La Tunisie, dont plus de 10.000 ressortissants [2] ont rejoint les groupes terroristes en Irak et en Syrie, est régulièrement menacée. L'attentat du Bardo, qui a fait 22 victimes innocentes, dont 20 touristes étrangers visitant la musée du Bardo, a été commandité par des islamistes tunisiens, furieux de leurs défaites électorales. D'ailleurs, Marzouki avait mis en garde les Tunisiens, en les menaçant de terrorisme s'il n'était pas élu. Ce criminel a tenu parole. Tant que les chefs du terrorisme sont libres d'agir, au vu et au su de tous, la Tunisie sera sous leur menace.
Les deux hommes étaient «des éléments suspects» faisant partie «de ce qu'on appelle les cellules dormantes, formées d'éléments présents dans les villes, connus, dont nous savons qu'ils sont takfiris, dont nous savons qu'ils peuvent mener des opérations mais il faut rassembler les indices pour pouvoir mener une arrestation», a fait valoir le responsable.
Sur le terrain, les djihadistes tunisiens ont la réputation d’être cruels et violents : c'est ce que leurs mentors islamistes leur inculquent lors de leur formation "théorique" en Tunisie dans les mosquées et les "associations" financées par le Qatar, pour les uns, et par l'Arabie pour d'autres. Ils sont particulièrement craints par les populations locales syriennes.
Les structures en forme de dôme de la ville sont devenues emblématiques après leur utilisation pour la planète de Luke Skywalker, et des fans y font souvent des pèlerinages. Mais la ville est devenue de plus en plus dangereuse, car elle est un point de passage pour les recrues de Daech et autres groupes d'assassins qui voyagent de et vers les bases d'entraînement libyennes, à une centaine de Km à l'est.
CNN rapporte que des caches d'armes importantes ont été trouvées dans la région ce mois-ci, l'une d'elles contenait 20.000 munitions et des lance-grenades.
Les auteurs de l'attentat du musée du Bardo se sont entraînés en Libye
Les deux auteurs (vidéo ici) de l'attentat du musée du Bardo à Tunis, qui a coûté la vie à 22 personnes dont 20 touristes, se sont formés au maniement des armes en Libye, a affirmé le secrétaire d'Etat tunisien chargé des affaires sécuritaires. Il s'agit de «deux éléments extrémistes salafistes takfiris. Ils ont quitté clandestinement le pays en décembre dernier pour la Libye et ont pu se former aux armes en Libye» avant de regagner la Tunisie, a déclaré Rafik Chelly jeudi soir à la chaîne privée AlHiwar Ettounsi. «Nous n'avons pas les détails mais il y a des camps d'entraînement pour les Tunisiens (en Libye) à Sabratha, à Benghazi et à Derna, donc (ils ont pu se former) dans l'un de ces camps», a-t-il ajouté. Les deux assaillants avaient été identifiés par les autorités comme Yassine Abidi et Hatem Khachnaoui.Les deux hommes étaient «des éléments suspects» faisant partie «de ce qu'on appelle les cellules dormantes, formées d'éléments présents dans les villes, connus, dont nous savons qu'ils sont takfiris, dont nous savons qu'ils peuvent mener des opérations mais il faut rassembler les indices pour pouvoir mener une arrestation», a fait valoir le responsable.
Depuis le "printemps arabe", la Tunisie est devenue un pourvoyeur de djihadistes
La Tunisie est le pays qui fournit le plus de djihadistes à l’organisation de l’Etat islamique. 3.000 ressortissants sont partis rejoindre les rangs de Daesh sur la zone irako-syrienne. Et 500 d’entre eux sont revenus. «Le retour de ces individus pose beaucoup de problèmes. C’est d’ailleurs pour cela qu’un projet de loi devait être débat à l’Assemblée nationale au même moment que l’attaque pour renforcer les capacités judiciaires».- 3.000 djihadistes tunisiens ont rejoint les rangs de Daesh.
- 500 sont revenus dans le pays.
- La Tunisie est le premier contingent de volontaires étrangers au sein de l'Organisation de l'Etat islamique.
Sur le terrain, les djihadistes tunisiens ont la réputation d’être cruels et violents : c'est ce que leurs mentors islamistes leur inculquent lors de leur formation "théorique" en Tunisie dans les mosquées et les "associations" financées par le Qatar, pour les uns, et par l'Arabie pour d'autres. Ils sont particulièrement craints par les populations locales syriennes.
