Les «spasmes de la mort» que subit actuellement la CIA commencent à
se répercuter à travers le monde alors que le président Donald Trump se prépare
à démanteler partiellement cette organisation corrompue par son intention
de privatiser ses principales fonctions.
En effet, c’est depuis depuis un certain temps que le président Trump
s'est entouré de deux des plus grands généraux des Marines américains, qui ont
toujours critiqué la CIA pour être le
plus grand cartel de drogue du monde [1],
le général James
"Mad Dog" Mattis et le général John Kelly,
ce qui pouvait présager d'une confrontation inévitable entre Trump et la CIA.
Cette confrontation s’est matérialisée il y a
une quinzaine de jours (le 18 novembre) lorsque la 26ème Unité Expéditionnaire des Marines
fit un raid
surprise sur le siège de la CIA à Langley en Virginie.
Selon www.whatdoesitmean.com/index2446.htm, c'est à partir des informations obtenues par la 26ème Unité Expéditionnaire
des Marines lors de ce raid sur la CIA, le président Trump a pu lancer,
le 20 novembre, un bombardier furtif F-22
Raptor Stealth Fighter contre l'un des principaux laboratoires d'opium de
la CIA, en Afghanistan. C'était la
première fois dans l'histoire que ce redoutable et ultra secret avion de
combat, qui ne pouvait pas être détecté par radar, avait été déployé en Irak ou
en Afghanistan ; mais cela était nécessaire pour empêcher la CIA de savoir
à l’avance que cette attaque allait arriver.
D'autres informations obtenues par la 26ème unité expéditionnaire des
Marines ont permis au président Trump d'informer la Turquie de la
complicité, dans la tentative du coup d'État en Turquie [2], de Graham Fuller, chef de la CIA au Moyen-Orient, ce qui a amené la
Turquie, il y a quelques heures à peine, a délivrer un mandat d'arrêt international
contre lui.
Parmi les informations les plus étonnantes découvertes par la 26ème
unité expéditionnaire marine lors de son raid contre le QG de la CIA, il y
avait une liste détaillée des unités terroristes islamistes sunnites financées
par la CIA pour mener des attaques en Iran. Le président Trump a ordonné au
directeur général de la CIA, Mike Pompeo, de fournir
immédiatement cette liste au major général Qasem Soleimani, qui commande les forces Qods (version
iranienne de la CIA). Ce dernier a répondu "tout cela c’est théâtre
politique" et qui a été cité comme
disant: «Je n'accepterai pas
votre lettre et je ne la lirai pas non plus. Je n'ai rien à voir avec ces gens.
"
Les faits importants à noter à propos des deux généraux des Marines
américains menant la guerre du président Trump contre la CIA, sont:
- Le général Kelly
(chef d'état-major de Trump) a perdu en 2010 son fils (Robert Kelly, premier lieutenant de Marine des États-Unis)
tué dans la province de Helmond en Afghanistan, et on découvre plus tard que
cette région était un important
centre de culture et de transformation d’opium sous la protection de la CIA.
- Le général
"Mad Dog" Mattis (secrétaire à la Défense de Trump), s'inquiète
en 2001, lorsqu'une "guerre de factions" éclate en Afghanistan
au sein de la CIA pour déterminer qui contrôlera le commerce de l'opium.
Elle se transformera en effusion de sang, lorsque, le 5 décembre, un
convoi de la CIA contenant le seigneur
de la drogue Hamid Karzai (que la CIA a installé comme président afghan)
et son frère Ahmed
Wali Karzaï (qui était sur la liste de paie de
la CIA) ont été touchés
par une bombe intelligente américaine. Mais le général "Mad
Dog" Mattis refusa de leur venir en aide
car il savait que les "protecteurs" de ces convois étaient des bérets
verts américains payés par la CIA. D’ailleurs, ce n'est que l'année
dernière que les
forces loyales au président Trump ont divulgué comment ces troupes d'élite, les
Bérets Verts, travaillaient, en fait, pour la CIA.
Le président Trump étant connu depuis longtemps pour son
horreur de la drogue et de l'alcool, et ses milliards de dollars de richesse
le rendant non corruptible, le général "Mad
Dog" Mattis et le général Kelly ont décidé de l'aider à devenir
chef de l’Amérique afin de s'attaquer au cartel de la drogue de la CIA. Ainsi,
dès que Trump a remporté son élection, les
deux généraux ont conclu un "pacte secret" pour le protéger à tout
prix. Mais que les médias traditionnels de propagande mensongère ont
naturellement déformé
grossièrement ce "pacte secret" quant à son importance et sa signification.
Général James "Mad Dog" Mattis (à gauche), le président Trump (au centre) et le général Kelly (à gauche) |
Alors que les "spasmes mortels" de la CIA se
répercutent à travers le monde aujourd'hui, le président Trump et ses généraux "Mad
Dog" Mattis et Kelly "vont aller pour la mise à mort"
de cet énorme cartel de drogue (Même le Mexique
surveille maintenant le commerce de la drogue). Pour accomplir cet exploit,
ces généraux vont externaliser
les opérations secrètes de la CIA (y compris le contre-espionnage) dans des
"pays hostiles" à une société privée d'anciens officiers de
renseignement américains.
Cependant, le puissant gouvernement de l'ombre américain "Deep
State" protège la CIA. Le “Deep
State” inclut les géants technologiques de la Silicon Valley, plus particulièrement Amazon Inc.- dont le propriétaire principal, Jeff Bezos, contrôle une vaste entreprise de divertissement qui
protège
les plus vils prédateurs sexuels d'Hollywood [3]
tandis que dans le même temps, son organe de propagande mensongère, le Washington
Post lance
des attaques de « fake news » contre le président Trump. En 2013,
Bezos a acheté cet organe de
presse, et en échange, Obama lui a donné un
contrat de 600 millions de dollars pour construire une infrastructure cloud
pour la CIA.
Avec l'annonce récente de l'infrastructure cloud fournie
par Amazon à la CIA, la "région
secrète" ainsi construite aurait des
implications "stupéfiantes" pour la CIA. Par exemple, elle sera
capable de cacher la vérité que le
mouvement #TheResistance contre le président Trump est, en réalité, un front de la CIA.
L’aspect le plus inquiétant est son accompagnement pour
l'utilisation publique Amazon Sumerian Project-qui est une
tentative flagrante pour attirer des millions de personnes sans méfiance à
devenir acolytes de l'ancienne religion
sumérienne satanique.
L'un des spécialistes américains de l'ancienne religion sumérienne
satanique et de ses pratiques modernes par la CIA et d'autres mondialistes
d'élite, est un ancien officier de l'armée américaine nommé Tom Cotton, qui a longtemps mis en garde contre la "corruption
du sang", et qui, avec son appel pour la détention non seulement
des terroristes "infectés " de la CIA, mais aussi de leurs familles, et
qui est maintenant le plus jeune membre du Sénat américain. Il se pourrait que
le président Trump le nomme
directeur de la CIA pour détruire cette corruption satanique du cartel de
la drogue une fois pour toutes.
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Hannibal GENSERIC
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