Éteignons les feux de la suprématie juive... ... avant qu'ils ne brûlent le monde

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Le lanceur d'alerte du Département d'État, J. Michael Springmann, et moi-même avons commencé cette semaine l'hebdomadaire False Flag avec une vidéo musicalement retouchée du député polonais Grzegorz Braun approchant un extincteur d'un candélabre de la Menorah . Comme l'écrit Mark Dankof : « Trouvant ses actions amusantes, inspirantes ou épouvantables, Braun a touché une corde sensible en Occident à la suite de la fermeture imminente du cirque Zelensky à Kiev et des chiffres génocidaires accumulés dans la guerre d'Israël contre les Palestiniens à Gaza. »

Braun a touché une corde sensible en provoquant une tension dialectique entre ceux qui trouvent son acte amusant/inspirant et ceux qui le trouvent épouvantable. Pour ceux d’entre nous qui sont amusés, le fait que les hégémons tyranniques de la suprématie juive soient consternés par notre amusement, insistant furieusement sur le fait que nous ne devons absolument pas rire , rend la situation encore plus drôle.

Les Juifs de Pologne furent naturellement les premiers à condamner Braun et ses fans :

Le 12 décembre 2023, le député Grzegorz Braun du parti Konfederacja s'en est pris à la menorah de Hannukah, symbole de la joyeuse fête juive, lors d'un débat sur la mise en place d'un nouveau gouvernement polonais. Cette attaque honteuse n’est pas le premier incident impliquant cet homme politique, qui ne cache pas ses opinions antisémites.

(Cela continue ainsi pendant plusieurs paragraphes .)

Les médias occidentaux contrôlé en majorité par la juiverie conviennent naturellement que Braun est un fanatique et que ses actions étaient honteuses et indéfendables. À première vue, ils semblent avoir raison. Attaquer violemment un symbole religieux, dans des circonstances normales, serait certainement qualifié de sectarisme (et, pour les adeptes de la religion en question, de blasphème). Même les défenseurs de Braun admettraient sans doute que s'il avait donné des coups de pied dans les portes de maisons privées ou synagogues, faisant irruption dans les lieux de culte ou les salons et éteignant les bougies de la Menorah avec un extincteur, il aurait commis un crime odieux et peu drôle.

Mais en éteignant le candélabre officiel de la Menorah au Parlement polonais lors de la formation d’un nouveau gouvernement, Braun n’attaquait pas la religion juive en soi. Au lieu de cela, il éteignait symboliquement les feux de la haine qui brûlaient au cœur de la nouvelle religion hégémonique de l’Occident : la suprématie juive.

Braun a réussi à poser la question à un million de dollars : que faisait en premier lieu cette Menorah illuminée dans le bâtiment du parlement polonais ? Il n'y a qu'environ 4.500 Juifs parmi les 38 millions d'habitants de la Pologne. Cela équivaut à 0,012 pour cent de la population.

Plus de 90 % des Polonais sont catholiques. De toute évidence, la plupart d’entre eux ne sont pas des fans du judaïsme talmudique, qui qualifie Jésus de bâtard  et sa mère Mary de pute, et prétend que le premier bouillonnera dans les excréments pour l’éternité.

Alors, comment la minuscule communauté juive de Pologne a-t-elle réussi à imposer cette Menorah au parlement polonais ? La réponse, en deux mots, est : le pouvoir juif . Le réseau mondial de népotisme composé de milliardaires et de millionnaires juifs, soutenu non seulement par le pouvoir de l’État d’Israël mais aussi par celui de son vassal à Washington DC, est tout à fait capable d’utiliser la carotte et le bâton pour conduire les ânes de Pologne là où il veut qu’ils aillent. .

Le pouvoir juif soutient la nouvelle religion d’État quasi officielle de l’Occident : la suprématie juive. Sa notion fondamentale est que la souffrance juive signifie plus que la souffrance des autres, car ( comme l'enseigne le Talmud ) la vie juive a plus de valeur que la vie non juive.

L’histoire sacrée archétypale de la religion de la suprématie juive est, bien sûr, l’Holocauste (Marque Déposée). Elle place implicitement la souffrance des six millions de victimes juives présumées au-dessus de la souffrance des 60 autres millions de personnes tuées pendant la Seconde Guerre mondiale.

Le mot mythe signifie « récit sacré qui unit un groupe et donne un sens à la vie ». De toute évidence, l’Holocauste (TM) est un mythe. Pourtant, selon un sondage cité par The Economist , seul un jeune Américain sur cinq réalise qu'il s'agit d'un mythe.

Le christianisme raconte une histoire vivante sur la souffrance (Jésus sur la croix) qui donne un sens à la vie (il était divin et est mort pour nos péchés puis est ressuscité, nous devrions donc chercher le salut en lui). L’Holocauste, ce sous-crédo de la religion de la suprématie juive, substitue le peuple juif à Jésus, les chambres à gaz à la croix et l’État d’Israël au Christ ressuscité comme seule véritable voie vers le salut.

L’idée selon laquelle la plupart des Juifs d’aujourd’hui adorent « le peuple juif » (c’est-à-dire eux-mêmes) plutôt que Dieu n’est pas un canard antisémite marginal, mais la sobre conclusion de professeurs d’études juives comme ceux avec lesquels j’ai collaboré dans mon livre édité 9/11 and American. Empire v.2 . L’Holocauste, disent-ils, a rendu impossible la croyance en Dieu. Plutôt que de se tourner vers Dieu pour obtenir protection et salut, pensent-ils, les Juifs doivent se tourner vers le pouvoir juif en général, et vers l’État d’Israël en particulier.

