mercredi 10 mai 2023

La question juive en Europe : les causes, les effets, les remèdes . Par La Civilta Cattolica. Partie 2/3

Ce document a été écrit il y a 133 ans. Il montre que, depuis la nuit des temps, le comportement de la secte juive n'a pas changé et ne changera pas. Au contraire : depuis 1890, les choses n'ont fait qu'empirer (et continueront d'empirer) pour les goyim, qu'ils soient aux États-Unis ou en Europe. H. Genséric
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Table des matières

Partie-I :  - Les causes
Partie II - Les effets
I. Source du pouvoir
II. L'usure, arme d'assujettissement/domination financière
III. Extorsion de biens / Immobilier dans les Balkans et à Rome
IV. Révolution française/Banque et Algérie
V. Journalisme et éducation
VI. Pouvoir parlementaire
VII. Alliance juive mondiale/Alliance vs. Jésuites
VIII. D'où vient la franc-maçonnerie ?
IX. Liberté et judéo-maçonnerie/Abus de la liberté aux États-Unis
X. Objectif de Puissance Globale/Prophétie pour l’an 2000.
Partie III - Les recours (à venir)
I. Révolution/Décimation/Tollé pour la défense
II. Comment défendre ?/Défense impossible ?/Droit des victimes neutralisé
III. Propositions de défense/Défense sans guerre/Complications/Plus de complications
IV. Défense par expulsion
V. Le concept d'étranger/respect égal, droits différents/une défense ultime
TOI. Conversion au christianisme ?/Pas un cas solide/Réalité philosophique
VII. Apostasie et châtiment/Exemple 1 : France/Exemple 2 : Italie/Fléau de la justice/Prophéties pour une résolution.

Partie II : Les effets

I. La source du pouvoir

Cette série d'apothegmes, qui aboutit en 1780 à la synthèse des droits de l'homme, équivalait en fait à l'onction des droits des Juifs, au détriment du peuple, au sein duquel la pratique de ces droits a été introduite. Ces droits ont été la porte du palais du pouvoir par lequel, en notre siècle, le judaïsme est entré et a assiégé la société chrétienne, l'a assaillie, l'a bouleversée et, dans une large mesure, l'a dépassée. Ce qui se manifeste aujourd'hui, au milieu de la stupeur universelle dans laquelle se trouve l'Europe, c'est que la diffusion d'idées politico-irréligieuses déferle désormais sur les nations. Ceci est presque totalement dû au pouvoir des Juifs. A tel point que Chabany a pu publier un livre intitulé en toute vérité, Les Juifs : nos maîtres, que personne n'a contesté.

Fin 1847, Cerfbeer, président du Consistoire central juif de France, décrivait ainsi le succès de ses compatriotes juifs dans ce pays :

« Les juifs, proportionnellement à leur nombre, occupent plus de postes que les catholiques et les protestants réunis. Leur influence ruineuse s'exerce plus que jamais en ce sens qu'ils sont responsables de transactions qui aggravent grandement le patrimoine de la nation. Il n'y a pratiquement aucune entreprise dans laquelle ils ne participent pas, ni d'emprunts publics qu'ils ne détiennent pas, ni de krachs désastreux qu'ils n'ont pas préparés et dont ils n'ont pas profité. Beaucoup se plaignent, comme chaque jour ils jouissent du meilleur des faveurs et gagnent l'avantage sur tous les autres." (17)

  (17) Les juifs, p. 9.

Plus tard, le converti, P. Ratisbonne, souligna :

« En raison de leur dextérité et de leur ingéniosité, et en raison de leur désir de dominer, pas à pas, les Juifs ont occupé tous les domaines qui mènent à la richesse, à la dignité, au pouvoir. La société moderne est imprégnée de leur esprit. Ce sont eux qui réglementent la bourse, la presse, le théâtre, la littérature, les échelons supérieurs du commerce, sur terre et sur mer ; et par la possession des capitaux, et par ruse, ils ont pris actuellement, comme dans un piège caché, toute la société chrétienne. ." (18)

  (18) Question juive, ["La question juive"], pag. 9.

Et il en est ainsi, non seulement en Europe centrale, mais partout, sauf en Russie. Comme au temps de l'arianisme, l'heure où le monde chrétien, sans s'en rendre compte, s'est trouvé Arien, ainsi aujourd'hui, l'Europe se trouve embourbée, et en grande partie non plus chrétienne, mais juive ou judaïsée. De là émerge la question de ce qui doit être fait pour protéger les droits du christianisme ?

II. L'usure, arme d'assujettissement

Sebastian Nicotra cite un passage d'un vieux manuscrit, récemment découvert, dans lequel un Juif décrit la clé du pouvoir juif à notre époque. Il dit à ses frères :

  "Mes fils, Jéhovah est avec nous dans sa miséricorde et nous a réservé une arme puissante, ou pour mieux dire une vertu invincible, que nous devons lancer au milieu des nations du Christ afin de les soumettre à notre domination. Cette vertu est nommée dans le livre saint, et elle s'appelle l'usure. Le livre saint, vous le savez, interdit l'usure entre frères, contre la tribu, contre nous-mêmes ; mais il n'interdit pas d'en user contre l'étranger, contre l'infidèle , contre l'ennemi, puisqu'elle est une arme de guerre et un instrument de victoire. L'usure reste donc à nous, et mieux que la foi et la morale du Christ, l'usure est la petite pierre tombée de la montagne, qui doit couvrir le monde ; la graine de moutarde qui devient un arbre superbe, qui dominera le monde." (19)

(19) Socialismo, page ["Socialisme"]. 339-40.

Il y a neuf ans, un grand rabbin, s'adressant à Paris à ses fidèles, disait :

« Sous prétexte d'aider les masses ouvrières, nous pouvons conquérir le monde en taxant la majorité des propriétaires terriens, et lorsque leur propriété (par l'usure) sera transférée à notre pouvoir, le travail du prolétariat chrétien tombera à notre avantage. La pauvreté asservie, disait le poète. Les prolétaires sont les derniers serviteurs des spéculateurs (usuriers), mais l'oppression et l'outrage servent humblement la ruse. Qui peut nier la ruse, la prudence et la perspicacité des Israélites ?" (20)

  (20) V. Le Contemporain, 1er juillet 1881

Cette fleur de la doctrine talmudique a imprégné l'esprit du judaïsme contemporain, attentif aux paroles de la Bible, Pecuniae obedium omnia (Tout obéit à l'argent). Sur la liberté de pratiquer l'usure, Michelet écrit :

"Les Juifs ont résolu le problème de la volatilisation de l'argent ; on leur a accordé la liberté de prêter, et ils sont maintenant des hommes libres, des propriétaires ; de transaction en transaction, ils sont montés sur le trône du monde."

