dimanche 27 juillet 2025

Les larmes d'Ésaü

Nombre des grands ouvrages antisémites des cinquante dernières années sont de remarquables ouvrages offensifs. Ils exposent leurs arguments contre le pouvoir et la subversion juifs et laissent au lecteur le soin d'y répondre. Parmi les plus célèbres, on peut citer La Culture de la critique de Kevin MacDonald, 200 ans ensemble d'Alexandre Soljenitsyne , Histoire juive, religion juive d'Israel Shahak et Russophobie d'Igor Shafarevich . Plus rares sont les ouvrages antisémites défensifs, qui exonèrent les Gentils blancs de la diabolisation souvent présente dans l'historiographie juive. Le livre d'Albert Lindemann , Les Larmes d'Ésaü, paru en 1997 , est un exemple de ce type d'ouvrage, car il protège les peuples européens de la culpabilité collective dont les historiens de gauche – dont beaucoup sont juifs – les diffament sans cesse. Lindemann humanise également de nombreux antisémites notables du XIXe et du début du XXe siècle, blanchissant ainsi leurs noms et ceux des personnes qui les ont suivis.


Cela ne signifie pas que Lindemann défende l'antisémitisme ou l'apologie de celui-ci ; il s'efforce plutôt de faire valoir deux arguments majeurs. Premièrement, de nombreuses idées et épisodes historiques, aujourd'hui qualifiés d'antisémites, étaient en réalité parfaitement raisonnables, fondés sur la vérité et résultaient d'un comportement juif manifestement répréhensible. Lindemann ne manque jamais de présenter les Juifs du passé partageant ce sentiment, les qualifiant ainsi d'antisémites selon les critères utopiques actuels. Deuxièmement, cette opposition aux Juifs n'a pas conduit et ne conduit pas inexorablement aux massacres. C'est la thèse que de nombreux historiens de gauche souhaitent nous faire avaler, et Lindemann la conteste :

La façon dont nous interprétons l’histoire est toujours fortement influencée par les préoccupations et les valeurs de notre époque, mais il est finalement trompeur et injuste de singulariser et de décrire avec indignation, par exemple, le racisme des Allemands du XIXe siècle (« proto-nazis ») sans reconnaître à quel point les croyances dans le déterminisme ethnique ou racial étaient la norme dans la plupart des pays et se retrouvaient autant parmi les minorités opprimées, y compris les Juifs, que parmi les majorités oppressives – comment elles faisaient, en bref, partie d’un monde intellectuel partagé, d’un zeitgeist – mais n’ont pas conduit à des meurtres de masse dans tous les pays.

L'historien juif Salo Baron a inventé le terme « théorie lacrymogène » pour décrire « l'apitoiement éternel sur soi-même caractéristique de l'historiographie juive » [Un proverbe tunisien dit " Les larmes des putes ne touchent que leurs souteneurs"]. 

En allemand, ce terme est connu sous le nom de Leidensgeschichte (« histoire de la souffrance »), et est souvent employé non pas pour présenter un récit équilibré et désintéressé des événements passés, mais pour prévenir les souffrances futures en ignorant la culpabilité juive et en vilipendant les Gentils. Cette « théorie dénonciatrice » de l'historiographie juive pourrait aisément aller de pair avec la « théorie lacrymogène » de Baron, puisqu'elle stigmatise les Gentils du stigmate d'une culpabilité éternelle (dont l'absolution ne peut être obtenue, bien sûr, que par le philosémitisme). La résistance à ces deux théories est la base sur laquelle Lindemann s'appuie. Il vise trois volumes populaires d'histoire juive, écrits par trois polémistes juifs : La Guerre contre les Juifs de Lucy Dawidowcz (1975), Antisémitisme : La plus longue haine (1991) de Robert Wistrich, et Les Bourreaux volontaires d'Hitler (1996) de Daniel Goldhagen. Ces ouvrages, comme le dit poliment Lindemann, ont « une tendance à un récit haut en couleur et indigné, accompagné d'une analyse faible, parfois tendancieuse ». Cependant, en dissipant l'anti-gentilisme flagrant de ces auteurs, Lindemann ne souhaite jamais exclure les Juifs de son lectorat. Il ne cesse jamais explicitement de rechercher le rapprochement. Un thème majeur des Larmes d'Ésaü émerge, avertissant les Juifs qu'une approche hostile, polémique et franchement malhonnête de l'histoire ne fera que donner aux véritables antisémites davantage de munitions à lancer contre eux.

L'idée maîtresse de Lindemann trouve son origine dans le livre de la Genèse. Les frères jumeaux Ésaü et Jacob se disputent l'affection de leur père Isaac, que Jacob, le plus jeune, escroque par ruse à Ésaü. Furieux et le cœur brisé, Ésaü force Jacob à fuir en Mésopotamie, où il donne naissance au peuple juif. Ésaü, quant à lui, donne naissance aux Gentils. On dit que l'antisémitisme ne cessera que lorsque les larmes d'Ésaü cesseront de couler. Je ne pense pas que Lindemann, qui n'est pas juif lui-même, aurait pu choisir un meilleur titre pour un ouvrage qui contredit la « théorie larmoyante » de l'historiographie juive. Les Gentils aussi ont des larmes, et comme pour leur innocent ancêtre de l'Ancien Testament, celles-ci naissent souvent non pas de fantasmes ou de psychoses, mais des méfaits palpables des Juifs. Œil pour œil, larme pour larme.


