Des sources militaires à Moscou ont raconté l’histoire de la décision du président Vladimir Poutine de ne pas défendre l’armée arabe syrienne et le gouvernement de Bachar al-Assad à Damas. Cette décision, affirment les sources, a été prise au moins deux semaines avant le début de l’invasion turque à partir d’Idlib le 27 novembre, et a été transmise à Assad personnellement le 6 décembre.
Les "alliés" de la Russie (Iran, Chine) et ses "protégés" (surtout africains) commencent à douter de sa fiabilité.
Dans le communiqué chinois
à propos
de la rencontre entre Xi et Medvedev, la ligne de Xi a été rapportée comme
étant « la nécessité de respecter les trois principes de non-expansion du champ
de bataille, de non-escalade des combats et de non-provocation de la part
d'aucune partie, afin de favoriser l'apaisement de la situation dès que
possible ». Le communiqué rapporte également que les Chinois acceptent l'assurance
de Medvedev
qu'il n'y aura pas de nouvelles surprises venant saper
les promesses de la Russie d'alliance stratégique avec la Chine. « La partie russe mettra en œuvre sans faille le
consensus atteint par les deux chefs d'État et favorisera la coordination
stratégique ».
Un indice fait surface dans les blogs militaires russes - approuvé par le journaliste lié au
GRU Yevgeny Krutikov - selon lequel si et quand la base navale de Tartous est
évacuée par les Russes, un arrangement alternatif de base navale pourrait être
trouvé à Tobrouk en Libye.
Source: https://t.me/corpsafrica/579
La BBC, organe de propagande de l’état
britannique, a également rapporté la
possibilité d'un redéploiement de la flotte russe à Tobrouk. Il est peu
probable qu’Erdogan, Netanyahu ou la nouvelle administration Trump acceptent le
renforcement de la position militaire russe en Libye.
Selon
une source moscovite bien informée, la décision
de Poutine de favoriser Israël et la Turquie au détriment des Arabes et de
l’Iran ne surprend pas. La source prévient également que la surprise
exprimée par les podcasteurs anglo-américains qui soutiennent Poutine dans la
guerre en Ukraine « reflète leur volonté de dire ce qu’ils pensent que le
Kremlin veut entendre – avec ou sans récompense ».
Selon la source, un universitaire américain basé à Moscou, Andrew Korybko, est
un guide précis de la ligne de propagande du Kremlin à l’heure actuelle. Il a
inversé l’avertissement de l’état-major général, en défendant la décision de
Poutine de s’accommoder d’Israël et de la Turquie en Syrie comme reflétant
l’équilibre militaire réaliste au Moyen-Orient à l’heure actuelle.
« Poutine est un fier philosémite de
longue date », déclare
Korybko , « qui n’a jamais partagé l’idéologie antisioniste unificatrice de la
Résistance, mais qui a toujours exprimé un profond respect pour les Juifs et
l’État d’Israël… La Russie a évité une déconvenue en choisissant judicieusement de
ne pas s’allier à l’Axe de résistance [arabo-iranien], aujourd’hui vaincu, car
cela aurait inutilement ruiné ses relations avec Israël, le vainqueur
incontesté des guerres d’Asie occidentale. Poutine a fait le bon choix, qui a
toujours été guidé par son calcul rationnel de ce qui était dans l’intérêt
objectif de la Russie en tant qu’État, et non par « l’influence sioniste ».
»
« C’est de la flagornerie », commente la source moscovite, mais c’est
révélateur. « Le crapaud donne la parole à ceux qui pensent, planifient, décident.
Il donne la ligne officielle la plus claire sur tout cela. »
Une source militaire de Moscou soupçonne Poutine d’avoir « marchandé » avec
l’état-major, en échangeant l’évacuation des bases russes en Syrie contre
l’autorisation d’accélérer les opérations de missiles contre le régime de Kiev,
contre les unités de planification et d’opérations américaines et de l’OTAN en
Ukraine, et l’intensification de la guerre électrique à Kiev, Lvov et dans
l’ouest de l’Ukraine. La source ajoute
que le test de ce « marchandage » sera de savoir si l’état-major lancera des
frappes vendredi et samedi en représailles à la reprise des tirs
américano-ukrainiens ATACMS mercredi soir contre Taganrog.
Un élément du missile ATACMS photographié à Taganrog mercredi soir 11 décembre . Le ministère russe de la Défense a annoncé que six missiles ATACMS de fabrication américaine ont été utilisés dans la frappe. « Cette attaque par des armes occidentales à longue portée ne restera pas sans réponse, des mesures appropriées seront prises », a déclaré le ministère .
par John Helmer, Moscou @ bears_with
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Le nouveau temps des troubles,
partie III –
Ne vous inquiétez pas, soyez heureux
Le président Vladimir Poutine a prononcé un discours lors d'un rassemblement politique à Moscou samedi, au cours duquel il a omis de mentionner sept des huit problèmes intérieurs qui préoccupent le plus les électeurs russes : l'inflation, les taux d'intérêt élevés qui ont entraîné une stagnation de l'économie, la corruption, la mauvaise qualité de l'éducation, les soins de santé publique médiocres, le terrorisme et les immigrants illégaux.
