En ce lundi 12/12, le FBI est
venu à la rescousse du président élu Donald Trump et a interdit tout congé
ou absence à ses 35.000 agents,
analystes de renseignement et employés dans une tentative pour arrêter la tentative
de la CIA de renverser le gouvernement
démocratiquement élu des États-Unis.
En effet, le FBI a commencé à regrouper, dans la base MacDill Air Force (MAFB) en Floride, 13 de ses 14 équipes
spéciales renforcées (Enhanced Special Weapons and
Tactics (SWAT)), qui étaient réparties dans tous les États-Unis. Là, elles viennent d'être placées sous une structure de commandement conjointe avec le
commandement conjoint des opérations spéciales des forces armées américaines
(US Militaries Joint Special Operations Command (JSOC)).
Ces équipes SWAT du FBI fonctionnent comme une organisation nationale
de commandos de haut niveau dans les situations
extrêmement sensibles ou dangereuses, et qui, dans le passé, ont
uni leurs forces avec leurs homologues des Forces spéciales militaires
américaines du JSOC.
Pour comprendre la raison de cette coopération, il faut
revenir au 6
décembre 2016.
Ce jour-là, le général John Mattis (alias
"Mad Dog" (chien enragé)), qui a été choisi par Trump pour être le
prochain secrétaire d’État à la Défense, a tenu une réunion secrète avec le
président Obama à la base de l'armée de l'air MacDill. Après cette réunion,
Obama a fait une déclaration choquante en disant à un rassemblement des soldats
américains qu'ils «ont
la liberté de poser des questions à leurs autorités, ce qui inclut le droit de
critiquer tout président en exercice».
Dans les 72 heures qui ont suivi cette stupéfiante
déclaration du Président Obama aux soldats américains, signifiant qu'ils
pouvaient désobéir librement aux ordres de leurs commandants militaires et au
président, la Maison Blanche a annoncé le 9 décembre, qu'elle avait commencé
une enquête sur l'ingérence présumée de la Russie dans l'élection
présidentielle américaine de 2016. Comme
on pouvait le prévoir, le Washington Post publiait, 3 heures plus tard, un
article, du genre "bombe surprise", indiquant que la Russie
était directement impliquée dans la manipulation de cette élection pour que
Trump puisse gagner.
Nous savons que le Washington Post (WP) est l'un des principaux médias de
propagande de la CIA, et le plus grand «média de fausses infos». Il
avait été acheté par le milliardaire de l’ombre américain Jeff Bezos (Le fondateur d'Amazon.com), trois mois après
que la
CIA lui eut accordé un contrat secret de 600 millions de dollars. Le WP, il
y a quelques semaines, a mis en exergue 200 sites de médias alternatifs américains les accusant d'être des sites "connus de propagande russe", mais a
dû rétracter par la suite, car tout le monde savait qu’au WP, il y a
surtout des charlatans et des menteurs, à l’image d’Euronews, de TF1, FR2, France 24 et
autres LCI.
Immédiatement après la publication par le WP de cette
"fausse nouvelle" affirmant que la Russie était impliquée dans les
élections présidentielles américaines de 2016, l'ancien analyste de la CIA, Bob Baer (le
porte-parole officieux des médias American Deep State, l’État Profond
Américain) a appelé
à une nouvelle élection présidentielle. Ce qui a mené Alex Jones,
l'un des principaux dirigeants américains de news alternatives et le principal confident Trump, à avertir
que le président élu Trump est maintenant en danger d'être assassiné.
Le fait que le FBI ait affirmé auparavant que toutes ces
allégations concernant une intervention russe dans les élections étaient manifestement fausses, n’a pas été dit aux
Américains par leurs grands médias pourris.
Par contre, lors d'une réunion secrète du Comité du Renseignement
de la Chambre des Députés, un haut
fonctionnaire du FBI a dit que rien ne pouvait prouver ou confirmer de façon
concluante la collusion russe dans la victoire de Trump contrairement aux
allégations de la CIA.
D’autre part, Craig Murray,
l'ancien ambassadeur du Royaume-Uni en Ouzbékistan, a qualifié ces affirmations de la CIA, il y a quelques
heures, de conneries
“bullshit”. Il a dit aussi qu’il était d’accord avec le FBI sur le fait que les
Russes n’ont rien à voir avec les emails d’Hillary Clinton qui ont été
divulgués.
L'ambassadeur des États-Unis, John Bolton, qui appuie
l'ambassadeur Murray, a
déclaré que la CIA menait actuellement une opération de "faux
drapeau" pour renverser le président élu Trump.
En résumé, ce "coup d’état silencieux"
de la CIA contre le Président élu Trump, consiste à dire que :
(a) Le
19 décembre jour du vote du collège électoral pour installer Trump comme le
prochain président, doit être stoppé
jusqu'à ce que "l'ingérence russe" soit pleinement étudiée ;
et que
À noter
également que les mêmes organes de médias de propagande traditionnels soutenant
Hillary Clinton étaient les «véritables» auteurs de «fausses nouvelles»,
et non pas la Russie.
D’ailleurs, l'un de leurs agents de fausses
nouvelles est Marco Chacon, qui a créé des centaines d’articles de «fausses
nouvelles» sur Trump, qui ont été diffusées sans discussion par les médias
traditionnels. Il a confirmé sa méthode pour tromper facilement le peuple
américain en déclarant: «C'est
très facile de duper la Droite grâce à l'Internet ", sachant que,
dans la terminologie américaine, Clinton représente la Gauche, et Trump, la
Droite.