La ville de Star Wars devient un point de passage pour terroristes
La ville tunisienne de Tataouine - utilisée par George Lucas dans "Star Wars Planet" est maintenant utilisée comme une base pour les terroristes islamistes transitant vers la Libye.
Les structures en forme de dôme de la ville sont devenues emblématiques après leur utilisation pour la planète de Luke Skywalker, et des fans y font souvent des pèlerinages. Mais la ville est devenue de plus en plus dangereuse, car elle est un point de passage pour les recrues de Daech et autres groupes d'assassins qui voyagent de et vers les bases d'entraînement libyennes, à une centaine de Km à l'est.
CNN rapporte que des caches d'armes importantes ont été trouvées dans la région ce mois-ci, l'une d'elles contenait 20.000 munitions et des lance-grenades.
L’un des terroristes du Bardo est un militant d’Ennahdha
Il s’appelait Saber Kachnaoui, qu’on voit sur cette photo poser à
côté d’Abdelfattah Mourou, le N°2 du parti islamiste Ennahdha, et l’actuel vice-président de l’Assemblée
nationale !
Le terroriste nahdaoui Saber Kachnaoui, avec l'islamiste "modéré"
Abdelfattah Mourou, l'actuel vice-président de l'Assemblée Nationale.
|
Saber Kachnaoui et Yassine Laabidi, les deux individus qui ont
mené l’action terroriste du Bardo et qui ont été abattu par les forces
de l’ordre, sont tous les deux originaires de Sbeïtla dans le gouvernorat
de Kasserine. Amine Slama, jeune expert en informatique spécialisé dans
le cyber-terrorisme, les piste depuis des mois, comme beaucoup d’autres
terroristes. Ils sont revenus de Libye, il y a moins de trois mois,
plus exactement le 28 décembre 2014, pour se cacher à la cité Ettahrir,
pas loin de Tunis, chez un marchand de légumes appartenant au même
groupe Okba Ibn-Nafaa, une appellation pour faire diversion, car la
cellule à laquelle il appartient, ainsi que les deux terroristes
abattus, est en réalité Ansar al-charia que dirige Seifallah Ben
Hassine, alias Abou Iyadh.
Ces deux terroristes, avec deux autres complices toujours en fuite, ont minutieusement préparé leur action. De la cité Ibn Khaldoun où réside Yassine Laabidi, ils ont pris le métro jusqu’au Bardo.
Cette action terroriste spectaculaire aurait pu être évitée si certains cadres du ministère de l’Intérieur avaient pris au sérieux le pistage et le traçage d’Amine Slama, depuis déjà deux mois.
Ce qui n’a pas été dit dans les médias c’est que Saber Kachnaoui était un militant d’Ennahdha, ce qui relativise le communiqué de Rached Ghannouchi, dans lequel il a condamné cette action terroriste « par laquelle on a voulu porter atteinte à la jeune démocratie tunisienne » !
Plus grave encore, il y a deux ans, l’islamiste « modéré » Saber Kachnaoui posait avec l’islamiste « très modéré » Abdelfattah Mourou, qui a récemment rendu une visite de courtoisie au grand Mufti de l’OTAN et imam suprême du djihadisme transnational, Youssef Qaradaoui, également père spirituel de l’ancien et de l’actuel émir du Qatar.
Comme par hasard, la page facebook de Saber Kachnaoui a disparu quelques heures après cet attentat. Il ne pouvait pas la désactiver lui-même puisqu'il était déjà mort et identifié par la police. Il est donc clair que se sont des activistes d'Ennahdha qui ont fait disparaître cette page facebook bien compromettante. Manque de chance pour eux, les informaticiens de Tunisie-Secret ont eu le temps d'enregistrer le maximum d'informations et de photos qui figuraient sur cette page facebook, notamment celle de Saber Kachnaoui déjeunant avec Abdelfattah Mourou, que nous publions ici à la une.
Ces deux terroristes, avec deux autres complices toujours en fuite, ont minutieusement préparé leur action. De la cité Ibn Khaldoun où réside Yassine Laabidi, ils ont pris le métro jusqu’au Bardo.
