N’ayez plus peur : il n’y a plus d’épidémie en France ni dans les pays voisins
Nos gouvernants et les médias complices tentent par tous les moyens[1][2][3] de nous terroriser à nouveau pour prolonger le plus longtemps possible la sidération du peuple, prolonger l’état d’urgence et instaurer le contrôle de la population par le passe, le QR code, la reconnaissance faciale généralisée, et peut-être des élections tranquilles avec pass… Vive le crédit social chinois, pensent-ils, mais nous ne sommes pas des Chinois…
Mais l’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels publiés par l’OMS qu’il faut communiquer largement à notre Président et à notre Premier ministre, comme nous avons interpellé les députés et sénateurs, avec une certaine écoute.
Voici les éléments factuels à leur communiquer.
Jean Castex veut nous effrayer en parlant de « cas » sans donner de chiffres bruts
Depuis que la mortalité a presque disparu, la propagande de la terreur n’égrène plus le nombre de morts quotidiens, ni celui des hospitalisés, mais seulement celui des tests PCR positifs, dont un grand nombre sont des faux positifs, ne démontrant pas qu’il s’agit de malades, ni de porteurs de virus, ni de possibles contaminateurs, ni de futurs malades. Rappelons que le caractère non fiable du test PCR a été dénoncé par des tribunaux dès octobre 2020 et également par l’OMS courant 2021.
Et quand un média cite les « décès du jour » comme le 5 novembre par exemple sur CNews, il omet de relativiser le chiffre par rapport à la mortalité quotidienne globale : 28 morts attribués au covid versus mortalité journalière habituelle en France de l’ordre de 1700 personnes par jour dont environ 500 cancéreux… Le cancer ne paie plus pour faire pleurer les foules ? Les morts imputés au pseudovaccin seraient importants à connaître également.
De plus, il parle « d’augmentation forte de cas », mais n’en donne pas les chiffres bruts et ne compare pas notre situation à celles des pays voisins. Nous réparerons ces « oublis » en citant les derniers chiffres de l’OMS et les courbes de OurWorldinData.
En France, le nombre de cas est globalement bas et stable
Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55000.
Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,000 9. Aucune raison de s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20 000 cas) ou anglais (40 000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre) et qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur mortalité, comme nous le verrons ci-après.
La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles[4] d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur médecin, nécessitent des soins et qui parfois meurent de maladie.
Les chiffres du réseau Sentinelles montrent que l’épidémie est terminée
D’après le réseau Sentinelles,[5] l’incidence est inférieure à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100 000 habitants en 2016)
Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas aux infections liées au covid, mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aiguës — taux fixé plus bas qu’avant 2020 —, pour mieux inquiéter la population.
En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021 :
Publié le 03/11/2021
Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [3 ; 8]), ce qui représente 3 414 [1 816 ; 5 012] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3 802 [2 429 ; 5 175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).
« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2 (COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les enfants entre 0 et 4 ans.
D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter :
– une circulation des rhinovirus (hRV),
– virus respiratoire syncytial (VRS),
– métapneumovirus (hMPV)
– la detection de trois virus grippaux de type A (deux en semaine 38 en Île-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un en semaine 42 en Nouvelle-Aquitaine). » selon le réseau Sentinelles.
Les chiffres de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France
Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de moins de 2 % de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un problème sanitaire grave.
En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des modélisations « catastrophes » de l’Institut Pasteur, toujours démenties par les faits qui ne constituent que des arguments de propagande terrorisante.
Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021
Que ce soit en Belgique, Pays-Bas, Portugal, Danemark, Suède, Norvège, Islande, Allemagne, Espagne, Italie, Suisse, Grande-Bretagne, Irlande, Finlande comme l’illustrent les courbes de OurWorldinData covid tracées d’après les données de l’OMS.
Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial
Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et moins mortifère. C’est le cas du variant delta dont la forte propagation n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.
Prévoir l’avenir est difficile
Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.
Même si le covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.
N’ayez plus peur.
N’écoutez plus les désinformations officielles qui ne visent qu’à prolonger une terreur irrationnelle qui empêche de réfléchir.
Regardez les faits, seulement les faits avérés et les chiffres officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens. Vous constaterez que l’épidémie est terminée.
