Je n’avais lu que des extraits du texte de Kaczynski dont ma culture pyrrhonienne (encore un texte contre les machines ?) m’avait toujours tenu éloigné : et cet affreux terroriste d’ailleurs, n’était-il lui-même qu’une énième psy-op du système ? Et le terrorisme Una-bomber (opération stupide, compliquée, et peu efficace, vouée à l’échec donc…) relève-t-il aussi d’une énième manip’ du Deep State US dont la version totalitaire et post-moderne apparut avec le binôme Clinton et Janet Reno ? Même les procès sont comme les attentats ou les piteux «massacres dans les boites de nuit» mis en scène depuis les années Clinton (celui de Michael Jackson comme celui d’O.J. Simpson). L’avènement des chaînes info et du web a rendu le conditionnement perpétuel et hyper-efficace – et l’opposition liquide et virtuelle, qui se contente de cliquer toute la journée, totalement inefficace. Mais bon, parlons du texte.
Là, j’ai eu des surprises. Kaczynski est un
homme de droite, un réac conservateur blanc (d’où la manip’ encore plus
envisageable : le mâle blanc lucide - haï par Sartre et nos intellos
froncés - = terroriste etc.) et il attaque le progressisme venu de la gauche
dure. On commence :
« 7. Mais qu’est-ce que
le progressisme ? Dans la première moitié du XXe siècle, on pouvait à peu près
identifier le progressisme au socialisme. Aujourd’hui, les choses sont moins claires,
et il est difficile de qualifier d’un seul mot un mouvement devenu très
hétéroclite. Quand nous parlerons ici des progressistes, nous ferons surtout
référence aux socialistes, aux collectivistes, aux gens «politiquement
corrects», aux féministes, aux défenseurs des homosexuels et des handicapés,
aux défenseurs des droits des animaux, etc. Mais n’est pas forcément
progressiste celui qui participe à de telles activités… »
Attention : la pleurnicherie humanitaire de Philippe Muray a toujours existé : Marx en parle (la duchesse de Sutherland extermine ses paysans écossais mais elle chérit la case de l’oncle Tom – voyez le Capital, VI), Hobson en parle, et Gustave de Beaumont, et quelques dizaines d’autres. Ce qui importe ici c’est de noter la liquidation de la question sociale (les pauvres n’ont qu’à crever, il suffit comme dit Nietzsche dans la Volonté, §154, de leur couper l’appétit) remplacée par la question sociétale : féminine attitude, LGBTQ, haine rabique du blanc (d’autant plus facile que le petit blanc Ran-Tan-Plan ne comprend toujours pas pour qui il vote), etc.
Le langage devient fou et on va retrouver
Orwell et l’âme désarmée de Bloom (dont j’ai aussi parlé ailleurs – je répète
que les pires intellos ne sont pas les juifs mais les froncés, à part
Céline-Drumont- Céline, et pas pour les raisons qu’on croit, et ce depuis six
siècles) :
« 11.
Lorsqu’un individu juge dépréciatifs presque tous les propos tenus sur lui — ou
sur les groupes auxquels il s’identifie — nous pouvons dire qu’il nourrit un
sentiment d’infériorité ou de dépréciation de soi. C’est une attitude fréquente
chez ceux qui militent en faveur des droits des minorités, qu’ils appartiennent
ou non aux communautés qu’ils défendent. Ils sont particulièrement susceptibles
sur les mots désignant les minorités. Les termes «nègre», «oriental»,
«handicapé», ou «nana» désignant un Africain, un Asiatique, un infirme ou une
femme n’avaient pas à l’origine de connotation péjorative. «Nana» et «gonzesse»
étaient presque les équivalents féminins de «gars», «mec» ou «type». »
Kaczynski voit comme Allan Bloom le rôle
des militants dans les universités (cf. les éléments de Cornell university en
1959) ; car la vraie guerre culturelle a eu lieu en Occident anglo-saxon,
pas en Chine. Un qui l’avait compris était Eric Hobsbawn, juif communiste
rationnel qui voit l’Occident démocratique
anglo-saxon devenir totalement cinglé dans les années soixante (il est
rejoint par Vargas Llosa et des dizaines d’autres) :
« Ce sont les militants
eux-mêmes qui leur ont donné un sens péjoratif. Quelques défenseurs des droits
des animaux vont jusqu’à rejeter le terme «animal domestique» et insistent pour
le remplacer par «compagnon animal». Les anthropologues progressistes se
donnent beaucoup de mal pour éviter le moindre propos dépréciatif sur les
peuples primitifs. Ils veulent désormais les appeler des «peuples sans
écriture».