Cette action terroriste spectaculaire aurait pu être évitée si certains cadres du ministère de l’Intérieur avaient pris au sérieux le pistage et le traçage d’Amine Slama, depuis déjà deux mois.
Ce qui n’a pas été dit dans les médias c’est que Saber Kachnaoui était un militant d’Ennahdha, ce qui relativise le communiqué de Rached Ghannouchi, dans lequel il a condamné cette action terroriste « par laquelle on a voulu porter atteinte à la jeune démocratie tunisienne » !
Ghannouchi décorant le chef terroriste "Lokmane abou Sakhr" recherché par toutes les polices et qui a été liquidé le 29/03/2015 |
Plus grave encore, il y a deux ans, l’islamiste « modéré » Saber Kachnaoui posait avec l’islamiste « très modéré » Abdelfattah Mourou, qui a récemment rendu une visite de courtoisie au grand Mufti de l’OTAN et imam suprême du djihadisme transnational, Youssef Qaradaoui, également père spirituel de l’ancien et de l’actuel émir du Qatar.
Comme par hasard, la page facebook de Saber Kachnaoui a disparu quelques heures après cet attentat. Il ne pouvait pas la désactiver lui-même puisqu'il était déjà mort et identifié par la police. Il est donc clair que se sont des activistes d'Ennahdha qui ont fait disparaître cette page facebook bien compromettante. Manque de chance pour eux, les informaticiens de Tunisie-Secret ont eu le temps d'enregistrer le maximum d'informations et de photos qui figuraient sur cette page facebook, notamment celle de Saber Kachnaoui déjeunant avec Abdelfattah Mourou, que nous publions ici à la une.
Source : Tunisie Secret Karim Zmerli
En haut à gauche, Saber Kachnaoui abattu par les forces de
l'ordre. En haut à droite, Yassine Laabidi. En bas, à gauche, Saber Kachnaoui et Abdelfattah Mourou. A droite, Saber Kachnaoui. |
Les chefs politiques du terrorisme en Tunisie sont connus
"Outre des terroristes qui constituent le dernier maillon de la chaîne
de l’horreur, les martyrs de notre Nation sont les victimes* de
l’ex-Troïka au pouvoir, avec à sa tête ses Présidents, Présidents
d’honneur et Secrétaires généraux des partis qui la constituaient ( en
particulier, par ordre alphabétique : Mohamed ABBOU, Abderraouf AYADI, Imed DAÏMI, Rached GHANNOUCHI, Hamadi
JEBALI, Ali LARAYEDH, Moncef MARZOUKI [1]) qui ont encouragé et/ou soutenu
et/ou honoré les extrémistes religieux, qu’ils soient Frères musulmans
(i.e. membres du parti islamiste tunisien Ennahdha dominant ladite
Troïka) ou Salafistes (Djihadistes ou non), et/ou leurs alliés et ont
affaibli nos Forces de sécurité en les amputant de leurs meilleures
compétences, en permettant aux complices des Djihadistes de les
infiltrer et en ne les dotant pas d’effectifs et d’équipements
nécessaires à leur propre sécurité et à l’accomplissement de leur noble
mission dans les meilleurs conditions." Salah Horchani
Les islamistes "allument des incendies et font semblant de se demander : mais d'où sort cette fumée " (proverbe tunisien)
Béji Caïd Essebsi confirme la responsabilité des islamistes
Le chef de l’État, Béji Caïd Essebsi a évoqué au cours
d'interviews à la presse française la responsabilité du parti islamiste
Ennahda dans la montée du jihadisme dans le pays. Des accusations qui
ont également été formulées ces derniers jours dans les rues de Tunis
par des citoyens venus manifester contre le terrorisme et rendre hommage
aux victimes du Bardo.
« Le terrorisme n'a pas de tradition en Tunisie », déclarait dimanche sur l'antenne d'Europe 1, Beji Caïd Essebsi assurant que la montée du jihadisme dans le pays « remonte aux trois dernières années ». Un peu plus tôt, le président tunisien dénonçait dans une interview à Paris Match « un vrai laxisme des autorités ces dernières années, notamment sous le gouvernement des islamistes ». Un gouvernement qui a été au pouvoir entre octobre 2011 et janvier 2014.L’institution sécuritaire infiltrée, preuves à l’appui !