Analysez les données de l’OMS sur l’Afrique qui souffre de paludisme en les comparant aux pays africains qui n’ont pas utilisé d’antipaludéens et vous verrez que les antipaludéens sont très efficaces.
Analysez les données de l’OMS sur l’Inde et vous serez convaincu de l’efficacité de l’Ivermectine.
N’ayez plus peur, mais prenez vos précautions en achetant dès maintenant Nivaquine et Ivermectine qui ne coûtent rien et se conservent plusieurs années pendant qu’ils sont autorisés, car il est à craindre qu’ils ne soient plus disponibles quand ils seraient nécessaires.
Dr Gérard Delépine
Notes :
[1] Une modélisation-prophétie
catastrophe de plus de l’institut Pasteur : P Bosetti, C Tran Kiem, A
Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet, D Benamouzig, S
Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially
vaccinated populations : a modeling study applied to France, HAL Pasteur
(Septembre 2021)
https://hal-pasteur.archives-ouvertes.fr/pasteur-03272638 v2
[2] O. Veran La cinquième vague du Covid-19 imminente ? La mise en garde. La dépêche
mar. 2 novembre 2021
[3] Dans son bilan épidémiologique hebdomadaire publié jeudi 4 novembre 2021, Santé publique France prévient, une nouvelle fois :
« la reprise épidémique (du Covid,
ndlr) se confirme sur le territoire métropolitain, avec un taux
d’incidence en augmentation pour la troisième semaine consécutive »
[5] Le réseau Sentinelles
officiellement chargé de la surveillance des épidémies saisonnières
rapporte le nombre de malades vus par les médecins de ville et estime
l’incidence de la maladie dans la population.
La surveillance des IRA est effectuée en
collaboration avec Sante publique France, le Centre national de
référence (CNR) des infections respiratoires (Institut Pasteur à Paris
et Hospices Civils de Lyon), et le laboratoire de virologie de
l’Université de Corse.
Depuis plus de 18 mois, nos gouvernants et les médias complices nous rabâchent :
« le retour à la vie normale sera possible grâce au vaccin »,
« vous retrouverez vos libertés quand vous serez vaccinés »
« les non-vaccinés sont responsables de la poursuite de l’épidémie ».
Mais aucune étude dans le monde réel n’a apporté le moindre début de preuve à l’appui de cette propagande marchande pro injection anti-covid.
Et l’analyse des données officielles de l’OMS (consultable à OMS covid dashboard) est très inquiétante. Aucun des champions de la vaccination n’est parvenu à éliminer le virus, ni à éviter de fortes reprises de l’épidémie et très peu ont totalement libéré leur peuple vacciné des mesures liberticides prétendument sanitaires imposées sans preuve scientifique de leur efficacité.
La Grande-Bretagne est le champion de l’injection Astra Zeneca
Mais son haut niveau de « vaccination » ne l’a pas protégée d’une forte reprise de l’épidémie qui persiste depuis quatre mois, avec une moyenne de 40000 cas quotidiens.
Le 10 août 21, témoignant devant les députés anglais, le professeur Sir Andrew Pollard chef de l’Oxford Vaccine Group a déclaré « le fait que les vaccins n’arrêtent pas la propagation de Covid signifiait que l’atteinte du seuil d’immunité globale dans la population était “mythique”. », ajoutant « avec la variante Delta actuelle, ce n’est pas possible »
Israël est le champion de l’injection Pfizer
Au printemps 2021, avant l’émergence du variant Delta, Israël avait été le premier pays au monde à croire avoir atteint l’immunité collective grâce à l’injection Pfizer.
Mais son très haut taux d’injection ne lui a pas permis d’éviter une nouvelle vague avec l’établissement d’un nouveau record absolu de contaminations quotidiennes (11000/J soit l’équivalent pour la France de 70000 cas/J). Et la mortalité quotidienne a suivi malgré les troisièmes injections. Cette résurgence de la maladie a fait reconnaître au ministre de la Santé que le taux d’efficacité de l’injection ne dépassait pas 39 % et qu’elle ne durait que quelques mois.