Lindemann poursuit en révélant un fait gênant après l'autre pour appuyer son propos. Les Juifs de l'histoire n'ont pas été relégués dans des ghettos ; ils y ont vécu de leur propre chef pour se tenir à l'écart des non-Juifs. Ils n'ont pas été contraints à l'usure, au commerce de l'alcool et à des activités criminelles parce qu'aucune autre vocation ne leur était ouverte [1] ; ils ont agi ainsi par désir et sans se soucier du mal qu'ils causaient aux non-Juifs. Et oui, même en Russie, ils pouvaient posséder des terres, mais ils ont simplement choisi de ne pas les cultiver eux-mêmes. Souvent, les Juifs de l'histoire étaient pauvres parce que l'écrasante majorité des non-Juifs qui les entouraient l'étaient également. Et les Juifs de l'Antiquité et du Moyen Âge n'étaient pas si innocents. Lindemann nous donne des exemples de l'oppression par la  juiverie antique des chrétiens et des païens, ainsi que des propos franchement haineux du Talmud [2] (par exemple, « Le meilleur parmi les non-Juifs doit être tué »). Le Livre du Deutéronome, souligne Lindemann, peut raisonnablement être considéré comme autorisant le génocide, et de nombreux penseurs juifs à travers l'histoire ont exprimé des opinions qui aujourd'hui seraient considérées comme racistes, suprémacistes ou chauvines. En comparaison, les Juifs étaient mieux traités dans la doctrine officielle de l'Église que les musulmans ou les hérétiques. Lindemann ne laisse jamais les Gentils impunis pour leur mauvaise conduite, mais il ne cesse de rappeler au lecteur les longues périodes durant lesquelles Juifs et Gentils ont relativement bien cohabité.

Les Larmes d'Ésaü offre un bref historique des Lumières qui, par l'importance qu'elles accordaient à l'égalitarisme et à la fraternité, ont lancé le mouvement d'émancipation juive en Europe. Sans surprise, de nombreux penseurs des Lumières, dont Voltaire, étaient irrités par l'intolérance et le séparatisme juifs [3]. Le fait que les Juifs ashkénazes de France étaient grossiers et manquaient de bonnes manières n'arrangeait rien (les Séfarades, en revanche, se comportaient bien mieux et rencontraient donc moins d'obstacles à l'obtention de la citoyenneté). Sans surprise non plus, les Français les plus familiers avec les Juifs – comme les délégués alsaciens à l'Assemblée nationale – étaient les plus farouchement opposés à l'égalité des droits. Ironie du sort, Lindemann rapporte qu'après que les Juifs eurent obtenu leur égalité, de nombreux Alsaciens affirmaient que les vices juifs, loin de disparaître sous l'effet des nouvelles lois, s'étaient même aggravés dans leur province. Les Juifs n'avaient pas saisi l'occasion d'exercer un travail physique honnête, mais avaient poursuivi avec encore plus de succès leurs anciennes pratiques d'usure et d'exploitation.

Par un autre paradoxe, les dirigeants séfarades de France ont souvent farouchement résisté à l'égalité des droits pour les Ashkénazes « en raison de leur faible moralité ». C'est l'un des nombreux exemples, dans Les Larmes d'Ésaü, de Juifs se comportant de manière antisémite avec de bonnes raisons. Le plus souvent, cela résultait de la gêne et de la déconfiture ressenties par de nombreux Juifs assimilés d'Europe occidentale face à leurs frères d'Europe de l'Est dont la moralité, l'hygiène et les manières laissaient beaucoup à désirer.

En Europe de l'Est, la situation était bien pire en raison des millions de Juifs récemment devenus sujets du tsar au milieu du XIXe siècle. Ces nombreux Ostjuden (Juifs de l'Est) constituaient de loin la plus grande concentration de Juifs au monde et ont immédiatement plongé la Russie dans une crise en raison de leurs relations d'exploitation avec les paysans. Lindemann précède John Klier en exonérant le gouvernement tsariste des pogroms du début des années 1880. Et lorsqu'il évoque les pogroms plus violents qui ont eu lieu dans des villes comme Kichinev au début du XXe siècle, Lindemann rappelle avec mordant que les révolutionnaires juifs avaient été disproportionnellement responsables de l'assassinat de hauts fonctionnaires et de policiers russes avant ces événements, notamment celui de Viatcheslav von Plehve, le ministre russe de l'Intérieur. Lindemann évoque la tendance juive à exagérer les atrocités, comme lorsque l'insurgé ukrainien Bogdan Chmielnicki s'est soulevé contre les Polonais en 1648, ciblant non seulement les Juifs, mais aussi la noblesse polonaise et l'Église catholique. La Leidensgeschichte juive rapporte qu'au moins 100 000 Juifs ont été massacrés, mais les historiens modernes, dont Paul Johnson dans The History of the Jews (1987), en doutent sérieusement. Lindemann souligne également que, pendant ce temps, l'Europe était en proie à des guerres tout aussi brutales, et « on peut sérieusement se demander si les Juifs ont souffert en nombre sensiblement plus important que les autres victimes de ces batailles acharnées ». Et, dans un humour pince-sans-rire, à ceux qui se plaignent de l'enfermement des Juifs dans la Zone de Résidence russe à cette époque, Lindemann rappelle que cette Zone était quarante fois plus vaste que l'État d'Israël moderne.