Il a fait une exception pour l’Opération militaire spéciale et « le front de combat pour la patrie ».
Aux Russes qui disent aux sondeurs que la guerre qui dure et le nombre de victimes sont leurs plus grandes préoccupations, Poutine a répondu qu’il ne fallait pas s’inquiéter – lui et son parti s’occupent des deux : « Le parti Russie unie soutient nos troupes littéralement depuis le premier jour de l’opération militaire spéciale : il soumet d’importants projets de loi pour créer des garanties juridiques et sociales pour nos héros et leurs familles ; il aide à la reconstruction des régions libérées ; il collecte et livre tout ce dont les civils ont besoin. Le parti fait aussi beaucoup pour les vétérans qui sont revenus des zones de combat, les aide à s’épanouir dans les professions civiles, dans la vie publique et politique. »
En lisant méthodiquement sans s'écarter de son texte, Poutine a déclaré aux délégués du 22e Congrès de Russie unie que le parti défendait « l'unité du peuple, la foi dans le pays et dans notre victoire… le désir d'assurer la sécurité de la mère patrie, de protéger notre mémoire historique sacrée, notre spiritualité, nos traditions. » C'est un discours politique standard, et il est à toute épreuve. Les sondages renforcent le message de Poutine en assurant que les électeurs russes ne voient et n'aiment aucune alternative.
À la Douma d'État actuelle, élue en septembre 2021 pour un mandat de cinq ans, Russie unie détient 324 des 450 sièges. L'opposition est menée par le Parti communautaire avec 57 sièges, la Russie Juste avec 28 et Nouveau Peuple avec 16. Dans le sondage Levada , le soutien à Russie unie est stable à 42 % ; les autres partis politiques se situent entre 4 % et 10 %.
Représentation
des partis à la Douma actuelle ; À droite : Premier ministre Mikhaïl Michoustine. |
Pour un aperçu et une analyse des performances de Michoustine depuis qu'il a remplacé Dmitri Medvedev en janvier 2020, lisez ceci .
Aucun autre homme politique russe ne représente un défi pour le président, qui ne sera pas confronté à de nouvelles élections avant 2030. L'approbation du public pour Poutine reste stable , à 87 % selon le Centre Levada, à 79 % selon le Centre panrusse d'étude de l'opinion publique ( VTsIOM ) . Aucun membre du gouvernement ou d'un parti ne bénéficie actuellement du soutien des électeurs de l'opposition, et aucune campagne publique n'est en cours pour sa succession.
Le Premier ministre Mikhaïl Michoustine et le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov sont à la traîne derrière Poutine dans les sondages, mais loin derrière. Leur profil politique et leur cote de popularité sont basés sur la fréquence de leurs apparitions dans les médias. Mais la confiance du public à leur égard ne représente qu'une fraction de la cote de Poutine, et ils ne sont pas candidats à sa succession. La confiance accordée à l'ancien président Dmitri Medvedev ne représente qu'une fraction de celle accordée à Michoustine et Lavrov, car Medvedev, bien que chef du parti Russie Unie et vice-président du Conseil de sécurité, est presque invisible dans les médias grand public .
Source: https://www.levada.ru/
L'humeur générale du public, mesurée par Levada entre le 2 et le 27 novembre, est extrêmement positive et confiante : 72 % des Russes pensent que le pays va dans la bonne direction ; seuls 18 % pensent qu'il va dans la mauvaise direction.
Dans ce climat intérieur, Poutine calcule qu'il n'y a aucune bonne raison pour qu'il évoque le retrait militaire russe de Syrie, ou pour qu'il réponde aux questions de la presse sur les raisons pour lesquelles il a décidé d'évacuer les bases russes du pays, de permettre à Israël de détruire l'infrastructure militaire et industrielle de la Syrie, et d'accepter la prise de contrôle israélienne, turque et américaine de la souveraineté, du territoire et des richesses naturelles de la Syrie, en particulier l'eau et le pétrole.
Une source moscovite a déclaré : « Je pense que l’opinion publique russe ne sera pas convaincue de prendre le risque d’une présence sur place, surtout quand la propagande a changé de ton et affirme désormais qu’il est impossible d’aider ceux qui ne peuvent pas s’aider eux-mêmes. L’État syrien ayant disparu, cette bataille est perdue. »
C'est pour cette raison, selon plusieurs sources à Moscou, que Poutine a décidé de limiter ses pertes et de quitter la Syrie sans risquer de donner l'impression aux électeurs russes qu'il a fait l'un ou l'autre. Les implications militaires et stratégiques de la décision de Poutine sur la Syrie, débattues à huis clos avec l' état-major , ne sont pas évoquées à la Douma ni dans les médias.