S’adressant à Channel 13 TV News le 5 août 2021, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog à Jérusalem, a précisé que « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées » et « 95 % des patients sévères sont vaccinés. » détruisant ainsi la propagande vaccinale prétendant que le vaccin protégerait des formes graves.
Les Pays-Bas ont plus de 75 % de leur population vaccinée,
mais ce grand succès de vente de pseudo vaccin est actuellement marqué par un record absolu des contaminations quotidiennes (12000/J soit l’équivalent français de 50000 cas/J) qui fait envisager de nouvelles mesures restrictives.
Là aussi la vaccination s’est révélée incapable de protéger la population.
Le 13 novembre le docteur Kuipers, spécialiste des soins intensifs a déclaré[1]
« La suggestion a été faite de l’immunité collective. Oubliez ça ! ».
« Nous travaillons maintenant avec plusieurs scénarios. L’un est le suivant : il y aura toujours un grand nombre de patients corona. Avec un nombre substantiel de patients, nous devons vraiment organiser les soins différemment à long terme. Augmenter la capacité hospitalière pour accueillir tous les patients atteints de Covid-19 et de soins réguliers ».
Singapour est le champion asiatique de la pseudo vaccination anti-Covid avec environ 90 % de la population injectée
Mais ce succès du nombre des injections ne l’a pas empêché de subir un véritable tsunami de contaminations avec un nombre 4 fois supérieur au pic d’avant injection.
Le jeudi 19 août 2021, lors d’un multi- conférence du groupe de travail du ministère, le ministre des Finances Lawrence Wong a averti :
« Singapour n’atteindra pas l’immunité collective pendant la pandémie malgré son taux élevé de vaccination contre le COVID-19[2]»
« Le chemin pour devenir une nation résiliente au COVID sera une tâche longue et difficile. Même avec des taux de vaccination très élevés, nous n’allons pas atteindre l’immunité collective ».
Le 8 septembre 21, Tikki E. Pangestu, expert en maladies infectieuses et professeur invité à la NUS Yong Loo Lin School of Médecine à Singapour a déclaré :
« Atteindre 95 % d’immunité collective contre le Delta est un mythe. La variante Delta étant désormais dominante dans la plupart des pays, la cible devrait plutôt être l’immunité aux maladies ou la prévention des maladies graves et des décès dus au virus ».
La Corée du Sud dépasse un taux de vaccination de 80 %
En juin les médias coréens se réjouissaient que l’immunité de groupe était à portée de main.[3][4]
Ils prétendaient même « qu’elle serait atteinte dès novembre[5]». Le porte-parole du ministère de la Santé, Son Young-rae, prévenait que :
« même après que l’immunité collective sera atteinte en novembre, les masques faciaux et d’autres mesures de sécurité resteront nécessaires ».
Mais, depuis octobre leur mirage s’évanouit, l’épidémie explose et la mortalité également :
En octobre, le nombre quotidien de contaminations s’est élevé à 2,5 fois celui du pic de l’épidémie avant la vaccination (2600 vs 1000) et la mortalité a suivi.
démontrant que les vaccins ne résolvent pas le problème Covid ni celui des restrictions sanitaires.
L’Allemagne a injecté 70 % de sa population
Mais ce succès des ventes de pseudo vaccins n’a pas évité une forte reprise de l’épidémie en juillet avec croissance exponentielle depuis septembre avec un nombre de contaminations quotidiennes (36000) dépassant largement les records d’avant « vaccination ».
Les habitants du quartier gouvernemental de Berlin font un adieu lent et silencieux, sans déclaration, sans communiqué de presse, l’adieu à une illusion, à l’objectif que les politiques poursuivent depuis le début de l’année : l’immunité collective.
« Je peux malheureusement difficilement imaginer à ce stade que nous atteindrons l’immunité collective », a déclaré K. Lauterbach[6] expert en santé des sociaux-démocrates de centre gauche (SPD).
L’euphorie vaccinale a apparemment cédé la place à la lassitude vaccinale, et une partie de la population ne veut toujours pas se faire vacciner, sachant que la protection vaccinale est beaucoup plus faible et plus courte qu’annoncée et les accidents post vaccinaux plus nombreux. Le pays apprend progressivement à vivre avec la pandémie, mais il peine, en partie parce que toutes les conséquences ne sont pas avouées et restent imprévisibles.