Aucune critique des Larmes d'Ésaü ne serait complète sans aborder l'analyse que Lindemann fait de Benjamin Disraeli, romancier juif et Premier ministre britannique de la fin du XIXe siècle. L'esprit du temps était, en effet, le réalisme racial ou ethnique. Rares sont ceux, et encore moins les Juifs, qui niaient que les différents peuples possédaient des capacités et des tempéraments intrinsèques différents, tant positifs que négatifs. (Heureusement, Linemann ne le nie pas non plus.) Quiconque présente le déterminisme racial du XIXe siècle comme la preuve par excellence de l'inéluctabilité du nazisme devra s'attaquer à Disraeli, que Lindemann décrit comme « le plus influent propagateur du concept de race au XIXe siècle » :

Dans son roman Coningsby , Disraeli dépeint une puissance juive vaste et secrète, déterminée à dominer le monde. Son noble personnage juif, Sidonia (dont Disraeli fit savoir qu'il s'inspirait de Lionel Rothschild), décrit la race comme un déterminant primordial (« tout est race ; il n'y a pas d'autre vérité »). La race, affirmait-il, avait toujours été un facteur central de l'essor de la civilisation, et la civilisation occidentale n'aurait pu prospérer sans la race juive.

Lindemann cite même un Rothschild qui, dans une correspondance privée, imputait catégoriquement l'antisémitisme à « l'arrogance, la vanité et l'indicible insolence » des Juifs. L'historien juif du XIXe siècle Heinrich Graetz, qui méprisait l'Allemagne malgré son habitation, est un exemple parfait d'une telle insolence. Il affirmait un jour que les Juifs convertis au christianisme étaient « comme des combattants qui, revêtant l'uniforme de l'ennemi, peuvent d'autant plus facilement le frapper et l'anéantir ». Lindemann montre clairement que de telles attitudes destructrices n'étaient pas si inhabituelles chez les Juifs éminents et que l'idée souvent exagérée que les Juifs étaient des destructeurs de culture « reflétait une réalité indéniable ». Lindemann rapporte comment les Juifs utilisaient souvent la presse comme une arme contre les chrétiens ou les goyim en général, tout en s'offusquant vivement de la moindre critique à leur égard. Et puis il y a toutes les escroqueries et les gabegies dans lesquelles les Juifs ont été impliqués, illustrées par le scandale du canal de Panama qui a fait la une des journaux français dans les années 1880 et au début des années 1890.

Une enquête sur les activités de la Compagnie de Panama a révélé une corruption généralisée de fonctionnaires parlementaires pour obtenir des prêts afin de poursuivre les travaux du canal de Panama, travaux qui avaient été ralentis par d'interminables difficultés techniques et administratives. Il s'agissait d'un projet moderne, impliquant d'importants capitaux français et menaçant le prestige national. Les intermédiaires entre la Compagnie de Panama et le Parlement étaient presque exclusivement juifs, aux noms et origines allemands, et certains tentaient de se faire chanter mutuellement.

Le fiasco a fait perdre leur fortune à des milliers de petits investisseurs, sans parler des 5 000 Français et des 20 000 travailleurs afro-caribéens qui ont perdu la vie dans la chaleur tropicale pour rien.

Ainsi, les antisémites avaient souvent raison, ou du moins ne se livraient pas à des fantasmes, lorsqu'ils accusaient les Juifs de méfaits clandestins ou de mauvais comportements. Et plus il y avait d'Ostjuden dans une région donnée, plus il y avait de méfaits et de mauvais comportements à dénoncer – généralement. L'essentiel des Larmes d'Ésaü les aborde, ainsi que les antisémites qui ont utilisé leurs capacités d'analyse et de reconnaissance des schémas pour attirer l'attention sur eux. Plus important encore, Lindemann humanise ces individus, avec leurs défauts et leurs qualités, et, dans presque tous les cas, les exonère de la culpabilité sanglante dont l'école dénonciatrice de l'histoire juive souhaite les accuser. Pour une histoire de l'antisémitisme de 1870 à 1939, on ne peut faire mieux que Les Larmes d'Ésaü.

Lindemann analyse l'antisémitisme sous tous ses angles. Au XVIIIe siècle, Johann Gottfried von Herder a établi la notion de volkgeist, ou esprit du peuple, que le célèbre compositeur Richard Wagner a reprise au siècle suivant pour parler des Juifs dans la musique. Le chercheur français Paul Broca était un homme de gauche dont les données l'ont forcé à conclure à l'existence de différences raciales, bien contre son gré. Là où des fanatiques comme Wilhelm Marr – l'inventeur du terme antisémitisme – et Georg Ritter von Schönerer voyaient les Juifs sous un prisme racial, des religieux comme Adolf Stoekel et le baron Karl von Vogelsang percevaient le comportement des Juifs comme une menace pour le christianisme. Otto Böckel, démagogue populaire surnommé « le roi paysan », a inlassablement défendu les classes populaires allemandes, souvent victimes des prédations juives. Entre-temps, le théoricien anticapitaliste Eugen Dühring écrivait sur le « mal cosmique » des Juifs. Au-dessus d'eux se trouvaient des intellectuels de premier plan tels que Heinrich von Treitschke et Houston Stewart Chamberlain, qui conféraient une grande crédibilité à l'antisémitisme et étaient respectés par les Juifs comme par les non-Juifs.