La source moscovite ajoute : « Les principales questions sont désormais de savoir ce qui va se passer en Ukraine et quand. Les Etats-Unis pourraient nous réserver d’autres surprises. Il pourrait y avoir une nouvelle attaque terrestre sur le territoire russe et des attaques de missiles en profondeur. Jusqu’à présent, ces événements ne perturbent pas le climat national de confiance et d’optimisme. Pour l’instant, les Russes ne s’attendent donc pas à une escalade sur quelque front que ce soit, du moins pas sur le terrain. Si Poutine peut négocier avec Trump pour conserver les quatre régions [du Donbass] et un accord de démilitarisation, il y aura ce que le ministère de la Défense appelle des représailles, mais pas d’escalade. Du moins pas pour l’instant, pas dans les six mois qui suivront l’arrivée de Trump au pouvoir si les négociations n’aboutissent à rien. »
« Ce dont la Russie a besoin maintenant, c’est de construire l’armée et l’économie pour une guerre plus importante. Selon tous ceux avec qui j’ai discuté, il s’agira d’une guerre contre la Turquie, dont les enjeux seront bien plus élevés qu’avec l’Ukraine. Poutine adopte une attitude attentiste. » Des sources militaires russes pensent que Poutine et l’état-major général ont convenu de limiter leurs opérations à des tirs de guerre électrique, d’éviter des frappes de décapitation contre les dirigeants ukrainiens ou les forces américaines, françaises et britanniques utilisant des unités de missiles ukrainiens à longue portée, et de caractériser les opérations aériennes actuelles comme des « représailles » et non comme une « escalade ».
Carte des frappes de missiles et de drones russes contre des cibles du réseau électrique, principalement dans l'ouest de l'Ukraine, le 13 décembre . |
La semaine dernière, à Pékin, le président chinois Xi Jinping a dit à Dmitri Medvedev que son conseil à Poutine était de « ne pas étendre le champ de bataille, de ne pas intensifier les combats et de ne pas se livrer à des provocations de la part d'aucune partie ». Medvedev a acquiescé .
Un vétéran occidental des opérations de guerre électrique commente les dernières frappes russes du 13 décembre : « Chaque fois, les conséquences sont pires. Plus de pannes, plus de durée, plus de misère pour les Ukrainiens. La capacité ferroviaire et le stockage de carburant se dégradent également. Il y a une cohérence dans la pensée opérationnelle de l'état-major qui a été maintenue depuis le début de la guerre électrique. Attirer l'ennemi de l'extérieur de l'Ukraine, détruire son équipement, tuer ses volontaires, appauvrir et briser les Ukrainiens. C'est lent, mais ça marche. »
« Le paradoxe de ce succès russe, c’est que plus l’état-major bat l’OTAN et les Ukrainiens, plus ces derniers s’engagent dans la guerre. Plus Poutine freine, plus ils sont encouragés. »
John Helmer • 14 décembre 2024
Né et élevé en Australie, Helmer est diplômé en sciences politiques de l'Université Harvard aux États-Unis. Il a publié plusieurs ouvrages sur des sujets militaires et politiques, notamment des essais sur la présidence américaine et sur la politique urbaine aux États-Unis, ainsi que des essais sur la politique grecque, méditerranéenne et moyen-orientale et sur la politique étrangère. Depuis 1989, il publie presque exclusivement sur des sujets russes.
Helmer est basé à Moscou depuis 1989 et, depuis là, a travaillé pour Australian Financial Review , The Australian et d'autres journaux.
Dans le New Jersey Star Ledger , le décrit comme « un type fascinant et talentueux, même s'il n'est pas un peu excessif dans sa quête de vérité ».
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Poutine le grand traître
Hé, crétin Russe, tout le monde sait que Poutine protège
Israël, qu’il est né d’une mère juive, qu’il a appris l’hébreu dans sa jeunesse
et qu’il entretient des relations très étroites avec les rabbins russes.
Ce n’est plus un secret. Les Iraniens l’ont compris au cours des 14 derniers mois et l’accord conclu entre Poutine et Erdogan pour poignarder Assad dans le dos signifie qu’il poignardera aussi les mollahs dans le dos chaque fois que cela lui sera utile.
Il n’y aura pas de pacte militaire entre l’Iran et la Russie et toutes les armes russes fournies à l’Iran auront des portes dérobées qu’Israël pourra utiliser et que la Russie pourra désactiver en cas de conflit (il en fut ainsi avec les exocets français vendus à l’Irak, et qui ont été désactivés par la France lorsque l’Irak a voulu les utiliser contre la flotte américaine).
L'Iran ne semble pas vouloir mordre à l'hameçon, ou s'il le fait, Poutine les poignardera dans le dos bien plus tôt que vous ne pourriez le penser.
La Russie est une puissance de second ordre qui ne mord jamais et qui aboie toujours, tout comme les Arabes. C'est parce que nous avons des Juifs aux commandes en Russie, en Égypte (Sissi est juif) , en Arabie saoudite (les Saou sont juifs), aux États-Unis. Tout le monde est avec nous ou a peur de nous et l'Iran va bientôt nous rejoindre et les mollahs vont plier ou être renversés et Poutine le sait. Il va essayer de traire l'Iran jusqu'au bout avant que les mollahs ne partent.
