembre,  qu'elle avait commencé une enquête sur l'ingérence présumée de la Russie dans l'élection présidentielle américaine de 2016.  Comme on pouvait le prévoir, le Washington Post publiait, 3 heures plus tard, un article, du genre "bombe surprise", indiquant que la Russie était directement impliquée dans la manipulation de cette élection pour que Trump puisse gagner.
Nous savons que le Washington Post (WP) est l'un des principaux médias de propagande de la CIA, et le plus grand  «média de fausses infos». Il avait été acheté par le milliardaire de l’ombre américain Jeff Bezos (Le fondateur d'Amazon.com), trois mois après que la CIA lui eut accordé un contrat secret de 600 millions de dollars. Le WP, il y a quelques semaines, a mis en exergue 200 sites de médias alternatifs américains les accusant d'être des sites  "connus de propagande russe", mais a dû rétracter par la suite, car tout le monde savait qu’au WP, il y a surtout des charlatans et des menteurs, à l’image d’Euronews, de TF1, FR2, France 24 et autres LCI.
Immédiatement après la publication par le WP de cette "fausse nouvelle" affirmant que la Russie était impliquée dans les élections présidentielles américaines de 2016, l'ancien analyste de la CIA, Bob Baer (le porte-parole officieux des médias American Deep State, l’État Profond Américain) a appelé à une nouvelle élection présidentielle. Ce qui a mené Alex Jones, l'un des principaux dirigeants américains de news alternatives et le principal confident Trump, à avertir que le président élu Trump est maintenant en danger d'être assassiné.
Le fait que le FBI ait affirmé auparavant que toutes ces allégations concernant une intervention russe dans les élections étaient  manifestement fausses, n’a pas été dit aux Américains par leurs grands médias pourris.
D’autre part, Craig Murray, l'ancien ambassadeur du Royaume-Uni en Ouzbékistan, a qualifié ces affirmations de la CIA, il y a quelques heures, de conneries “bullshit”. Il a dit aussi qu’il était d’accord avec le FBI sur le fait que les Russes n’ont rien à voir avec les emails d’Hillary Clinton qui ont été divulgués. 


En résumé, ce "coup d’état silencieux" de la CIA contre le Président élu Trump, consiste à dire que : 
(a) Le 19 décembre jour du vote du collège électoral pour installer Trump comme le prochain président, doit être stoppé jusqu'à ce que "l'ingérence russe" soit pleinement étudiée ; et que 

À noter également que les mêmes organes de médias de propagande traditionnels soutenant Hillary Clinton étaient les «véritables» auteurs de «fausses nouvelles», et non pas la Russie.

D’ailleurs, l'un de leurs agents de fausses nouvelles est Marco Chacon, qui a créé des centaines d’articles de «fausses nouvelles» sur Trump, qui ont été diffusées sans discussion par les médias traditionnels. Il a confirmé sa méthode pour tromper facilement le peuple américain en déclarant: «C'est très facile de duper la Droite grâce à l'Internet ", sachant que, dans la terminologie américaine, Clinton représente la Gauche, et Trump, la Droite. 


Plan B des comploteurs: Destituer Trump avant le 20 janvier 2017


Les Américains sont tranquillement prévenus : ils doivent se préparer à une longue et violente Guerre Civile, car une nouvelle fuite de la Maison Blanche pourrait mettre le feu aux poudres. En effet, au  cas où le plan ci-dessus échoue, un plan B du coup d’état silencieux contre Trump a été concocté par Obama et consorts. Ce dernier va déclarer l'élection de Trump «illégitime» en raison des «interférences russes».

Selon deux sources distinctes au sein du gouvernement des États-Unis, à un moment donné entre le 30 décembre et le 5 janvier, Barack Obama prétendrait informer le public américain que :
« En raison de nouvelles preuves d'ingérence de la Russie, l'élection de novembre a été "illégitime" et Donald Trump ne sera pas assermenté en tant que 45e président des États-Unis. »
Obama va prétendre déclarer une "urgence catastrophique" sur ce prétendu détournement russe de cette élection et invoquer ensuite le plan de continuité du gouvernement (Continuity of Government ou COG) pour rester en fonction au-delà de l'expiration de son mandat. Bien sûr, cela dépendra de la coopération de l'armée américaine et de l'application de la loi; mais ni l’armée ni la loi ne sont de son côté.
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Regardez les  enfants ! Cette carte vous montre pourquoi les Pères Fondateurs
ont créé le Collège Électoral.
Ils voulaient que notre
président soit élu par les États et non par les villes.