Il y avait bien sûr Karl Lueger, le maire antisémite immensément populaire de Vienne avant la Première Guerre mondiale. Lindemann refuse de défendre Lueger en toutes circonstances, mais souligne que son antisémitisme n'était souvent qu'une provocation pour sa base et n'était peut-être pas entièrement sincère. Les Juifs de Vienne n'ont subi aucun préjudice matériel durant son mandat et ont même prospéré lorsque ce prétendu ennemi des Juifs régnait en maître, comme beaucoup d'autres. Le seul antisémite notable que Lindemann discrédite est Édouard Drumont, dont il qualifie les écrits populaires de « gribouillis incohérents ». Néanmoins, Lindemann attribue à Drumont le mérite d'être le journaliste dénonciateur qui a révélé le rôle des Juifs dans le scandale du canal de Panama.

Lindemann concède que l'histoire regorge de vulgaires incompétents et de charlatans qui ont rallié le mouvement antisémite après avoir échoué dans d'autres tentatives. Mais pendant plus d'un siècle, les antisémites, dotés de talent, d'énergie, de convictions et de discipline, ont réagi rationnellement aux problèmes réels et n'ont en aucun cas tracé une ligne droite avec les nazis. Lindemann souligne en effet combien la diversité de l'antisémitisme du XIXe siècle rend cette distinction très difficile. Après tout, il y avait beaucoup de racistes qui n'étaient pas antisémites, et un bon nombre d'antiracistes qui l'étaient. Et que penser des antisémites qui attaquaient les Juifs d'un point de vue religieux, social ou conservateur ? De plus, Lindemann démontre que malgré l'incroyable diversité de la pensée et de la politique antisémites avant l'ère nazie, il existait deux aspects où cette diversité était quasi inexistante. Premièrement, aucun des dirigeants des mouvements antisémites hors de Russie ou de Roumanie n'a appelé à la violence contre les Juifs. Deuxièmement, tous, à l'exception peut-être de Lueger, ont rarement réussi à ancrer l'antisémitisme dans la population. Avant la Première Guerre mondiale, l'antisémitisme n'a jamais véritablement pris pied en Europe occidentale et méridionale, ni en Hongrie. Certes, sa présence était plus forte en Allemagne et en Autriche, où la population juive y était plus nombreuse. Mais même dans ces pays, il n'a jamais connu une popularité durable. Ce n'est qu'en Roumanie et en Russie qu'il était si répandu qu'il n'a pas eu besoin de démagogues ou d'idéologues pour le soutenir. D'après mon interprétation de Lindemann, le faible succès de l'antisémitisme résultait non seulement de la tolérance européenne, mais aussi du fait que les Juifs assimilés et les Séfarades étaient en général plus sages et plus respectueux de leurs hôtes non juifs que les Juifs de l'Est ashkénazes, autoritaires et mal élevés, souvent en quête impitoyable d'argent ou de révolution.

Dans son premier chapitre, Lindemann suggère que « la notion d'antisémite comme opprimé mérite une analyse sérieuse ». En effet, les historiens très influents de l'école juive de dénonciation déshumanisent et diabolisent continuellement les antisémites de l'histoire, comme s'ils accusaient un tribunal de meurtre au premier degré, la victime étant, bien sûr, les six millions de martyrs imaginaires. Les preuves à décharge sont minimisées ou ignorées, et d'autres objectifs que la recherche impartiale de la vérité sont poursuivis. Dans les derniers chapitres des Larmes d'Ésaü, Lindemann condamne certes la Solution finale d'Adolf Hitler, mais humanise néanmoins l'homme. Il souligne ce que tant d'entre nous savent aujourd'hui : Hitler et les nazis étaient en grande partie une réaction aux atrocités généralisées des Soviétiques, un peuple que l'école de dénonciation de l'histoire juive diffame rarement avec la même vigueur qu'elle déploie lorsqu'elle diffame les nazis et leurs innocents prédécesseurs antisémites. C’est peut-être parce qu’un nombre très disproportionné de ces criminels soviétiques étaient eux-mêmes juifs.[4]

Si les larmes d’Esaü nous disent quelque chose, c’est que rien de bon ne peut en sortir, à part peut-être davantage d’antisémitisme.

24 juillet 2025

Par Spencer J. Quinn

Source : https://www.theoccidentalobserver.net/2025/07/24/esaus-tears/

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NOTES de H. Genséric 

[1] Pédophilie "snuff porno": Ils tuent des enfants pour leur plaisir sexuel
-  L'industrie juive du porno : "activisme antifasciste" et terrorisme culturel (partie 1/2)
-   L'industrie juive du porno : "activisme antifasciste" et terrorisme culturel (Partie 2/2)
-  Pornographie et contrôle politique

[2] LE TALMUD révélé. 2. La haine raciste envers les non-juifs et envers Jésus et Marie
-  LE TALMUD révélé. Une littérature de la haine raciste. 1. Introduction La Torah et le Talmud
- 
LE TALMUD révélé. 3è partie. Les non-juifs ne sont pas humains, génocides, racisme, pédophilie, zoophilie,...