Plan B des comploteurs: Destituer Trump avant le 20 janvier 2017
Les Américains sont tranquillement prévenus : ils
doivent se préparer à une longue et violente Guerre Civile, car une nouvelle fuite
de la Maison Blanche pourrait mettre le feu aux poudres. En effet, au cas où le plan ci-dessus échoue, un plan B du
coup d’état silencieux contre Trump a été concocté par Obama et consorts. Ce
dernier va déclarer l'élection de Trump «illégitime» en raison des «interférences
russes».
Selon deux sources distinctes au sein du gouvernement des États-Unis, à un moment donné entre le 30 décembre et le 5 janvier, Barack
Obama prétendrait informer le public américain que :
« En raison de nouvelles preuves d'ingérence de la
Russie, l'élection de novembre a été "illégitime" et Donald Trump ne
sera pas assermenté en tant que 45e président des États-Unis. »
Obama va prétendre déclarer une "urgence
catastrophique" sur ce prétendu détournement russe de cette élection et
invoquer ensuite le plan de continuité
du gouvernement (Continuity of Government ou COG)
pour rester en fonction au-delà de l'expiration de son mandat. Bien sûr, cela
dépendra de la coopération de l'armée américaine et de l'application de la loi;
mais ni l’armée ni la loi ne sont de son côté.
Regardez les enfants ! Cette carte vous montre pourquoi les Pères Fondateurs ont créé le Collège Électoral. Ils voulaient que notre président soit élu par les États et non par les villes. |
L'agence
d'espionnage des États-Unis rejette l'évaluation de la CIA sur le
piratage en Russie
Les superviseurs de la communauté des services de renseignement des États-Unis n'ont pas accepté l’évaluation de la CIA selon laquelle des cyberattaques russes visaient à aider le président élu républicain Donald Trump à remporter l'élection de 2016, ont annoncé trois officiels
américains lundi.
Alors que le Bureau du directeur du renseignement national
(ODNI) ne conteste pas l'analyse de la CIA des opérations de piratage russes,
il n'a pas approuvé leur évaluation en raison d'un manque de preuves concluantes que Moscou a l'intention d’aider
Trump devant son adversaire Hillary Clinton, ont indiqué
des fonctionnaires de l’ODNI, qui ont refusé d'être nommés.
La position de l'ODNI, qui surveille les 17 services de
renseignement américains, pourrait donner à Trump de nouvelles munitions pour
contester l'évaluation de la CIA, qu'il a rejetée comme «ridicule» dans les
remarques du week-end et affirmer qu'aucune preuve n'implique la Russie cyber-attaques.
Un porte-parole de l'ODNI a refusé de commenter la question.
"L'ODNI ne prétend pas que l'agence (CIA) a tort,
mais seulement qu'elle ne peut prouver son affirmation", a déclaré un
des trois responsables américains.
Le FBI, dont les normes en matière de preuve l'obligent à
faire valoir des arguments devant les tribunaux, a refusé d'accepter l'analyse
de la CIA - une évaluation déductive des renseignements disponibles - pour la
même raison.
L'ODNI, dirigée par James Clapper, a été créée après les
attentats du 11 septembre 2001 contre la recommandation de la commission
chargée d'enquêter sur les attaques. La
commission, qui a identifié les principaux échecs du renseignement, a
recommandé la création du bureau pour améliorer la coordination entre les
agences de renseignement américaines.
Moscou rejette ces accusations de la CIA
Vu de Moscou, les forces de l’ordre américaines semblent avoir du mal à trouver la vraie
cause des cyberattaques survenues. Une situation qui ressemble à une
répartition des pouvoirs, selon Maria Zakharova. Les différends entre les
services spéciaux américains sur la question des cyberattaques, dont la Russie
s’est trouvée accusée, ressemblent à une redistribution de zones d’influence, a
indiqué sur sa page Facebook la porte-parole du ministère russe des Affaires
étrangères Maria Zakharova.
« Cette histoire
avec le « piratage » ressemble à un règlement de comptes entre les
forces de sécurité américaines pour la redistribution des pouvoirs », a écrit
la représentante de la diplomatie russe. Auparavant, le bureau du directeur du
Renseignement national (Office of the Director of National Intelligence, ODNI)
n’avait pas soutenu la position de l’Agence centrale de renseignement (Central
Intelligence Agency, CIA) sur les cyberattaques russes soutenant le président
élu Donald Trump lors de l’élection américaine.
Donald Trump
avait de son côté qualifié de « ridicules » toutes déclarations sur la
participation du Kremlin dans la présidentielle aux États-Unis, car Washington
en avait à maintes reprises accusé la Russie sans pourtant apporter la moindre
preuve.
Vladimir
Poutine, avait également déclaré que les documents publiés par les hackers
n’avaient rien à voir avec les intérêts de la Russie et que cette crise ne
servait qu’à détourner l’attention du contenu des documents révélés.
Conclusion
L’autre raison qui panique la CIA et pour laquelle elle tente de renverser Trump réside dans la crainte des mondialistes sataniques que l'Allemagne soit également prête à se retourner contre eux.
Ces derniers ont été horrifiés et stupéfiés
après ce qui s'est passé la semaine dernière quand les chaînes de télévision
allemandes ont transmis en direct l'allocution du président Poutine devant le
Parlement russe. Puis elles ont mené un sondage d'opinion par téléphone, qui a
montré que 81
pour cent des Allemands se sont déclarés prêts à faire confiance à Poutine, puis
ces résultats ont été immédiatement
retirés.
Pour conclure, il est
essentiel de rappeler que le dernier président américain à partir en guerre
contre la CIA était John F. Kennedy, qui a juré
de hacher cette agence d’espionnite maladive «en mille morceaux et de les
disperser au vent». La CIA l’a abattu devant tout le monde pour montrer
toute sa puissance, et pour avertir tous les présidents américains que c’est elle
qui détient le pouvoir.
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Hannibal GENSERIC
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