lundi 8 juin 2020

Les racines juives de Lénine exposées dans un musée russe


L'exposition révèle une lettre écrite par la sœur de Lénine affirmant que le grand-père maternel était juif ukrainien; Staline a dit à cette sœur de garder la lettre secrète.

Des documents confirmant apparemment des rumeurs selon lesquelles Vladimir Lénine avait des ancêtres juifs peuvent maintenant être vus au Musée d’histoire d’Etat de Russie, a fait savoir lundi AP.
La meilleure manière de contrôler l'opposition est de la conduire nous-mêmes
Parmi les documents nouvellement publiés exposés au musée, il y a une lettre écrite par la sœur de Lénine, Anna Ulyanova, affirmant que leur grand-père maternel était un Juif d'Ukraine qui s'était converti au christianisme pour échapper à la persécution dans la Zone de Résidence (La Zone de Résidence était la région ouest de l'Empire russe frontalière avec les puissances d'Europe centrale, où les Juifs enregistrés comme tels étaient cantonnés par le pouvoir impérial jusqu'en février 1917) et avoir accès à l'enseignement supérieur , indique le rapport.
"Il venait d'une famille juive pauvre et était, selon son certificat de baptême, le fils de Moses Blank, originaire de [la ville ukrainienne occidentale de] Zhitomir", écrit Ulyanova en 1932 dans une lettre citée par AP.
Dans la lettre écrite à Josef Staline, qui a remplacé Lénine après sa mort en 1924, Ulyanova a écrit: «Vladimir Ilych a toujours pensé aux Juifs. Je suis vraiment désolée que le fait de notre origine - que je soupçonnais auparavant - n'ait pas été connue de son vivant. »
Lénine, qui est né Vladimir Ilych Ulyanov en 1870, ne s'est identifié que comme russe sous la domination tsariste dans le pays, au cours de laquelle l'antisémitisme sévissait. [1]
Il a adopté le nom de Lénine en 1901 lors de son exil en Sibérie.
Selon le rapport de l'AP, Lénine a supervisé une brève période de promotion de la culture juive qui s'est terminée au début des années 1930 lorsque Staline a encouragé les purges antisémites et a créé un plan de relocalisation de tous les Juifs soviétiques.[2]
Ulyanova a demandé à Staline de faire connaître l'origine juive de Lénine pour lutter contre la montée de l'antisémitisme, a rapporté AP. Elle a écrit dans sa lettre: «J'ai entendu dire que ces dernières années, l'antisémitisme s'est encore renforcé, même parmi les communistes. Il serait faux de cacher ce fait aux masses. »
Staline a ignoré la demande d'Ulyanova et lui a dit de "garder un silence absolu" sur la lettre, selon la commissaire de l'exposition, Tatyana Koloskova.
Les documents contredisent les informations présentées dans la biographie officielle de Lénine, écrite par sa nièce Olga Ulyanova, dans laquelle elle affirme que sa famille n’a que des racines russe, allemande et suédoise.

