Dans la réalité, Sofia Amara, journaliste franco-marocaine et lauréate du Prix Média 2018 d’Enfance Majuscule et du Prix Amade 2018 au Festival de Télévision de Monte Carlo, était à l’origine d’une révélation qu’a suscité l’indignation de l’Ambassade d’Israël en France. Du coup, le gouvernement français a dû ordonner la suppression immédiate de l’article au prétexte de faire face à la propagande et aux nouvelles non fondées des médias. Par ailleurs, l’auteure a également reçu des menaces de mort.
L’article avait remis en question les stratégies de l’armée de l’Air israélienne causant la mort de 364 civils israéliens et dénoncé les actes déloyaux des responsables d’État hébreu envers son propre peuple. Dans un autre article publié par haaretz.com, une source policière confirme aussi qu’un hélicoptère de combat de Tsahal arrivé sur les lieux et ayant tiré sur les membres du Hamas, a tué certains participants au festival.
Voici ci-dessous une photo publiée puis supprimée par Mediapart qui porte le titre suivant : “cause cachée de la mort de 364 civils israéliens, une lourde erreur stratégique de la part de l’armée de l’Air israélienne !’’.
Driss Ksikes
Avec 11 000 bâtiments officiellement déclarés détruits par l'état bombardier, à minima 11 000 personnes seraient décédés consécutivement à ces frappes.
RépondreSupprimerIl est admis qu'il meurt environ 175 personnes par jour à Gaza depuis 60 jours donc :
175 x 60 = 10 500
Quel que soit le prisme par lequel on observe les morts, destruction ou charnier comme conséquence , le résultat de la mort ne varie pas.
Et, de centre, TUER.
RépondreSupprimerÇa ne veut rien dire. C’est idiot.
RépondreSupprimer..."tuer au centre" ne veut rien dire, je vous l'accorde.
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