Disons-le nûment alors. Le danger ne vient
pas des races ou des immigrés, des noirs ou des « arabo- musulmans »,
mais des gauchistes blancs toqués, humanitaires tous cultivés et rêvant
d’une bonne retraite (disait déjà Céline) :
« 12. Les plus sensibles
au langage «politiquement incorrect» ne sont ni le Noir du ghetto, ni l’immigré
asiatique, ni la femme battue, ni la personne handicapée ; il s’agit plutôt d’une
minorité de militants dont la plupart n’appartiennent à aucun groupe «opprimé»,
mais viennent des couches privilégiées de la société. Le bastion du
«politiquement correct» se trouve dans les universités, en majorité chez les
professeurs, blancs, de sexe masculin, hétérosexuels, issus de la classe
moyenne, avec emploi fixe et bon salaire. »
L’increvable fonctionnaire français (Godelier) qui a invité la théorie du genre se dit lui-même fonctionnaire au service de l’humanité… Rassurez-vous, Platon avait déjà tout dit sur la dégénérescence démocratique (livre VIII de la république, voyez mon texte).
On se met à adorer le faible ou la
victime :
« 13. De nombreux
progressistes font leurs les problèmes des groupes qui paraissent faibles (les femmes),
historiquement vaincus (les Indiens d’Amérique), répulsifs (les homosexuels) ou
inférieurs d’une quelconque façon. Ce sont eux qui pensent que ces groupes sont
inférieurs et c’est précisément à cause de cela qu’ils s’identifient à eux,
même s’ils ne s’avouent jamais de tels sentiments. (Nous ne voulons pas dire
que les femmes, les Indiens, etc., sont inférieurs, nous relevons seulement un
trait de la psychologie progressiste.) »
Le passage à la liquidation des sexes ou
des races ou de la culture (qui est ontologiquement raciste, sexiste, etc.,
donc éliminable, tout comme la langue non inclusive est fasciste – dixit
Barthes, grammairien-sémiologue qui fut le nouveau Vaugelas de nos
interminables flemmes savantes) nous prépare au conditionnement informatique
qui va métamorphoser ontologiquement. On va y revenir. Kaczynski ajoute :
« 14. Les féministes
sont vraiment rongées par la crainte que les femmes ne soient pas aussi fortes
et aussi compétentes que les hommes, et cherchent désespérément à prouver qu’elles
le sont. 15. Les progressistes ont tendance à haïr tout ce qui renvoie une
image de force, d’habileté et de réussite. Ils détestent les États-Unis, la
civilisation occidentale, les Blancs de sexe masculin et la rationalité. »
La liquidation du « mâle blanc
bourgeois » (Sartre dans sa monstrueuse conférence sur les intellectuels à
Tokyo) est le programme numéro un. Et tous les Biden, Macron, Delors, Schauble,
Leyen, Lagarde, Biden (again, car je l’adore, et il va être réélu dans un
fauteuil bourgeois de sa salle ovale) et Powell ne sont payés ou motivés que
pour ça : nous réduire à néant.
