Les sionistes ont la réputation bien méritée d’avoir été les pires antisémites de l’histoire, car étant d'origine européenne (les Khazars), ils ne sont pas sémites. Lors de la création de l’état d’Israël en 1947,
une force de répression plana autour des Juifs sépharades.
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La manière dont ces Juifs sépharades furent traités fut particulièrement scandaleuse. L’histoire des « enfants de la teigne » en est un exemple frappant.
La
teigne est une infection des cheveux ou des poils provoquée par des
champignons transmis par l’homme ou des animaux. Cette infection se
traduit par des plaques sans cheveu, une desquamation ou une croute du
cuir chevelu. Le diagnostic de teigne repose sur l’examen mycologique,
le traitement nécessite la prise d’antimycosiques par voie orale durant
deux mois.
Il a fallu attendre le 14 août 2004, pour que la chaîne télévisée israélienne « Channel Ten »
puisse enfin révéler sous forme d’un documentaire, l’un des pires
secrets maintenus par les fondateurs du Parti travailliste israélien : l’exposition délibérée aux radiations, de la quasi-totalité des jeunes d’une génération de Juifs sépharades,
provenant des pays du Maghreb et du Moyen-Orient. Ce film des «
enfants de la teigne » (The Ringworm Children), mis en scène par David Belhassen et Asher Hemias, remporta le prix du meilleur documentaire au Festival International de Cinéma de Haïfa.
A
la fin des années 1940, une loi américaine avait mis un terme aux
expérimentations humaines consistant à soumettre des prisonniers, des
handicapés mentaux, et d’autres cobayes, à des radiations.
Le programme nucléaire américain devait de ce fait, trouver une nouvelle source de cobayes humains. Le
gouvernement israélien, trouva là, une opportunité non négligeable de
faire des profits, puisque le gouvernement des États-Unis promettait de
leur verser annuellement, 300 millions de livres israéliennes. A
l’époque, le budget global du ministère israélien de la Santé ne
s’élevait, quant à lui, qu’à 60 millions de livres, soit 5 fois moins !
Les fonds versés par les Américains correspondraient de nos jours, à
plusieurs milliards de dollars.
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En 1951, le directeur général du ministère israélien de la Santé, le Dr. Chaim Sheba, prenait donc l’avion pour l’Amérique.
Son but était de ramener avec lui, sept appareils de radiographie (à rayons X),
que l’armée américaine lui cédait. Ces appareils de radiographie
allaient être utilisés pour une expérience nucléaire massive, sur une
génération complète d’enfants sépharades. Ils allaient servir de
cobayes. Chacun d’eux, allait recevoir 700 fois (350 rad) la dose
maximale de rayons X dans la tête.
Afin
de tromper les parents des victimes, les enfants furent emmenés en «
voyage scolaire ». Et pour expliquer les radiations infligées à leurs
enfants, on avait trouvé comme excuse, le besoin de les traiter contre
une épidémie de teigne. 6 000 des enfants cobayes commencèrent à décéder peu après leur irradiation,
beaucoup de survivants se mirent ensuite à développer des cancers qui
les emportèrent par milliers, au fil des mois. Durant ces années
d’interminable agonie, les victimes souffrirent d’épilepsie, d’amnésie,
de la maladie d’Alzheimer, de céphalées chroniques et de psychoses.
Différents témoignages :
Dans le film, une dame marocaine décrit ce que c’est, que de recevoir 700 fois la dose autorisée de rayons X dans le crâne : «
Je hurlais : Enlevez-moi ce mal de tête horrible ! Enlevez-moi ce mal
de tête atroce ! Mais le mal de tête n’est jamais parti de ma tête ! » Un homme voûté et barbu, descendant une rue, témoigne «
J’ai la cinquantaine, et tout le monde croit que j’en ai au moins
soixante. Je dois presque me casser en deux quand je marche. Avec leurs
maudits rayons X, ils m’ont volé ma jeunesse. » Une vieille dame qui administrait les doses mortelles de rayons X à ces milliers d’enfants, raconte : «On
les faisait mettre en rang. Tout d’abord, on leur rasait la tête, et on
leur massait sur le crâne un gel qui les piquait terriblement. Ensuite,
on leur mettait un ballon entre les jambes, et on leur donnait l’ordre
de ne pas le laisser s’échapper, dans le but qu’ils ne bougent plus.
Bien entendu, le corps de ces gamins n’étaient pas protégé. Ils ne
portaient pas de tuniques de plomb. Mais on me disait que c’était
excellent pour traiter leur teigne. Si j’avais su les dangers auxquels
on exposait ces malheureux, jamais je n’aurais accepté ce travail !
Jamais de la vie ! ». La totalité de leur organisme ayant été
exposé aux rayons, le génome des enfants furent souvent altéré,
affectant d’autant leur descendance. Une dame au visage ravagé, l’explique : «Mes trois enfants ont les mêmes cancers que ma famille a souffert auparavant. Cela n’est pas pure coïncidence ! »
La génération empoisonnée, devint en Israël, la classe irrémédiablement pauvre et délinquante.