-  Le Talmud révélé. Voici comment les juifs doivent traiter les Goyim :
Abhodah Zarah 20a: Ne jamais faire la louange d'un goy, de peur  qu'il ne la croie.  
Abhodah Zarah 22a: Ne pas fréquenter les goyim; ils versent le  sang.  
Abhodah Zarah 22b : Les goyim sont impurs parce qu'ils n'étaient  pas là au Mont Sinaï.  
Abhodah Zarah 25b: Se méfier des goyim quand on voyage avec eux à  l'étranger.  
Abhodah Zarah 26a: Ne pas recourir à une sage femme non-juive,  qui une fois seule pourrait tuer le bébé. Même si elle était surveillée,  elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir.  
Abhodah Zarah 26b T. : Même le meilleur des goy devrait être  abattu.  
Abhodah Zarah 35b : toutes les filles des incroyants sont niddah  (sales, impures) depuis leur naissance.
Abhodah Zarah 35b: Ne pas boire du lait tiré par un goy.  
Abhodah Zarah 4b: Vous pouvez tuer un goy avec vos propres mains.  
Abhodah Zarah 54a: L'usure peut être pratiquée sur les goyim, ou  sur les apostats.  
Abhodah Zorah 26b: Ceux qui voudraient changer de religion  doivent être jetés au fond d'un puits, et oubliés.  
Baba Mezia 24a: si un juif trouve un objet appartenant à un  goyim, il n'est pas tenu de le lui rendre  
Babha Bathra 54b : La propriété d'un goy appartient au premier  juif qui la réclame.  
Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si  c'est pour tromper ou faire condamner un goy.  
Babha Kama 113a: Les incroyants ne bénéficient pas de la loi et  Dieu a mis leur argent à la disposition d'Israël.  
Babha Kama 113b: Le nom de Dieu n'est pas profané quand le  mensonge a été fait à un goy.  
Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: Tout juif qui verse le sang de  goyim revient à la même chose qu'une offrande à Dieu.  
Chagigah 15b : Un juif est toujours considéré comme bon, en dépit  des péchés qu'il peut commettre. C'est toujours sa coquille qui se salit,  jamais son fond propre.  
Choschen Ham 156, 5: Les clients goyim possédés par un juif, ne  doivent pas être démarchés par un autre juif.  
Choschen Ham 183, 7: Des juifs qui trompent un goy doivent se  partager le bénéfice équitablement.  
Choschen Ham 226, 1: Les juifs peuvent garder sans s'en inquiéter  les affaires perdues par un goy.  
Choschen Ham 26, 1: Un juif ne doit pas être poursuivi devant un  tribunal goy, par un juge goy, ou par des lois non-juives.  
Choschen Ham 34, 19: Les goyim et les serviteurs ne peuvent pas  témoigner lors d'un procès.  
Choschen Ham 386, 10: Celui qui voudrait avouer les secrets  d'Israël aux goyim, doit être tué avant même qu'il ne leur dise quoi que  ce soit.  
Choschen Ham 388, 15: Il faut tuer ceux qui donneraient l'argent  des Israélites à des goyim.  
Choschen Ham 425, 5 : Il est permis de tuer indirectement un goy,  par exemple, si quelqu'un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un  puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l'échelle.  
Chullin 91b: Les juifs possèdent la dignité dont même un ange ne  dispose pas.  
Eben Haezar 44, 8: Sont nuls, les mariages entre les goyim et les  juifs.  
Emek Haschanach 17a: L'âme des goyim vient de la mort et de  l'ombre de la mort.  
Ereget Rashi Erod.22 30 : Un goy est comme un chien. Les  Ecritures nous apprennent qu'un chien mérite plus de respect qu'un goy.  
Hilkhoth goy X, 1 : Ne passez aucun accord avec un goy, ne  manifestez jamais de pitié envers un goy. Il ne faut pas avoir pitié des  goyim car il est dit: "tu ne jetteras pas sur eux un regard de pitié".  
Hilkhoth Maakhaloth: Les goyim sont des idolâtres, il ne faut pas  les fréquenter.  
Hilkhoth X, 2 : Les juifs baptisés doivent être mis à mort.  
Hilkhoth X, 6: On peut aider les goyim dans le besoin, si cela  nous évite des ennuis par la suite.  
Hilkhoth X, 7: Où les juifs sont fortement installés, il ne faut  plus tolérer la présence des idolâtres.  
Hilkkoth X, 1 : il ne faut pas sauver les goyim en danger de mort.  
Ialkut Simoni 245c : Répandre le sang des impies est un sacrifice  agréable à Dieu.  
Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés "hommes", pas  les goyim.  
Iore Dea 120, 1: La vaisselle achetée à des goyim doit être jetée.  
Iore Dea 146, 15: Leurs idoles [c'est à dire les objets du culte]  doivent être détruites, ou appelées par des noms méprisants.  
Iore Dea 147, 5: Il faut railler les objets du culte goy, il est  interdit de souhaiter du bien à un goy.  
Iore Dea 148, 12 H: On peut prétendre se réjouir avec les goyim  pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine.  
Iore Dea 151, 11: Il est interdit de faire un présent à un goy,  cela encourage l'amitié.  
Iore Dea 151, 14: Il est interdit de concourir à la gloire d'un  goy.  
Iore Dea 153, 1: Les nourrices non-juives conduisent les enfants  à l'hérésie.  
Iore Dea 154, 2: Il est interdit d'enseigner un métier à un goy.  
Iore Dea 157, 2 hagah: Si un juif a la possibilité de tromper un  goy, il peut le faire.  
