jeudi 6 novembre 2025

Désintégration rapide du dollar: la Russie évince le dollar et l’euro du commerce extérieur

Moscou. En raison de la guerre en Ukraine et des sanctions occidentales, le commerce extérieur de la Russie a profondément changé ces dernières années. Les flux commerciaux, qui étaient auparavant principalement dirigés vers l’Europe, ont été redirigés vers l’Asie en un temps record. L’ancien conseiller du Kremlin, Vladislav Inotzemtsev, a déclaré à „Die Welt”: «Aucun changement aussi rapide des habitudes de consommation n’a jamais été observé auparavant». 

Ce recentrage se reflète également dans les monnaies utilisées. Selon l’agence de presse Interfax, qui se base sur des données provisoires de la banque centrale de Moscou, la Russie a effectué en août 55,2% de son commerce extérieur total en roubles – un record absolu. Pour l’exportation, la part du rouble s’élevait à 56,3%, pour l’importation à 54,1%

Le retrait stratégique du dollar américain, appelé désintégration du dollar ou «dédollarisaton», avait déjà été amorcé par Moscou après l’annexion de la Crimée en 2014. L’objectif était et est de réduire la vulnérabilité face aux sanctions occidentales. Ainsi, les obligations d’État américaines ont été presque entièrement retirées des réserves de devises. Cependant, cette accélération du processus n’a vraiment eu lieu qu’après le début de la guerre en Ukraine en 2022. Alors qu’en 2021, 84,6% des exportations et 67,6% des importations étaient facturés en dollars ou en autres monnaies occidentales, cette part a chuté en août 2025 à seulement 14,3% pour les exportations et 15,7% pour les importations.  

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En plus du rouble, ce sont principalement les monnaies des États amis qui ont remplacé les monnaies occidentales. Leur part dans l’exportation russe s’élevait en août à 29,4%, dans l’importation à 30,1%. La monnaie la plus importante reste le yuan chinois. La Chine est devenue le partenaire commercial principal et couvre désormais 40% des importations russes et 30% des exportations. Le volume commercial entre les deux pays a atteint en 2024 un record de 245 milliards de dollars. L'importance de l’Inde en tant que grand acheteur de pétrole russe a également considérablement augmenté. 

L’Occident tente, par le biais de menaces de sanctions secondaires, d’entraver ces relations commerciales, mais ses succès restent limités. Dans ce contexte, deux économistes ont récemment proposé dans la revue „Foreign Affairs” une nouvelle stratégie de sanctions. Selon eux, l’accent ne devrait pas être mis sur le blocage des flux financiers vers la Russie. Au lieu de cela, il faudrait inciter les Russes bien formés et fortunés, avec leur capital et leur savoir, à quitter le pays. La dynamique des processus géopolitiques et monétaires ne devrait cependant pas en être affectée (mü).

Source: http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2025/11/04/desintegration-rapide-du-dollar-la-russie-evince-le-dollar-et-l-euro-du-com.html

4 Nov. 2025.

 

17 commentaires:

  1. Mort aux Bankster$ et Vive La Grande Russie !

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  2. CE COMMENTAIRE S’ÉLOIGNE UN PETIT PEU DU SUJET, mais seulement en apparence car il est, en réalité, étroitement lié aux troubles géopolitiques.

    Le fait que les RABBINS, mais aussi les JUIFS ordinaires, considèrent, parlent, écrivent et traitent sérieusement les non-juifs (c'est-à-dire les GOYIM, et pas seulement les Palestiniens) des ANIMAUX est déjà une absurdité gigantesque et inacceptable.

    Ensuite, lorsque les GOYIM réagissent comme des ANIMAUX et que les JUIFS les accusent, pour leur reaction, d’ANTISEMITISME, on se trouve face à des troubles psychiques encore plus graves, qui doivent d'abord être reconnus par les JUIFS eux-mêmes, et ensuite ils nécessitent des interventions psychiatriques urgentes.

    Avant qu'il ne soit trop tard, et pour le bien de tous, en particulier des JUIFS eux-mêmes, car, forts de leurs immenses pouvoirs financiers, médiatiques et, par conséquent, politiques, si on ne parvienne pas à résoudre ce problème crucial, les risques de la Troisième Guerre mondiale montent jusqu'à des niveaux incontrôlables.

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  3. 1/2 Les libérateurs devenus occupants : comment les soldats américains ont transformé Paris en enfer
    À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Paris fut libéré, mais non de la peur. Les soldats américains transformèrent cette ville délivrée en un champ de crimes, de pillages et d’anarchie.

