samedi 25 octobre 2014

Ghannouchi financerait DAESH et l'inviterait à s'installer en Tunisie !

Le journal koweitien « Achahed » vient d’accuser le président d’Ennahdha, Rached Ghannouchi, de financer les groupes de l’Etat islamique (DAESH). Le journal souligne, sur la base de rapports de services de renseignement, que les autorités koweïtiennes ont détecté des transferts suspects du Koweït à la Tunisie, et cite les initiales R.G comme celles de la personne qui effectue les transferts de Tunisie vers l’organisation terroriste DAESH/Etat Islamique. En fait, comme le Koweït interdit à ses nationaux l'envoi d'argent vers DAESH, Ghannouchi jouerait le rôle de courroie de transmission : il reçoit l'argent, en prélève une partie comme commission, et transmet le reste vers DAESH, via la Turquie de son ami Erdogan. Jeu dangereux pour lui et pour tous les Tunisiens qui combattent avec Daesh, et qui en sont des otages de fait.
Plusieurs sources ont conclu qu’il s’agit de Rached Ghannouchi le président du parti islamiste en Tunisie, Ennahdha. Le journal indique que que plusieurs responsables de DAESH ont ordonné le transfert des activités militaires et financières de ce groupe en Tunisie après avoir choisi pour un moment la Turquie.
Le journal koweïtien affirme également que des camps d’entrainement sont installés en Tunisie en vue de former les djihadistes avant de les envoyer en Syrie et en Irak.
Le journal conclut que les autorités koweïtiennes ont intensifié les recherches afin de faire tomber ces réseaux.

 

Les médias tunisiens ont essayé – en vain – de contacter le porte parole du parti ENNAHDHA mis en cause. Il est bon de noter qu’avant de revenir en Tunisie, Ghannouchi avait séjourné près d’une semaine à Washigton.
Sur le même sujet, il s’avère que le frère de "Abou Iyadh", chef terroriste dont on n’a plus aucune nouvelle depuis des semaines, avait été appréhendé dans la banlieue de Tunis pour avoir reçu régulièrement et clandestinement de Libye des colis d’objets divers emplis …de dollars et de dinars aux fins de recrutement de futurs djihadistes.
Les élections législatives "libres", qui ont lieu en ce 26/10/2014 en Tunisie, qui serviront peut-être de test pour tout le monde musulman, se dérouleront sous très haute surveillance. Néanmoins, plusieurs cas de fraudes perpétrées par les Frères Musulmans (impressions massives de fausses cartes d'identité, manipulation des listes électorales, location de locaux contigus aux centres de vote, achat financier et "religieux" de votes, etc..) sont d'ores et déjà dénoncées, sans que "les autorités légales puissent réagir".
Cependant,  Afin de limiter le risque terroriste, toutes les frontières avec les pays voisins ont été fermées et l’armée a été appelée en renfort, surtout dans les points sensibles du pays. A ce jour le parti Nida Tounès, dirigé par Béji Caïd Essebsi (BCE) est donné en tête par les sondages.
Hannibal Genséric
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