En mars, le rédacteur en chef de la Pall Mall Gazette à Londres, envoya un de ses correspondants à Berlin, pour interroger les prédicateurs de la faction Stoecker, dont l'un est le chef très zélé de la ligue antisémite d'Allemagne. Le pasteur Stoecker a été cité disant :

"Je ne hais pas les Juifs, ni ne leur souhaite du mal par haine religieuse, mais comme je sers Dieu,  en tant que pasteur luthérien, et en tant que représentant de la nation, je ne puis me taire, ayant entendu et vu le mal infini que les juifs ont fait et font encore dans mon pays et surtout à Berlin. Ici, le Juif a tout l'or entre ses mains, et par conséquent il détient aussi entre ses mains tout le pouvoir. Je ne déteste pas les Hébreux parce qu'ils sont riches, mais parce qu'ils accumulent malhonnêtement des richesses. A la campagne, ils trompent les hommes d'affaires, et à la ville, ils gagnent de l'argent par de sales moyens. Je maintiens ce que j'ai dit plus haut : qu'au point de vue du commerce, des intérêts sociaux, de la politique et de la morale, les Juifs conduisent l'Allemagne au précipice. »

Domination financière

La situation en Allemagne a atteint un tel point, qu'en septembre, M. Ahlward a pu publier à Berlin son livre, intitulé, La lutte désespérée entre le peuple aryen et le judaïsme, que, en raison de ses preuves effrayantes, le gouvernement a cru qu'il était nécessaire de le supprimer.

Le même mois, le parlement allemand a fait écho aux avertissements des Autrichiens contre la domination financière effrénée du judaïsme.

Les Juifs furent dix fois des bandits dans leur domination de la maison d'Autriche ; et pris fermement sous Ferdinand Ier, frère de l'empereur Charles Cinq. En Autriche, ils ont été autorisés à entrer; et ils y restèrent comme serviteurs du saint empereur, jusqu'au temps de Tersa qui les favorisa et leur permit d'aller dans diverses provinces. Dans les pays allemands, il leur était interdit d'entrer, sauf à Vienne ; ils furent autorisés à entrer sous le règne de Wenceslas, à condition de ne pas dépasser un nombre déterminé de familles. Ils étaient plus tolérés sous le règne de Stefan, y restant à cause des lois d'autres pays leur interdisant d'immigrer. Cependant, la plus grande liberté leur a été accordée à Trieste. Des ghettos du duché de Mantoue, de la République de Venise, des États pontificaux et du Levant, ils ont pu venir à Trieste, donc  ils feignent aujourd'hui d’avoir un penchant pour Trieste, professant une sorte d'hyper- patriotisme, c'est en fait scandaleux. Ils sont également allés en Pologne, où les Juifs de Gallice et d'autres régions polonaises ont obtenu les mêmes privilèges. Enfin, de 1848 à 1869, toutes les restrictions défensives de l'Empire sont abrogées, et les Juifs sont libres d'y entrer et de s'y insinuer.

Cela a été fait et se fait actuellement.

Au cours de la discussion au Reichsrath viennois sur la question juive, le vaillant orateur Lueger déclara, avec l'approbation de la majorité des députés :

« La domination universelle des Hébreux est-elle un conte de fées ? Regardez la France, regardez la Hongrie. Dans ce dernier pays, l'hébreu le plus vil a plus de pouvoir que le cardinal primat. Et qui, en Autriche, en termes de preuve de la prédominance des Juifs, peuvent nier qu'ils possèdent l'industrie sidérurgique du Nord, et les entreprises pétrolières, et le charbon, et que tout cède à leur avantage ? Et n'est-ce pas un argument sérieux en faveur de leur prédominance, que le président de la Reichsrath a l'intention de demander à notre collègue Pattaï de ne pas parler ici de Rothschild, de peur qu'il ne réduise nos financements publics ?"

III. Extorsion de propriété

Il s'est passé autre chose qui vivifie aussi l'exemple austro-hongrois, si corrompu par le judaïsme, et pire qu'une vigne en proie aux chenilles. Il est maintenant opportun de s'expliquer.

La descendance d'Abraham, en dix ans, a augmenté de 2,07 % : de 1.154.000 que ses enfants étaient en 1869, à 1.648.708 aujourd'hui. La limite légale à la possession de biens a été extorquée par les Hébreux après 1848 en Hongrie, et après 1862 dans le reste de l'Empire. Dans un si bref intervalle, la famille Rothschild, rien qu'en Bohême, acquit un quart de la terre, ainsi que la possession de 60 des plus anciennes maisons du royaume; et maintenant ils en possèdent sept fois plus que la famille impériale. Aujourd'hui, dans le royaume de Saint-Etienne, les Juifs ont en leur pouvoir tant de nobles, qu'ils jouissent de plus d'un quart des voix électorales aux élections pour les postes les plus élevés ; et ils ont commencé à cueillir les titres et les noms des lignages les plus illustres de cette région. La moitié du comté de Neutra appartient désormais à un seul hébreu, le baron Poppel.

La dette publique hongroise, qui en 1873 était de 221 millions de dollars, s'est élevée en 1885 à 1.461 millions de dollars et dépasse maintenant 1.600 millions de dollars. Et le ministre Tisza, le grand patron des Juifs, a proposé il y a trois ans de donner une place d'honneur à la cour à Alberto Rothschild et à sa femme, en reconnaissance de ses mérites à éponger le crédit national. Lui accorder cela, c'est ajouter à la moquerie.

Mais l'exemple le plus désolé est la Gallice. Les Juifs, en un peu plus de vingt ans, ont pris possession de 80% de son territoire, puis ont gagné toujours plus de pouvoir et de possessions, et mis aux enchères des terres qui ne payaient pas d'impôts.

L'arrogance de cette race dans l'Empire des Habsbourg est telle que, il y a peu de temps, un avocat municipal juif de Vienne répondait publiquement à un chrétien, qui se plaignait du grand pouvoir accordé aux juifs : "Si les chrétiens sont incapables de tolérer cet état de choses, le remède est clair : quitter l'Empire,  qu’ils émigrent vers un  ailleurs plus hospitalier."  Beaucoup suivront ce conseil, puisque 2 millions d'usuriers juifs étrangers se sont appropriés le patrimoine de 40 millions d'Austro-Hongrois, qui leur ont accordé l'hospitalité et l'égalité civile. Et dans tout l'Empire va renaître la culture de la terre par les esclaves, qui font gagner de l'argent aux nouveaux propriétaires juifs. Les descendants des anciens princes et magnats bêcheront les jardins et les champs des chiffonniers émancipés de Vienne, de Presbourg, de Buda ; et leurs enfants laveront les pieds de Sara et de Guiditte.