Poutine a été un allié et un ami fidèle de l'État génocidaire. J'espère que le peuple russe se réveillera avant qu'il ne soit trop tard.
Les Iraniens n'ont aucun soutien dans la guerre à venir. Les Russes ne sont pas dignes de confiance, et les Chinois non plus.
La Russie ne se rangera pas du côté de l’Iran. Poutine y veillera. Poutine est le cancer intérieur qui va entraîner la chute de la Russie.
Poutine poignardera aussi la Russie dans le dos quand cela l'arrangera. Il lui dira des vérités que les gens ne veulent pas entendre. Les Iraniens feraient mieux d'avoir de bonnes idées maison et d'être prêts pour l'apocalypse, car la cavalerie russe n'arrivera jamais au secours. Poutine est tout à fait favorable au projet du Grand Israël et, si celui-ci échoue de manière inattendue, il n'aura aucun problème avec une Grande Khazarie aux frontières de la Russie.
Poutine est l’imposteur ultime.
Par Yababa
-----------------------------------------------------VOIR AUSSI :
- Dostoïevski
et la "question juive"; Le Journal d'un écrivain, mars 1877
- Juifs
khazars (Ukraine) Vs Russie - Une vieille et tenace rancœur.
- L’heureuse
secte juive qui contrôle Trump et Poutine
- Le
rôle juif dans la révolution bolchevique
- Les
juifs bolcheviques coupables du génocide occulté de vingt millions de Russes.
- Les
juifs russes considèrent les goyim comme leur propriété
- Pourquoi
Poutine refuse-t-il de fournir à la Syrie les S-300 qui protègeraient le ciel
syrien des attaques aériennes israéliennes
- Poutine
et ses juifs (partie 1)
- Poutine
et ses juifs (partie 2)
- Poutine
et ses juifs (partie 3 et fin)
- Russie.
Le "meurtre rituel juif" de la famille impériale russe
- Russie.
Le KGB juif
- Russie. Les atrocités inimaginables commises par les
Juifs bolcheviques contre les Gentils : des preuves irréfutables.
- Soljenitsyne
: Les Protocoles de Sion se réalisent sous nos yeux
- Soljenitsyne
condamne l'influence juive sur le peuple russe
- Trump,
Poutine et la mafia judéo-russe
- Une
Russie brutalisée par le sionisme.
- Vladimir Poutine : « 80 à 85% des bolcheviques au
pouvoir en URSS étaient juifs. »
Hannibal Genséric
Effectivement, la Russie ne peut pas soutenir une guerre importante sur deux fronts. Elle est déjà à 9% du PIB dans la guerre, et des dizaines de milliers de morts au front.
RépondreSupprimerC'est horrible car le génocide de Gaza continue, Israël et la Turquie triomphent ; mais la justice éternelle de Dieu prévaut pour chaque être humain.
Poutine est dans l’escarcelle J*ive. J’irais même au-delà, c’est connu qu’il a lui même des origines très intéressante.
RépondreSupprimerEn comparant les images je me suis toujours demandé si c'était le vrai Poutine, celui-ci n'a aucune expression de visage.
SupprimerLa Russie n'arrivera à rien, ça fait plus de deux ans qu'elle farfouille en Ukraine pour pratiquement pas grand chose. C'est un jeu de dupes.Poutine ne sert à rien, il fait plutôt le jeu du camp d'en face....
RépondreSupprimerL’article de John Helmer est à rejeter complètement car il reflète comme d’habitude et inévitablement le complexe de supériorité des Anglophones par le quel les Américains, les Anglais, les Australiens et j’en passe (y compris tous ceux qui leur donnent un minimum de crédibilité) n’arriveront jamais à comprendre Vladimir Putin, sinon quand il sera trop tard.
RépondreSupprimerSHOCK ENORME POUR L’OCCIDENT: LA RUSSIE REFUSE DE QUITTER LA SYRIE ET SES BASES MILITAIRES de Khmeimim et Tartous
https://www.youtube.com/watch?v=L6XMqzD5ziE
Anonyme15 décembre 2024 à 12:46 vous avez raison !
SupprimerEncore un article à la sauce anglo-sioniste !
A analyser chaque paragraphe, il oublie tellement l'arrogance ce qui fait que cet article transpire aussi l'arrogance US ...
Que des certitudes mais surtout a analyser de plus près, ressemble a des ragots journalistiques ...
Pire, aucune cohérence de fond que du superficiel !
Un oubli monumental étant que tout est fait pour que Poutine perde ses nerfs ...
L'auteur de cet article oublie cette grande importance ce qui decribilise cet article ...
C'est vrai que nous voyons que des va-t'en guerre surtout assis sur une chaise face à un écran ...
Des yaka faut con !
La guerre n'est pas un jeu vidéo ... Beaucoup l'oubli !!!