La lettre d'Anna Ulyanova a été découverte par des historiens russes au début des années 1990, mais son authenticité a été mise en doute.
Source : Lenin’s Jewish roots put on display in Russian museum
June 2, 2020 Jerusalem Post
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NOTES de H. Genséric
[1] Les juifs se vengeront méchamment sur les Gentils:
VOIR AUSSI :
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ANNEXE :
« Les Juifs de Staline »
Léon Bronstein dit « Trotsky »
Un événement historique est particulièrement passé sous silence,  et pourtant nous ne devons  pas oublier qu’il y a environ 90 ans, entre le 19 et le 20 décembre 1917, au cœur de la révolution bolchevique et de la guerre civile, Lénine signa un décret créant la Commission Panrusse pour la Répression de la Contre-révolution et du Sabotage, plus connue sous le nom de Tchéka.
En peu de temps, la Tchéka devint l’organisation de sécurité d’État la plus importante et la plus répressive. Son organisation et sa structure évoluèrent régulièrement, tout comme son nom : de Tchéka à GPU, puis à NKVD, et plus tard à KGB. Il est impossible de connaître avec certitude le nombre de morts dont la Tchéka fut responsable d’une manière ou d’une autre, mais il s’évalue probablement autour de 20 millions, incluant les victimes de la collectivisation forcée, des famines, des purges, des expulsions, des déportations, des exécutions et des tueries de masses dans les goulags.
Des pans entiers de la population furent éliminés: fermiers indépendants, minorités ethniques, membres de la bourgeoisie, officiers supérieurs, intellectuels, artistes, militants syndicalistes, « membres de l’opposition » à la définition très aléatoire, et un nombre incalculable de membres du parti communiste lui-même. Dans son dernier livre, qui recueille beaucoup de suffrages, The War of the World, l’historien Niall Ferguson écrit qu’aucune autre révolution dans l’histoire de l’humanité n’a dévoré ses enfants avec le même appétit insatiable que la révolution soviétique. De même, le Dr. Igal Halfin, de l’université de Tel-Aviv, indique dans son livre sur les purges staliniennes que la violence y fut unique en ce qu’elle fut dirigée vers l’intérieur.
Mais Lénine, Staline, et leurs successeurs n’auraient pas pu mener à bien leurs objectifs sans une large coopération de la part d’”officiers de la terreur” disciplinés : enquêteurs cruels, mouchards, bourreaux, gardiens, juges, pervers, et de beaucoup d’idéalistes membres de l’aile gauche progressiste, abusés par le régime soviétique de terreur au point de lui décerner un certificat casher.
 Genrikh Yagoda le fondateur du NKVD
 Genrikh Yagoda, fut le plus grand meurtrier juif du XXe siècle, chef adjoint de la GPU et fondateur-dirigeant du NKVD. Yagoda a consciencieusement exécuté les ordres de Staline pendant la collectivisation, et est responsable de la mort d’environ 10 millions de personnes. Ses employés juifs ont mis en place et géré le système des goulags. Après être tombé en disgrâce auprès de Staline, Yagoda fut dégradé et exécuté, puis remplacé en tant que chef des bourreaux, en 1936, par Yezhov, le « nain sanguinaire ».
Lazar Kaganovitch,
l’exterminateur de
l’Ukraine
Beaucoup de juifs ont vendu leur âme au diable de la révolution communiste et ont du sang sur les mains pour l’éternité. Nous n’en mentionnerons qu’un de plus : Leonid Reichman, dirigeant du département spécial du NKVD et interrogateur en chef de l’organisation, qui était un sadique particulièrement cruel.  En 1934, selon des statistiques publiées, 38,5% des officiels détenant les postes les plus élevés dans l’appareil de sécurité soviétique étaient d’origine juive. Eux aussi, naturellement, furent graduellement éliminés dans les purges successives. 
Il apparaît que les juifs aussi, quand ils sont fascinés par une idéologie messianique, peuvent devenir de grands meurtriers, parmi les plus grands de l'histoire moderne. La Palestine en a été et en est toujours un exemple.
Les juifs actifs dans l’appareil officiel de la terreur communiste (en Union soviétique et ailleurs), et qui l’ont parfois dirigé, ne l’ont évidemment pas fait en tant que juifs, mais plutôt en tant que staliniens, communistes, et « camarades soviétiques ». En conséquence, il nous est facile d’ignorer leur origine et de jouer les innocents: qu’avons-nous à voir avec eux ? Si ce n’est de les oublier.
« Je pense qu’il est inacceptable qu’une personne puisse être considérée comme un membre de la communauté juive quand elle réalise de grandes choses, mais en être exclue quand elle commet des actes particulièrement méprisables. » (Sever Plocker, Stalin’s Jews, 21, 12, 2006). 
"Même si nous le nions, nous ne pouvons pas échapper au judaïsme de « nos bourreaux » qui ont servi la Terreur rouge avec application et loyauté envers ses dirigeants. De toutes façons, d’autres nous rappelleront toujours leur origine."
Sever Plocker, Stalin’s Jews, (Les Juifs de Staline), 21, 12, 2006.
Naturellement, et s'agissant d'un journal israélien, S. Poker  ne pouvait pas parler des génocides récurrents commis par les juifs sionistes contre les populations palestiniennes depuis 1948. Il ne parle pas non plus des confiseries empoisonnées larguées sur les populations civiles de Gaza et de Cisjordanie afin de tuer les enfants palestiniens, ni sur la pratique assez courante de faire asseoir les prisonnier palestiniens sur des plaques radioactives afin de les rendre stériles....H.G.
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Les Juifs fomenteurs de la Shoah russe
80% des révolutionnaires en Russie étaient Juifs. Les Juifs ont été les artisans de la révolution russe de 1917. (Réf. Dr. Angelo Solomon Rappoport, 1918)
 
