Imaginez, vous vivez dans un monde dans
lequel on vous dit qu’il est une démocratie – et vous pouvez même le croire –
mais en fait votre vie et votre destin sont entre les mains de quelques
oligarques ultra-riches, ultra-puissants et ultra-inhumains. Ils peuvent être
appelés État profond, ou simplement « la Bête », ou n’importe quoi
d’autre d’obscur ou d’introuvable – peu importe. Ils sont inférieurs à 0,0001%.
[1]
Faute d’une meilleure expression,
appelons-les pour l’instant les « individus obscurs » (“obscure
individuals”).
Ces « individus obscurs » qui
prétendent diriger notre monde n’ont jamais été élus.
Nous n’avons pas besoin de les
nommer. Vous découvrirez qui ils sont, et pourquoi ils sont célèbres, et
certains d’entre eux totalement invisibles. Ils ont créé des structures, ou des
organismes sans aucun format légal. Ils agissent totalement hors de la légalité
internationale. Ils sont à l’avant-garde de « la Bête ». Il y a
peut-être plusieurs « bêtes » en concurrence.
Mais elles ont le même
objectif : Un nouvel ordre mondial ou un seul ordre
mondial (NWO, ou OWO).
Ces « individus obscurs »
dirigent, par exemple, le
Forum
économique mondial (FEM – représentant
la Grande industrie, la Grande finance et de Grande renommée), le Groupe des 7
– G7, le Groupe des 20 – G20 (les dirigeants des nations les plus
« fortes » économiquement). Il existe également quelques entités de
moindre importance, appelées la Société Bilderberg, le Conseil des relations
étrangères (Council on Foreign Relations, CFR), Chatham House et d’autres
encore.
Les membres de toutes ces entités se
chevauchent. Et même ce
front élargi représente moins de 0,001 %. Ils se sont tous
superposés à des gouvernements nationaux souverains élus et constitutionnels,
et à LA multinationale mondiale, les Nations
unies, l’ONU.
En fait, ils ont coopté l’ONU pour
faire leur travail. Les directeurs généraux de l’ONU, ainsi que les directeurs
généraux des multiples sous-organisations de l’ONU, sont choisis pour la
plupart par les États-Unis, avec le
consentement de leurs vassaux européens
– en fonction du profil politique et psychologique du candidat. Si sa
« performance » à la tête de l’ONU ou de l’une de ses
sous-organisations échoue, ses jours sont comptés. L’Union européenne, les
organisations de Bretton Woods, la Banque mondiale et le FMI, ainsi que
l’Organisation mondiale du commerce (OMC) – et – ne vous y méprenez pas – la
Cour pénale internationale (CPI) de La Haye, ont également été cooptés ou créés
par la ou les « Bête(s) ». Elle n’a pas de pouvoir réel. Uniquement pour s’assurer que la loi est toujours du côté des
hors-la-loi.
Outre les principales institutions
financières internationales, la Banque mondiale et le FMI, il existe ce que
l’on appelle les banques régionales de développement et autres institutions
financières similaires, qui contrôlent les pays de leurs régions respectives.
En fin de compte, c’est l’économie financière ou
de la dette qui contrôle tout. Le banditisme néolibéral occidental a
créé un système dans lequel la désobéissance politique peut être punie par
l’oppression économique ou le vol pur et simple des biens nationaux dans les
territoires internationaux. Le dénominateur commun de ce système est le dollar
US (toujours) omniprésent.
Les « individus non
élues »
La suprématie de ces
« individus obscurs » non élus est de plus en plus évidente. Nous,
« le Peuple », considérons qu’il est « normal » qu’ils
prennent les décisions, et non pas ce que nous appelons – ou étions autrefois
fiers d’appeler – nos nations souveraines et nos gouvernements souverainement
élus. Ces derniers sont devenus un troupeau de moutons obéissants. « La
Bête » a progressivement et tranquillement pris le dessus. Nous ne l’avons
pas remarqué. C’est la tactique du salami : vous le coupez tranche par tranche
et quand le salami a disparu, vous vous rendez compte qu’il ne vous reste plus
rien, que votre liberté, vos droits civils et humains ont disparu. À ce
moment-là, il est trop tard. Le Patriot
Act étasunien en est un bon exemple. Il a été préparé bien
avant le 11 septembre. Une fois le 11 septembre « arrivé », le
Patriot Act a été adopté par le Congrès en un rien de temps – pour la
protection future du peuple – les gens l’ont réclamé par peur [2]– et – bingo, le Patriot Act a privé
environ 90% de la population étasunienne de sa liberté et de ses droits civils.