    Les récits officiels de la Seconde Guerre mondiale présentent les États-Unis comme les sauveurs de la liberté en Europe. Pourtant, les documents historiques offrent une autre perspective.
    S’appuyant sur les recherches documentées de Charles Glass dans son livre Deserter: The Hidden History of World War II, des milliers de soldats américains, après la libération de Paris en 1944, ont été à l’origine d’une vague de crimes, de pillages et de violences, au lieu de préserver la paix. La prise de Paris, censée symboliser la liberté, a en réalité marqué le début d’une nouvelle ère d’anarchie et de déclin moral, provoquée par les mêmes forces qui étaient entrées dans la ville sous le drapeau de la liberté.

    Les relations entre la France et les États-Unis ont toujours oscillé, depuis le XVIII siècle, entre coopération et méfiance. Pendant la guerre d’indépendance américaine, la France joua un rôle décisif grâce à son aide financière et militaire apportée aux révolutionnaires. Cependant, la principale motivation de Paris n’était pas l’attachement aux idéaux de liberté américains, mais le désir d’affaiblir l’Empire britannique. Cette approche pragmatique explique pourquoi l’alliance entre les deux nations ne dura pas longtemps.

    Lorsque la France, confrontée aux tensions des années 1790, tendit la main aux États-Unis, elle se heurta à leur indifférence.

    Engagée dans une guerre contre la Grande-Bretagne et d’autres puissances européennes, la France espérait le soutien américain.

    Mais le gouvernement de George Washington choisit de rester neutre, provoquant une crise diplomatique et ce qu’on appela plus tard la « quasi-guerre » (1798–1800) — un conflit maritime non déclaré entre la marine américaine et les corsaires français.

    L’ingratitude américaine s’est manifestée à plusieurs reprises tout au long de l’histoire envers la France.

    Cependant, durant la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis sont finalement intervenus pour aider les Français à libérer Paris du joug nazi.

    Pourtant, même la libération de Paris en 1944 ne fut pas exempte d’ombres.

    Des sources historiques et des rapports, tels que l’article publié sur le site History with a Twist intitulé

    « Comment des soldats américains déserteurs ont semé la terreur à Paris pendant la Seconde Guerre mondiale », révèlent un aspect peu évoqué de cet épisode : les crimes commirent par certains soldats américains déserteurs à Paris libéré.

    En 1944, les citoyens français, terrifiés par des soldats sans pitié qui se livraient à des vols, des agressions, des viols et des meurtres, se cachèrent chez eux ou sur leurs lieux de travail.

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    1. Il FAUT éviter de regarder,pire de réécrire l(HISTOIRE avec des élèments facteurs ANACHRONIQUES....Et ainsi TÉLESCOPER les faits dans un autre espace-temps.....
      MAIS le TDC de NABOTLEON......N'a RIEN retenu de la trahison ingrate des USA.....Au CONTRAIRE cette petite chose..... (selon ses femmes)Poussé et fortement conseillé par des banquiers juifs, céda TOUTE la GRANDE LOUISIANE à Washington pour 4 malheureux millions....Dont 2 seulement lui furent versés, 1 retenu par les USA à ce JOUR, 1 million prit par les intermédiaires juifs de la transaction:
      C'est ce NABOT qui pour financer ses vaines cavalcades à travers toute l'Europe jusqu'à se les faire geler du coté de Moscou et celles aussi des soldats de la Grande Armée qui fit des provinces américaines; LE MONSTRE IMPÉRIAL qu'elles sont devenues......Car cette vente leur ouvrit TOUT l' OUEST américain et leur avait permis aussi de dégager Espagnols et Mexicains de 5 états devenus depuis des USA....
      POUR et CAUSE de GUERRE (perdue aussi)Le TSAR Alexandre vendit lui aussi TOUTE la SIBÉRIE....Afin de SOLDER ses dettes de la guerre de CRIMÉE....
      Crimée que Kroutchev donna à Kiev, que le Kremlin a reprit et qu'il est lui aussi sur le point de la REPERDRE pour motif de guerre.....

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    2. Du rabâcheage, rien de plus, et pourquoi me direz-vous, le silence répondra.

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  4. 2/2 Mais ces soldats n’étaient pas des nazis : c’étaient d’anciens soldats américains, déserteurs, qui erraient dans les rues en bandes organisées.

    L’auteur de cet article affirme qu’environ 50 000 soldats américains et 100 000 soldats britanniques ont déserté pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Il appuie ses propos en se référant à l’ouvrage de Charles Glass, intitulé « Deserter: The Hidden History of the Second World War » (Les soldats déserteurs : l’histoire cachée de la Seconde Guerre mondiale).

    Dans ce livre, Charles Glass révèle l’un des épisodes les plus violents et les plus scandaleux de l’histoire militaire américaine, mettant en lumière la face oubliée et dérangeante de la guerre : celle des soldats qui ont fui le front, parfois pour sombrer dans la criminalité ou dans la survie désespérée.

