Depuis le début de la crise
sanitaire, les gouvernements du monde entier ont affirmé que le traitement
précoce était inefficace. Ils ont imposé des restrictions importantes à nos
libertés, notamment aux prescriptions des médecins.
Ils ont également promis que la vaccination permettrait d'obtenir une immunité
collective, la fin de la crise et un retour à une vie normale.
Mais après 18 mois de cette soi-disant « stratégie sanitaire » basée
sur de fausses simulations, d'innombrables mensonges, des promesses jamais
tenues, ainsi que la campagne de propagande et de peur ont rendu la vie des
gens insupportable, l'échec est patent et il est là.
Les vaccins actuels qu'ils continuent à nous imposer sont-ils efficaces ?
Peuvent-ils conduire à une immunité collective ou n'est-ce qu'un mythe ?
Pour répondre à cette question, il faut évaluer la situation du Covid-19 dans les pays les plus vaccinés selon les chiffres fournis par l'Organisation Mondiale de la Santé et les courbes de OurWorldinData. (Du début du vaccin en décembre 2020 au 15 septembre 2021)
Par le Dr Gérard Delépine (oncologue et statisticien)
Mortalité
record à Gibraltar, championne des injections d'AstraZeneca
Gibraltar
(34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020 alors que
l'agence sanitaire n'avait dénombré que 1040 cas confirmés et 5 décès attribués
au covid19 dans ce pays. Après un blitz de vaccination très complet, atteignant
une couverture de 115% (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs
espagnols), le nombre de nouvelles infections a quintuplé (à 5314) et le nombre
de décès a été multiplié par 19, atteignant 97, soit 2853 décès par million
d'habitants, ce qui constitue l'un des records européens de mortalité.
Mais les responsables de la vaccination nient tout lien de causalité sans
proposer aucune autre étiologie plausible. Et après quelques mois d'accalmie,
l'épidémie a repris, confirmant que 115% de couverture vaccinale ne protège pas contre
la maladie.
Malte :
84 % de couverture vaccinale, mais tout aussi inefficace
Malte
fait partie des champions européens des pseudo-vaccins : sur cette île de 500.000
habitants, près de 800.000 doses ont été administrées, assurant une couverture
vaccinale de près de 84 % avec un retard d'environ 6 mois.
Mais depuis début juillet 2021, l'épidémie a repris et les formes graves
(mortelles) se multiplient, obligeant les autorités à reconnaître que la
vaccination ne protège pas la population et à imposer des restrictions.
Là encore, la récurrence de l'épidémie en termes de cas et
de mortalité prouve qu'un taux de vaccination élevé ne protège pas la
population.
En Islande, les gens ne croient plus à l'immunité collective
Dans ce petit pays de 360.000 habitants, plus de 80 % sont primo-vaccinés et 75 % ont un cycle de vaccination complet. Mais à la mi-juillet 2021, les nouvelles infections quotidiennes étaient passées d'environ 10 à environ 120, avant de se stabiliser à un taux supérieur à celui de la période précédant la vaccination. Cette récurrence soudaine a convaincu l'épidémiologiste en chef de l'impossibilité d'obtenir une immunité collective par la vaccination. "C'est un mythe", a-t-il déclaré publiquement.
Belgique
: récidive de la maladie malgré la vaccination Les
vaccins contre le Covid-19 entraînent de nouvelles infections et mortalités :
les preuves sont accablantes
En
Belgique, près de 75 % de la population est primo-vaccinée. Et 65% de la
population a un cycle de vaccination complet. Or, depuis fin juin 2021, le
nombre de nouvelles contaminations quotidiennes est passé de moins de 500 à
près de 2000. Comme le reconnaît la RTBF, face au variant Delta, la vaccination
actuelle est loin d'être suffisante pour protéger la population.
Singapour abandonne l'espoir du "Zéro
Covid" par les vaccins
Ce petit pays est également fortement vacciné et près de 80 % de la population a reçu au moins une dose. Mais depuis le 20 août 2021, il doit faire face à une reprise exponentielle de l'épidémie avec une augmentation des cas d'une dizaine en juin à plus de 150 fin juillet et 1246 cas le 24 septembre.
Cette récurrence incontrôlée de la maladie malgré la vaccination a conduit à abandonner la stratégie d'éradication du virus en vaccinant pour un nouveau modèle de "vivre avec le virus" en essayant de traiter la maladie "comme la grippe".