La population danoise est vaccinée à plus de 75 %,
mais ce haut taux de « vaccination » a été incapable de lui éviter une reprise brutale de l’épidémie et une menace de nouveau confinement.
L’agence danoise des maladies infectieuses SSI a déclaré qu’elle ne pensait plus qu’il serait possible d’obtenir une immunité collective dans le pays grâce à la vaccination,[7] ce qui signifie que sars CoV 2 pourrait continuer à circuler pendant des années.
« Si les vaccins étaient efficaces à 100 % contre les variantes actuellement en jeu et si nous avions une couverture vaccinale à 100 % chez les personnes de 12 ans et plus, alors nous pourrions parler de l’obtention d’une véritable immunité collective contre la variante delta », a déclaré Krause. « Mais malheureusement ce n’est pas la réalité, nous ne pouvons pas y parvenir. »
« Cela signifie qu’il est désormais logique de traiter Covid-19 de la même manière que nous traitons la grippe saisonnière, et de ne pas répondre aux vagues d’infection avec des restrictions strictes ». « Cela rappellera plus la grippe qu’avant », a-t-elle ajouté.
L’Islande est le pays européen le plus vacciné
Malheureusement, cette couverture vaccinale ne lui a pas évité une récidive majeure de l’épidémie.
En juin 2021 Þórólfur Guðnason l’épidémiologiste en chef de l’Islande déclarait que l’immunité vaccinale progressait bien.[8]
Mais depuis la nouvelle vague, il a dû déchanter et reconnaître dans une interview à la radio publique que :
« la vaccination n’a pas conduit à l’immunité collective que les experts espéraient et qu’en réalité l’immunité collective ne pouvait pas être obtenue par la vaccination. »[9]
Faute de mieux, il tente une dernière fois de l’atteindre en incitant à un rappel (3e dose).[10]
L’Irlande est également très vaccinée (plus de 75 % de la population totalement vaccinée)
En juin le Dr Vellinga déclarait[11]:
« avec les vaccins, si nous continuons comme nous le faisons, d’ici la fin de l’année, nous devrions avoir une situation assez normale ».
Mais une rechute majeure des contaminations est survenue début juillet 2021 qui s’amplifie encore depuis un mois.
La ville de Waterford a l’un des taux de vaccination les plus élevés d’Irlande contre Covid-19, avec 99,7 % des adultes de plus de 18 ans entièrement vaccinés, mais est devenue l’endroit avec le taux d’infection Covid-19 le plus élevé du pays.
Le taux d’incidence sur 14 jours atteint 1 486 cas pour 100 000 habitants, soit trois fois la moyenne nationale qui s’élève à 493 infections pour 100 000 habitants. La zone électorale adjacente de Tramore-Waterford City West a un taux sur 14 jours de 1 121 pour 100 000, selon les derniers chiffres hebdomadaires publiés par le Health Service Executive’s Health Protection Surveillance Centre.
Que penser de « l’immunité de troupeau » érigée en Graal par nos dirigeants ?
Thierry Breton, le commissaire européen en charge des vaccins, avait jugé possible une immunité collective le 14 juillet 2021 dans l’Union européenne. Devant le sénat, il exposait ainsi le principe du certificat vaccinal :
« Rien ne sera obligatoire ! ».
« On n’utilisera jamais le mot passeport. Ça donne le sentiment d’être obligatoire. Il ne le sera pas. Ce sera volontaire ».
Comment pourrait-on encore le croire ?
L’OMS avait d’emblée prévenu :
« jamais, dans l’histoire de la santé publique, l’immunité collective n’a été utilisée comme stratégie pour répondre à une épidémie ».[12]
Le 12/11/2021 le Dr Jefferson Jones, médecin du groupe de travail sur l’épidémiologie COVID-19 du CDC concluait lors de la réunion :
« penser que nous serons en mesure d’atteindre une sorte de seuil où il n’y aura plus de transmission d’infections peut ne pas être possible. »
Depuis lors, le CDC détourne son attention d’un objectif de vaccination spécifique qui, une fois atteint, présagerait la fin de la pandémie.
