Au moment où William Shakespeare a repris l’idée selon laquelle la force peut contraindre au consentement, la maxime qu’il a rendue populaire était déjà exprimée en anglais depuis deux cents ans. Dans Tout est bien qui finit bien , il demande à la comtesse de demander à son clown pourquoi il veut se marier. Il répond : « Mon pauvre corps, Madame, l'exige : je suis poussé par la chair ; et il faut qu’il aille là où le diable le conduit ». Habituellement laissé de côté dans ce fameux échange, le bouffon a expliqué qu'il avait « d'autres raisons sacrées ». La comtesse aimait encore moins les entendre, alors elle le renvoya hors de la scène.
Dans les opérations menées jusqu’à présent à Gaza et dans l’idéologie que les responsables et les journalistes israéliens répètent aux médias occidentaux, le diable vise à conduire à la mort chaque Palestinien, qu’il soit né ou non. Dans une telle guerre, la première nécessité pour le Hamas et les Arabes est de survivre afin de continuer à se battre. Rien n'est plus sûr que les « saintes raisons » que Shakespeare a mises dans la bouche de Lavatch le Clown, selon lesquelles survivre pour mener la longue guerre finira par vaincre les besoins de ce diable.
En politique pratique, soit Israël et les États-Unis gagnent leur guerre génocidaire rapidement maintenant, soit ils perdront la longue guerre. Des sources militaires russes rapportent que les États-Unis réapprovisionnent les Forces de défense israéliennes (FDI) à raison de deux transports de l'US Air Force (USAF) par heure, partant de la zone continentale des États-Unis et passant par des bases au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie, en Grèce et à Chypre. Des sources américaines ont reconnu que l’effort logistique était trop important pour se poursuivre longtemps. À l’heure actuelle, la marine américaine et l’USAF ne peuvent pas continuer à assurer le réapprovisionnement promis des forces ukrainiennes dans leur guerre contre la Russie, tandis que dans les bases américaines en Syrie et en Irak, le Pentagone évacue discrètement ses troupes tout en bombardant publiquement les résistants arabes .
Les médias arabes, iraniens et russes rapportent qu’en réponse, le Hamas et le Hezbollah maintiennent une cadence de tir fréquente contre Tsahal et les cibles territoriales israéliennes. Ils ne s'attaquent pas encore aux plates-formes de production de gaz offshore d'Israël, qui fournissent l'essentiel du carburant pour les centrales électriques du pays. Ils ne désactivent pas encore les ports et les aérodromes israéliens. L’évaluation militaire russe est que, pour le moment, les capacités du Hamas et du Hezbollah restent intactes et en réserve. La partie arabe fait preuve de retenue.
Quels sont alors les besoins auxquels doivent désormais répondre les alliés des Palestiniens, des États arabes, de l’Iran, puis de la Russie ?
Dimanche, la Russie a officiellement qualifié cette guerre de « projet américain ». Cela fait suite au vote de l'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) vendredi dernier, le 27 octobre , lorsque les États-Unis et Israël ont conduit une infime minorité en faveur de leur courte guerre, comprenant une demi-douzaine d'États insulaires s'enfonçant lentement dans l'océan Pacifique.
