Martin Bormann a contrôlé Hitler pour le compte des Illuminati

Le secrétaire du parti nazi, Martin Bormann, était au cœur de l'appareil nazi. Il a signé le chèque de paie d'Hitler.

Louis Kilzer a examiné le trafic de fil entre l'espion connu comme "Werther" et Moscou et a déterminé que seul Bormann eu accès à ces informations. Les Soviétiques ont pu poser des questions très détaillées sur les défenses et les intentions nazies. Le résultat en fut les défaites décisives des nazis à Stalingrad et à Koursk.

Louis Kilzer écrit: "Bormann avait été aussi utile à la Russie que cinquante divisions de l'Armée rouge".

Par Henry Makow Ph.D.

Le deuxième homme le plus puissant de l'Allemagne nazie, Martin Bormann, était un agent "soviétique" (c'est-à-dire Illuminati [1]) qui a assuré la destruction de l'Allemagne et de juiverie européenne.

Bormann et Hitler

Ainsi, il a avancé deux des principaux objectifs des Illuminati : intégrer l'Allemagne dans un gouvernement mondial en anéantissant ses prétentions nationales, culturelles et raciales, et établir Israël comme la capitale mondiale de la banque maçonnique en menaçant les Juifs européens d'extermination.

Les Illuminati sont une alliance lâche de la finance juive et de l'aristocratie britannique/américaine/européenne rejointe par le mariage, l'argent et la croyance en l'occulte (franc-maçonnerie) [2]. Winston Churchill, un franc-maçon dont la mère était juive, correspond parfaitement à cette description [3] .

Ils possèdent de vastes cartels interdépendants (banque, pétrole, produits pharmaceutiques, guerre, produits chimiques, minéraux, médias, etc.) et contrôlent la société et le gouvernement par le biais de groupes d'entreprises et de professionnels, des médias, de l'éducation, de sociétés secrètes, de groupes de réflexion, de fondations et d'agences de renseignement. Leur objectif est "d'absorber la richesse mondiale" (selon les mots de Cecil Rhodes) et de contrôler ses citoyens en utilisant la guerre, la propagande, "l'éducation" et l'ingénierie sociale.

Les nations (Grande-Bretagne, États-Unis, Israël), les mouvements (sionisme, socialisme, nazisme, communisme) et les peuples (Américains, Allemands, Juifs) sont leurs pions à sacrifier à leur plan mégalomane dément pour une dictature mondiale. La carrière de Bormann illustre comment ils plantent des agents dormants et orchestrent des guerres pour faire avancer cet objectif à long terme.

Martin Bormann (1900-?) [4] était l'organisateur, le trésorier et le payeur du parti nazi et contrôlait sa puissante machine. Il était le contact avec les banquiers et les industriels Illuminati qui ont financé le parti nazi et ont fait don de millions à Hitler. En tant qu'adjoint du Führer et secrétaire d'Hitler, Bormann signait le chèque de paie d'Hitler et gérait ses comptes. Il a déterminé qui et ce qu'Hitler voyait, et a agi en son nom.

Goering a déclaré: "Bormann est resté avec Hitler jour et nuit et l'a progressivement amené tellement sous sa volonté qu'il a gouverné toute l'existence d'Hitler." ("Martin Bormann" de James McGovern, p.160)

Hitler a fait de Bormann son exécuteur testamentaire. Bormann, et non Hitler, possédait le Berghof. "L'ensemble du complexe de l'Obersalzberg, composé de 87 bâtiments et d'une valeur de plus d'un million et demi de marks, a été légalement enregistré au nom de Bormann." (McGovern, p.128)

Goebbels & Hitler

En 1972, le général Reinhard Gehlen (chef du renseignement ouest-allemand, le BND) a révélé que Bormann avait été un espion soviétique, un point de vue partagé par de nombreux généraux et responsables nazis, dont Gottlob Berger, un lieutenant général SS qui connaissait bien Bormann. "Bormann a fait le plus grand mal qui soit", a témoigné Berger à Nuremberg. (McGovern, 181)

Les implications sont stupéfiantes. Rappelez-vous ce qu'a dit Winston Churchill. "Cette guerre n'est pas contre Hitler ou le national-socialisme, mais contre la force du peuple allemand, qui doit être brisée une fois pour toutes, qu'elle soit entre les mains d'Hitler ou d'un prêtre jésuite." (Emrys Hughes, Winston Churchill, Sa carrière dans la guerre et la paix p. 145) [3]

Le parti nazi a été créé et la Seconde Guerre mondiale mise en scène afin d'entraîner le peuple allemand dans un piège diabolique, après l'avoir fatalement compromis moralement.

