1.Le prince Charles en roue libre
Lors de la COP26, le Prince Charles a tenu des propos surréalistes concernant le futur de l’humanité. Des propos, qui par ailleurs, ont été peu ou pas repris par les médias hexagonaux.
La feuille de route ne parle pas de confinement pour fin 2021 mais de pénuries et d’installation de contrôles militaires pour le programme de transition et de renoncement à la dette.
Il
a expliqué, d’un ton sûr et monotone, qu’il fallait mettre en place une
campagne militaire qui imposera la nouvelle transition économique
mondiale afin de sauver la planète en y injectant des milliers de
milliards de dollars, une somme plus importante que le PIB mondial ! [1]
Il affirme que les pays sont gravement endettés et qu’ils ne pourront pas faire face aux défis climatiques.
Qui pouvait mieux annoncer cette grande réinitialisation du monde que « son Altesse » dont l’obsession climatique est bien connue de tous !
Ségolène Royal l’avait d’ailleurs fait venir chez nous, en décembre 2015, pour trôner aux côtés de Michael Bloomberg (un des mécènes de Joe Biden), Al Gore et Arnold Schwarzenegger, au sommet de la COP21 aboutissant aux fameux Accords de Paris.
Si ces dirigeants mondiaux mettaient à disposition cet argent fictif gagné via la spéculation boursière, ce n’est pas pour le bien de l’humanité mais pour en contrôler l’avenir.
Comment imaginer un seul instant que Jeff Bezos, le patron d’Amazon, devenu milliardaire en vendant des gadgets chinois aux Américains et aux Européens en détruisant leur industrie et leur petit commerce, puisse à un moment devenir une partie de la solution au problème climatique !
Nous assistons, donc, à la mise en place du Nouvel ordre mondial, une dictature mise en place par le secteur privé mondialiste, qui veut mettre fin aux démocraties que nous connaissons en utilisant systématiquement la menace pour arriver à ses fins.
Pour rappel, du 9 au 11 novembre 2020, s’est tenue une rencontre de haut niveau, baptisée Green Horizon summit , réunissant une centaine de décideurs financiers et économiques de haut vol, tous avides d’examiner comment passer de la théorie climatique à la spéculation verte : le Great Reset de leur portefeuille au détriment de la planète.
Selon les organisateurs, le sommet avait pour but d’accélérer l’innovation financière dans le climat, en promouvant des initiatives semblables à celles des obligations vertes.
2. Et maintenant l’état d’urgence climatique
En 2015, c’était la menace terroriste, depuis 2 ans nous sommes en état d’urgence sanitaire et demain ce sera la menace climatique.
En effet, comment ne pas admettre la conformité massive et sans questionnement des peuples aux réglementations restrictives et liberticides du COVID.
L’idée de confinement climatique pourrait être facilement normalisée à la lumière du respect massif des confinements pandémiques.
Alors qu’avec la crise sanitaire, beaucoup de responsables se rendent à l’évidence que la mondialisation financière a rongé la substance productive de nos économies et fragilisé nos secteurs publics, cette « Caste » voit comme une énorme menace le retour aux recettes économiques élémentaires ayant fait leurs preuves lors de la reconstruction d’après-guerre.
Pour ces élites déconnectées, il s’agit, donc, de saisir la formidable occasion que leur offre la peur suscitée par la crise sanitaire mondiale, pour imposer une dictature climatique et de contrôler directement le portefeuille de chaque citoyen.
De faire en sorte que l’essentiel des investissements soit affecté exclusivement au fameux New Green Deal et que les citoyens se comportent comme il faut.
L’idée est donc de mettre en place une tyrannie plus intrusive en misant sur le fait que les gens peuvent être plus disposés à accepter le suivi et les limitations liées aux quotas carbone personnels pour obtenir un climat plus sûr.