Immobilier des Balkans et de Rome

Nous pouvons également citer l'autre exemple des Balkans, en particulier de la Roumanie, où le Congrès de Berlin de 1878, dominé par le pouvoir juif occulte, a imposé l'obligation de rendre les Juifs pleinement égaux tant sur le plan national que sur le plan national. niveaux civiques. On peut aussi citer qu'en Russie, les terres appartenant à la noblesse sont hypothéquées à plus des deux tiers par des banquiers allemands, juifs pour la plupart, et que les terres des fermiers tombent chaque jour entre les mains des Koulaks, c'est-à-dire des les usuriers. Mais jetons aussi un coup d'œil sur notre Italie, où le judaïsme est à la fois patron et pillard depuis trente ans.

En Italie, il y a environ cinquante mille Juifs qui se sont enfouis dans la Péninsule, et qui ont leur quartier général à Venise, à Mantovano, dans les anciens États étendus et à Ferrare. Dans cette région qu'on peut appeler l'Italie juive, ils règnent sur tout. Personne ne dépense un lire, sans en bénéficier. Le commerce, l'industrie, le change, la vente en gros, l'immobilier rural et urbain sont entre leurs mains. Il suffit de noter qu'un quart du territoire provincial de Padoue appartient aux Hébreux, et qu'un cinquième des hypothèques sont entre leurs mains. Ancône, Livourne et Florence vivent sous le joug de l'usure des Israélites. Parmi eux, beaucoup attendent déjà avec impatience le jour où les villas les plus somptueuses, les plus grandes propriétés foncières, et les palais patriciens les plus célèbres tomberont dans leurs paniers, afin d'être, par ces acquisitions, puissants sur les propriétaires découragés ou imbéciles, qui n'arrivent pas à s'en libérer. Il y a deux ans, l'un de ces Hébreux, qui il n'y a peut-être pas si longtemps vendait des allumettes quelque part à Florence, est décédé en laissant à ses enfants la bénédiction de 18 millions de dollars en espèces, accumulés comme Dieu l'avait ordonné.

Et comment parler de Rome, qui plus que par une épée italienne, est prise dans l'étau du grand piège juif, qui la lie par toutes sortes de petits et grands larcins ; elle est engloutie par une succession de troubles, de pleurs, de misère qui font pitié. L'usure, dans cette capitale, est plus due aux Juifs qu'aux Italiens ; les Juifs règnent en maîtres ; et par l'usure ils font leur somptueux chemin vers la contrebande, la corruption et le pillage. Et ils ont aussi pénétré dans les recoins de cette bourse, qui sont les travaux publics, les monopoles et les diverses compagnies qui servent l'État. Il est horrible de voir les millions engloutis, avec cette même insouciance avec laquelle le grand maître de la maçonnerie italienne a acquis sa renommée : à travers la concession nationale des tabacs. En août 1887, un juif de Rome écrivit ces mots remarquables à son fils juif allemand :

"L'honorable Francesco Crispi est le meilleur ami des Hébreux et il protège leurs intérêts de toute son âme. Pour cette raison, nous, Juifs en Italie, avons une grande influence dans le gouvernement ; il nous rend si heureux, car nous pouvons espérer suffisamment de puissance pour pouvoir prospérer et récolter le fruit de notre travail, sans être inquiété. » (21)

               (21) Judische Press ["Presse juive"], 8 août 1887.

IV. Révolution française

La France, sur tous les autres pays, mérite, dans ce traitement, d'être considérée. Les révélations de Drumont éclaircissent l'accumulation d'argent faite par les Hébreux, sous l'égide des droits de l'homme, promulguée cent ans plus tôt, et aussi en France. Faisons un suivi là-dessus. En 1791, les Juifs étaient peu nombreux, seulement quelques milliers ; qui le plus souvent volaient le royaume, un fléau maléfique sur la nation. Aujourd'hui, il y en a peut-être 60.000 à 100.000, tous avec des regards, des langues et des noms qui montrent qu'ils sont venus de Francfort, Hambourg, Pologne, Portugal. La révolution de 1793, sanglante et anéantissant pratiquement les biens de la noblesse et du clergé a attiré cette meute de vautours rapaces. Un siècle plus tard, ils sont aussi devenues, peut-être plus encore que dans l'Empire autrichien et en Italie, dominants dans tous les domaines.

Des chiffres plus récents montrent que les Juifs possèdent la moitié du total des capitaux en circulation dans le monde, dont 80 milliards de francs en France. Dans la capitale française, ils manipulent entre 150 et 200 milliards de francs ! Afin de se faire une idée de la fortune monstrueuse accumulée là par les Juifs, il convient de comparer leur nombre à celui des nationaux.

Voici la comparaison : en moyenne, chaque Juif possède entre 800.000 et 1.200.000 francs ; tandis que chaque Français, utilisant les mêmes données, ne dispose que de 6.000 francs au plus [cela veut dire qu’en moyenne, un juif possède de 133 à 200 fois plus qu’un chrétien] . La maison Rothschild, à elle seule, possède notoirement une fortune de 300 milliards de francs [En 1890, la France comptait 40 millions d’habitants, dont la fortune totale était de 40.000.000 * 6000 = 240 milliards de Fr, soit MOINS que la fortune de la famille Rothschild]. Le prince de Bismarck affirma qu'à la mort du vieux Giacomo, le fondateur de cette maison, il laissa à ses bénéficiaires 100 millions, accumulés en une cinquantaine d'années. Mais quand il est venu en France, sa fortune n'était plus que de 10 millions ! Tout le monde à Paris connaît les palais de cette famille de Crésus hébreux. Ces maisons sont évaluées à 30 millions et la décoration intérieure somptueuse à 30 millions supplémentaires. Une somme égale est comptée pour les châteaux et les usines qu'ils possèdent. Il y a encore 120 millions de valeur dont jouit cette seule maison, qu'ils balancent au grand jour sous les yeux des Français, qui n'ignorent pas leurs milliards en capital liquide. Mais ce n'est pas tout. Les principales banques sont toutes détenues par des Juifs et non par des Français, et elles possèdent des richesses inestimables. La litanie des princes d'Israël est longue ; et tous ont des noms qui ne sonnent pas français : Dreyfus, Bichoffsheim, Oppenheim, Erlanger, Hottinguer, et ainsi de suite, formant un sanhédrin bancaire, qui possède au total au moins 10 milliards de francs, tous extraite des veines des Français, grâce aux droits de l'homme, inventés par eux et accordésà cette race cosmopolite et vorace.

Banque et Algérie

Parmi plus de 600 banquiers, la plupart à Paris, au moins 300 sont manifestement juifs, 100 autres le sont probablement. Le métier et la profession de la haute finance est donc une voie rapide vers l'hégémonie, et presque tout y est happé. La moitié de l'orfèvrerie, de la joaillerie, de l'antiquaire, du commerce des fourrures et du diamant sont dominés par les Hébreux. Le meilleur est monopolisé et capturé par eux, et l'usure est affichée, avec ostentation et sans retenue.