Pour de bon.
Nous sommes devenus esclaves de
« la Bête ». « La Bête » décide de l’essor ou de
l’effondrement de nos économies, de qui devrait être endetté, quand et où une pandémie devrait
éclater, et des conditions de survie à la pandémie, par exemple le
confinement social. Et pour couronner le tout, les instruments que « la
Bête » utilise, très astucieusement, sont un minuscule ennemi invisible, appelé virus, et un
monstre énorme mais aussi invisible, appelé LA
PEUR. Cela nous empêche d’aller dans la rue, de retrouver nos
amis, d’aller au théâtre, de faire du sport ou de pique-niquer dans le parc.
Bientôt, « la Bête » décidera qui
vivra et qui mourra, littéralement – si nous la laissons faire. Ce
n’est peut-être pas si loin. Une autre vague de pandémie et les gens pourraient
ainsi supplier, crier et hurler pour obtenir un vaccin, pour sonner le glas et pour le super profit des grandes sociétés pharmaceutiques
– et pour atteindre les objectifs des eugénistes qui parcourent ouvertement le
monde – voyez ceci. Il est encore temps de dire NON
collectivement. Collectivement et solidairement.
Prenez le dernier cas d’imposture
flagrante. Comme par hasard, après le passage de la première vague de Covid-19,
au moins dans le « Nord global », où se prennent les grandes
décisions mondiales, au début du mois de juin 2020, le président non élu du FEM, Klaus Schwab, a
annoncé « La grande Réinitialisation » (“The Great Reset”). Profitant
de l’effondrement économique – le choc de la crise, comme dans « La
doctrine du choc » – M. Schwab, un des leaders de « la Bête »,
annonce ouvertement ce que le FEM va discuter et décider pour le monde à venir
lors de son prochain Forum de Davos en janvier 2021. Pour plus de détails, voir
ceci.
Nous, le peuple,
accepterons-nous l’ordre du jour des individus du FEM non élus ?
Le FEM se concentrera de manière
opportune sur la protection de ce qui reste de la Terre Mère ; évidemment,
au centre se trouvera le « Réchauffement climatique », basé sur le
CO2 produit par l’humain. L’instrument de cette protection de la nature et de
l’humanité sera l’Agenda 2030 des Nations unies – qui équivaut aux Objectifs de
développement durable (ODD) des Nations unies. Il sera axé sur la manière de
reconstruire l’économie mondiale délibérément détruite, tout en respectant les
principes (« verts ») des 17 ODD.
Mais attention, tout est relié. Il
n’y a pas de coïncidences. Le tristement célèbre Agenda 2021, qui coïncide avec
et complète le soi-disant Agenda 2030 des Nations unies, sera dûment inauguré
par la déclaration officielle du FEM de « The Great Reset », en
janvier 2021. De même, la mise en œuvre de l’agenda de « The Great Reset »
a commencé en janvier 2020, avec le déclenchement de la pandémie de coronavirus
– prévue depuis des décennies,
les derniers événements visibles étant le
rapport Rockefeller de 2010 avec son « Lockstep Scenario » (le Scénario
du verrouillage), et l’événement 201, du 18 octobre à New York qui a
simulé par ordinateur une pandémie de coronavirus, laissant en 18 mois 65
millions de morts et une économie en ruine. Cela a été programmé quelques
semaines seulement avant le lancement de la véritable pandémie de COVID-19.
Voir COVID-19, We Are Now Living the
« Lock Step Scenario »,
voir en français La farce et l’agenda diabolique d’un
«verrouillage universel»
et ceci et ceci (et en français ceci).