Au
Royaume-Uni : une hausse inquiétante des infections
Le
Royaume-Uni est le champion européen de la vaccination par le vax Astra Zeneca,
avec plus de 70 % de la population vaccinée pour la première fois, et 59 % avec
un calendrier vaccinal complet. Ce taux de "vaccination" élevé n'a
pas empêché une explosion des cas au début de l'été, avec jusqu'à 60.000
nouveaux cas par jour à la mi-juillet.
Face à cette reprise significative de l'épidémie malgré la vaccination, Andrew
Pollard, représentant de l'Oxford Vaccine Group, a reconnu devant le Parlement
: "l'immunité collective par la vaccination est un mythe".
Cette reprise des infections s'est
accompagnée d'une reprise des hospitalisations, des cas graves et des décès.
Selon le bilan officiel d'août [2], les décès étaient plus fréquents chez les patients
complètement vaccinés (679) que chez les patients non vaccinés (390), niant
ainsi cruellement les espoirs d'un effet protecteur du vaccin sur la mortalité.
Après la levée des dernières restrictions
sanitaires, l'épidémie est tombée à un niveau inférieur à 30000 cas
par jour, alors
qu'au début du mois de juillet, les simulations des spécialistes du covid
prédisaient jusqu'à 100.000 nouveaux cas par jour si les mesures sanitaires
étaient supprimées.
Israël : une catastrophe post-vaccination évidente
démentie par les autorités
Israël, champion de l'injection Pfizer, jadis partout cité en
exemple d'efficacité, est désormais durement rappelé à la réalité et est
désormais le modèle de l'échec vaccinal.
70 % de la population est primo-vaccinée et près de 90 % des
personnes à risque ont un cycle de vaccination complet. Mais l'épidémie a
rebondi plus fort que jamais depuis fin juin, et plus de 11.000
nouveaux cas ont été enregistrés en 1 jour (14 septembre 2021) dépassant de
près de 50 % les pics observés en janvier 2021 lors de l'épidémie suite aux
premières injections de Pfizer. .
Cette reprise de l'épidémie, malgré les injections de Pfizer, s'accompagne d'une augmentation des hospitalisations où les vaccinés représentent la majorité des personnes hospitalisées.
La vaccination ne protège pas contre les formes sévères de la maladie ni contre la mort.
Fin juillet : 71% des 118 Israéliens gravement malades (graves, critiques) avaient été complètement vaccinés !
Cette proportion de personnes gravement malades vaccinées est bien supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées : 61 %. Prétendre que le vaccin protège contre les formes graves de la maladie, comme l'a imprudemment déclaré le ministre israélien de la Santé, est une erreur (ou de la désinformation ?).
Afin de ne pas reconnaître ses erreurs, le gouvernement israélien reste dans le déni de cet échec flagrant et continue de ne proposer que la vaccination comme solution. Combien de morts faudra-t-il encore avant de suivre l'exemple de l'Inde ou du Japon et d'adopter enfin un traitement précoce ?
Conclusion
Les pseudo vaccins actuels ne sont pas assez efficaces. Ils n'empêchent ni la récidive de l'épidémie, ni les hospitalisations, ni les formes sévères, ni les décès. En Israël et en Grande-Bretagne, qui précisent le statut vaccinal des victimes, les vaccinés souffrent d'un risque de mortalité accru par rapport aux non vaccinés.
La poursuite d'une politique exclusivement vaccinale conduit à une impasse mortelle, alors que les pays qui conseillent officiellement un traitement précoce (Inde) ou autorisent leurs médecins à le prescrire (Japon, Corée) s'en tirent beaucoup mieux.
Qu'attendent nos autorités sanitaires pour cesser de croire aux fausses simulations menées par des épidémiologistes trop liés aux industriels du vaccin, pour regarder les faits avérés et interrompre leur campagne pro-vaccination trompeuse et délétère et préconiser un traitement précoce ?
Le maintien de l'interdiction du traitement précoce par les médecins traitants entraîne une perte de chances pour de nombreux patients et engage directement la responsabilité du gouvernement et notamment du ministre de la Santé.