John Helmer vit à Moscou et ses amis sont russes. Il sait mieux que vous ce qui se passe, et les Russes préfèrent lui confier à lui le dessous des cartes, qu'à un journaliste russe, qui risque de le dénoncer aux flics...
SupprimerTout ce qu'il dit est dans cet article est plein de bon sens et est prouvé par la réalité.
moi aussi, j'ai toujours admiré Poutine. Mais en Syrie, il a fait une ENORME ERREUR en préférant l'Axe Washington / Tel-Aviv à l'axe de la résistance.
C'est triste, pour les BRICS qui lui faisaient confiance.
C'est possible. Quand on dispose de tout la chaîne technologique nucléaire, il est possible de planquer des bombes aux 4 coins de la Terre.
SupprimerIl faut savoir que la France a développé l'arme nucléaire pour et avec le concours d'Israël.
RépondreSupprimerThe US government was made aware that Israel, France delivered from Niger enough stolen uranium to nuke all Western Russia or Western Europe, Eastern US Coast.
Macron political turmoil in july to push far right in France to power was created as cover up for the attacks but it failed. Netanyahu's is hiding behind chabadnik Zelensky and is using him to blackmail Europe, Washington, Russia. US intelligence was made aware that Israel through France, the UK delivered several SADM to nuke the US, as blackmail to support military Ukraine, but in fact Israel wars. This is now confirmed. Check out every single Space X launch which could trigger EMP attacks.
Starlink is Linked to skynet and swarm drone possible attacks.
Israel wants the USA to attack Iran, then Russia, China. Israel operates through the FBI, CIA neocons, DHS mistaravims chabadniks Trump, Elon Musk, Sullivan, Kurilla.
There are several stolen hidden nukes weapon on their way to the United States from Europe. As explained, Vincent Bolloré-Goldschmidt was linked to the nuclear attacks in Europe. He sold his African logistical company to the Saade Lebanese family company CGM-CMA. Israel ran test container ship nuclear attacks since 2011 in Barcelona, Marseille, Rome, Athens. Dirty car bomb attacks were tested in the Neguev since 2010. Israel is using fifth columns in Germany, France, the UK, Netherlands to attack.
According to the CEO of Saxon Aerospace, John Ferguson the US government is after at least one warhead sent from Europe.
C'est possible. Quand on dispose de tout la chaîne technologique nucléaire, il est possible de planquer des bombes aux 4 coins de la Terre.
SupprimerIl faut savoir que la France a développé l'arme nucléaire pour et avec le concours d'Israël.
Poutine le jouet des juifs loubavitch....
RépondreSupprimer"Poutine est un fier philosémite",
RépondreSupprimerCorrectif : Poutine est un fiefé ashkénazophile !
Pour ceux qui ne veulent pas l'entendre, les ashkénazes juifs travaillent pour la venue de leur Dajjal !
RépondreSupprimerLa dissidence s'est fourvoyée en se focalisant principalement sur l'Ukraine alors que les vagues de licenciement sévissent en Europe.
L'appauvrissement, par le vol et la spoliation, programmé des populations mondiales, est la méthode choisie par ces salopards, pour imposer leur dajjal.
Quand le nombre d'actifs, garantissant le filet social, sera détruit, ce sera l'effondrement instantané de l'Europe et ce que certains voient au Moyen-Orient comme lointain sera le quotidien en Europe.
C'était un communiqué de sionarland.
RépondreSupprimerDe la mairde en barre, direction poubelle !
Une prochaine guerre contre la Turquie menée par Israël-Russie-Occident ? Pourquoi pas ?
RépondreSupprimerErdogan n'est q'une petite pute. Aucune humanité comme Nethayaou.
RépondreSupprimerLa Russie si brave quelle soit ne peux pas être sur tous les front.
Il faut que les chinois entre dans la danse.
Et là ça vas bouger sérieusement.
Les Chinois entrent dans la danse? Tu délires, la Chine veut faire toujours du business avec les Occidentaux, pas la guerre! L'armée chinoise n'a jamais affronté de véritables adversaires à sa taille y compris l'armée indienne qui n'a jamais été une foudre de guerre dans la longue confrontation sino-indienne! Les guerres que la Chine a eues en Corée ou avec le Vietnam datent de plus de quarante ans maintenant! Meme avec le Vietnam en 1979, l'armée de la Chine Populaire a pris une raclée face à la petite armée du Vietnam!
SupprimerCela fait partie de la stratégie diabolique d'un peuple du Nord : produire une opposition factice qui dévoile son sombre visage au dernier moment, sidérant les alliés qui avaient mis leur confiance dans ce miroir aux alouettes.
RépondreSupprimerLes musulmans sincères ne doivent plus mettre leur confiance dans les faux amis et les sectes qu'ils ont produit pour les diviser.
Le Mahdi s. abolira toutes les sectes et les écoles juridiques, il y aura une seule école comme au temps du prophète s. et Jésus s. en sera le vivificateur .