Dans "The Bormann Brotherhood" (1972), William Stevenson dit que Bormann "accordait la priorité la plus basse au sort de l'Allemagne... Il était plutôt préoccupé par un avenir basé sur la philosophie nazie, financé par le butin nazi, soutenu par une Fraternité personnellement fidèle. .." (62) Est-ce les Illuminati ?

Il est possible que la prochaine guerre mondiale soit également mise en scène, cette fois pour saper les États-Unis.

BORMANN

  Il est peu probable que Bormann ait péri dans un Berlin déchiré par la guerre, comme les Illuminati voudraient nous le faire croire. Un homme qui a soigneusement préparé la survie du Reich en créant 750 sociétés dans des pays neutres aurait pourvu à sa propre évasion. Il a été rapporté que les Russes ont sauvé Bormann et l'ont installé à Moscou. Il existe un livre très crédible décrivant comment les Britanniques l'ont sauvé.

D'autres rapports l'ont placé en Amérique du Sud. Fils aîné d'Adolph Eichmann, Horst a affirmé avoir eu de nombreuses conversations avec lui en Argentine. (McGovern, p.194)

Louis Kilzer, deux fois lauréat du prix Pulitzer, affirme que Bormann était un espion "soviétique" dans son livre "Hitler's Traitor" (2000). Il a examiné le trafic de fil entre l'espion connu sous le nom de "Werther" et Moscou et déterminé que seul Bormann avait accès à ces informations. Bormann a dit à Hitler qu'il voulait un disque pour la postérité et a demandé à des sténographes de transcrire les conférences de guerre d'Hitler.

Les Soviétiques ont pu poser des questions très détaillées sur les défenses et les intentions nazies. Le résultat fut les défaites décisives des nazis à Stalingrad et à Koursk. "Bormann avait été aussi utile à la Russie que cinquante divisions de l'Armée rouge", écrit Kilzer. (61)

"Sa valeur pour Staline a commencé tôt. En 1941, alors que l'Allemagne aurait pu utiliser des millions de nationalistes ukrainiens pour vaincre le régime soviétique, Bormann a décidé qu'ils ne méritaient que "l'esclavage et le dépeuplement". ... Face au génocide par les Allemands ou à la domination politique des Soviétiques, les Ukrainiens ont choisi de vivre et ont ainsi ruiné les espoirs allemands d'une conquête facile." (261)

Borman a utilisé la défaite nazie à Stalingrad comme excuse pour commencer l'extermination des Juifs, le deuxième objectif des Illuminati.

Selon les mots du procureur de Nuremberg, Bormann était un « acteur principal du programme de famine, de dégradation, de spoliation et d'extermination ». Il a protégé Hitler des détails macabres, interdisant à Himmler de discuter du sujet avec Hitler et de déposer les rapports de Himmler. (261)

  "Le rôle de Bormann auprès des Ukrainiens et des Juifs n'était qu'une partie de son effet dévastateur sur le Troisième Reich", écrit Kilzer. Il a bloqué la tentative d'Albert Speer de mettre l'économie sur le pied de « guerre totale » jusqu'à ce qu'il soit trop tard. "L'influence de Bormann", a conclu Speer, "a été un désastre national". (263)

Kilzer entre dans les détails des contacts de Bormann avec le système d'espionnage soviétique, dressant le profil de plusieurs de ses gestionnaires. Même l'une des maîtresses de Bormann, Marie Rubach Spangenberg, était active dans la clandestinité communiste allemande. (264)

Bormann a encouragé Hitler à ignorer la menace d'encerclement à Stalingrad. Les décisions d'Hitler "n'ont plus rien de commun avec les principes de la stratégie et des opérations", note le général Halder dans son journal. (McGovern, 82)

Bormann a gagné l'allégeance totale d'Hitler en prétendant être son instrument impitoyablement efficace. Lorsque Bormann a été critiqué, Hitler a répondu: "Tout le monde m'a laissé tomber sauf Bormann ... quiconque est contre Bormann est aussi contre l'État! Je vais tirer sur eux ..." (McGovern, 101.) Et, " les propositions de Bormann sont si bien élaborées que je n'ai qu'à dire oui ou non..." (98)

Bormann a subtilement influencé Hitler pour qu'il renvoie des généraux compétents et n'a rien fait pour interférer avec l'empoisonnement progressif du Führer par son médecin personnel, Morrell.