Une source moscovite confirme que les États-Unis sont la cible prioritaire de la Russie, car Tsahal ne peut pas continuer à intervenir à Gaza alors que les capacités américaines s’épuisent. Il estime que les efforts excessifs des États-Unis au Moyen-Orient accéléreront le passage de l'armée russe à l'offensive sur le champ de bataille ukrainien et raccourciront ainsi cette guerre. Les déclarations publiques en faveur d'une médiation entre les parties belligérantes, publiées par le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et son ministère, ne reflètent pas toute l'histoire de la Russie, estime la source. Selon elle, la première nécessité de la médiation de Lavrov se situe entre l'état-major et le Kremlin. La deuxième priorité est de laisser les Américains démontrer leur faiblesse dans la région en maintenant les Palestiniens sur place, en dissuadant les concessions égyptiennes et jordaniennes et en empêchant une attaque directe contre l’Iran. « La véritable position russe, contrairement aux déclarations publiques, dépend en fin de compte du niveau de coopération militaire du ministère de la Défense avec Téhéran. Les guerres en Syrie et en Ukraine ont aggravé cette situation. Je m'attends à ce que la ligne publique du ministère des Affaires étrangères change lorsque le nombre de victimes palestiniennes atteindra 20.000 personnes. Comme le montrent déjà clairement les déclarations officielles israéliennes contre le gouvernement russe, ils savent ce qui se passe dans les coulisses. Il ne s’agit plus uniquement des musulmans du Caucase, mais de la plupart des Russes qui estiment qu’il y a eu suffisamment de soutien criant à Israël. Lavrov rattrapera son retard.»
« Je dirais que le vrai travail à présent à Moscou consiste à garantir que les Américains n’attaquent pas directement l’Iran. Le reste se déroulera selon la feuille de route de l’état-major que Lavrov pourrait et devrait avoir sous les yeux. Appelez cela la longue guerre pour faire court. »
VOIR AUSSI :
- Le
diable et les juifs
- Même
les juifs se demandent : le judaïsme est-il un culte satanique ?
- Pravda
américaine : bizarreries de la religion juive. Les éléments surprenants du
judaïsme talmudique
- La
malhonnêteté, l'hypocrisie, la haine des autres et le subterfuge dans la
religion juive par Ron UNZ
- La
question juive en Europe : les causes, les effets, les remèdes . Par La Civilta
Cattolica, vol VII, no. XIV 1890 (Oct, Nov, Dec). Partie 2/3
Citations de L-F Céline (Bagatelles pour un massacre)
Les écrits de Céline sur les juifs sont toujours d’une actualité frappante. Il est bon d’en citer quelques unes qui illustrent parfaitement l’actualité. H. G.
Pour la question des missives, une seule fois j’ai fait exception en faveur de la Palestine. A la suite de "Mea Culpa" il m’est arrivé de Palestine tellement de lettres en quelques courriers, que ma concierge s’en est émue. Elle m’a demandé ce qu’elle devait faire. Les Juifs ils m’écrivaient en masse, de Tel-Aviv et d’ailleurs. Et puis alors sur un ton ! Dans les furies d’une de ces rages ! à en consumer les enveloppes ! Ils se poussaient au rouge-blanc, les énergumènes ! Ah ! les petits Passionistes !... (Et voilà !) Ah ! ils les aiment eux, les Soviets ! Ça je peux vous l’affirmer ! Si les chrétiens aimaient leur Pape avec cette ferveur effrayante, le Pape il ferait explosion, il pourrait jamais résister... De cet énorme fracas d’injures, cafouillages tonitruants, effrénées malédictions, de ces délires anathémiques, il se dégageait malgré tout, de cette cacophonie extrême, en haines surpressées, une certaine rengaine tonique... un air de trompette vainqueur, bien juif, bien connu... l’appel qui les rassemble tous, qui les fait droper tous ensemble, qui les fait foncer corps et âmes à la curée de l’Univers, l’air du "Sozial" comme ils l’appellent... Leur grand alibi, leur grand hallali. Tous ces "braves" de la Judée, tous anonymes plus ou moins, ils me vomissent en allemand. Ils terminaient à peu près tous, après quelques pages de hargne intensive, par quelque formule de ce genre : "Du ! Dümenkopf ! wirst du nimmer doch Sozial denken ?" ! (Toi ! idiot ne penseras-tu donc jamais "sozial ?")... "Sozial denken" ! Penser "sozial !" Voici le pharamineux dada, le grand destrier de toute la race youtre ! De toutes les invasions, les dévastations youtres. Penser "sozial !" cela veut dire dans la pratique, en termes bien crus : " Penser juif ! Pour les Juifs ! Par les Juifs, sous les Juifs !" Rien d’autre ! Tout le surplus immense des mots, le vrombissant verbiage socialistico-humanitaro-scientifique, tout le cosmique carafouillage de l’impératif despotique juif n’est que l’enrobage mirageux, le charabia fatras poussif, la sauce orientale pour ces enculés d’Aryens, la fricassée terminologique pourrie pour l’adulation des "aveulis blancs", ivrognes rampants, intouchables, qui s’en foutrent à bite que veux-tu, s’en mystifient, s’en bâfrent à crever.