Source : FAILURE – Highest risk of Covid-19 hospitalisation and death is in the most vaccinated nations worldwide according to official data
Suite des promenades avec mes deux chiens (en Tunisie). Je rencontre un voisin (il a fait sa carrière en Allemagne) il me demande vous êtes vacciné? oui par obligation vu le décret illégal de Saeid le 22 octobre, mais pour l'instant avec une piqûre. Quel vaccin, le Sinovac, le Chinois. Il me déclare qu'il a fait les deux piqûres avec Pfizer, car c'est une entreprise sérieuse. Je reste un instant bouche bee. Je lui signifie que selon les statistiques il s'agit du produit le plus dangereux. Impossible qu'il me lance. Ah bon, vous savez que vous êtes un cobaye avec une thérapie génique! Pfizer pour lui une société avec des bons chercheurs médicaux. Il est impossible de faire prendre conscience à beaucoup de personnes du caractère criminel de cette campagne obligatoire de piquer les gens.
RépondreSupprimerLes cobayes "vaccinés" avec des injections géniques décèdent:
RépondreSupprimerDe thromboses, d'AVCs, de myocardites, de crises cardiaques (voir jeunes sportifs tomber sur les pelouses des stades) car la protéine spike, fabriquée par plus de mille milliards de particules d'ARN messager, est toxique pour le système sanguin et cardiovasculaire. D'aggravation de maladies existantes (voir cancers de personnalités connues) et de maladies virales y compris le coronavirus (voir recrudescence systématique des épidémies lors des vaccinations), car la protéine spike inhibe le système immunitaire. De maladies auto immunes et cancers divers car le système immunitaire doit au final détruire toutes les cellules pénétrées par les particules d'ARN messager qui diffusent partout dans le corps (nerfs, coeur, cerveau,...) avec des dégats variables pouvant être gravissimes.
D'un système cardiovasculaire complètement engorgé de micro thromboses entrainant la nécrose progressive d'organes vitaux (voir D-dimères et CRP hors normes pendant plusieurs mois).
D'un risque d'anticorps facilitants car trop faibles en nombre et inadaptés aux nouveaux variants. Il y a un risque majeur que les vaccinés décèdent plus gravement que les non vaccinés avec un nouveau variant (par chance pas encore vu d'effet ADE dans la population).
D'inflammations multiples, de maladies auto immunes et de cancers dus aux auto anticorps, car le système immunitaire a appris à détruire les cellules envahies par les particules lipidiques d'ARN messager qui sont conçues pour contourner l'immunité innée en utilisation des nucléosides artificiels (contrairement à une infection naturelle où il y a une lyse lors de la sortie des virions, et donc pas d'auto anticorps). On vient d'inventer des vaccins qui génèrent certes des anticorps contre la spike, mais aussi des anticorps contre ses propres cellules. En trichant avec le système immunitaire, on est en train de voir apparaitre une kyrielle de maladies gravissimes inexpliquées et incurables (voir hopitaux US bondés de malades non covid avec des maladies bizaroïdes). Voir décès horribles avec inflammations généralisées lors d'essais d'ARN messager en voulant traiter des maladies graves il y a quelques années. Ce processus de destruction cellulaire auto immunitaire est lent mais inexorable et sans traitements connus car trop complexe.
Les prochaines années vont être très douloureuses pour les millions de cobayes vaccinés, la nature se venge. Les animaux de laboratoire ont des cycles biologiques dix fois plus rapides que les humains ce qui permet de prédire les effets à long terme, dans les tests réalisés avec les vaccins ARNm tous les animaux sont morts, aucune explication n'a été donnée, c'est vraiment de très mauvais augure pour nos millions de cobayes. Avec tous ces effets secondaires lourds, des maladies gravissimes mortelles sont inévitables pour la majorité d'entre eux, ils vont connaitre les feux de l'enfer vaccinal. La seule solution proposée par les autorités sera de continuer à mentir et au mieux de proposer du rivotril pour les plus chanceux. C'est très cher payé pour avoir une protection de quelques mois seulement, tout en s'obstinant à interdire des traitements précoces avec des molécules archi connues depuis des décennies pour leur innocuité.
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SupprimerMerci de bien vouloir signer vos commentaires, surtout s'ils sont intéressants comme celui-ci.
Attali n'avait-il pas prévu que les gens se précipiteraient tous pour recevoir un coup de merlin à l'abattoir... enchanteur n'est-il pas ?
RépondreSupprimerIl aurait dit "les idiots iront d'eux-mêmes à l'abattoir"
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