Le quotidien Il Giornale
publie un article de Gianni Michalessina qui raconte que le premier
Captagon fut utilisé au Caire. La « mixture de l’horreur » s’est
répandue avec le « printemps arabe » comme l’élixir d’endurance et du
renforcement de la révolution, distribuée aux foules prêtes à se
sacrifier de Tunis à l’Egypte, de la Lybie à la Syrie.
Derrière les coupeurs de tête deDAECH et ‘’partisans ukrainiens’’ se trouvent les « pilules de l’horreur », la puissante amphétamine Captagon, qui supprime le sentiment de pitié et augmente la résistance physique. |
L’amphétamine mortelle est devenue un
cauchemar pour le Moyen-Orient : dans l’extase les gens égorgent et
tuent avec un sourire sur le visage, la tête vide. Les Kurdes témoignent
de ce qu’ils ont trouvé ces pilules dans les poches de centaines de
combattants liquidés à Kobanî. Les analyses de la bande son effectuées
par les services US sur les vidéos où figure Djihadi John, le combattant
britannique chargé d’exécuter les otages, indiquent que le bourreau
agit sous l’effet d’amphétamines.
Les
premiers récits sur l’utilisation de cette substance proviennent des
manifestants (tunisiens, égyptiens, ...) tombés aux mains de la police en 2011. Beaucoup d’entre eux
reconnaissent avoir reçu des organisateurs ces pilules extraordinaires
qui donnent « courage et force ». Les livraisons se font (et continuent de nos jours à parvenir aux LPR : les Ligues de Prostitutionnalisation de la Révolution) alors aux
Frères Musulmans depuis Dubaï et le Qatar.
Les premières analyses chimiques en Europe furent
effectuées par les Carabiniers italiens. Lorsqu’ils se rendirent en
Libye en 2013, pour tenter de transformer les groupes de combattants en
une armée régulière, et sur la base d’analyses de sang, ils comprirent
qu’au moins 30% des candidats étaient dépendants aux drogues.
Aujourd’hui le Captagon transforme le
fanatisme des combattants de Daech en férocité animale. Ces pilules,
produites désormais dans les territoires qu’ils contrôlent, sont
devenues un véritable carburant pour mener guerre et terreur, conclut
l’auteur de cet article.
Toutes les preuves montrent que ce ne
sont pas les sourates du Coran mais bien les amphétamines qui
occasionnent ces actes criminels, et également la façon dont ces drogues
sont arrivées au Qatar et à Dubaï. Les idéologues de leur utilisation
sont les oligarques sionistes qui contrôlent les pays occidentaux, et
leurs satellites orientaux de l’Europe.
Mis en production par l’OTAN en 2011 dans les laboratoires bulgares, le Captagon est désormais produit dans tout le Moyen-Orient, en particulier en Syrie. Début avril 2014, l’armée arabe syrienne a intercepté un véhicule empli de tablettes de Captagon et de composants équivalents à une tonne de Captagon (phenidate hydrochloride), l’amphétamine qui provoque l’euphorie et réduit la douleur. Mélangé à d’autres substances, telle que le haschisch, il représente ‘’l’alimentation de base’’ des djihadistes, qui perdent la sensation de leur douleur, de celle des autres, et leur font commettre des horreurs « en rigolant ».
En février 2014, dans l’article intitulé « préparations
psychotropes comme instrument de manipulation de la conscience des
foules en général, et celle du Maïdan en particulier », nous avons
passé en revue l’utilisation des psychotropes artificiels dans les
guerres ; mais nous avions souligné comment le boxeur Klishko-Etinson
acheminait au Maïdan (Kiev) , sous l’étiquette d’additifs sportifs, les
psychotropes de combat de l’armée américaine qui font partie de la
trousse de secours des unités spéciales.
Ces
substances sont des drogues qui non seulement augmentent la confiance
en soi, mais réduisent les besoins de repos et de sommeil. A plus hautes
doses elles provoquent une intense excitation psychique, dont l’effet
peut être prolongé jusqu’à trois jours pleins. De l’utilisation
prolongée surviennent des psychoses, qui souvent s’accompagnent de
délires et hallucinations, dont découle un niveau extrême d’agression, ce que nous observons jusqu’à présent en Tunisie (chez les supporters de Marzouki) et dans l’Ukraine occupée.
Nous avions écrit alors que les
« combattants du Maïdan » recevaient de l’étranger non seulement de
l’argent, mais de la drogue, qui par ailleurs se vendait librement et
bon marché sur l’euromaïdan.
En avril 2014, en qualité de maire de
Kiev, V . Bondarenko, a reconnu que dans la mairie occupée pendant
l’euromaïdan il y avait un atelier de fabrication de drogue. C’est ainsi
que ces substances étaient massivement distribuées aux tueurs d’Odessa
le 2 mai.
Le matériau nécessaire à la fabrication de Captagon fut livré en quantité industrielle, entre autres, le 11 mai, lorsqu’à l’aéroport de Kiev, où dans le plus grand secret, est arrivé un vol dont on déchargea des volumes entiers de chimie, et des emballages avec des pilules d’amphétamines. Ce vol était accompagné d’un collaborateur de la CIA, Richard Michael, et de 70 mercenaires d’une compagnie privée polonaise. Sur ordre des services ukrainiens de sécurité, les mercenaires, le convoi et son contenu chimique n’ont pas fait l’objet de vérifications, et ont quitté les bâtiments de l’aéroport dans des véhicules aux vitres teintées. Ensuite il y eut encore des livraisons, jusqu’à ce que la production soit implantée sur le territoire ukrainien.
Aujourd’hui, sous l’effet de ces
drogues, les forces armées de ce que fut l’Ukraine avec les mercenaires
sous l’autorité du régime des oligarques sionistes autochtones, et leurs
complices étrangers, accomplissent un véritable génocide des Russes de
Novorossia.
Traduit par Mufasa pour Réseau International
VOIR AUSSI , sur le même sujet :