Hannibal Genséric
Bonjour Hannibal,
RépondreSupprimerEn lisant ce passage de 'Bagatelles pour un massacre', je me
suis dis que ces gens-là ne peuvent avoir qu'une âme collective
pas d'âme individuelle sauf exception ils réagissent comme
les termites, les fourmis, les abeilles, incroyable ....
Merci.
Bonjour,
SupprimerExcellente remarque.
Vous rejoignez l’analyse de Laurent Guyénot qui démontre que les juifs d’Israël ont une psychopathie collective
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Je suis fatigué de lire que Netanyahou est un psychopathe. Il ne l’est certainement pas. Je ne vois aucune raison de le considérer, ni aucun autre dirigeant israélien, comme des psychopathes au sens psychiatrique du terme. Ils ont une psychopathie collective, ce qui est très différent.
Lire la suite :
https://numidia-liberum.blogspot.com/2023/10/la-psychopathie-biblique-disrael.html
Remarque générale :
RépondreSupprimerPour la population occidentale, ivre du matérialisme et du consumérisme, le passage en ce monde est envisagé principalement sous l'angle du plaisir immédiat et de l'assouvissement des désirs de l'égo.
Dans les anciens mondes traditionnels, c'est l'inverse. Le passage terrestre est destiné à préparer la vie dans l'autre monde.
Dans l'islam, il est dit que ce monde est celui de l'épreuve, en d'autres termes savoir ce que tu vaux.
La mort dans le combat pour Dieu n'est pas envisagée comme une défaite, au contraire, coran:
"Et ne dites pas de ceux qui sont tués dans le sentier d’Allah qu’ils sont morts. Au contraire ils sont vivants, mais vous en êtes inconscients."
Le combattant musulman n'a pas pour but de sortir indemne de la guerre et ça change tout !
Bonjour,
SupprimerJe suis de confession musulmane mais je préfère les
traductions aux transcriptions, sauf votre respect
j'aurai écrit: " ... dans le sentier de Dieu ... "
Al Lah traduction Le Dieu, en anglais The God etc ...
Allah n'est ni un nom, ni un prénom, ce mot est utilisé
bien avant l'Hégire çà évite d'entendre des bêtises
comme : " Le Dieu des Arabes c'est Allah " ....
Bien cordialement.
Effectivement, des personnes enclins à l'ignorance pourraient faire de mauvaises interprétations. On se souvient de Véronique Sanson et de sa fameuse chanson... Elle l'avait retirée suite à l'intervention d'une chrétienne du Moyen-Orient. Elle lui avait fait remarquer que pour désigner Dieu, ils utilisaient aussi le nom Allah.
SupprimerHAROLD WALLACE ROSENTHAL juif américain tué par ses camarades à l’aéroport d'Istanbul en 1976 après avoir dit, dans une interview, parmi tant d'autres monstruosités: "Les juifs n'aiment pas l'admettre mais notre dieu est lucifer".
RépondreSupprimerParmi les non juifs, ceux qui comprennent ces mots dans leur effrayante gravité, sont une minorité insignifiante et c'est aussi pour cette raison (aveuglement spirituel de la plupart des hommes corrompus par l'argent juif au long des siècles) que nous sommes à la veille d'une guerre l'apocalyptique inimaginable.
Pourquoi ?