Et ils connaissent les moyens, pires que par l'usure, de s'agrandir avec les coffres pleins d'argent français. Il y a les innombrables faillites ; les fameuses escroqueries de centaines et de centaines de millions, menées cyniquement avec des prêts et des ruses feints, comme cela a été fait au Honduras et au Panama, par l'Union générale, qui contrôlait les ressources métalliques, et par le Comptoir d'escompte , dont tous se souviennent.

Dans la colonie d'Algérie, qui fut saignée par les Hébreux, comme un corps dans les tentacules d'une pieuvre, par le Juif Crémieux, pendant la guerre de 1870, qui fut un chef-d'œuvre de perfidie, ils se donnèrent une part des droits des Français et des Arabes. Dans le journal La France, de Paris, certes pas hostile au judaïsme, le sieur Hugonnet écrivait, le 3 juillet 1884, que cette race de voleurs usuriers prêtait un franc aux soldats, pour en gagner deux le lendemain : que le taux de l'usure était de 3,650 francs pour 100. Maupassant, décrivant les ghettos algériens, où de sales Hébreux en robe arabe, prêtaient à un homme une soome d'argent, faisant signer à l'homme une note pour qu’il rembourse quatre fois cette somme en six mois, et 20 fois par an. Si le pauvre homme ne pouvait pas le faire, le Juif cupide, son coupon à la main, lui faisait donner une poignée de terre, s'il en possédait autant, ou un chameau, ou un cheval, ou des haricots qu'il avait en son taudis. Grâce à cette méthode astucieuse, finalement tout le sud de l'Algérie passa sous le pouvoir des Israélites.

Le professeur Ratzinger a légitimement observé que l'expropriation de la société française, au moyen du capital liquide, procède comme par une règle, comme une loi de la nature. Si rien n'est fait pour enrayer son cours, dans 50, ou tout au plus, dans 100 ans, toute la société européenne sera abandonnée à la discrétion d'une poignée de banquiers juifs [prévision réalisée]. S'ils continuent à jouir de la pleine sécurité qu'ils ont actuellement, en termes d'égalité civile, ils seront multipliés par deux ou trois. Si, en France, dans un siècle, les Juifs ont pu s'emparer de la magnifique somme de près de 80 milliards de francs, dans un autre siècle, tout le patrimoine national sera sous leur emprise. Soixante mille personnes composent un bloc féodal financier, qui aura pour serviteurs et esclaves, 36 millions de Français. ...

Puisqu'aujourd'hui on ne peut négocier un emprunt en Europe sans la bonne volonté des Rothschild, dans peu de temps, personne ne pourra faire la moindre affaire sans le consentement de la ligue juive internationale. Le judaïsme apporte avec lui un monde barbare, à cause de son adoration du veau d'or, qui représente sa puissance. Pietro Ellero s'est exclamé: "Il n'y a pas de vertu sur terre sauf le travail, pas de religion autre que l'argent, pas de sacerdoce autre que l'homme d'affaires, pas de rite autre que le change, pas de Dieu autre que l'argent." (22) Ainsi, l'effet pellucide de l'hégémonie hébraïqueet !

                       (22) Questione sociale

V. Journalisme et éducation

Par sa prédominance financière, la race israélite contrôle ce qui assujettit plus directement le spirituel : nous entendons le domaine de la presse publique et de l'académie. En 1848, lors du Congrès juif de Cracovie, auquel assistaient les Hébreux les plus riches du monde, il fut décrété que dans toute l'Europe, les Juifs deviendraient les propriétaires des journaux les plus puissants d'Europe. "Par ce moyen", dit le statut qui a été approuvé, "l'étoile hébraïque répandra sa lumière sur tout le monde." Et seuls les plus déconnectés seraient incapables d'admettre que ce décret a bien été exécuté.

Le journalisme et l'enseignement supérieur sont comme les deux ailes du dragon israélite, qui va piller et corrompre tout en Europe. Le pasteur Stoecker, mentionné ici plus tôt, a déclaré au journaliste de la Pall Mall Gazette de Londres : "Les Juifs achètent la presse, de sorte que la moitié des journaux sont en leur pouvoir, et ils l'utilisent pour diffuser leurs idées." Au Parlement de Berlin, on a dénoncé l'influence juive sur les écoles parce qu'elle est la source d'une dépravation indescriptible [c’est pire aujourd’hui avec le genre et les LGBTQIA+]. Des rapports allemands récents citent que sur plus de 1000 étudiants inscrits dans des études supérieures en Allemagne, 830 sont des Israélites [.

Au Parlement viennois, le député Lueger, en mars de cette année, a déclaré à ses collègues : "Souvenez-vous, messieurs, que nos écoles sont entre les mains des Hébreux, que nos enseignants chrétiens sont subitement mis en examen, et non la moindre des les accusations portées contre eux sont portées par des Hébreux ; que nos employés sont incapables de dire qu'ils sont chrétiens, s'ils veulent échapper à la persécution ; que nos journaux qui publient des écrits chrétiens sont continuellement supprimés ; » Il a également fait remarquer que les universités de l'Empire débordent de professeurs juifs ; et que surtout dans l'université catholique de Vienne, il n'y a plus de professeurs baptisés, excepté ceux de la faculté de théologie ; tous les autres, sans exception, sont circoncis. Actuellement, même le prestigieux recteur est juif. Quoi d'autre? Essayant de choisir un professeur pour l'infortuné archiduc Rodolfo, ils découvrirent qu'ils ne pouvaient pas faire mieux que le journaliste hébreu Weil, qui se convertit alors au christianisme et prit le nom des chevaliers de Weilen, et entreprit de détruire la piété et l'innocence du jeune et très malheureux prince.

La même chose est arrivée en Italie. On peut dire en toute vérité que la quasi-totalité du journalisme libéral, quel qu'il soit, est directement ou indirectement manipulé par les juifs. Milan, Turin, Venise, Modène, Bologne et Florence vivent de l'opinion publique, créée dans les ghettos et dans la synagogue. Les soi-disant journaux officiels sont tous, plus ou moins, des marchandises juives vendues au gouvernement. A Rome, c'est pareil. Les journaux les plus lus, tels que La Riforma, La Tribuna, L'Opinione, Il Diritto, Il Messagero, La Capitale, Il Capitan Francesca, sortent tous du cerveau des fils de Jacob.

Que dire de l'instruction publique ? Nous sommes entourés d'Hébreux à l'université, d'Hébreux au lycée, au gymnase, d'Hébreux dans les écoles élémentaires. Il suffit de signaler que dans un décompte effectué en 1885, un quart des étudiants de nos universités étaient juifs.