Normalement, vu la situation mondiale, tous les gouvernants musulmans et leurs armées devraient être sur le pied de guerre, sans crainte la mort, comme l'était par exemple l'émir Abd al Qadir. L'ennemi est venu semer la discorde et les divergences entre les musulmans pour les paralyser.
Dieu assiste ceux qui combattent et défendent leur foi, pas ceux qui se vautrent dans des palais. Cela est valable à titre personnel et collectif.
https://m.youtube.com/watch?v=S0kNRkMhYqs
SupprimerPoutine, le jouet des juifs Loubavitch.
RépondreSupprimerLa Russie était-elle une terre d'Islam ?
Une grande majorité des peuples du monde véritablement islamique savent avec preuves à l'appui basées sur des sources historiques durant le règne du califat islamique ou même de la maison de l'islam que l'espace vital de la Russie actuelle avant les événements des révolutions khazares bolcheviques russes post-communistes étaient toutes des terres du vaste espace vital de l'islam qui s'étendent sur une superficie de 13 millions 664 km2 alors qu'à l'origine le nom Rusʹ, ou Terre de Rusʹ, désignait la région des Polianas vivant en Ukraine centrale, dont le centre était Kiev La petite Russie n'occupe qu'un espace vital de 664 mille km2 c'est le révisionnisme marxiste du royaume khazar qui a falsifié les origines de l'histoire de ce vaste continent islamique avant qu'il ne devienne la Russie actuelle en rendant cette histoire inaccessible sur tous les plans philosophique, historiographique et confessionnel de ce qu'ils ont fait comme massacre et destruction de 6 dynasties islamiques parmi les plus éloquentes en influence économique, politique, scientifique d'un savoir inégalé au monde qui règne dans ce partie du monde qui a donné naissance au digne fils Selahedînê Eyûbî né à Tikrit en 1138 et décédé à Damas le 4 mars 11931, premier chef de la dynastie des Ayyubides, dynastie kurde qui tire son nom de son père Najm al-Dīn Ayyūb et qui régna sur l'Égypte de 1169 à 1250 et sur la Syrie de 1174 à 1260. Selahedînê Eyûbî régna sur l'Égypte de 1169 à 1193, Damas de 1174 à 1193 et Alep de 1183 à 1193.
Ce qui explique le rôle de la Russie dans la grande Syrie d'aujourd'hui
c'est ce qu'ils ont pratiquent depuis plusieurs siècles ces premiers Khazars de Russie, qu'ils continuent de réaliser dans leur Moyen-Orient actuel, leur but est de dominer le monde entier, particulièrement le Moyen-Orient. L'Euphrate est un fleuve d'Asie de 2 780 km de long. Avec le Tigre avant d'aller au Nil ou au Bassin du Nil d'Afrique (Prononcer [nil]) est un fleuve d'Afrique avec un cours de plus de 6 700 km, il est avec le fleuve Amazone, le plus long fleuve du monde.
Il n'y a rien de nouveau dans le ciel depuis longtemps, que le vrai monde islamique sait que la Russie c'est Gog et Magog
tel que la définissent l'islamologie islamique sauf ce qu'ils ne veulent pas voir !
C'est la Prusse de KeV qui est devenue la Grande Russie suite aux exterminations des peuples de l'Islam.
Le Khazar Erdogan est le gardien de la forteresse de la treizième tribu khazar Constantinople ou Istanbul qui représente l'OTAN d'aujourd'hui.
De Poutine, aux Khazars Juifs Loubavitch.
RépondreSupprimerC'est cette Prusse de KeV devenue Grande Russie suite aux exterminations des peuples de l'Islam qui ce cachent derrière l'empire du mensonge Khazar des collectivistes occidentaux faussement convertis au (judéo-chrétien) dans le monde d'aujourd'hui, c'est la face cachée de la renaissance du royaume Khazar du collectivisme occidental sous la forme du Reich de la Pax Americana qui a installé son foyer khazar néo-nazi sur l'espace vital des Palestiniens pour justifier sa domination économique à partir de l'or noir des ressources en matières premières de l'espace vital du Moyen-Orient qui tente de faire une barrière à l'existence de l'Islam à travers sa base du système du néocolonialisme des Nations Unies Paix, dignité et égalité sur une planète saine un barrage de (judéo-chrétien) qui est leur législation de droit international faussement convertie à partir des douze trubuts d'Israël qui veut s'asseoir sur l'espace vital du Moyen-Orient
En ramenant tous les adeptes des esprits naïfs du (judéo-chrétien) qu'un retour à la recolonisation des terres du Moyen-Orient est possible en s'habillant d'un masque qui ne dit pas son nom par la théorie khazar que nous appellerons la géopolitique du monde ou la théorie confiscatoire des espaces vitaux comme principes de leurs messianismes de l'ISIS d'Israël derrière les rideaux sous couvert des démocraties et des États comme modèle républicains ou colons de recyclage de la colonisation de l'Empire khazar Français du 1789 peut être réalisée !