C’était
elle qui était montré du doigt ! Qui servait de souffre douleur.
Pourtant, les Juifs marocains qui étaient restés en France, prospéraient
et occupaient souvent des métiers hautement spécialisés. Pourquoi cette
différence ? L’explication la plus probable et la plus simple, c’est
qu’aucun des enfants juifs marocains immigrés en France, n’eut ses
cellules cérébrales grillées aux rayons gamma. Les dangers de ces rayons X étaient pourtant connus depuis au moins une quarantaine d’années.
Dans un manuel officiel israélien, datant de 1952, et qui traite des
rayons X, la dose maximale à ne pas dépasser pour un enfant, était de
0,5 Rad. Pourquoi donc l’avait-on si largement dépassé ? Sans
contestation possible, on peut affirmer qu’ils avaient été délibérément
irradiés. Il s’agissait véritablement d’un empoisonnement volontaire. D’un génocide !
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Un dénommé David Deri dans le reportage, insiste bien sur le fait que seuls des enfants sépharades furent soumis aux rayons X :
«
J’étais à l’école, et des types sont venus nous chercher pour une
promenade. Ils nous ont demandé comment nous nous appelions : les
enfants portant des noms ashkénazes se virent ordonner de se rasseoir.
Les gamins basanés, eux, se retrouvèrent dans l’autobus. » Un
historien, ose aller plus loin dans le raisonnement. Il va jusqu’à
parler du mouvement eugéniste. Puis changeant de ton, il déclare que
l’opération « teigne » était en réalité « un programme
eugéniste, visant en réalité à éradiquer ce qui était perçu comme les
maillons faibles de la société israélienne « Comme le dit une dame marocaine : « C’était un Holocauste sépharade ! » Les sionistes au pouvoir avaient essayé d’achever ceux que le génocide allemand n’avait pu terminer !
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David Deri tenta de retrouver son dossier médical d’enfant :
«
Tout ce qu’il m’importait de connaître, c’était ce qu’ils m’avaient
fait. Je voulais savoir qui avait autorisé ce « traitement ». Je voulais
remonter la chaîne des commandements. Mais le ministère de la Santé me
dit que mon dossier avait disparu. » Selon Boaz Lev, porte-parole du ministère de la Santé : « Presque tous les dossiers avaient disparu, brûlés dans un incendie. «
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Quel était donc la composition de ce cabinet israélien, responsable de ce génocide ?
Premier ministre : David Ben Gourion (décédé)
- Ministre des Finances : Eliezer Kaplan (décédé)
- Ministre des implantations : Levi Eshkol (décédé)
- Ministre des Affaires Etrangères : Moshe Sharett (décédé)
- Ministre du Travail : Golda Meir (décédé)
- Ministre de l’Intérieur : Amos Ben Gurion (décédé).
- Ministre de la Santé : Yosef Burg (décédé)
Le plus haut poste non-ministériel était tenu par le Directeur général du ministère de la Défense : Shimon Peres (toujours vivant)
Qu’un programme impliquant un budget de plusieurs milliards de
dollars de fonds fournis par le gouvernement américain, ait pu demeurer
ignoré du Premier ministre d’Israël, est totalement ridicule. Ben Gourion était certainement impliqué dans ces horreurs.
En choisissant son fils pour occuper le poste de ministre de la Police
(Intérieur), cela lui permettait d’étouffer bien des affaires
criminelles. Son entourage n’était pas mieux. Souvenons nous de la
phrase prononcée en 1960 par l’un de ses conseillers Uni Lubrani : « Nous réduirons la population arabe à une communauté de bûcherons et de serviteurs. »
Curieusement, le ministre des Finances Eliezer Kaplan donna son nom à un hôpital situé près de Rehovot. Chaim Sheba, qui dirigeait la société Ringworm Incorporated (Teigne & Co), accorda le sien à un grand complexe médical.
Inutile de préciser que s’il avait
existé une once de décence dans la profession médicale israélienne, ces
hôpitaux auraient du être débaptisés au plus vite !
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Aujourd’hui, il y a une personne encore en vie qui sait absolument tout ce qui s’est passé.
Cet homme, c’est Shimon Peres. La seule manière de
commencer le travail de deuil et de cicatrisation, n’est-il pas
d’enquêter sur le rôle que fut le sien, dans l’empoisonnement de masse de plus de 100 000 enfants et adolescents sépharades ?
Ce rappel historique est dédié à tous
les Juifs sépharades victimes des sionistes. Que leur sacrifice ne soit
pas vain. Qu’il serve à mieux faire comprendre au monde, la perversité
de ce gang criminel, qui aujourd’hui veut s’accaparer des richesses de
toute la planète.
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Petite prière en mémoire des milliers d’enfants, victimes de ces sionistes non sémites, mais d’origine khazare !