Les émeutes
raciales
Des émeutes raciales, initiées par
le mouvement Black Lives
Matter (financé par la Fondation Ford et l’Open Society Foundation de Soros),
à la suite de l’assassinat brutal de l’Afro-Américain George Floyd par une
bande de policiers de Minneapolis se sont répandues comme un feu de brousse en
un rien de temps dans plus de 160 villes dans le monde, d’abord aux États-Unis,
puis en Europe. Ces émeutes ne sont pas seulement liées à l’agenda de « la
Bête », mais elles constituent une déviation bien commode de la
catastrophe humaine provoquée par la pandémie Covid-19. Voir aussi ceci.
Le plan infâme de « la
Bête » pour mettre en œuvre ce qui se cache réellement derrière l’Agenda
2030 des Nations unies est l’Agenda
ID2020 qui demeure méconnu du grand public. Voir La pandémie du coronavirus COVID-19
: Le vrai danger est « l’Agenda ID2020 ».
Cet agenda a été créé et financé par le gourou de la vaccination Bill Gates
[3], tout comme la GAVI
(Global Alliance for Vaccines and Immunizations), l’association des grandes entreprises
pharmaceutiques – qui a participé à la création des vaccins coronavirus
et qui finance avec la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) une part
importante du budget de l’OMS
La « Grande
réinitialisation » (« Great Reset »), telle qu’annoncée par Klaus Schwab du FEM,
est censée être mise en œuvre par l’Agenda ID2020. C’est plus que ce que l’on
pourrait croire. L’Agenda ID2020 est même intégré aux SDG, puisque la SDG 16.9
« d’ici 2030, fournira une identité
légale [numérique] pour tous, y compris l’enregistrement gratuit des naissances » .
Cela s’inscrit parfaitement dans l’objectif global de la SDG 16 : « Promouvoir
des sociétés pacifiques et inclusives pour un développement durable, fournir un
accès à la justice pour tous et mettre en place des institutions efficaces,
responsables et inclusives à tous les niveaux« .
Suivant la voie officielle de
l’Agenda 2030 des Nations unies pour la réalisation des SDG, l’Agenda ID2020
« mise en œuvre » – qui est actuellement testé sur des écoliers au
Bangladesh – fournira des cartes d’identité numérisées, éventuellement
sous la forme de nanopuces implantées en même temps que les programmes de
vaccination obligatoires, encouragera la numérisation de l’argent et le déploiement
des 5G [4] – qui seraient nécessaires
pour télécharger et contrôler les données personnelles sur les nanopuces et
pour contrôler la population. L’Agenda ID2020 inclura très probablement aussi
des « programmes » – par la vaccination ? – de réduction significative
de la population mondiale. L’eugénisme est une composante importante du
contrôle de la population mondiale future dans le cadre d’un NOW / OWO – voir
aussi Georgia Guidestones, mystérieusement construit en 1980.
L’élite dirigeante a
utilisé le confinement comme instrument pour mener à bien ce programme. Sa mise en œuvre se heurterait
naturellement à des protestations massives, organisées et financées selon les
mêmes modalités que les protestations et manifestations du BLM. Il se peut
qu’elles ne soient pas pacifiques – et qu’elles ne soient pas planifiées comme
telles. En effet, pour contrôler la population aux États-Unis et en Europe, où
l’on s’attendrait à la plupart des manifestations de la société civile, une militarisation totale de la
population est nécessaire. Cela est en cours de préparation.
« Depuis 2006, un minimum de
93.763 mitrailleuses, 180.718 cartouches de chargeur, des centaines de
silencieux et un nombre inconnu de lance-grenades ont été fournis aux services
de police d’État et locaux aux États-Unis. Cela s’ajoute à au moins 533 avions
et hélicoptères, et 432 MRAP – véhicules blindés de 9 pieds de haut, de 30
tonnes, protégés contre les embuscades et dotés de tourelles à canon et de plus
de 44.900 pièces d’équipement de vision nocturne, régulièrement utilisés lors
de raids nocturnes en Afghanistan et en Irak ».