Parlons maintenant de la France. En général, tous les journaux républicains y sont forgés dans le creuset juif. Drumont a exposé cette situation incroyable à la vue du public. Mais ce qui est pire, c'est que toute la presse irréligieuse et pornographique appartient à des Juifs. Elle souille le pays et n'a d'égal dans aucun lieu barbare. Et comme le judaïsme contrôle les domaines de la presse quotidienne et des livres, ainsi il contrôle aussi l'éducation ; la plupart des textes employés dans les écoles publiques sont compilés par des Hébreux.

En somme, donc, dans l'Europe chrétienne, les juifs jouissent de l'égalité civile, et à travers elle, ils monopolisent aussi le journalisme, l'édition et l'éducation ; et ces régions souffrent sous l'influence maléfique de leur esprit anti-chrétien.

VI. Le pouvoir parlementaire

Mais ce ne sont là que les moyens de prédominer effectivement sur les affaires de l'État et de conduire les États à leur fin. Comme les juifs sont des serviteurs singulièrement avisés du droit à l'égalité, ils s'en sont servis pour influencer la politique publique, l'armée, le Parlement et le Conseil des ministres, tout comme ils se sont emparés des écoles. On peut affirmer que l'empire autrichien est gouverné, en partie secrètement et en partie ouvertement, par les Hébreux ; et quand cette histoire sera bien connue de tous, il sera démontré que les grands désastres militaires de l'Autriche, à Amgenta, à Solférino et à Sadova, ont eu lieu à cause des crimes des Juifs, et n'étaient pas dus aux stratégies employées par les armées française et prussienne.

L'Italie le prouve : en 1859, c'est devenu un règne d'Hébreux, qui ont su tromper la grande multitude d'imbéciles, se faisant passer pour de grands patriotes. Le vaillant professeur Giovanni DeStampa s'est exclamé : " Quelle honte pour l'Italie, une nation connue pour sa force et sa liberté, d'avoir un parlement qui ressemble plus à une synagogue ! L'Italie compte 30 millions d'habitants et 50 000 d'entre eux sont juifs. Ainsi, le Parlement ne devrait pas être à moitié hébreu. Pourtant on les y trouve et en grand et terrible nombre. Venise a l'honneur d'être représentée au Parlement presque entièrement par des juifs." (23)

                (23) La piaga ebrea ["La peste hébraïque"], page 17

Depuis lors, ils règnent au Parlement. C'est ainsi qu'ils détiennent la majorité des fonctions publiques , ainsi que la plupart des postes dans la banque, dans les ministères, dans la diplomatie... Partout où l'on va, on rencontre un inspecteur juif, un président de commission juif,, un magistrat juif,, un secrétaire juif, ou un avocat juif,. Et dans les municipalités ? Dans la plupart d'entre elles, les Juifs exercent une autorité despotique. Et n'a-t-on pas vu Rome envahie, dans les zones les plus jalousement gardées, par des Hébreux, qui n'ont même pas de noms italiens, mais qui sont tenus en grande estime par tout le monde Dans une centaine de villes italiennes, cela peut être prouvé, simplement en observant les panneaux au-dessus des magasins dans les zones les plus peuplées.

On peut dire la même chose de la France. Au Sénat et à la Chambre de Paris il y en a 20 ; et ceux-ci ne représentent pas plus de 60.000 de leur propre tribu. Si les chrétiens étaient représentés à ce rythme, le Parlement ne compterait pas moins de 40.000 représentants, répartis entre députés et sénateurs. Il y a quelques années, 42 départements étaient gouvernés par des préfets juifs ; et parmi les préfets, les sous-préfets et les receveurs généraux, le nombre des Juifs s'élevait à plus de 200.

La révolution du 4 septembre 1870 catapulta les Juifs au sommet du pouvoir ; et le féroce gouverneur de la Commune de Paris était l'un d'eux. Et ses chefs et ses principaux assistants sont au nombre de neuf autres juifs. Parmi eux, il y avait Gustave Dacosta, qui chassait les prêtres ; Lisbonne qui a revêtu une barrette, servie par une prostituée en habit de religieuse ; et Simone Mayer, qui a présidé à la destruction des colonnes du Vendôme. Ils s'installèrent dans la République, non seulement en nommant des ministres, parmi lesquels non seulement Crémieux, Raynal, Magnin et Lockroy ; mais aussi Say, Ferry et Floquet, tous maris de femmes juives.

Comme en Italie, aussi en Autriche-Hongrie et en Allemagne, ces gros bonnets s'emparèrent des secteurs financiers et politiques, au service de leurs propres intérêts et de leur pouvoir ; soutenus qu'ils sont par un journalisme qui confond, escroque, trompe et effraie quiconque ne veut pas être façonné par le judaïsme. Ainsi le cri : Les Juifs sont les patrons, ils nous écrasent sous leurs pieds, ils nous réduisent à néant.

VII. Alliance juive mondiale

Mais le couronnement qui, avec l'aide des sectes maçonniques, a centuplé le pouvoir juif moderne, c'est l'Alliance juive mondiale, fondée à Paris par Crémieux, puis déployée dans le monde entier, conférant à divers groupes de juifs , partout, la vigueur de tout le corps d'Israël. Son fondateur avait donc raison de la décrire comme « la plus belle et la plus féconde institution qui ait jamais été créée dans les temps modernes, et un instrument de domination si puissant qu'il gouverne le monde ». En fait, c'est un type de gouvernement mondial, le représentant officiel de la nation hébraïque, qui accorde le droit de parler en son nom. Il est simple dans son organisation. Chaque Juif peut y participer, à condition de payer une taxe de dix francs par an. Il est dirigé par un sanhédrin de 60 membres, appelé le Comité central, qui réside à Paris et représente les différentes localités. Ces administrateurs sont élus au suffrage universel et restent en fonction pendant neuf ans, avec un tiers d'entre eux remplacés tous les trois ans. De plus, il y a dix membres qui forment une commission locale, qui peuvent à leur tour créer une commission régionale. Cette structure solidaire traite des questions importantes pour l'ensemble de l'association.

Le nombre des membres ou adeptes est de plus de trente mille, avec, dit-on, un million de capital ; cependant, le montant exact n'a pas été exactement divulgué, car les Crésus de la sodalité retiennent soigneusement le montant réel.