En général, Bormann a veillé à ce que l'Allemagne ne fasse pas cause commune avec les Ukrainiens et les Russes souffrant sous le joug bolchevique. Plus de 3 millions de prisonniers de guerre russes sont morts en détention nazie. Ils voulaient se battre pour les nazis.

La question demeure : "Hitler était-il lui-même un traître ?" Bien sûr que oui. [5]

Kilzer remarque qu'Hitler était étonnamment indulgent envers la dissidence dans les rangs et cultivait une "culture de trahison". (Kilzer, 6)

CONCLUSION

William Stevenson fournit une conclusion appropriée : "Bormann représentait le pouvoir secret ; et dans notre condition humaine échevelée, nous soupçonnons que les pièges de la démocratie sont plutôt un dangereux camouflage... que le vrai pouvoir commence là où commence le secret. Martin Bormann... possédait ce pouvoir secret... à un tel degré qu'il a pu échapper à la potence." (9).

L'exemple de Bormann suggère que le modus operandi des Illuminati consiste à donner à quelqu'un qui est prédisposé ou même soumis au lavage de cerveau le pouvoir de faire ce qu'il veut. Alors qu'il a encore une volonté personnelle, ils le manipulent subtilement.

La leçon de cette histoire est que les « news » (nouvelles/infos) entretiennent le « camouflage de la démocratie ». Ne faites pas trop attention et n'investissez pas vos meilleures énergies. L'histoire est un jeu. Les Illuminati contrôlent tous les politiciens qui ont une chance. Ils contrôlent les médias de masse.

Nous vivons dans un monde où l'élite dominante s'est organisée en une sinistre société secrète pour comploter contre l'humanité. Elle crée un "Nouvel Ordre Mondial" symbolisé par la pierre angulaire inachevée sur la pyramide du Grand Sceau américain.

Ses symboles sont partout mais nous n'avons pas le droit de protester contre. Le succès dépend de notre volonté de trahir nos concitoyens, notre nation et notre civilisation et de permettre à ce pouvoir malin de grandir parmi nous.

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Liens Connexes
- "Bormann was a Rothschild Agent - Damning Evidence"  "Bormann était un agent Rothschild - Preuve accablante"
- - Bormann and Hitler Were Traitors  Bormann et Hitler étaient des traîtres
---------Youtube-- "How Hitler Lost the War"  "Comment Hitler a perdu la guerre"
Bormann Rescued by the British? Bormann sauvé par les Britanniques ?
Benjamin Freedman's Warning to Americans (1961)`Avertissement de Benjamin Freedman aux Américains (1961)`

NOTES de H. Genséric

[1] Les Juifs Illuminati furent-ils responsables de l’Holocauste ?
-  Le "Manifeste anti-juif" de Dresde de 1882 expliquait déjà le Nouvel Ordre Mondial
-  Illuminati : Le culte qui a détourné le monde
-  Israël Shamir : Appelons les juifs "juifs", et n'utilisons pas les euphémismes idiots comme les «globalistes» ou "la cabale"

[2] STUPÉFIANT. La City de Londres, aux mains des juifs, est le centre mondial de blanchiment de l'argent sale

[3] Le vrai Winston Churchill (i)
-  Seconde Guerre mondiale. Churchill voulait «noyer» de gaz mortel les civils allemands
-  Le vrai Winston Churchill (II): un infâme salopard, un raciste et un criminel de guerre
-  Le plan secret de Churchill pour envahir la Russie
-  Le syndrome Churchill et la catastrophique guerre occidentale. Par Nicolas BONNAL

[4] Le véritable J. Bond 007, et comment les Britanniques ont sauvé Martin Bormann, le plus grand dignitaire nazi
-  WW2 : Pourquoi les Britanniques ont sauvé le chef des Nazis, Martin Bormann, en 1945

[5] Hitler était-il un agent des Illuminati?
-  Les origines juives d'Adolf Hitler
-  Oui, Hitler était juif. Comment ne pas le voir ?
-  Pourquoi les étudiants US préfèrent Hitler à Jefferson
-  Documents déclassifiés du FBI : Hitler n’est pas mort, il a fui vers l’Argentine !

Hannibal Genséric