Il ajoute que cette militarisation
s’inscrit dans une plus vaste tendance. Depuis la fin des années 1990, environ
89 % des services de police étasuniens desservant des populations de 50.000
personnes ou plus disposaient d’une PPU (unité paramilitaire de police), soit
près du double de ce qui existait au milieu des années 1980. Il appelle ces
polices militarisées la nouvelle Gestapo.
Même avant la pandémie COVID-19,
environ 15 à 20 % de la population se trouvait sur ou sous le seuil de pauvreté
aux États-Unis. L’anéantissement économique post-covidien va au moins doubler
ce pourcentage – et augmenter proportionnellement le risque de révoltes civiles
et d’affrontements avec les autorités – ce qui renforce encore le raisonnement
en faveur d’une force de police militarisée.
Le Crypto RMB
chinois
Bien entendu, aucun de ces scénarios
ne sera présenté au public par le FEM en janvier 2021. Il s’agit de décisions
prises à huis clos par les acteurs clés de « la Bête ». Cependant, ce
plan grandiose de la « Grande
Réinitialisation » (« Great Reset ») ne va
pas nécessairement se réaliser. La moitié au moins de la population mondiale et
certains des pays les plus puissants, économiquement et militairement – comme
la Chine et la Russie – y sont opposés. « Reset » peut-être oui, mais
pas dans ces termes occidentaux. En fait, une réinitialisation de ce type est
déjà en cours, la Chine étant sur le point de lancer une nouvelle monnaie
cryptographique basée sur une chaîne de blocs, le RMB cryptographique, ou yuan. Il ne
s’agit pas seulement d’une monnaie forte basée sur une économie solide, elle
est également soutenue par l’or.
Alors que le président Trump
continue de fustiger la Chine pour ses pratiques commerciales déloyales, pour
sa mauvaise gestion de la pandémie de grippe (COVID-19), pour avoir volé des
droits de propriété – une campagne sans fin contre la Chine -, pour avoir
affirmé que la Chine dépend des États-Unis et que ces derniers vont couper les
liens commerciaux avec la Chine – ou les couper complètement – la Chine appelle
cela du bluff. La Chine se réoriente discrètement vers les pays de l’ANASE plus
le Japon (oui, le Japon !) et la Corée du Sud, où le commerce représente déjà
aujourd’hui environ 15 % de l’ensemble des échanges commerciaux de la Chine et
devrait doubler au cours des cinq prochaines années.
Malgré le verrouillage et la
perturbation des échanges commerciaux, les exportations globales de la Chine se
sont rétablies avec une augmentation de 3,2 % en avril (par rapport à avril
2019). Cette performance globale des exportations chinoises s’est néanmoins
accompagnée d’une baisse spectaculaire des échanges commerciaux entre les
États-Unis et la Chine. Les exportations chinoises vers les
États-Unis ont diminué de 7,9 % en avril (par rapport à avril 2019).
Il est clair que la grande majorité
des industries étasuniennes ne
pourraient pas survivre sans les chaînes d’approvisionnement chinoises. La dépendance occidentale à
l’égard des fournitures médicales chinoises est particulièrement importante.
Sans parler de la dépendance de la Chine à l’égard des consommateurs étasuniens.
En 2019, la consommation totale des États-Unis, soit environ 70 % du PIB,
s’élevait à 13,3 billions (mille milliards) de dollars, dont une bonne partie
est directement importée de Chine ou dépend des ingrédients provenant de Chine.
Les maîtres du FEM sont confrontés à
un véritable dilemme. Leur plan dépend beaucoup de la suprématie du dollar qui continuerait à
permettre l’application de sanctions et la confiscation des actifs des pays qui
s’opposent à la domination des États-Unis ; une hégémonie du dollar qui
permettrait d’imposer les composantes du programme « The Great
Reset » (la Grande réinitialisation), comme décrit ci-dessus.