Iore Dea 159, 1: Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de  l'argent à un goy avec intérêt. Toutefois, certains des anciens n'ont pas  reconnu ce droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd'hui, ce droit  est accordé dans n'importe quelle circonstance.  
Iore Dea 198, 48 : Les femmes Juives sont contaminées par la  simple rencontre de goyim.  
Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs goyim morts,  comme les vaches, ou les ânes perdus. Il ne faut pas montrer de sympathie  pour le juif qui les emploie.  
Iore Dea 81, 7 Ha: Un enfant ne doit pas être allaité par une  nourrice non-juive, car son lait lui donnera une nature maléfique.  
Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des goyim proviennent d'esprits  impurs qu'on nomme porcs.  
Kallah 1b, 18: Le juif peut se parjurer la conscience claire.  
Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les goyim,  ce sont des animaux.  
Kethuboth 110b : Pour l'interprétation d'un psaume un rabbin  dit : " le psalmiste compare les goyim à des bêtes impures ".  
Makkoth 7b : On est innocent du meurtre involontaire d'un  Israélite, si l'intention était de tuer un goy ; tout comme on est  innocent du meurtre accidentel d'un homme, quand l'intention était  d'abattre un animal.  
Orach Chaiim 20, 2 : Les goyim se déguisent pour tuer les juifs.  
Orach Chaiim 225, 10 : Les goyim et les animaux sont utilisés de  manière équivalente dans une comparaison.  
Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion  pour les goyim que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.  
Peaschim 25a : Il faut éviter l'aide médical des goyim.  
Pesachim 49b : Il est permis de décapiter les goyim le jour de  l'expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat.  Rabbin Eliezer : "Il est permis de trancher la tête d'un idiot, un membre  du peuple de la Terre (Pranaitis), c'est-à-dire un animal charnel, un  Chrétien, le jour de l'expiation des péchés et même si ce jour tombe un  jour de sabbat ". Ses disciples répondirent : " Rabbi ! Vous devriez  plutôt dire "de sacrifier" un goy. " Mais il répliqua : " En aucune  façon ! Car lors d'un sacrifice, il est nécessaire de faire une prière  pour demander à Dieu de l'agréer, alors qu'il n'est pas nécessaire de  prier quand tu décapites quelqu'un."  
Rosch Haschanach 17a : L'âme d'un goy descend en enfer pour  toutes les générations.  
Sanhédrin 52b: L'adultère n'est pas défendu avec la femme d'un  goy, parce que Moïse n'a interdit que l'adultère avec "la femme de ton  prochain", et les goy s ne sont pas des prochains.  
Sanhedrin 57a: si un juif tue un goy, il ne sera pas condamné à  mort. Ce qu'un juif vole d'un goy, il peut le garder.  
Sanhedrin 57a: Un juif n'est pas obligé de payer le salaire  redevable à un goy.  
Sanhedrin 58b : Si un goy frappe un juif, il faut le tuer, car  c'est comme frapper Dieu.  
Sanhedrin 59a : Les goyim qui chercheraient à découvrir les  secrets de la Loi d'Israël commettent un crime qui réclame la peine de  mort.  
Sanhedrin 90a: Ceux qui lisent le nouveau testament (chrétiens)  n'auront pas de place dans le monde à venir.  
Schabbath 145b : Les goyim sont impurs parce qu'ils mangent de la  nourriture impure.  
Schabbouth Hag. 6d: Les juifs peuvent jurer faussement en  utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.  
Schene Luchoth Haberith p. 250b : Bien qu'un goy ait la même  apparence qu'un juif, il se comporte envers les juifs de la même  manière qu'un singe envers un homme.  
Sepher Ikkarim III c25: Il est permis de prendre le corps et la  vie d'un goy.  
Sepher Ou Israël 177b : Si un juif tue un goy, ce n'est pas un  péché.  
Shabbath 116a (p. 569): Les juifs doivent détruire les livres des  goyim (nouveau testament).  
Tosaphot, Jebamoth 94b: Lorsque vous mangez en présence d'un  goy c'est comme ci vous mangiez avec un chien.  
Yebamoth 98a : Tous les enfants des goyim sont des animaux  
Zohar I, 131a : Les goyim souillent le monde. Le juif est un être  supérieur  
Zohar I, 160a: Les juifs doivent en permanence tenter de tromper  les goyim.  
Zohar I, 219b: Les princes goyim sont des idolâtres, ils doivent  mourir.  
Zohar I, 25a : Les goyim doivent être exterminés car ce sont des  idolâtres.  
Zohar I, 25b: Ceux qui font du bien à un goy, ne se relèveront  pas des morts.  
Zohar I, 28b, 39a : Les meilleures places dans les Cieux sont  pour ceux qui tuent les idolâtres.  
Zohar I, 28b: Les goyim sont les enfants du serpent de la Genèse.  
Zohar I, 46b, 47a : L'âme des goyim est d'une origine théologique  impure.  
Zohar II 64b : Les goyim sont idolâtres, ils sont comparés aux  vaches et aux ânes.  
Zohar II, 19a: La captivité des juifs prendra fin lorsque les  princes goyim seront morts.  
Zohar II, 43a : L'extermination des goyim est un sacrifice  agréable à Dieu.  
Zohar II, 64b : Le taux de naissance des goyim doit être diminué  matériellement.