De nombreuses autres organisations sont regroupées autour de ce centre, de tous les pays. Par le biais des organes de presse les plus influents qui forment le bec de l'Alliance, d'autres périodiques et journaux font également partie de la presse appartenant à des Juifs. "L'Alliance n'est ni française, ni allemande, ni anglaise ; elle est juive, elle est universelle. L'heureux succès et la prospérité qu'elle a obtenus sont dus à cette même universalité. "

L'Alliance Vs les jésuites

Quiconque souhaiterait comprendre ce qu'est cette Alliance pourrait le faire en lisant le tristement célèbre roman Le Juif errant, écrit par Eugène Sue contre la Compagnie de Jésus. Cette calomnie contre les Jésuites est en réalité l'histoire de cette Alliance ; et les mêmes Juifs [qui se délectent de la calomnie contre les Jésuites] agissent comme s'ils s'étonnaient d'une telle comparaison.

L'un de leurs porte-parole à l'assemblée générale de février 1870, qui a abordé la comparaison faite par Sue entre cette organisation et la Compagnie de Jésus, a déclaré : " La comparaison entre les deux sociétés est vraie en ce qu'elles sont toutes deux mondiales ; mais pas plus loin. Mais la différence entre les deux est énorme ! L'une (les jésuites) utilise son pouvoir pour opprimer ; l'autre (le judaïsme), pour libérer. Les jésuites se déploient pour étouffer la liberté ; le judaïsme pour l'apporter ; les jésuites apportent la froideur de la mort, le judaïsme la chaleur de la vie. ."  C'est toujours le langage de Satan, leur père (vos ex patre diabolo estis/tu es de ton père le diable, Jean 8:44), qui est le prince de la transformation du mensonge en vérité et de la vie en mort.

Il n'est pas difficile d'affirmer qu'à travers cette Alliance, ce groupe qui est maintenant au sein de nombreuses nations, forme une armée d'hommes apatrides qui jurent d'obéir aux ordres qui sortent d'un centre unique. L'Alliance israélienne travaille à travers le pouvoir de la franc-maçonnerie, et son union est maintenue par les loges, qui règnent sur la pègre barbare.

VIII. D'où vient la franc-maçonnerie ?

Affirmons maintenant, avec divers autres auteurs, que la secte de la franc-maçonnerie a été, dans sa première instance, créée par des juifs. Cette affirmation est maintenant en mesure d'être prouvée, bien qu'elle soit contraire à ce que disent les historiens les plus méfiants. C'est certainement ainsi que le judaïsme des siècles passés a été celui qui a introduit la maçonnerie ; et usant de ses talents diaboliques, l'imprégnant de son esprit, l'orientant vers ses buts, s'incorporant à elle et l'intégrant à sa force vive, pour la conduire là où elle voulait.

Pour arriver à ce modèle parfait de domination, qui fut toujours et qui est toujours la superstition ultime du talmudisme, le génie juif comprit qu'il y avait sur son chemin un formidable obstacle qui les barrait du monde baptisé, les rendant par conséquent impossibles pour accéder au domaine des gentils tant convoité. C'est-à-dire que cet obstacle était la religion chrétienne, base de toutes les institutions et de toutes les lois, et d'où, au fil des siècles, découlait la régulation de l'ordre civil. Mais, pour accéder à la structure de la religion chrétienne, et surtout du catholicisme, il vint aux Hébreux que la meilleure méthode serait de travailler sous l'eau, en envoyant mensongèrement leurs représentants courir devant eux, et en se cachant derrière eux; afin de soustraire la griffe juive à tout blâme. En somme, ils devaient faire passer leur assaut par des soldats qui n'étaient pas les leurs, afin de faire tomber le fort au nom de la liberté. Il fallut donc escalader ce soubassement de pierre, pour renverser tout l'édifice du christianisme. Et au service de cela, ils se sont unis au chef du monde occulte, par le biais de la franc-maçonnerie, qui leur est soumise.

Ainsi, les liens qui unissent le judaïsme moderne à la franc-maçonnerie sont désormais évidents et devraient lever tout doute. L'étude de la question dite sémitique, en France, en Allemagne, en Italie et ailleurs, autrefois ne pouvant être vue qu'à la lumière de l'ombre, insondable, est maintenant sortie de l'ombre. On sait maintenant comment la cabale talmudique a été introduite dans les rites, les mystères, les symboles et les allégories des degrés maçonniques. On sait également que les Juifs se sont non seulement mêlés à toutes les loges, et ainsi, ont augmenté leur nombre, mais ils ont également ensuite rempli les loges de leurs propres adeptes. A travers eux, ils règnent sur les autres et les dirigent, et quiconque y entre doit être approuvé par les Juifs, qui gouvernent par le sang et par le culte. On peut dire en toute confiance que tout dans la franc-maçonnerie est ordonné par un sanhédrin juif, et qu'aucun autre pouvoir ne peut l'obtenir, sauf celui qui passe par cette secte infâme. C'est ainsi que l'un des plus qualifiés des périodiques français a écrit légitimement que "le judaïsme et la franc-maçonnerie semblent aujourd'hui pouvoir s'expliquer comme une entité identique. Il s'ensuit nécessairement que pour que le judaïsme gouverne le monde, la franc-maçonnerie s'est faite juive et Le judaïsme est devenu franc-maçon."(24)

       (24) Revue des questions historiques I, 1er avril 1882.

Parmi les nombreux auteurs qui ont publié des ouvrages, tous agrémentés de documents et d'argumentations diverses, qui ont démontré ce lien intime, le meilleur est celui de l'illustre professeur Martinez, dont nous avons cité les travaux. Ce serait un grand avantage pour l'Italie s'il était traduit. (25)

      (25) Le juif, voilà l'ennemi, vol. 1, Paris. Albert Savine, éditeur, Rue des Pyramides.

IX. Liberté et judéo-maçonnerie

Tout ce qui est judaïsme est fait d'amour et de haine : l'amour insatiable de l'argent, les célébrités auri sacra fames, et la haine insatiable du Christ. L'amour sert la haine; et la haine et l'amour les poussent à l'apogée de cette puissance, qui est le délire satanique d'Israël réprouvé. Connaître l'histoire de la Maçonnerie, c'est voir, des siècles précédents jusqu'au nôtre, que leur regard concerté était fixé sur l'accumulation de richesses et le combat à mort, contre la société chrétienne, le Christ et son Église. Tout le pouvoir, à la fois manifeste et caché, de la franc-maçonnerie a été mis en service par le Juif avare et par la colère juive qui était déterminée à abattre le pouvoir chrétien, afin de tenter de créer son propre empire sur ses cendres. Du 1er mai 1789, jour où les droits de l'homme ont été imaginés uniquement au nom des Juifs, jusqu'au 20 septembre 1870, date à laquelle Rome a été conquise à coups de bombes et le pape fait prisonnier, les conspirations, les tumultes, les rébellions, les assassinats, les massacres, les guerres, en fait tout ce qui est associé aux révolutionnaires, ont toujours émergé et se sont dirigés vers le même but : de plus de richesse et d'opulence revenant aux Juifs, et de priver et d'opprimer la civilisation chrétienne.