Rappelons que le pauvre doit et va crever, la cause est entendue depuis
Gorbatchev et le virage à droite (1984…) Mitterrand-Fabius-Delors. L’extrême-gauche
culturelle sert le milliardaire post-humain de la bourse (qui crève tous les
plafonds avec son IA en dépit de tous les Bill Bonner, Delamarche, Greyerz et
Gave de la place antisystème). Kaczynski note aussi qu’on reprogramme les
caractères (en fait on programme l’humanité comme on veut, il est temps de le
reconnaître) pour en faire des efféminés, des dégonflés et assistés :
« 16. Des locutions
comme «confiance en soi», «indépendance d’esprit», «initiative», «esprit d’entreprise»
ou «optimisme» ont peu de place dans le vocabulaire progressiste de gauche. Le progressiste
est anti-individualiste et pro-collectiviste. Il demande à la société de
résoudre les problèmes des individus et de les prendre en charge. Il n’a pas
confiance en ses propres capacités à résoudre ses problèmes et à satisfaire ses
besoins. Il est opposé à la notion de compétition parce que, dans le fond, il
se sent minable. »
Qui a parlé le premier d’efféminé aux temps modernes ? Un certain La Boétie, dans sa Servitude volontaire ...)
La quête du vaccin par tous nos innombrables retraités et nos petits jeunes conditionnés par la télé et la hiérarchie sanitaire-administrative (O Foucault si incompris – voyez mes textes encore…) a montré cette dimension minable du petit fonctionnaire post-humain. On se serait cru dans un épisode du prisonnier (« individualiste ! »), faux rebelle toujours facilement et manipulé et ridiculisé par les femmes – vive James Bond et Sean Connery donc. Le machisme ou donjuanisme est le seul moyen de mettre fin à ces temps du jésuitisme de la Fin.
L’art moderne et le cinéma des festivals
doivent aussi dégénérer pour créer notre homoncule occidental dont la
civilisation a déjà disparu, ce que plein de naïfs n’ont pas compris :
« 17. Les formes d’art
prisées par les intellectuels progressistes modernes sont caractérisées par le sordide,
l’échec et le désespoir. Ou bien encore elles prennent une tournure orgiaque,
rejetant tout contrôle rationnel, comme s’il n’y avait plus aucun espoir de
parvenir rationnellement à quoi que ce soit, comme s’il ne restait plus qu’à s’immerger
dans les sensations du moment. »
Le déclin de l’art est bien décrit par Tolstoï dans son essai sur l’art (voyez mon texte). A la même époque le sioniste Max Nordau en parle très bien (voyez mon texte aussi). Freud évoque même la disparition des races évoluées (si, si) du fait de la culture… C’est bien cela qui me désole chez Barzun : a-t-il compris de quels temps il parlait ?
Je trouve ensuite un deuxième lien, dernier
et surtout essentiel : celui entre la sous-culture gauchiste festivalière,
antiraciste-écologiste etc. et le triomphe de la toute-puissance technologique
mise au service du contrôle des populations (ici Mélenchon s’incite à la
table de Schwab à Davos) :
« 157. Si la société
industrielle survit, il est probable que s’installera un contrôle technologique
presque total du comportement humain. Il ne fait aucun doute que la pensée et
le comportement humain sont pour une large part biologiquement déterminés. Les
expériences l’ont démontré: des sensations comme la faim, ou des sentiments
comme le plaisir, la colère ou la crainte peuvent être manipulés en stimulant
électriquement des parties précises du cerveau. Les souvenirs peuvent être détruits
en endommageant certaines régions du cerveau, ou ravivés par stimulation
électrique. Des médicaments peuvent provoquer des hallucinations ou modifier l’état
d’esprit. Il existe peut-être une âme humaine immatérielle mais, si elle existe,
il est évident qu’elle est moins déterminante que les données biologiques du
comportement humain. Dans le cas contraire, les scientifiques ne pourraient pas
manipuler si facilement les sensations et les comportements à l’aide de
médicaments et d’impulsions électriques. »
Ce que Kaczynski décrit (comme tant de
films hollywoodiens de la bonne époque), nous le vivons maintenant :
« 158.