Issam Dardouri, président de l’Organisation Tunisienne des Forces de Sécurité et du Citoyen, avait annoncé mercredi 25 juin 2014 que l’association qu’il préside allait intenter une action en justice contre des personnalités politiques pour infiltration de l’institution sécuritaire et complot contre la sûreté de l’État.
Issam
Dardouri a souligné que cette plainte serait accompagnée de preuves à
l’appui, dont des documents et des photos de dirigeants et
d’activistes politiques proches de la mouvance extrémiste et
d’organisations terroristes d'Ennadha qui se rendaient régulièrement au Ministère
de l’Intérieur durant la précédente période (durant l’État Islamiste).
Naturellement, cette affaire a été prestement étouffée : le Ministère de "la Justice" est encore plus infiltré par les islamistes que les autres ministères. La preuve ? Dès qu'un délinquant islamiste est arrêté par la police officielle, il est libéré par la "Justice islamiste". D'ailleurs, l'expression "justice islamiste" est un oxymore, du même genre qu'un "fou normal" ou qu'un "gentil nazi".
Exemple à suivre : en Égypte, 41 juges mis d’office à la retraite pour soutien aux Frères musulmans
Un tribunal
disciplinaire égyptien a ordonné la mise à la retraite obligatoire de 41
juges samedi. Leur faute: soutien actif aux Frères musulmans, pourtant
désormais interdits.
Conclusion
- Qui a informé les deux terroristes de l'arrivée des touristes de la croisière ?
- Les revendications "bidon" d'Al-Qaïda ou de Daesh ont pour but de cacher les vrais responsables : ils sont au parlement et dans l'administration, qui ont été noyautés à mort par les terroristes islamistes.
- Pourquoi les autorités actuelles ne demandent pas à Mourou (photo ci-dessus), vice président de l'Assemblée Nationale !!, d'expliquer ses relations avec l'un des tueurs ?
- Qui a déclaré que les terroristes du Chaâmbi étaient de simples sportifs ? Ali Laârayedh (alors premier sinistre !)
- Qui a déclaré que les salafistes sont "ses fils" ? Ghannouchi, mamamouchi d'Ennahdha.
- A qui profite ce crime ? à Ennahdah, grande perdante des dernières élections législatives et présidentielles de 2014, et qui n'a de cesse de précipiter le pays dans la misère et l'anarchie, afin de préparer le sixième califat et l’État islamique annoncés par Ghannouchi et ses comparses.
- Pourquoi ne pas rappeler les cadres compétents de la police et de l'armée, démis de leur fonction par les gouvernements islamo-terroristes ? Pourquoi ne pas prendre exemple sur l’Égypte et la Libye, qui, en ré-intégrant les cadres sécuritaires (des époques Moubarak et Kadhafi, respectivement) sont en train de battre efficacement les assassins islamistes ?
Les Tunisiens sont prévenus : leur aveuglement les conduirait en enfer : à une démocratie à la sauce israélo-américano-qatari (comme en Syrie, en Irak, en Libye), à moins qu'ils n'épurent la Police et l'Armée des taupes islamistes.
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- Qui a déclaré que les terroristes du Chaâmbi étaient de simples sportifs ? Ali Laârayedh (alors premier sinistre !)
- Qui a déclaré que les salafistes sont "ses fils" ? Ghannouchi, mamamouchi d'Ennahdha.
- A qui profite ce crime ? à Ennahdah, grande perdante des dernières élections législatives et présidentielles de 2014, et qui n'a de cesse de précipiter le pays dans la misère et l'anarchie, afin de préparer le sixième califat et l’État islamique annoncés par Ghannouchi et ses comparses.
- Pourquoi ne pas rappeler les cadres compétents de la police et de l'armée, démis de leur fonction par les gouvernements islamo-terroristes ? Pourquoi ne pas prendre exemple sur l’Égypte et la Libye, qui, en ré-intégrant les cadres sécuritaires (des époques Moubarak et Kadhafi, respectivement) sont en train de battre efficacement les assassins islamistes ?
Les Tunisiens sont prévenus : leur aveuglement les conduirait en enfer : à une démocratie à la sauce israélo-américano-qatari (comme en Syrie, en Irak, en Libye), à moins qu'ils n'épurent la Police et l'Armée des taupes islamistes.
Hannibal GENSERIC