Qui vit et qui meurt sera déterminé selon les besoins qui prévalent, mais ce sera toujours un mensonge, réalisé en trompant les gens ou par la désinformation. La liberté, qui est le prétexte pour monter sur le trône, en haine du vrai Dieu et du Christ, a toujours été utilisée par les Juifs. Par elle, ils ont acquis un pouvoir complet afin de vaincre les nations, et d'ordonner que quelques-uns doivent tyranniser tout le monde non juif ; et ils les tyrannisent par une imposture légale sur leurs biens, leur conscience, leur foi et leur famille. Du spasme de la liberté, de l'égalité et de la fraternité est sorti le despotisme de cette oligarchie tyrannique, qui a formé les États modernistes, et à qui les États modernes sont assujettis : et qui sera perçu comme ses gardiens. Ce sont l'oligarchie juive, ou l'oligarchie maçonnique qui  les capillaires entrelacés des Juifs. La liberté religieuse des catholiques était proscrite ; c'est cela, la liberté de la judéo-maçonnerie.

La liberté de la bestialité et du sacrilège fut convertie en droit public ; c'est son égalité. La haine brutale contre quiconque professe la fidélité à Dieu et à ses pères était applaudie comme amour de la patrie ; c'est sa fraternité. Dans la Rome des papes, lorsqu'ils tenaient des processions, la croix du Christ était avilie : mais le buste de Giordano Bruno, adepte de Satan, était porté en l'air et rendait de nobles hommages. Ainsi c'est un fait simple et pratique que le judaïsme et la maçonnerie sont identiques, comme le fusil dans la main de l'assassin qui tire, comme la torche dans le poing de l'incendiaire.

Ainsi les Juifs s'engraissent de tout, et se rassasient du sang du peuple et de l'Église ; mais les francs-maçons réclament toujours un estomac vide. Regardez l'Italie. La plupart des francs-maçons passent de la mendicité, ce qu'étaient la plupart d'entre eux, à l'opulence. Nos francs-maçons aspirent à la gloire des pauvres mourants ; mais pauvres avec des villas, pauvres avec des palais, pauvres avec des propriétés, pauvres avec les millions qu'ils laissent à leurs bénéficiaires. On voit des sectaires matriculés qui accumulent d'énormes pensions accumulées sans scrupules : on voit les vénérables des loges qui fixent les lois dans l'administration publique et sentent des millions de dollars de tabac. Nous voyons des héros de cette secte qui ne savent pas résister à la tentation d'un pot-de-vin de deux millions, afin d'être immortalisés avec des statues dans toutes les villes. On y voit les enfants de ces héros revendre deux fois Caprera et empocher des sommes faramineuses, tout en déplorant la misère ambiante. Nos francs-maçons n'ont pas perfectionné l'art de faire des profits quadruples, comme les Hébreux ; mais tous deux ont perfectionné l'art de tout arracher, par amour de l'Italie.

Quiconque blesse alors la maçonnerie pique en fait le judaïsme dans les yeux ; et quiconque offense le judaïsme blesse le cœur de la maçonnerie. Ils ont en commun la gourmandise de l'argent et de l'arrogance, et ils coexistent aussi à cause de leur programme commun contre le christianisme. Par exemple, il y a l'exemple français. Le cri de guerre, Le cléricalisme est l'ennemi, a été conçu parmi les écrins débordants du juif Rothschild, et diffusé par Cousin, grand maître de la maçonnerie, à Gambetta, qui l'a enseigné à ses bandits ; et les chefs les plus farouches de la croisade contre le cléricalisme, c'est-à-dire contre la religion chrétienne catholique, furent Dreyfus, les Hérold, les Mayer, les Naquet, les Spuller, les Lockroy, les Ollendorf, tous juifs étrangers. Parmi les plus impitoyables persécuteurs du catholicisme la palme revient aux juifs Hendlé, Schnerb, Levaillant. Le Juif, Sée, a inventé le lycée des jeunes filles, afin de déchristianiser, autant que possible, la femme française. Le Juif Giedroye a mutilé les grands classiques, afin de purger le saint nom de Dieu, afin que les jeunes savants ne le lisent jamais. Le juif Lyon-Alemand a ruiné un instituteur, parce qu'il avait osé, dans un livre soumis à publication, vanter l'influence bienfaisante du christianisme sur la civilisation. Le Juif Naquet proposa et fit approuver les lois favorisant le divorce. Les Juifs ont démoli les crucifix des écoles de Paris, les ont brisés et jetés dans les égouts ; et ils défendent obstinément l'école primaire laïque obligatoire, qui est sans et contre le Dieu chrétien. Les Juifs ont exigé que l'église du Panthéon soit consacrée ; et toutes ces choses étaient permises. Les Juifs voulaient dissoudre les ordres religieux et expulser les religieux masculins de leurs maisons et expédier également les religieuses; et tout de suite c'était fait. Les Juifs ont inondé la France du journalisme le plus sinistre, scandaleux et nauséabond qu'on puisse imaginer ; et les maçons l'ont joyeusement promu. En substance, les Juifs supervisent l'œuvre de destruction du christianisme et de toute noble tradition nationale ; et les maçons renégats l'ont promu parmi les gens là-bas.

Abuser de la liberté aux États-Unis

Nous avons cité l'exemple de la France. Mais nous sommes en mesure de retracer la même situation dans tous les autres pays, dans lesquels le Juif a obtenu une liberté complète grâce aux droits civils. Partout, main dans la main avec les francs-maçons, ils cherchent insidieusement l'argent et se dévoilent comme étant contre le christianisme du peuple.

Aux États-Unis d'Amérique, abusant de la liberté que leur concède la République de Washington, les Hébreux sont déjà les champions de l'école d'État neutre, par haine des catholiques qui souhaitent avoir des écoles gratuites et catholiques pour leurs enfants. A cause de cela, le Freeman's Journal a lancé un cri d'alarme qui, nous l'espérons, ne sera pas vain.

C'est la même chose ici en Italie. Hormis le journalisme, que les juifs opèrent ouvertement, pour le reste ils opèrent plus discrètement, étendant rapidement leurs mains de derrière les rochers. Les ruines qui se sont accumulées en trente ans de révolution maçonnique n'ont fait que s'étendre, au grand détriment du christianisme et de l'Italie, et par là, le judaïsme s'est emparé de tant de secteurs, qui désormais leur appartiennent tous. Mazzini complotait avec la synagogue ; les fruits de leur affection mutuelle se sont manifestés au Campidoglio de Rome; Garibaldi complotait avec la synagogue, ainsi que Cavour, Farini, Depretis ; et les humbles serviteurs de la synagogue étaient annoncés comme grands, et auxquels le public crédule élevait des bustes et des monuments pour glorifier l'amour de la liberté et de la patrie.