3. Un "pass carbone" pour contrôler chaque aspect de votre vie
Si, lors de cette COP26, les gouvernements décident soudainement de bannir le CO2 de leur économie, le monde pourrait connaître un retournement brutal des valeurs d’un tiers de l’économie mondiale, soit la partie liée aux hydrocarbures (lignite, charbon, gaz, pétrole, etc.) et l’écosystème qu’elles entretiennent (exploitation minière, pétrochimie, plastique, etc.).
Mieux vaut donc prendre les devants et organiser le verdissement de la finance mondiale, afin de limiter les frais et surtout les secousses.
Pour cette finance-là, faute d’une réelle opposition de la part de gouvernants obéissant à l’intérêt général et non aux lobbies, la crise pandémique de Covid-19 a offert une fenêtre de tir pour mettre en place le type de société totalitaire et de surveillance dont elle rêve depuis longtemps.
Car s’il s’agit, officiellement, de sauver le climat et la planète, en réalité, ce n’est que l’ultime bouée de sauvetage de la bulle des « actifs verts » et un moyen efficace pour la faire gonfler.
Nos élites, présentes à Glasgow, préparent donc des quotas de carbone personnels obligatoires qui introduiraient le rationnement dans tous les domaines de votre vie et ceci via une application qui enregistrerait vos déplacements, vos dépenses de chauffage et même la nourriture que vous mangez.
D’ailleurs, cette proposition avait été présentée dans la revue scientifique Nature par quatre experts de l’environnement comme un moyen de réduire les émissions mondiales de carbone.
Le discours ambiant de cette COP26 est donc que, face aux problèmes écologiques présents et à venir, il est nécessaire de mettre dans l’esprit collectif, que chaque citoyen soit conscient d’avoir un rôle à jouer dans la lutte contre le changement climatique, en proposant l’instauration d’un compte ou pass carbone.
À l’image
d’un compte en banque, ce compte carbone sera crédité de 2000kg de
carbone par français par an, suivant les accords de Paris.
Il sera
demandé lors de tout achat de produits ou services de première main
générant une quantité non négligeable de carbone dans son cycle de
production / commercialisation de présenter son compte ou pass carbone
sur lequel sera débité le montant de carbone lié à la dépense.
Il est donc envisagé que pass sanitaire se transformera en pass carbone et donc une limitation des voyages, de la nourriture, des de km en voiture, etc…
Le tout au nom de la prochaine crise à venir : le changement climatique.
Aujourd’hui le pass, renouvelé à minima jusqu’en juillet 2022, offre un QR code pour le vaccin [2]. Et demain ce sera pour votre bilan carbone.
Et le surlendemain ?
Reste à savoir si les populations mondiales vont se laisser faire et se faire esclavagiser et de la sorte par cette caste.
[1] Il
est facile de contrer cette ânerie du
Prince Charles, à savoir qu’il est possible de décarboner l’économie mondiale,
en la conduisant à des émissions nettes de dioxyde de carbone nulles. Le zéro
net est un objectif politique, comme « une vaccination
totale et globale pour stopper une pandémie inexistante » ou bien « Une
guerre pour mettre fin à toutes les guerres » ou « le charbon propre » ou « un budget équilibré », et n’a rien à voir
avec la réalité.
Bank of America (qu’on ne peut pas taxer de complotisme) a récemment publié
une étude qui examine le coût réel d’une
telle entreprise et démontre qu’elle est
totalement irréaliste. Selon l’étude, pour que le monde entier
atteigne le niveau zéro en 30 ans, il faudrait 150.000 milliards de dollars
d’investissement, soit 5.000 milliards de dollars par an. Cela dépasse tous les
investissements en infrastructures existants dans le monde entier et il n’y a
pas de place dans les budgets pour un tel coup de force. Mais cela
déclencherait une hyperinflation (« choc
inflationniste » est leur euphémisme préféré), après quoi, aucun
autre investissement en capital ne serait possible et aucune impression de
monnaie ne produirait d’autre résultat qu’une hyperinflation encore plus
importante.
[2] Le QR Code, c'est la Solution Finale; si on les laisse faire
Hannibal Genséric
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