-   Que dit le judaïsme rabbinique sur ce qui différencie les Juifs et les Gentils?

[3] La première indication historique de la connexion entre les Juifs, l'argent et le pouvoir semble provenir de Cicéron, vers 59 avant JC. Son discours Pro Flacco offre la défense d'un propréteur romain en Asie du nom de L. V. Flaccus qui a été accusé de détournement de cargaisons juives d'or destinées à Jérusalem. (Rappelons que Rome a conquis la Judée à peine quatre ans auparavant.) Cicéron commence par une déclaration révélatrice:
    Vous savez à quel point c'est une grande foule, comment ils collent les uns aux autres, à quel point ils sont influents dans les assemblées informelles. Je vais donc parler à voix basse pour que seuls les jurés puissent entendre; car ceux qui ne veulent pas qui les inciteraient contre moi et contre tout homme respectable.
Une deuxième allusion précoce à la richesse juive vient de l'empereur Claude dans son troisième édit de 41 après JC. Abordant les troubles civils à Alexandrie, Claudius distingue les Juifs, qui vivent «dans une ville qui n'est pas la leur». «Ils possèdent une abondance de toutes les bonnes choses» mais abusent de leur richesse en continuant de s'opposer aux autorités locales et en semant la discorde générale. Dans un sens, écrit Claudius, les Juifs pourraient être blâmés «d'avoir fomenté fléau général qui infeste le monde entier».
Puis en l’an 100 après JC, nous avons la critique bien connue de Tacite, dans ses Histoires. Au milieu d'une discussion sur «la race des hommes haineux envers les dieux» - il parle d’un peuple qui est «vil et abominable», ainsi que «dépravé» - il remarque que les Juifs de la diaspora, «les pires racailles de tous les peuples», ont travaillé sans relâche pour envoyer "tribut et contributions à Jérusalem, augmentant ainsi la richesse des Juifs". Il est clair que cette richesse a été utilisée à des fins pernicieuses.
Vers l'an 220, Cassius Dio a écrit son histoire romaine dans laquelle il décrit les deuxième et troisième soulèvements juifs, respectivement en 115 et 132 après JC. De ce dernier événement, Dio explique que «Partout, les Juifs montraient des signes d'hostilité envers les Romains». Et ils ont évidemment pu utiliser leurs richesses pour soudoyer d’autres afin qu’ils leur viennent en aide: «ainsi, de nombreuses nations les rejoignaient par empressement à gagner de l’argent». Il est clair qu'il a fallu des richesses considérables pour payer «de nombreuses nations» pour les acheter afin de combattre à leurs côtés. Et il est évident que les Juifs ont réussi à en attirer une multitude d'autres: «la terre entière, pourrait-on presque dire, était en train de s'agiter».
Bien qu'ils perdraient dans ces soulèvements, les Juifs ont réussi à se regrouper et à réaffirmer leur pouvoir - un pouvoir devenu légendaire en 300 après JC . C'est à cette époque que Justin l'historien a écrit son long traité Historiarum PhilippicarumLe livre 36 traite de l'origine ignoble du peuple juif et explique la croissance et la cohésion de cette tribu singulière. Leur théologie pragmatique a fusionné la religion avec la politique d'une manière qui s'est avérée très réussie; en conséquence, "il est presque incroyable de voir à quel point ils sont devenus puissants."
Puissants, en effet. Vers 420, le poète romain Rutilius Namatianus pouvait écrire, dans son De redito suo, sur la capacité des Juifs, malgré leur défaite formelle par les Romains, à continuer d'exercer une influence dominante: “Ce sont leurs propres conquérants qu'une race conquise maintient "

-   Ce que des hommes de renommée mondiale ont dit à propos des juifs. Introduction
-   Ce que des hommes de renommée mondiale ont dit à propos des juifs (suite et fin)
-   Que disent Jésus, Einstein, Voltaire, Soljenitsyne, Goethe, Liszt sur l'antisémitisme ?
-   
Dostoïevski et la "question juive";
-   Le Journal d'un écrivain, mars 1877 Louis-Ferdinand Céline et le "blabla" idéologique de notre temps; par Frédéric Andreu-Véricel

[4] Les juifs bolcheviques coupables du génocide occulté de vingt millions de Russes.

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-   En 1994, les juifs Chabad ont comploté pour exterminer les Slaves ( partie 2)
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 Hannibal GENSÉRIC

 

11 commentaires:

  1. Excellent rappel du Talmud.

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    1. Un merveilleux rappel du Talmud.

      Malheureusement, les mentalités occidentales sont généralement restrictives et traditionnellement confuses, interprétant mal le sens de l'arabe, sœur jumelle de l'hébreu, qui provient de la même famille linguistique (les langues sémitiques).

      Similitudes entre l'hébreu et l'arabe

      L'origine du mot Talmud : confusion et contradiction !

      Le mot « talmud » est le pluriel de « talmid », qui en arabe, sœur jumelle de l'hébreu, signifie « avoir un tel élève ».
      En arabe, le pluriel de « talmid » est « talmud », qui signifie « avoir de tel élèves ».
      En hébreu, le pluriel de « talmid » est « talmud ».
      Les étudiants ou érudits talmudiques khazars ont utilisé ce mot comme point de départ pour les talmudistes afin de réfléchir à leurs connaissances pédagogiques.