Aujourd’hui, cet État sacré d’Israël démontre le culte des Juifs pour la vie juive et leur mépris pour la vie non juive, en massacrant sans raison les femmes et les enfants de Gaza par dizaines de milliers. Ce qui rend ce massacre en cours encore plus horrible d’un point de vue humain normal, bien que peut-être plus délicieux du point de vue du pouvoir juif motivé par l’Holocauste, c’est que les Palestiniens crucifiés sont en fait le peuple de Jésus.

Bien que la plupart des gens, à l’exception des conspirateurs comme Dan Brown, conviennent que Jésus n’a laissé aucune descendance, il était clairement palestinien. Cela signifie que les Palestiniens d'aujourd'hui, qui se sont convertis au christianisme et à l'islam au fil des siècles, sont les descendants des parents de Jésus. D'où la seule remarque à moitié plaisanterie de Sarah Silverman : « J'espère que les Juifs ont tué Jésus, je le referais moi-même dans la seconde ! » est tout à fait à propos. Ils recommencent , à Gaza, pratiquement à chaque seconde. Chaque enfant palestinien qui expire lentement dans l’agonie sous les décombres de ce qui fut sa maison est un autre enfant Jésus mourant sur la croix de la suprématie juive. Et les suprémacistes juifs le savent et savourent la douleur de ce bébé.

Cette haine suprémaciste juive envers les bébés non juifs et leurs mères, en particulier les bébés et les mères qui descendent du peuple de Jésus, motive les efforts des laïcs juifs pour interdire les crèches dans les pays chrétiens. Mais pour une raison ou une autre, ces mêmes laïcs ne semblent jamais s’opposer à la Menorah nationale dans la Maison Blanche, dont la taille a augmenté depuis 1979 et qui mesure aujourd’hui 9 mètres de haut. Ce monument à la religion de la suprématie juive, la véritable religion officielle des États-Unis occupés, était le produit d’une campagne du rabbin enragé suprémaciste Menachem Schneerson visant à imposer des symboles juifs dans les espaces publics. Il convient de noter que Schneerson, bien qu'orthodoxe, était d'accord avec les juifs athées « libéraux » sur le fait que le seul et unique objet de culte légitime est le peuple juif : « Dieu et le peuple juif ne font qu'un ». [1]

En forçant le monde à les vénérer et en proférant des critiques blasphématoires, les suprémacistes juifs en sont venus à dominer les médias, la finance, la politique et bien sûr la politique étrangère des États-Unis. Ils commettent un génocide à l’échelle biblique contre la « postérité d’Amalek » (c’est-à-dire les non-juifs) en Ukraine – qui a perdu plus de 14 millions de personnes, presque tous des chrétiens slaves que les juifs considèrent comme leurs ennemis traditionnels, depuis le début de la guerre actuelle. Un demi-million de chrétiens slaves des deux côtés ont été tués. [2]

Les suprémacistes juifs néoconservateurs qui dirigent la politique étrangère américaine, et leurs frères de sang à Tel-Aviv, exterminent « Amelek » en Palestine encore plus brutalement qu’en Ukraine. Jusqu'à présent, plus de 20.000 Palestiniens, principalement des femmes et des enfants, ont été tués. La nourriture, l'eau et l'électricité ont été coupées, les installations de traitement des eaux usées ont été détruites, les hôpitaux ont été détruits et la grande majorité des 2,2 millions d'habitants restants de Gaza se sont retrouvés sans abri, leurs maisons et appartements ont explosé, à temps pour les pluies froides de l'hiver.

Comment pouvons-nous repousser ? Une fois que nous reconnaissons que la suprématie juive fonctionne comme une religion, nous pouvons l’attaquer en blasphémant contre ses symboles sacrés. Un mythe (une histoire sacrée) ne conserve sa sacralité que si chacun est contraint de l'accepter. Une fois qu’il a été suffisamment moqué et ridiculisé et que ses idoles ont été brisées, il perd son pouvoir.

Ironiquement, l’iconoclasme que Douglas Rushkoff considère comme la plus grande contribution des Juifs à l’humanité doit maintenant être retournée contre les Juifs d’aujourd’hui et leur fausse religion grotesque, narcissique, idolâtre et génocidaire de la suprématie juive. Cette fausse religion brûle le monde. Les flammes se propagent, de l’Ukraine à la Palestine, et pourraient à tout moment dégénérer en une conflagration mondiale. Les jeunes d’aujourd’hui, y compris le nombre croissant de Juifs non suprémacistes, seront-ils à la hauteur ? Les chiffres d'un récent sondage sont encourageants : « 51 % des jeunes Américains pensent qu'il faut « mettre fin à l'État israélien »… Les deux tiers des 18-24 ans interrogés dans le sondage Harvard-Harris ont déclaré qu'ils étaient d'accord avec le fait que « les Juifs en tant que classe sont oppresseurs et devraient être traités comme des oppresseurs.

Comme Abraham saisissant une hache et brisant les idoles de ses pères, les jeunes d’aujourd’hui doivent prendre un extincteur et éteindre les flammes du suprémacisme juif avant qu’elles ne brûlent le monde.

Kevin Barrett • December 17, 2023

Source : Substack

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NOTES de H. Genséric

[1] Pourquoi les États-Unis honorent-ils un rabbin raciste, Menachem M. Schneerson, prônant le génocide des non juifs ?

[2] En 1994, les juifs Chabad ont comploté pour le génocide des Slaves
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Hannibal Genséric