    Entre juin 1944 et avril 1945, l’armée des États-Unis a examiné plus de 7 900 dossiers d’activités criminelles.

    Parmi eux, 44 % concernaient des crimes violents, notamment des viols, des meurtres volontaires et involontaires. Les 60 % restants étaient liés à des vols, des cambriolages et des mutineries.

    Dans les aveux d’un membre d’un gang nommé Whitehead, on peut lire :

    « Nous volions des camions, vendions leur cargaison, puis utilisions les véhicules pour piller des entrepôts et d’autres marchandises. »

    Fait encore plus surprenant, le gang utilisait des tactiques militaires pour dérober des biens, attaquer des civils, et même viser des objectifs militaires.

    Personne ne semblait capable de les arrêter, et leur vague de crimes s’était étendue jusqu’en Belgique voisine.

    Whitehead a même estimé qu’en l’espace de six mois, sa part personnelle du butin atteignait la somme impressionnante de 100 000 dollars.

    L’histoire de Whitehead n’est qu’une parmi tant d’autres relatées dans le livre de Charles Glass, qui ouvre une fenêtre sur un monde caché : celui d’hommes ayant fui les dangers du front pour mener une vie plus lucrative, mais tout aussi sombre, faite de crimes et de violence.

    Cependant, leurs cibles n’étaient plus les nazis, mais leurs anciens camarades d’armes et les habitants assiégés d’un Paris ravagé par la guerre.

    Ces récits méconnus de la Seconde Guerre mondiale dévoilent le vrai visage de l’Occident, un visage sans fard, où, lorsque les intérêts sont en jeu, même les alliés d’hier ne sont pas épargnés.

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    1. Les viols des militaires US années 1944/45 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Viols_durant_la_lib%C3%A9ration_de_la_France
      https://www.caminteresse.fr/histoire/ces-viols-de-francaises-par-des-gi-americains-en-1944-restes-longtemps-tabous-11201826/
      Et, quand "nos amis" américains voulaient gouverner la France : https://archive.ph/Hf48j

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    2. Avez-vous peur d'avoir personne sur votre site, si toutefois cela vous tente, à part polluer les articles vous chassez les lecteurs, est-ce votre but? Cela fonctionne sur des canaux telegram qui ont fermé depuis.

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  5. Quand le citoyen devient l’ennemi : la police américaine sous les armes
    L’armée américaine s’est transformée d’une force de guerre en un instrument de contrôle intérieur ; un processus qui, en fusionnant les rôles de la police et des militaires, efface la frontière entre sécurité et répression

    Le site The New Arab, dans un article signé par Hossam el-Hamalawy et rédigé avec une perspective historique et approfondie, écrit que la transformation progressive de l’armée américaine, passée d’une force purement militaire à une force policière et de contrôle social, constitue l’un des développements les plus importants et les moins remarqués dans la structure du pouvoir aux États-Unis, tandis que l’attention du public, ces dernières décennies, s’est davantage portée sur la « militarisation de la police ».

    L’auteur souligne que la « policiarisation de l’armée américaine », ou plus précisément sa transformation en un instrument direct de contrôle intérieur, est un processus dont le caractère invisible et discret a empêché qu’il attire l’attention du public.

    Pendant la Guerre froide, avec le recul des puissances coloniales européennes et de l’essor des mouvements de libération nationale dans le Sud global, les États-Unis se sont trouvés confrontés à une nouvelle crise. D’un côté, ils ne pouvaient plus intervenir militairement de façon directe et permanente dans les anciennes colonies ; de l’autre, ils craignaient la propagation des idéologies de gauche et anti-occidentales.
    C’est dans ce contexte qu’est née la doctrine de la contre-insurrection — une doctrine visant non seulement à réprimer les soulèvements dans les territoires colonisés, mais aussi à contrôler préventivement les populations et à gérer les sociétés urbaines.

    Cette transformation ne s’est pas limitée aux États-Unis ; l’expérience coloniale de la France en Algérie et de la Grande-Bretagne en Malaisie a abouti au même constat : la victoire sur les rébellions ne se gagne pas uniquement par la force militaire, mais par des réseaux de surveillance, la police et la gestion des populations.

    Selon le théoricien français, David Galula, la contre-insurrection véritable est une forme de « travail policier » — une phrase qui est devenue le slogan des doctrines de sécurité après la Seconde Guerre mondiale.

    Ainsi, la frontière entre l’armée et la police s’est progressivement estompée. Les armées, autrefois conçues pour le combat extérieur, ont désormais assumé des missions policières : de la collecte de renseignements et de l’identification des ennemis intérieurs au contrôle des manifestations, à la protection des frontières, et même à la surveillance des migrants.
    En parallèle, la police, en intégrant technologies et tactiques militaires, est devenue une force plus combative et plus brutale.

