"Nous corrompons pour contrôler", a déclaré le grand maître maçonnique Giuseppe Mazzini. "Nous avons enlevé au peuple tous les dieux du ciel et de la terre, sa foi religieuse, sa foi dans la monarchie, son honnêteté et ses valeurs familiales..."
La société a été complètement subvertie et colonisée par ce pouvoir occulte et ne le sait même pas parce que les mêmes banquiers juifs contrôlent les médias de masse et l'éducation. Beaucoup de juifs et de francs-maçons sont des collaborateurs mais tous ceux qui souhaitent réussir dans la vie publique doivent en devenir complices, qu'ils le sachent ou non, qu’ils le veuillent ou non. La société moderne est bâtie sur des sables mouvants. Nous sommes des esclaves contrôlés par l'esprit, mais grâce à Internet, de plus en plus de gens se réveillent.
Le colonel Dall a personnellement confronté [le gestionnaire du FDR] Louis Howe (à gauche) à propos d'agents communistes russes qu'il a vus rencontrer Howe à la Maison Blanche. -- "FDR : mon beau-père exploité" (1970)
par Henry Makow Ph.D.
En 1913, le membre du Congrès Charles August Lindbergh a déclaré: "Lorsque le président signera ce projet de loi, le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire sera légalisé ... Le plus grand crime des âges est perpétré par ce projet de loi bancaire et monétaire ... Le jour du jugement n'est plus que de quelques années."
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| Lindbergh |
Paroles prophétiques.
La création de la Federal Reserve Bank en 1913 a déclenché une série d'événements funestes qui ont gâché le 20e siècle et assombri nos perspectives pour le 21e. Cela a commencé avec les guerres mondiales et la Grande Dépression, et se poursuit avec le 11 septembre et les guerres en Afghanistan, en Irak, en Libye, en Syrie et en Ukraine.
En 1913, les dirigeants américains ont été soudoyés et dupés par des banquiers pour la plupart étrangers et leurs agents américains. Nos "dirigeants" ont commis une trahison en donnant à ces banquiers le pouvoir de créer de l'argent à partir de rien, soutenu uniquement par le crédit, c'est-à-dire les impôts, du peuple américain.
Le gouvernement américain emprunte désormais son propre argent à des banquiers internationaux et leur verse des intérêts à hauteur de 400 milliards de dollars par an pour ce privilège.
Si vous êtes capables de tromper les États-Unis de cette façon, que feriez-vous ensuite ?
Soit vous rendriez le pouvoir magique à son propriétaire légitime, le gouvernement américain. Soit vous l'utiliseriez pour conquérir le monde, tout posséder et contrôler tout le monde.
Devinez quel choix les banquiers juifs ont fait ?
L'histoire moderne montre un plan à long terme des familles bancaires dynastiques et de leurs alliés pour créer une dictature mondiale orwellienne ("Nouvel Ordre Mondial") dans laquelle la richesse sera davantage concentrée et la vie humaine sera davantage dégradée.
Les guerres et les dépressions, les pandémies et les "vaccins", l'art et la culture modernes, la dysphorie de genre, la "libération" sexuelle et le féminisme font tous partie de ce plan. Le rôle des historiens et des médias est d'obscurcir ce plan et de tromper les masses en leur faisant croire qu'elles sont libres et que leurs dirigeants représentent leurs intérêts.
(Dall, à gauche avec FDR et sa fille
Anna)
FDR EXPOSÉ PAR SON GENDRE
Cette conviction a été renforcée par le livre du colonel Curtis Dall, "FDR: My Exploited Father-in-Law" FDR : Mon beau-père exploité" (1970). Dall, qui était marié à la fille de Franklin Roosevelt, Anna, a passé de nombreuses nuits à la Maison Blanche et a souvent guidé FDR dans son fauteuil roulant. Il était également associé dans une maison de courtage de Wall Street.
Dall a maintenu une loyauté familiale mais n'a pas pu éviter plusieurs conclusions décourageantes dans son livre. Il dépeint le président légendaire non pas comme un leader mais comme un " quarterback " avec peu de pouvoir réel [1].