L’immunité de groupe ne pourrait être espérée par le vaccin que si celui-ci protégeait totalement les individus vaccinés suffisamment longtemps et les empêchait de transmettre la maladie. C’est le cas des vaccins contre la variole ou contre la fièvre jaune.
Or les faits avérés montrent qu’aucune de ces deux conditions n’est remplie par les pseudo vaccins anti-Covid. Les vaccinés ne sont protégés qu’à 40 % et guère plus de quelques mois, en cas d’infection leur charge virale est égale à celle des non-vaccinés infectés et ils peuvent transmettre parfaitement la maladie. Cela explique que l’immunité collective est irréalisable par la pseudo vaccination actuelle.
Conclusions
Ce panorama de l’évolution de l’épidémie dans ces pays champions de la vaccination, telle qu’elle est décrite par les données de l’OMS et les courbes de l’Université John Hopkins démontre :
- Que les pseudo vaccins Covid ne protègent pas les populations des récidives de l’épidémie
- Que les agences sanitaires abandonnent l’espoir d’une immunité collective par la vaccination maintenant qualifiée de mythe par la quasi-totalité des agences qui y croyaient
- Que cet échec est la conséquence de l’efficacité insuffisante et de la durée beaucoup trop courte[13] des pseudo vaccins actuels qui n’empêchent ni d’être malade ni de transmettre la maladie
- Que beaucoup d’experts pensent qu’il est temps d’apprendre à vivre avec le covid comme avec la grippe saisonnière.
L’échec maintenant patent des pseudo vaccins est d’autant plus criant que les traitements précoces bon marché ont fait leurs preuves d’innocuité et d’efficacité en Inde comme en Afrique (Nigéria, Madagascar) lorsqu’on regarde leurs données publiées par l’OMS.
L’inde a privilégié les traitements précoces et préventifs par hydroxychloroquine et Ivermectine avec succès.
Le Nigéria a bénéficié des traitements quotidiens par les antipaludéens
Madagascar est le champion victorieux de l’Artémisine
Dr Gérard Delépine
Notes :
[2] : Lawrence Wong Singapour n’atteindra pas l’immunité collective contre le COVID
https://www.bworldonline.com/95-herd-immunity-vs-delta-is-a-myth-says-infectious-disease-expert/
[3] La Corée du Sud est en passe de créer une immunité collective après avoir vacciné 20 millions de personnes
https://en.yna.co.kr/view/AEN20210803004500320
[5] https://www.nationthailand.com/international/40004280
[6] Milena
Hassenkamp, Christoph Hickmann, Armin Himmelrath, Martin Knobbe, Timo
Lehmann, Martin U. Müller, Miriam Olbrisch, Gabriel Rinaldi et Christoph
Schult L’immunité collective est impossible. Maintenant quoi ? Der
Spiegel 21/7/2021
https://www.spiegel.de/international/germany/herd-immunity-is-impossible-now-what-a-35335ea0-5ab2-4e3d-95e5-f2672b817056-amp
[7] Ritzau/Le local news@thelocal.dk @thelocaldenmark 6 août 2021
https://www.thelocal.dk/20210806/explained-why-has-denmark-given-up-on-achieving-herd-immunity-via-vaccines/
[8] https://grapevine.is/news/2021/06/11/icelands-herd-immunity-is-progressing-well/
[10] https://icelandmonitor.mbl.is/news/news/2021/11/08/hopes_booster_shot_will_create_herd_immunity/
[11] https://www.rte.ie/news/primetime/2021/0608/1226962-covid-19-ireland-herd-immunity/
[12] Allocution liminaire du Directeur général de l’OMS lors du point de presse sur la COVID-19 — 12 octobre 2020
https://www.who.int/fr/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—12-october-2020
[13] 4 à 6 mois alors que L’immunité naturelle dure beaucoup plus longtemps
Taux de mortalité pour tous les décès et décès impliquant COVID-19, Angleterre
Source: Deaths by Vaccination Status in England
Les statistiques publiées par l'Office for National Statistics [UK] le 13 septembre 2021, les décès par statut vaccinal en ANGLETERRE, entre le 2 janvier et le 2 juillet 2021, sont les suivants :
|
|
|
Tous les décès quel que soit le statut de vaccination |
322692 |
|
- Dont Non vaccinés |
92711 |
29% |
-
Dont Vaccinés : |
229981 |
71% |
- Décès dans les 21 jours suivant la première dose |
16634 |
7% |
- Décès 21 jours ou plus après la première dose |
69672 |
30% |
- Décès dans les 21 jours suivant la deuxième dose |
10850 |
5% |
- Décès 21 jours ou plus après la deuxième dose |
132825 |
58% |
Les décès chez les personnes « vaccinées » sont deux fois et demi plus nombreux que les décès chez les non vaccinées.