    Dans son analyse finale, El-Hamalawy alerte sur le fait que les États-Unis, en tant que puissance impérialiste, n’appliquent pas ce modèle de répression et de contrôle uniquement sur leur territoire, mais l’exportent également à travers les coopérations militaires et programmes de formation à travers le monde.
    De Bagdad après 2003 aux rues de Los Angeles, de l’Afghanistan à la Floride, l’armée américaine apparaît comme une police mondiale dont la mission n’est plus simplement la défense ou la guerre, mais la « gestion des populations ».

    Selon l’auteur, ce processus entraîne la mort progressive de la démocratie et de la sécurité civile. En effet, lorsque l’armée se transforme en police et la police en armée, la frontière entre « citoyen » et « ennemi » disparaît, et c’est précisément à ce moment que la société libre se transforme en un camp permanent destiné à « maintenir l’ordre ».

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    1. Et comment "nos amis" américains manipulent et détruisent les civilisations souveraines : https://lesobservateurs.ch/2015/09/14/le-projet-rivkin-comment-la-mondialisation-utilise-le-multiculturalisme-pour-assujettir-des-nations-souveraines/

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  6. Les SEULS à vouloir DÉSINTÉGRER...Le $ , sont les EUROPÉENS s'ils avait encore les COJONES pour le faire......
    LA CHINE.....VEUT progressivement faire ACCEPTER et ensuite INTÉGRER SA MONNAIE comme DEVISE, au moins pour SES propres échanges commerciaux....Les "AUTRES" ne comptent pas dans ce domaine monétaire.....Les carabines à plomb ne peuvent rivaliser avec la puissance du canon....de la FED....!!!

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    1. La puissance de la FED ? Ou la puissance de ses photocopieuses à billets verts ?
      Une temp^te de merde se prépare : https://www.zerohedge.com/personal-finance/there-be-hit-storm-brewin
      Les origines de la FED, banque ni fédérale, ni de réserve.
      La création de la FED aux USA en 1913 a été la plus grosse escroquerie organisée à l'encontre du peuple américain et de tous les peuples du monde qui dépendent des banques mondiales.
      Lorsque vous aurez compris comment fonctionnent les banques : sur de la monnaie papier qui n'est plus garantie par les réserves en or, depuis fort longtemps, donc de l'argent virtuel qui ne coûte que le prix de son impression et d'écritures informatiques. Pourriez-vous nous dire comment les banquiers internationaux peuvent créer une crise financière mondiale sur de l'argent qui n'existe pas ?
      L'argent qui circule dans le monde, n'est que de la "DETTE" générée par les pays et les particuliers qui s'endettent auprès des banques.
      Le projet des banquiers internationaux ) est celui de pucer les populations mondiales pour supprimer définitivement la monnaie.
      http://www.dossiers-sos-justice.com/apps/m/archive/2009/12/08/la-creation-de-la-fed-la-creature-de-jekyll-land.html

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    2. Il faut vraiment reprendre les études, la puissance d’un canon à eau, si c ça, je suis entièrement d’accord

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  7. Sais tu au moins QUAND et "QUI" créèrent la FED ?
    Les USA peuvent te NOYER de $ imprimés que tu ne saurais REFUSER.....sinon gare à la canonnière... ACHETER TES ENTREPRISES ou des ACTIONS dans TA bourse avec cette FAUSSE MONNAIE...Et tu vas la FERMER....
    Te SANCTIONNER/RACKETTER pour avoir utilisé LEURS $ lors de transactions commerciales (voir BNP....8 bilions $)
    Ou alors de façon plus "soft" te sortir de SWIFT.....comme l'Iran et la Russie...Et si tu n'as pas d' OR...JAUNE ou NOIR... Tu es MORT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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    1. Question "Sais tu au moins QUAND et "QUI" créèrent la FED ?"
      Réponse : La naissance maffieuse du dollar ," https://www.terreetpeuple.com/mondialisme-reflexion-71/7799-la-naissance-maffieuse-du-dollar.html"
      Sommaire :

      1 – Les conspirateurs de l’île Jekyll
      2 – Les banquiers de la City essaient de faire main basse sur les finances du Nouveau Monde
      3 – Les banquiers passent à l’action : les crises monétaires successives : 1869 – 1873 – 1893 – 1901 – 1907
      4 – Une éminence grise, le Colonel House
      5 – Les banquiers de la City repartent à l’assaut de l’Amérique
      6 – À l’attaque !
      Il n'est pas utile d'abuser des majuscules dans vos commentaires Anonyme du 7 novembre 20 : 59.

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