Le " coaching staff " se composait d'une coterie de gestionnaires pour la plupart juifs ("conseillers" comme Louis Howe, Bernard Baruch et Harry Hopkins) qui représentaient le cartel bancaire international [2]. Pour Dall, FDR était finalement un traître manipulé par "World Money" [Monnaie Mondiale] et motivé par la vanité et l'ambition personnelle.
La principale perfidie de FDR a été de supprimer les informations sur l'attaque japonaise sur Pearl Harbor, au prix de près de 3.000 vies [3]. Il l'a fait parce que les banquiers avaient besoin de l'implication des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale, ce à quoi plus de 85 % des Américains s'opposaient. Les Japonais avaient pour instruction d'annuler l'attaque s'ils perdaient l'élément de surprise.
Dall raconte une anecdote moins connue mais plus parlante.
En 1956, George Earle, à gauche, ancien gouverneur de Pennsylvanie, lui raconta qu'en 1943 les nazis avaient tenté de se rendre. À l'époque, Earle était attaché naval à Istanbul lorsque l'amiral Wilhelm Canaris, chef des services secrets allemands, l'a approché personnellement.
Canaris lui a dit que les généraux allemands sentaient que Hitler menait l'Allemagne à la destruction. Ils ne pouvaient pas accepter la politique de Roosevelt de « reddition inconditionnelle », mais si FDR offrait une « reddition honorable », l'armée était prête à organiser un coup d'État.
Ils croyaient que la Russie représentait une menace pour la civilisation occidentale et ils étaient prêts à présenter un rempart allemand non nazi contre les desseins communistes en Europe de l'Est.
Pour faire court, FDR a ignoré à plusieurs reprises cette proposition qui aurait pu mettre fin à la guerre en 1943 et sauver des millions de vies. Canaris et des centaines d'autres officiers allemands décents ont ensuite été torturés et tués par la Gestapo.
La politique des banquiers, comme en témoignent les bombardements incendiaires des villes allemandes, était clairement de 1) prolonger la guerre et infliger un maximum de dégâts à l'Allemagne, 2) veiller à ce que la Russie soviétique occupe l'Europe de l'Est et devienne une grande puissance mondiale.
Franchement, je n'arrive pas à croire ce qu'étaient Canaris et les généraux allemands. Ils n'avaient pas besoin de l'approbation des Alliés pour déposer Hitler. Ils auraient pu le faire et continuer la guerre si nécessaire. Aucun d'entre eux n'a réalisé qu'Hitler était un agent "britannique" ???
FDR - COMPAGNON DE VOYAGE ET FRANC-MAÇON--------------------------------------------------
NOTES de H. Genséric
[1] Le quarterback (QB), appelé quart-arrière en français canadien, est un poste offensif au football américain et au football canadien. Le quarterback est placé derrière sa ligne offensive et dirige l'attaque. En connexion avec le centre, le quarterback prend le snap et doit distribuer le jeu.
[2] Le Minyan de Biden et le récit de l'Holocauste
Quel que soit le président, la Maison blanche compte suffisamment de Juifs pour constituer un minyan, le nombre de Juifs tenus de tenir un service de prière dans une synagogue. Alors qu’ils ne représentent que 2% de la population américaine, ils accaparent de 20 à 30% des postes décisionnels à la Maison Blanche.
[3] Est-ce un hasard ? le nombre de morts (3000) dans le faux attentat du 11 septembre est le même que celui de Pearl Harbor, qui a été aussi un piège pour amener le peuple américain à entrer en guerre. Le 7 décembre 1941, le Japon attaque la base navale américaine de Pearl Harbor à Hawaï. Le lendemain, le Congrès a adopté une déclaration de guerre contre le Japon. Les États-Unis étaient officiellement un acteur de la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, ce n'était un secret pour personne que même avant l'attaque, FDR voulait soutenir la Grande-Bretagne contre l'Allemagne nazie. Le peuple américain a rejeté cela - jusqu'à 94% du pays s'est opposé à une intervention . C'est pourquoi certains historiens affirment que le président a salué l'attaque du Japon.
Hannibal Genséric
Je pense que le point de départ de la COVID-19 était les morts avec les produits pour les cigarettes électroniques aux usa juste avant la pandémie (sic) , n'est au moins l'essaie a grand échelle
RépondreSupprimerC'est comme pour les trains, une mort en cache une autre.Attention danger.
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