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  2. Commentaire reçu relatif à le communication réalisée le 18 juillet 2025 suivante :
    « La fin de toute vie biologique, ou pourquoi l’humain et la société humaine sont en train de se changer en machine.
    The end of all biological life, or why humans and human society are turning into machines.
    http://the-key-and-the-bridge.net/the-end-of-all-biological-life.html »
    Commentaire :
    http://the-key-and-the-bridge.net/l-vassil-27-juillet-2025.html

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  3. Utiliser la dénomination "juif", sans la préciser, ne donnera qu'un point de vue tronqué. Il en va de même pour "chrétien", un chrétien sioniste n'est pas identique à un chrétien orthodoxe ou à un chrétien protestant, etc.
    Il faut contextualiser et comprendre les cycles prophétiques, eux-mêmes comportant un sommet et une fin.
    Coraniquement, l'appellation juif n'apparaît qu'après avoir refusé le nouveau cycle prophétique représenté par Jésus.
    Avant, dans le coran, ils sont appelés les fils d'Israël.
    Å l'apparition de Jésus, le cycle prophétique de Moïse est à sa fin et est corrompu par leurs propres savants qui ont mélangé la révélation mosiaque avec leurs propres altérations.
    Å ce stade là ,ce n'est plus un peuple élu, mais un peuple corrompu qui a encouru la colère divine, appelé dès lors, Juifs dans le Coran.

    Dans l'article ci-dessus, la situation est encore pire, nous savons que les juifs ashkénazes, ceux de cet article, sont des convertis tardifs, sans aucun lien avec l'épopée mosiaque.
    Ils usurpent deux titres, l'un sanguin, l'autre spirituel.
    Sanguin, ils prétendent être sémites,
    Spirituel, ils prétendent être Fils d'Israël.
    Après cela nous avons assisté au chaos international organisé par ces ashkénazes, ils y a parmi eux des juifs capitalistes, des juifs bolcheviques, des juifs pro nazis, des juifs suprémacistes, des juifs gauchistes, etc. Tout ce conglomérat dictant la politique mondiale...

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    1. Au point ou on est avec le bataillon de prophètes de toute sorte......Les MARTIENS ARRIVENT QUAND?
      La MAJORITÉ de l'HUMANITE s'en FOUT ROYALEMENT des croyances Sémitiques ! Savez vous qu'il existe des Indouistes, Bouddhistes... Confucéens, animistes etc.......et même des Athées....
      DONC arrêtez de vous faire du bien TOUT SEUL, à TRIPOTER votre NOMBRIL et voyagez un peu vers l'ASIE......

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    2. Votre réponse et votre attitude montrent votre ignorance totale de la spiritualité et de la métaphysique. Aligner quelques mots sans fondement, dans le but de dénigrer, est à la portée de tous.
      Alors non la majorité de l'humanité ne se fout pas des "croyances sémitiques", (expression totalement vide de sens), dont les musulmans de souches, ce sont des sémites. Les croyances sémites, comme vous dites, sont basées sur la doctrine métaphysique de l'unité divine, à travers les révélations successives qu'il y a eut dans cette humanité.
      Le Védanta des hindous est basé sur la doctrine de l'unité divine.
      Le taoïsme des chinois est basé sur la doctrine de l'unité divine.
      À titre d'exemple, je vous conseille de lire l'ouvrage de René Guénon: "Aperçus sur l'ésotérisme islamique et le Taoïsme".

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  4. https://www.lasapiniere.info/produit/de-la-question-juive
    https://www.lasapiniere.info/produit/talmud
    https://www.lasapiniere.info/produit/antijudaisme-chretien
    https://www.lasapiniere.info/archives/4073

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  5. Bref...sont des bouseux incultes.... révélant enfin qui ils sont: des bêtes de satan ~ Vade Retro satanas !

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  6. L’œuf monstrueux a enfin éclos
    The monstrous egg has finally hatched

    Communication de Michel Dakar, le 27 juillet 2025 à Villequier en France

    http://the-key-and-the-bridge.net/the-monstrous-egg-has-finally-hatched.html

    Documentation :

    The REAL Reason Gaza is STARVING - EX-UN Chief Drops BOMBSHELL
    308 445 vues 23 juil. 2025
    Israel's DARKEST Experiment Yet
    https://www.youtube.com/watch?v=gyksp2Rg_i0
    Double Down News
    @DoubleDownNews
    874 k abonnés•494 vidéos
    https://www.youtube.com/@DoubleDownNews

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  7. https://m.youtube.com/watch?v=jkkaiaHqGdQ&list=FLHP9_pJsjgAGUKqrg_4leTw&index=12&pp=gAQB
    Conférence avec Shlomo Sand: "Si Netanyahou est juif, alors moi je suis bouddhiste"
    Le point de vue d'un historien juif. Il cite des fairs historiques peu connus.

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    1. Les juifs karaïtes réfutent les deux talmuds, qui ne font pas partie de la révélation biblique.
      Les juifs rabbiniques ont délaissé la bible au profit des deux talmuds.
      Cela corrobore les paroles prophétiques musulmanes qui affirment que les savants juifs, ceux que Jésus a invectivé, ont altéré le message prophétique, faisant croire à la communauté juive que leurs paroles faisaient partie de la révélation divine.

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