Si vous vous voulez abréger votre vie, faites-vous injecter 1, 2, ou 3 doses (comme les gouvernements vous incitent à le faire) Pfizer, Moderna, JJ, AstraZeneca ou n’importe quel autre "vaccin" ARNm.
Hannibal Genséric
Les armées françaises, Macron, toutes les instances gouvernementales, les politiciens, les députés, les sénateurs, les médecins et leurs comités véreux, les journalistes de tous les médias, liste non exhaustive, ont complètement trahi le peuple français. Ne parlons même pas des forces de l'ordre qui sont devenues de très violentes milices obéissant aveuglement au psychopathe criminel qui nous sert de président. Et cela est vrai dans la presque totalité des pays du monde entier, où les dirigeants corrompus appartiennent corps et âme à une oligarchie financière mondiale composée de très grands criminels, pour l'instant hors d'atteinte. Le génocide mondial, débuté en 2019 avec leur soi-disant pandémie, aurait pu s'arrêter rapidement si les diverses manifestations populations auraient été menées par de vrais organisateurs couillus, courageux, bagarreurs, violents. Ainsi la prise rapide de l'Elysée aurait stoppé de facto le génocide du peuple français. Au lieu de cela, nous avons eu des organisateurs de manifestations, Florent Phillipot et Richard Boutry par exemple, qui n'ont à la bouche que la phrase : "surtout pas de violence". Et évidemment, pour qui la prise rapide de l'Elysée n'était absolument pas un objectif. Résultat : n'étant donc pas du tout inquiété par les manifestations pacifiques, le gouvernement français a pu avoir tout le temps nécessaire et le loisir de génocider sa population avec les injections de Bill Gates, un très dangereux criminel planétaire. Et vous avez des personnes, Philippe Argillier par exemple, qui depuis le début du génocide mondial, en 2019 donc, pouvaient arrêter cela grâce à des documents, paraît-il, très compromettants, mais qui se sont pour l'instant bien gardées de les rendre publics. Par conséquent eux aussi ont laissé deux années à notre gouvernement de psychopathes pour injecter le poison de Bill Gates à presque tous les français. Et à des milliards d'habitants de la terre. Le moment venu, lorsque de vrais manifestants enragés auront remplacé les taffioles-pacifistes-non-violents actuelles et balayé les miliciens de Macron et tout le gouvernement, il faudra créer des tribunaux populaires partout en France et juger tous les responsables et les très nombreux complices de ce génocide. En aucun cas ne devraient être mis en place des tribunaux militaires. Les hauts gradés militaires, dont la fourchette des grades devra être choisie par le peuple, devraient être parmi les premiers à être présentés devant les tribunaux populaires. Ces militaires hauts gradés, censés protéger le peuple français, regardent très passivement celui-ci se faire génocider depuis 2019. Alors qu'il aurait juste fallu que quelques militaires hauts gradés, voyant le génocide avéré des français par le gouvernement de criminels, mettent aux arrêts tous ces criminels psychopathes. Ils n'ont strictement rien fait pour le peuple depuis deux ans !!! Se concentrant uniquement sur leur plan de carrière. La vraie révolution est pour bientôt.
RépondreSupprimer" ... Ainsi la prise rapide de l'Elysée aurait stoppé de facto le génocide du peuple français. ..."
RépondreSupprimerAvec des lance-pierres ? Par des civils sans aucune formation militaire ni encadrement, ni aucune véritable détermination ?
Ça tient de la blague !