Ceux qui ouvrirent la voie :
- Gesya Gelfman (juive) : criminelle responsable de l'assassinat du Tsar Alexandre II.
- Jacob Schiff (juif) : le banquier américain qui finança la révolution russe de 1917.
- Olaf Aschberg (juif) : banquier.
- Evno Azev (juif) : agent double.
- Grigori Guerchouni : assassin professionnel.
- Alexandre Parvus (juif) : révolutionnaire professionnel.
- Jacob Ganetski (Jacob Furstenberg) (juif) : larbin de Lénine.

Les moteurs de la révolution de 1917 :
- Léon Trotski (juif) : révolutionnaire professionnel.
- Lev Kamenev (juif) : révolutionnaire professionnel.
- Grigory Zinoviev (juif) : L'apôtre de la terreur socialiste.
- Iakov Sverdlov (juif) : Assassin du Tsar et de sa famille.
- Grigori Sokolnikov (juif) : ministre des finances de Juifs bolcheviques.
- Karl Radek (juif) : dirigeant socialiste.
- Maxim Litvinov (juif) : issu d'une famille de banquiers juifs, ministre des Affaires étrangères bolchevique.
- Adolf Joffé (juif) : commissaire du peuple aux Affaires étrangères.
- Moïsseï Ouritski (juif) : chef de la Tcheka de Petrograd et grand criminel.
- Moïse Volodarski (juif) : assassin en gros.
- Lazare Kaganovitch (juif) : assassin en gros.

Les exécuteurs zélés :
- Guenrikh Iagoda (juif) : le plus grand meurtrier juif du 20è siècle.
- Martyn Latsis : l'exterminateur de la bourgeoisie.
- Jacob Agranov (juif) : "S'il n'y a pas d'ennemi, il faut en créer".
- Iakov Iakovlev (juif) : exterminateur de la paysannerie.
- Semyon Dimanstein (juif) : rabbin promoteur de la région juive "autonome", donc sioniste.
- Alexandre Lozovski (juif) : chef syndicaliste et fondateur du Comité antifasciste juif.
- Jacob Yourovski (juif) : criminel ordonnant le massacre de la famille impériale.
- Yakov Davydov (juif) : chef du Département des affaires étrangères de la Tchéka 1921-1922, le premier chef du renseignement extérieur soviétique.
- Solomon Mogilevsky (juif) : chef du service de renseignement extérieur.
- Mikhail Trilisser (juif) : espionnage et contre-espionnage en tous genres.
- Abram Slutsky (juif) : celui qui traquait les opposants à l'étranger.
- Sergey Spigelglas (juif) : chef par intérim du service de renseignement extérieur soviétique.
- Grigori Maïranovski : chimiste assassin.
- Isaï Berg (juif) : inventeur des chambres à gaz ambulantes.

Au Goulag :
- Naftali Frenkel (juif) : organisateur de l'esclavage dans l'institution du Goulag.
Bien-sûr tous les Juifs ne furent pas bolcheviques et tous les bolcheviques n'étaient pas des Juifs. Cependant incontestablement tout une génération de Juifs fut cancérisée par le pouvoir et donc participa à la Shoah anti russe qui fut commise à très grande échelle et jusqu'aux "grandes purges staliniennes" soviétiques de la fin des années 1930.
Des Juifs massacreurs sont parmi les plus grands criminels de tous les temps, et ils se moquaient totalement de leur religion.
Cette génération de Juifs joua un rôle essentiel, pourtant ils n'étaient qu'environ 4% de la population russe. De plus, cette génération de criminels bénéficia, surtout aux États-Unis, d'un fort soutien et d'une réelle sympathie de la diaspora juive.
  Hannibal GENSÉRIC
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2 commentaires:

  1. Si j'étais juif je serai honteux !

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  2. Pour être complet, il faudrait mentionner que tous les russes, ukrainiens massacrés par millions, paysans et autres étaient pour la grande majorité des chrétiens orthodoxes.

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