L'agence d'espionnage des États-Unis rejette l'évaluation de la CIA sur le piratage en Russie

Alors que le Bureau du directeur du renseignement national (ODNI) ne conteste pas l'analyse de la CIA des opérations de piratage russes, il n'a pas approuvé leur évaluation en raison d'un manque de preuves concluantes que Moscou a l'intention d’aider Trump devant son adversaire Hillary Clinton, ont indiqué des fonctionnaires de l’ODNI, qui ont refusé d'être nommés.
La position de l'ODNI, qui surveille les 17 services de renseignement américains, pourrait donner à Trump de nouvelles munitions pour contester l'évaluation de la CIA, qu'il a rejetée comme «ridicule» dans les remarques du week-end et affirmer qu'aucune preuve n'implique la Russie cyber-attaques.
Un porte-parole de l'ODNI a refusé de commenter la question.
"L'ODNI ne prétend pas que l'agence (CIA) a tort, mais seulement qu'elle ne peut prouver son affirmation", a déclaré un des trois responsables américains.

Le FBI, dont les normes en matière de preuve l'obligent à faire valoir des arguments devant les tribunaux, a refusé d'accepter l'analyse de la CIA - une évaluation déductive des renseignements disponibles - pour la même raison.
L'ODNI, dirigée par James Clapper, a été créée après les attentats du 11 septembre 2001 contre la recommandation de la commission chargée d'enquêter sur les attaques. La commission, qui a identifié les principaux échecs du renseignement, a recommandé la création du bureau pour améliorer la coordination entre les agences de renseignement américaines.

Moscou rejette ces accusations de la CIA



Vu de Moscou, les forces de l’ordre américaines semblent avoir du mal à trouver la vraie cause des cyberattaques survenues. Une situation qui ressemble à une répartition des pouvoirs, selon Maria Zakharova. Les différends entre les services spéciaux américains sur la question des cyberattaques, dont la Russie s’est trouvée accusée, ressemblent à une redistribution de zones d’influence, a indiqué sur sa page Facebook la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova.
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« Cette histoire avec le « piratage » ressemble à un règlement de comptes entre les forces de sécurité américaines pour la redistribution des pouvoirs », a écrit la représentante de la diplomatie russe. Auparavant, le bureau du directeur du Renseignement national (Office of the Director of National Intelligence, ODNI) n’avait pas soutenu la position de l’Agence centrale de renseignement (Central Intelligence Agency, CIA) sur les cyberattaques russes soutenant le président élu Donald Trump lors de l’élection américaine.
Donald Trump avait de son côté qualifié de « ridicules » toutes déclarations sur la participation du Kremlin dans la présidentielle aux États-Unis, car Washington en avait à maintes reprises accusé la Russie sans pourtant apporter la moindre preuve.
Vladimir Poutine, avait également déclaré que les documents publiés par les hackers n’avaient rien à voir avec les intérêts de la Russie et que cette crise ne servait qu’à détourner l’attention du contenu des documents révélés.

Conclusion



L’autre raison qui panique la CIA et pour laquelle elle tente de renverser Trump réside dans la crainte des mondialistes sataniques que l'Allemagne soit également prête à se retourner contre eux. 
Ces derniers ont été horrifiés et stupéfiés après ce qui s'est passé la semaine dernière quand les chaînes de télévision allemandes ont transmis en direct l'allocution du président Poutine devant le Parlement russe. Puis elles ont mené un sondage d'opinion par téléphone, qui a montré que 81 pour cent des Allemands se sont déclarés prêts à faire confiance à Poutine, puis ces résultats ont été  immédiatement retirés.
 

Pour conclure, il est essentiel de rappeler que le dernier président américain à partir en guerre contre la CIA était John F. Kennedy, qui a juré de hacher cette agence d’espionnite maladive «en mille morceaux et de les disperser au vent». La CIA l’a abattu devant tout le monde pour montrer toute sa puissance, et pour avertir tous les présidents américains que c’est elle qui détient le pouvoir.

VOIR AUSSI :

Hannibal GENSERIC 
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