Sans porter ici de jugement sur la pertinence de leurs manifestations, heureusement que les meneurs (apparents) que vous citez n'ont pas cherché à faire ce que vous dites. C'eût été un bain de sang assuré et parfaitement inutile. Voyez comment se sont soldées les événements parisiens de 1934, et encore, à l'époque les gardes mobiles ne disposaient que de fusils anciens, et les manifestants n'étaient pas des demi-sel (souvent d'anciens poilus).
Avant de déclencher une bagarre, la moindre des choses est de jauger la partie adverse.
Dans aucun pays, cette folie n'a été essayée. Même aux États-Unis, pays parait-il surarmé, aucun coup de feu n'a encore claqué malgré la tyrannie.
Alors peut-être que lorsqu'il s'agira directement et à l'instant de sauver sa peau, les comportements changeront mais le rapport de force restera ce qu'il est, totalement disproportionné pour espérer la moindre victoire. Voyez les millions de morts de la révolution bolchevique, des guerres de Vendée, de la révolution chinoise, etc.
La réalité est que "le peuple" s'est fait rouler dans la farine dès 1789 et que c'est lui-même qui a donné tout pouvoir à l’État totalitaire pour créer ce rapport de forces irréversible à vue humaine. L'un des derniers exemples en date ou les Français se sont tiré une balle non pas dans le pied mais dans le ventre (dixit Poutine) : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/fillon-autorise-le-tir-a-balle-98955.
Ah ah! C'est comme le radar sur la route : quand c'est fait, c'est fait !
Merci pour l'échange. Vous faites partie des personnes qui préfèrent souffrir toute leur vie et voir leurs proches se faire tuer, sans avoir le courage de lever le petit doigt. Vous oubliez cruellement que le peuple est immensément plus nombreux que les miliciens de Macron, grâce auxquels il est encore sur son trône. Les gens en 1789 avaient des fourches, des bâtons, des couteaux… et surtout le nombre. Environ 3000 miliciens de Macron sont alloués sur Paris lors des manifestations hebdomadaires. Et en face il y a potentiellement plus de 14 millions d'habitants !!! Et les 3000 miliciens de Macron maîtrisent parfaitement les centaines de milliers qui manifestent. Les français ont tellement été émasculés que 300 miliciens suffiraient amplement pour les contenir. Si au départ, un grand nombre de manifestants aurait bousculé les miliciens de Macron et foncé sur l'Elysée, notre dystopie aurait pris fin de suite. Et il y aurait eu très peu de décès. D'ailleurs au début du mouvement des gilets jaunes, les manifestants étaient arrivés une fois très proches de l'Elysée. Au lieu de cela, on a laissé deux années à ces criminels pour génocider de manière différée presque tous les français. Le poison de Bill Gates, injecté à des milliards d'humains sur terre, aura des effets létaux ou gravement incapacitants surtout différés dans le temps, nonobstant que certaines personnes soient décédées rapidement après l'injection du poison. Donc, en employant une métaphore, je dirais que des milliards d'humains ont été tous poussés dans le vide du haut d'un immeuble de vingt étages, et qu'ils sont encore vivants car ils n'ont pas encore touché le sol. N'oubliez pas que le peuple français, et les autres peuples, est génocidé depuis 2019 sans personne pour les aider tangiblement de manières coercitives ! Deux très longues années à la merci totale de nos très nombreux bourreaux : Macron, le gouvernement, les députés, les sénateurs, les magistrats, les forces de l'ordre ultra violentes, les médias, les journalistes, les hauts fonctionnaires, les instances gouvernementales, les médecins et leurs comités… La révolution française de 1789 a vu la création naturelle de tribunaux populaires pour juger et exécuter rapidement les déclarés coupables, l'imminente seconde révolution française ne dérogera pas à cette règle. Nous avions eu besoin de l'aide des Armées françaises tout au début du génocide différé, mais en aucune façon de nos jours, deux années plus tard, lorsqu'il ne reste plus qu'une poignée de millions de français non empoisonnée. Prochainement chacun aura à assumer pleinement ses actes, ou non actes.
SupprimerExcellent !
SupprimerLa déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793 énonce en son article 35 : «Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs».
aucune réélle révolution n'est nécéssaire ; il suffit d'une gréve GENERALE, on ne travaille plus , on coupe tout et on attends que les parasites sortent de leurs trous !! sans le peuple souverain , ils ne sont rien , je dit bien rien !!
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