S'il n'est pas superflu de continuer à servir à prouver un fait, plus brillant que le soleil de midi, alors nous discuterons quel est le prix ultime aux yeux du judaïsme, à gagner au moyen de son programme anti-chrétien et dépravé, en moyen de la Maçonnerie.

X. Objectif de puissance globale

Ce prix est la domination universelle, le pouvoir du monde, considéré comme un article de foi par les cabalistes dégénérés d'Israël. Un auteur faisant autorité, dans un de ses livres publiés en 1859, a écrit : « Il y a environ trente ans, vers 1859, un diplomate viennois bien connu a raconté l'histoire de son voyage d'une capitale sud-américaine vers l'Europe. Voyageant avec lui était un Brésilien ministre, qui était alors chargé des affaires étrangères, et qui était aussi le grand maître de la loge maçonnique du Brésil. Le long et fastidieux voyage en mer a amené les deux hommes d'État à se lier d'amitié. "Vous verrez, disait un jour le Grand Maître à l'autre, que trois grandes monarchies se formeront en Europe, la romaine, sous la Maison de Savoie, la monarchie germanique, sous les Hohenzollern, et la slave, sous les Romanoff-Gottorf. Ces trois monarchies serviront de voies à trois grandes républiques européennes, d'où naîtra alors la grande république de toute l'humanité, qui est le projet de toute la fraternité initiée." (26)

      (26) Interessante Eushüllungen der Freimauerei [" Intéressant ...... de la franc-maçonnerie] Wien          et Würzburg 1888.

A travers la République, le judaïsme entend affirmer son pouvoir sur tous, comme il l'a déjà fait en France.

Prophétie pour l’an 2000

Célébrant le premier anniversaire des 100 ans de la Révolution française, la Loge du Grand Orient de Paris a tenu un Congrès composé de représentants des deux hémisphères, c'est-à-dire un Congrès mondial. Les actes de ce concile réuni ont été révélés par les discours et les toasts qui y ont été portés. Sur quel point la plupart des orateurs se sont-ils arrêtés pour leurs augures, ou mieux, leurs prophéties ? Le voici : Que le monde chrétien, 100 ans après la révolution de 1789, sera aux portes de la mort ; et d'ici l'an 2000 sera fini : que la destruction de la Monarchie et de la religion, dans les pays encore immunisés aux bienfaits de la joie de 1789, sera proche : qu'enfin surgira cette grande République universelle, à laquelle événement futur ils se réjouissent d'administrer avec un enthousiasme passionné. (27)

    (27) Voir L'Univers , Paris, 5 août 1890

Les biens de la monarchie seront mis aux enchères, ainsi que la tradition dynastique, le patrimoine moral et civil des différentes nations, et les communautés religieuses qui avaient été protégées par la monarchie, par la force des états, seront alors maîtrisées dans tous les pays par la maçonnerie. Ainsi complotent-ils la ruine pour remplacer la solidité des trônes par la fragilité du gouvernement par le peuple, et tout cela n'est qu'un instrument vers les buts d'une race, qui n’a ni pays, ni culte public, ni ses propres armées, mais des vies dispersées partout, afin de soumettre tout le monde.

Il est bon aussi de constater qu'en Europe, le désordre politique, religieux et économique, principalement dérivé de la question juive, a fondé ce socialisme qui anime la veine et le pouls du Juif. Ainsi il semble qu'il devrait y avoir de nos jours une juste flagellation, pour écraser l'orgueil judaïque et lui faire payer le prix de son arrogance luciférienne.

FIN de la Partie 2/3

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1933 : Sacrifice rituel juif d'un enfant à Moloch à Chicago - Antisémitisme ou horreur luciférienne ?

Organisé par l'Organisation sioniste d'Amérique, parrainé par l'Agence juive pour la Palestine. Le premier président d'Israël y est présent

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3 juillet 1933. Plus de 100.000 Juifs se rassemblent à Soldier Field à Chicago pour célébrer 3.000 ans d'histoire et de nation juives en vénérant une statue de Moloch cracheur de feu et en lui donnant à manger des enfants dont nous ne pouvons qu'espérer qu'ils ne sont pas réels. L'événement s'appelait "Le roman d'un peuple".

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Il a été organisé par l'Organisation sioniste d'Amérique, parrainé par l'Agence juive pour la Palestine et produit par Meyer Weisgal, avec l'aide du rabbin Solomon Goldman ainsi que de Maurice Samuel, l'auteur de "You Gentiles". L'un des grands orateurs de l'événement n'était autre que Chaim Weismann, premier président d'Israël et le gars qui, aux côtés de Lionel Walter Rothschild, a rédigé la déclaration Balfour, qui a entraîné les États-Unis dans la Première Guerre mondiale en échange du vol de la Palestine par les Britanniques des mains de la Turquie ottomane et permettant aux Juifs de s'y installer.

Les rituels de culte de Moloch et de sacrifice d'enfants de l'événement en tant qu'expression de l'histoire juive confirment que les Juifs modernes descendent en fait des Cananéens, des Ammonites et d'autres tribus dont la Bible nous dit qu'ils ont été coupés de Dieu pour s'être mélangés et d’avoir adoré leurs idoles (leur dieu du feu Moloch) et leur offrant leurs enfants (reconstitué ci-dessus), ce qu'ils font encore aujourd'hui. La Bible nous dit que les descendants de ces tribus « n'entreront pas dans la congrégation de l'Éternel  », confirmant que les Juifs ne peuvent pas être sauvés. Tout comme Jésus l'a averti, ils "disent qu'ils sont juifs, et ne le sont pas, mais qu'ils sont la synagogue de Satan" et voici la preuve vidéo de cela. Ils étaient tous là, adorant leur ancien dieu tribal et célébrant la guerre à venir qui conduirait à un nouveau monde avec des Juifs au sommet (l'événement a eu lieu quelques mois après la prise de pouvoir d'Hitler).

Je crois que cet événement et qui l'a rendu possible démontre l'inséparabilité de nos luttes spirituelles et raciales, à la fois connectées et en parfaite conformité avec la chronologie biblique et son récit des tribus et des lignées. Mais que vous soyez d'accord ou non là-dessus, les images en disent long sur le caractère non seulement des principaux esprits du sionisme primitif et de la juiverie organisée, mais aussi de l'esprit et du peuple juifs. Qui construit une grande statue de taureau avec un four dans son estomac, lui fait cracher du feu, puis fourre des enfants (vrais ou faux) dans ce four tout en criant comme des banshees et en dansant autour de lui ? Les Juifs. Au milieu de Chicago un lundi.

Source   10 Mai 2023

 

Hannibal Genséric

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