Les autorités ne peuvent guère envisager de contrôler la population en
branchant des électrodes dans tous les cerveaux. Mais le fait que les pensées
et les sensations humaines soient si vulnérables aux interventions biologiques
montre que le problème du contrôle du comportement est principalement un
problème technique : un problème de neurones, d’hormones et de molécules complexes,
le genre de problème auquel les scientifiques peuvent s’attaquer. Étant donné
les extraordinaires performances techniques de notre société, il est plus que
probable que de grands progrès seront accomplis dans le contrôle du
comportement humain. »
Il explique pourquoi cela marchera (cf. la
stratégie du salami des soviétiques) :
« 159. Les gens parviendront-ils à résister
victorieusement à l’introduction d’un tel contrôle ? Ce serait certainement le
cas si on tentait de l’instaurer brusquement. Mais parce qu’il sera installé
très progressivement, il n’y aura aucune résistance rationnelle et efficace
(voir paragraphes 127, 132, 153). »
Je termine par le meilleur : l’alliance entre la subversion et la technologie.
C’est le 666. Un antéchrist machine uni à un Lucifer gnostique. C’est ce que
nous avons maintenant en Europe comme en Amérique (la Chine et la Russie se
contentent pour l’instant de la machine, ignorant quelque peu le LGBTQ…) :
« 216. Certains
progressistes ont l’air de s’opposer à la technologie ; cela durera tant qu’ils
seront exclus de la direction du système. Mais si le progressisme devient un
jour dominant dans notre société et qu’alors il dispose de la technologie, les
progressistes s’en serviront avec enthousiasme et favoriseront son
développement. Ils ne feront ainsi que répéter ce qu’ils ont déjà fait tant de
fois par le passé. Quand les bolcheviques étaient minoritaires en Russie, ils
étaient vigoureusement opposés à la censure et à la police secrète, ils
prônaient l’autodétermination des minorités nationales, etc. ; mais, aussitôt
arrivés au pouvoir, ils imposèrent une censure plus stricte, créèrent une
police secrète encore plus implacable que celle du tsarisme et opprimèrent les
minorités nationales au moins autant que l’avaient fait les tsars. »
Mais comme on disait le danger vient et est
venu des USA et de leurs légendaires et sataniques universités (ô
confréries…) :
« Aux États-Unis, il y a
une vingtaine d’années, alors que les progressistes étaient en minorité dans les
universités, les professeurs progressistes s’étaient fait les ardents
défenseurs de la liberté d’expression ; aujourd’hui ils ont réussi à imposer
leur mode de pensée, à l’exclusion de tout autre, dans les universités où ils
sont majoritaires : c’est le «politiquement correct». Même chose pour la technologie
: s’ils arrivent jamais à la contrôler, ils s’en serviront pour opprimer tout
le monde. »
C’est ce vers quoi nous allons, gaîment. J’oubliais : opprimer ne leur suffira pas.
Quelques sources :
https://www.dedefensa.org/article/max-nordau-et-lart-degenere-du-goy-1900https://www.terreetpeuple.com/culture-enracinee-memoire-81/6270-leon-tolstoi-et-la-decheance-
de-lart-en-europe-occidentale-par-nicolas-bonnal.html
https://yogaesoteric.net/fr/de-platon-a-packard-de-la-gestion-du-troupeau-humain-par-les-elites/
https://eurolibertes.com/societe/de-platon-a-cnn/
https://dissibooks.files.wordpress.com/2013/09/avenirsocieteindustrielle.pdf
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2023/10/20/michel-foucault-et-le-dressage-des-hommes-
machines-aux-temps-modernes/
https://www.dedefensa.org/article/sigmund-freud-politiquement-incorrect
https://www.dedefensa.org/article/allan-bloom-et-la-deconstruction-de-la-civilisation-occidentale
https://www.dedefensa.org/article/platon-nous-decrivait-il-y-a-25-siecles
Par Nicolas BONNAL
-------------------------------------------------------
NOTES de H. Genséric
Theodore (dit Ted) Kaczynski, surnommé par le F.B.I « Unabomber », né le à Evergreen Park dans l'Illinois et mort le près de Butner dans le comté de Durham en Caroline du Nord1,2, est un terroriste américain, mathématicien de formation, activiste anarcho-écologiste et néo-luddiste3,4.