Parce que les Juifs, agents directs du diable, malgré les nombreux avertissements et actions des rois, papes, saints, etc. au cours de 2000 ans, ont pu agir non pas dérangés jusqu'à aujourd'hui où les susdits aveugles n'auront même pas le temps de réciter le MEA CULPA, en tombant ainsi en Enfer pour contempler avec leur corrupteurs juifs (que même les soi disant papes d’après Vatican II ont eu l’honteux courage de nommer « nos frères majeurs »), la laideur terrifiante de leur dieu pour les siècles des siècles. AMEN.
Cher Hannibal, il y a déjà plusieurs années que j'étudie les écrits religieux-sulfureux de ce personnage, Laurent Guyénot (lire son brûlot du 22 octobre 2023), peu timide dans ses explications élastiques des Saintes Écritures pour tout expliquer selon son angle de regard qu'il s'impose à lui-même jusqu'à chercher à nous l'imposer en second. Or il est commun de tout vouloir interpréter sous l'échelle de ces prismes psychologiques, psychiatriques ou même bibliques quand plus rien d'autres ne semblent leur offrir une avenue logique jusqu'à l'emprunt à une rhétorique mortifère au point que la confusion en est le tribut. De tout temps le pouvoir comme concept et réalité sociale a échappé à l'intelligence humaine d'en tirer tout le sens utile et apte à en comprendre sa direction individuelle et collective humaine et de sa finalité spirituelle. Il semble encore une fois que ces interprétations cachent d'autres finalités chez ces prospecteurs de l'Âme divine et de sa création mystérieuse. Le refus de considérer les effets de la maladie chez ses possédés nous semble un parfait non sens a priori, d'où son rejet sur ces emprunts répétitifs du genre la récitation du chapelet pour prier dans la répétition les mêmes dizaines de Je vous salue Marie afin d'en obtenir le Salut de Dieu comme si une seule prière ne pouvait suffire. Mettre de côté cette notion du pouvoir qui corrompt l'Âme humaine est fatale dans toute explication ou description des réalités communes qui habitent ces possédés de la chose unique qui les intéresse qu'est le pouvoir jaloux d'en déposséder le seul et unique propriétaire, Dieu. Cet état humain se dénomme la mégalomanie, la pire des maladies individuelles que l'on retrouve communément chez tous les prospects du satanisme et de sa représentation terrienne. Cette terrible maladie chapeaute toutes les autres maladies d'ici bas sous couvert de sa théâtralité shakespearienne, hollywoodienne, donc de l'illusion totale (nouveau paradigme depuis les Lumières, thèse de doctorat 1984). Bref, la notion de pouvoir est de cette manière est évacuée encore et encore comme toujours dans le passé justement parce que le pouvoir ne se traite pas autrement qu'en le possédant mais nul ne peut le conquérir au plan humain dès lors qu'il se présente il échappe à l'entendement de le posséder en soi ou collectivement. De la sorte toutes les échappatoires possibles et insensées se prêtent à cette lâcheté d'en décrire le sens véritable et divin. L'épistémologue Michel Foucault s'y est attardé au long de sa carrière prolifique d'auteur, écrivain mais qu'en a t'on retenu de ses études approfondies à ce jour? Un autre auteur du même genre selon un tout autre angle d'analyse est Soljenitsyne dans son Archipel du Goulag quand il tente d'user de l'imaginaire collectif pour s'enquérir de cette notion très peu scientifique pour autant mais éclairante sur le pouvoir divin. Il semble que l'humain a pour intérêt et urgence d'aborder cette réalité sans détour et de prendre de front cette difficulté historique pour en saisir sa finalité. Depuis Moïse et sa Table des commandements de Dieu transmise aux hommes de bonne volonté qu'est-il advenu du respect de ces préceptes si l'homme n'arrive pas à en comprendre sa direction... Plus nous fuyons cette réalité et plus la confusion s'installe entre nous sur terre d'où les guerres à répétition jusqu'à cette ultime et dernière annoncée qui sera définitivement mondiale. Fallait-il que nous allions aussi loin dans cette dérive collective pour en arriver là? Affirmatif ! Le reste n'est qu'eschatologique et amuse la galerie et ses porteurs d'illusions. ECCE HOMO !!!
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