À
l’heure actuelle, le dollar est une monnaie fiduciaire, une dette créée de
toutes pièces. Il ne bénéficie d’aucun soutien. Par conséquent, sa valeur en tant que monnaie de
réserve se dégrade de plus en plus, en particulier vis-à-vis du nouveau
crypto-yuan de Chine. Afin de concurrencer le yuan chinois, le gouvernement
étasunien devrait s’éloigner de son système monétaire Ponzi, en se séparant du
Federal Reserve Act de 1913 et en imprimant sa propre monnaie de l’économie
étasunienne et éventuellement de l’or (crypto) – et non pas de la monnaie
fiduciaire de la FED, comme c’est le cas aujourd’hui. Cela impliquerait de
couper les liens plus que centenaires avec la FED,
propriété du clan Rothschild et Cie, et de créer une véritable
banque centrale appartenant aux citoyens. Ce n’est pas impossible, mais
grandement improbable. Ici, deux « bêtes » pourraient s’affronter,
car une puissance mondiale est en jeu.
Pendant ce temps, la Chine, avec sa
philosophie de création sans fin, continuerait d’avancer de façon imparable
avec son gigantesque plan de développement socio-économique du 21e siècle,
l’Initiative ceinture et route (ICR, la Nouvelle route de la soie)
reliant la Chine au reste du monde avec des infrastructures de transport
terrestre et maritime, avec des projets de recherche et industriels communs,
des échanges culturels – et surtout, un commerce multinational (multinational
trade) avec des caractéristiques « gagnant-gagnant », l’égalité pour
tous les partenaires – vers un monde multipolaire, vers un monde avec un avenir
commun pour l’humanité.
Aujourd’hui déjà, plus de 120 pays
sont associés à l’ICR – et le projet en chantier est libre pour que d’autres
pays s’y joignent – et pour défier, démasquer et « désactiver » la
Grande réinitialisation (Great Reset) de l’Occident.
Article original en anglais :
Mondialisation.ca, 19 juin 2020
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NOTES de H. Genséric
[1] En 2019, les 2153 milliardaires du monde étaient
plus riches que 4,6 milliards de personnes, a annoncé lundi un nouveau rapport de l'organisation
caritative britannique Oxfam.
Le rapport,
intitulé "Time to Care", a noté que :
- Les inégalités économiques sont
incontrôlables. Les 1%
les plus riches du monde ont plus de deux fois plus de richesses que les 6,9
milliards de personnes [restantes].
- le nombre de milliardaires a doublé pour
atteindre 2.153.
- L'année dernière, la richesse des 22 hommes
les plus riches du monde était supérieure à celle de toutes les femmes
africaines, a-t-il souligné.
-
Près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 5,50
dollars par jour.
-
Au sommet de l'économie mondiale, une petite élite est d'une richesse
inimaginable. Leur richesse croît de façon exponentielle au fil du temps, avec
peu d'efforts et indépendamment du fait qu'ils ajoutent de la valeur à la
société.
-
les super-riches évitent de payer jusqu'à 30% de leurs impôts.
-
Les hommes possèdent 50% de richesse en plus que les femmes.
Top 7 des hommes les plus riches du monde en 2020 selon Forbes
1. Jeff
Bezos (113 milliards de dollars)
Âge : 56 ans
Pays :
États-Unis
Source de
richesse : Amazone
2. Bill Gates (98 milliards de dollars)
Âge : 64 ans
Pays :
États-Unis
Source de
richesse : Microsoft
3. Bernard
Arnault et sa famille (76 milliards de dollars)
Âge : 71 ans
Pays :
France
Source de
richesse : LVMH
4. Warren
Buffet (67,5 milliards de dollars)
Âge : 89 ans
Pays :
Etats-Unis
Source de
richesse : Berkshire Hathaway
5. Larry
Ellison (59 milliards de dollars)
Âge : 75 ans
Pays :
États-Unis
Source de
richesse : Logiciels
6. Amancio
Ortega (55,1 milliards de dollars)
Âge : 84 ans
Pays :
Espagne
Source de
richesse : Zara
7. Mark
Zuckerberg (54,7 milliards de dollars)
Âge : 34 ans
Pays :
Etats-Unis
Source de
richesse : Facebook
[4] Démonstration.
Il y a une corrélation directe entre les réseaux 5G et les épidémies de
«coronavirus»
Hannibal GENSÉRIC
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