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RépondreSupprimerÉCHEC et MAT : Poutine a habilement surpassé l'Occident en SYRIE┃Israël a piégé les États-Unis après l'appel de Poutine – 15.12.24
https://www.youtube.com/watch?v=Dq8J2yXWCwA
BORZZIKMAN : « De nombreux experts et analystes militaires indépendants ont remarqué que les propagandistes occidentaux des principales publications et agences de presse ont commencé à admettre avec regret que les militants de la soi-disant opposition syrienne tentent d'éviter les affrontements avec les troupes russes et cèdent même le passage aux colonnes militaires russes sur les routes syriennes. En particulier, de nombreuses vidéos de Syrie ont commencé à apparaître sur le réseau où les terroristes regardent les mouvements des colonnes militaires russes et n'essaient même pas d'attaquer. De plus, les terroristes pro-turcs ont même refusé d'attaquer l'armée russe dans la ville de HOMS, au lieu de cela, les militants ont débloqué toutes les routes et ont permis aux troupes russes de quitter la ville avec du matériel militaire et des armes. Actuellement, de nombreux convois militaires russes se dirigent vers l’ouest de la Syrie en direction des bases militaires russes de KHMEIMIM et de TARTUS. Tout cela indique que Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdoğan ont conclu certains accords sur la question syrienne. D’ailleurs, il y a quelques minutes, le vice-ministre russe des Affaires étrangères MIKHAIL BOGDANOV a annoncé officiellement que Moscou négocie avec les autorités syriennes actuelles sur le sort futur des bases militaires russes de KHMEIMIM et de TARTUS. Selon lui, les autorités syriennes actuelles ont une attitude positive envers le fait que l’armée russe continuera à rester dans la région. De plus, le journal américain Bloomberg, citant ses propres sources à Damas, a également déclaré que la Russie pourrait probablement conserver ses principales bases militaires dans la partie occidentale de la Syrie.
Le 14 décembre, le ministre turc des Affaires étrangères HAKAN FIDAN a fait une déclaration plutôt sensationnelle. Il a notamment déclaré officiellement que c’est uniquement grâce aux actions de la Turquie que les militants de l’opposition syrienne n’ont rencontré aucune résistance sur leur chemin et ont pu s’emparer de toutes les villes clés de la Syrie. Selon lui, la situation actuelle dans le monde a aidé la Turquie à convaincre la Russie et l’Iran de ne pas fournir d’aide militaire à BASHAR AL-ASSAD, ce qui a permis aux rebelles syriens de prendre le pouvoir en Syrie sans effusion de sang et dans un délai très court. Ainsi, un haut diplomate turc a officiellement confirmé que tout ce qui s’est passé en Syrie s’est produit avec l’approbation tacite de l’Iran et de la Russie. Le fait qu’après le renversement de BASHAR AL-ASSAD, la Russie ait conservé son ambassade à Damas et les principales bases militaires de KHMEIMIM et de TARTUS indique que Vladimir Poutine avait vraiment une sorte d’accord avec son homologue turc. D’ailleurs, il y a quelques jours, Recep Tayyip Erdoğan a également laissé entendre qu’il existe des accords entre la Turquie et la Russie. Dans une interview accordée à des journalistes, le leader turc a déclaré que Vladimir Poutine et lui-même étaient les hommes politiques les plus expérimentés du monde. Cependant, malgré les allusions claires de la Turquie selon lesquelles le renversement de Bachar al-Assad a eu lieu avec l'approbation tacite du président russe, certains aspects de ce qui s'est passé sont vraiment difficiles à croire.
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RépondreSupprimerLe fait est que la Russie n’acceptera jamais que les terroristes du groupe TAHRIR AL-SHAN prennent le pouvoir en Syrie. De plus, Vladimir Poutine sait très bien qu’il existe en Syrie un grand nombre d’armes soviétiques et russes qui peuvent être utilisées par l’Occident contre l’armée russe en Ukraine, où Moscou est à un pas de la victoire. D’ailleurs, les craintes du Kremlin concernant les stocks importants d’armes de l’ancienne armée syrienne sont pleinement justifiées. Le fait est que le 13 décembre, le secrétaire d’État américain Antony Blinken est arrivé en Turquie où il a tenté de convaincre Recep Tayyip Erdoğan de l’importance de transférer toutes les armes de l’armée syrienne au régime de Kiev. Il s’agit de plus de 2,152 millions d’obus d’artillerie de 122 mm, de 5000 unités de chars T62, T72 et T90 et même de 3000 unités de véhicules de combat d’infanterie Bmp1 et Bmp2. Bien sûr, la plupart de ces équipements militaires sont défectueux. Cependant, même une petite partie d’entre eux peut fournir une aide significative aux troupes ukrainiennes en retraite. Bien conscient qu’on ne peut pas faire confiance à Erdoğan, surtout étant donné que les États-Unis disposent de leviers d’influence assez efficaces sur Ankara sous la forme de formations kurdes près de la frontière turque, Vladimir Poutine a résolu ce problème avec l’aide du plus important allié de Washington au Moyen-Orient. En particulier, des initiés du Kremlin ont affirmé que c’est après une longue conversation téléphonique entre Vladimir Poutine et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu que l’armée de l’air israélienne a commencé à détruire des entrepôts contenant du matériel militaire lourd dans toute la Syrie. De plus, la Russie a même donné à Israël l’emplacement exact d’un dépôt d’armes classifié situé dans différentes parties de la Syrie pour leur destruction ultérieure. Il est rapporté que dans les dernières 48 heures seulement, l'armée de l'air israélienne a mené plus de 200 frappes aériennes sur ces arsenaux, détruisant une énorme quantité d'équipement lourd, y compris des obus d'artillerie et des armes légères. De plus, le 14 décembre, l'armée de l'air israélienne a également détruit plus de 30 installations militaires sur le territoire du soi-disant Corps informatique de l'ancienne armée syrienne, car il s'est avéré que ces installations militaires contenaient un système de guerre électronique, des radars et des antennes de communication que les États-Unis prévoyaient de transférer à l'armée ukrainienne.