Il a fait l'objet de la chasse à l'homme la plus coûteuse de l'histoire du FBI, ayant aspiré, deux décennies durant, à devenir le « parfait tueur anonyme ». Il est en même temps l'auteur de plusieurs textes et ouvrages5.
Il s'est battu, selon lui, contre les dangers inhérents à la direction prise par le progrès dans une société industrielle et une civilisation technologique, une société qui s'éloignerait de l'humanité et de la liberté humaine pour la majorité sinon pour la totalité de la population6. Après des études et une courte carrière de professeur de mathématiques, il décide de se retirer dans la nature et s'installe dans une cabane isolée à Lincoln au Montana. À la suite de la disparition de l'environnement naturel où il réside, il décide de combattre la société technologique et industrielle. Il s'engage dans une campagne d'envoi de colis piégés de manière artisanale à diverses personnes au prétexte qu'elles construisent ou défendent la société technologique. Cette campagne d'attentats dure dix-huit ans, faisant trois morts et 23 blessés avec 16 bombes artisanales envoyées. En septembre 1995, il fait publier son manifeste par le Washington Post. Son texte attire l'attention de son frère, qui le dénonce au FBI. Kaczynski est finalement repéré et arrêté le , avant d'être condamné à la prison à perpétuité.
Avant que son identité ne soit connue, le FBI se réfère à lui comme UNABOM (« UNiversity and Airline BOMber »). Plusieurs variantes de ce surnom seront utilisées par les médias : Unabomer, Unabomber et UniBomer.
Source https://fr.wikipedia.org/wiki/Theodore_Kaczynski
29 décembre, 23:27Mis à jour le : 30 décembre, 00:26
RépondreSupprimerL'Ukraine déploie des systèmes de défense aérienne dans les quartiers d'habitation, selon l'envoyé russe à l'ONU
https://tass.com/politics/1728151
NATIONS UNIES, 30 décembre. /TASS/. Les autorités ukrainiennes stationnent des systèmes de défense aérienne dans des zones résidentielles, au mépris du droit international, a déclaré le représentant permanent de la Russie auprès des Nations Unies, Vasily Nebenzya.
"S'il y a quelque chose dont il faut parler aujourd'hui, c'est bien des actions des systèmes anti-aériens ukrainiens stationnés dans les quartiers résidentiels des villes ukrainiennes, en violation du droit international humanitaire", a déclaré le diplomate russe lors d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU.
"Il n'y aurait tout simplement pas de victimes parmi les habitants sans les opérations de la défense aérienne ukrainienne", a souligné le diplomate.
et un aéronef ou se trouvait tout l'état major polonais avec leurs président morts lors du crash de leurs avion ?
RépondreSupprimeret ce président la avait un frère jumeau a varsovie ?
et en actuel le tusk est revenu au pouvoir , ah la traitrise est immonde .
et l'avion de l'ancien ameridien du pays dit bolivie , le morales obligé et forcé d'atterir pour etre fouillé a la recherche de assange de wikileaks , meme le statut diplomatique de cet avion n'a aucun valeur et le comique c'est qu'ils n'ont rien trouvé .
et en hors sujet : histoires des disparitions d'avion et de navires dans des zones sur la terre comme les bermudes et en 1970 un aviateur rescapé raconte son histoire , ou il a vu des genres de vortex nuageux et éclairs et ect... et il a parcouru quelques 200 km en 1 minute et ect...
pour en venir aux effets dictatoriaux sur les masses à travers moult techniques, on pourrait envisager que ce que l'on voit dans les nombreuses videos-utube sur les rues de Kensington et Vancouver ou Frankfurt comme une manifestation généralisée d'un comportement individuel décidé à vouloir échapper -à travers un choix personnel du produit- à cette fameuse emprise, quitte à embrasser le chemin progressiste du suicide lent et déterminé AFIN DE CONSERVER LA LIBERTE. requind'air.
RépondreSupprimer