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RépondreSupprimerCes actions israéliennes ont provoqué la colère de Washington, car l’administration Biden prévoyait de transférer tous ces types d’armes au régime de Kiev. Certains sénateurs américains ont même considéré ces actions israéliennes comme un coup de poignard dans le dos. Selon eux, Israël aurait fourni une aide inestimable à Vladimir Poutine avec ces frappes aériennes. Cependant, le Tel-Aviv officiel a nié toutes ces accusations. Selon les autorités israéliennes, ces dépôts d’armes en Syrie ont été détruits uniquement sur la base de la sécurité nationale d’Israël, car toutes ces armes pourraient tomber entre les mains de groupes terroristes. Quoi qu’il en soit, les actions d’Israël ont fait le jeu de Vladimir Poutine et l’armée ukrainienne s’est retrouvée sans armes en provenance de Syrie. En voyant tout cela, il devient clair que Vladimir Poutine a livré la Syrie aux rivaux géopolitiques de Moscou pour une raison. Actuellement, les soi-disant alliés des États-Unis au Moyen-Orient sont engagés dans la division de la Syrie, en particulier après la fuite de Bachar al-Assad, Israël a lancé une opération terrestre dans la partie sud-ouest de la Syrie et occupé des territoires importants du pays. Dans ce contexte, de nombreux commandants de terrain du groupe TAHRIR AL-SHAM ont déclaré qu'ils libéreraient non seulement les territoires du sud de la Syrie de l'occupation israélienne, mais aussi Jérusalem elle-même. Cependant, il semble que ces commandants de terrain devront bientôt se battre contre leurs maîtres turcs. Le fait est que le 13 décembre, le président turc Recep Tayyip Erdoğan a promis aux journalistes de rectifier l'erreur de la première guerre mondiale et que des villes syriennes telles que RAQQA, DAMAS, ALEP et IDLIB seraient intégrées à la Turquie.
En outre, des sources internes à Ankara ont déclaré que lors d’une réunion avec le secrétaire d’État Antony Blinken, le président turc avait également déclaré qu’il avait donné l’ordre d’abattre les avions de combat israéliens s’ils exprimaient le désir d’aider les formations kurdes. Ainsi, sous nos yeux, les alliés actuels se transforment peu à peu en ennemis prêts à s’entre-tuer pour le droit de posséder le territoire syrien riche en minéraux. Tout ce qui se passe actuellement en Syrie est très bénéfique pour Vladimir Poutine, car l’échappatoire des terroristes kurdes qui réclament l’indépendance et le désir d’Israël et de la Turquie d’annexer des territoires syriens sont très distrayants pour l’Occident dirigé par les États-Unis. À l’heure actuelle, l’administration Biden fait tout son possible pour empêcher que la situation en Syrie ne dégénère une fois pour toutes. Tout cela a un impact très négatif sur le régime de Kiev, soutenu par l’Occident, qui continue de subir une défaite écrasante face à l’avancée des troupes russes. Dans ce contexte, de nombreux experts indépendants ont exprimé leur confiance dans le fait qu’après la victoire de la Russie en Ukraine, Vladimir Poutine ramènera Bachar al-Assad en Syrie, d’autant plus que les partisans de l’ancien président syrien sont toujours en Syrie et créent même des détachements partisans afin de libérer leur pays des occupants américains, turcs et israéliens. D’ailleurs, le fait que les forces spéciales russes aient sauvé le célèbre général syrien SUHEIL AL-HASSAN et l’aient transporté à Moscou montre que nous avons enterré la Syrie trop tôt. La lutte pour ce magnifique pays ne fait que commencer.
Remettons les pieds sur Terre.
RépondreSupprimerCes guerres ne sont qu'une course aux matières premières lancée par les militaires américains qui ont pris le pouvoir aux US.
La Russie, la France et l'UK ont chacun un rôle à jouer négocié avec les US.