L’accord d’échange qui sera accompagné d’une trêve de six semaines, s’inscrit dans le cadre des récentes négociations à Paris entre des représentants israéliens, américains, égyptiens et qataris, selon la chaîne Al Jazeera.
Citant des sources non identifiées impliquées dans les discussions, le rapport indique qu’Israël a accepté de libérer 400 Palestiniens détenus dans les prisons du régime en échange de 40 captifs sionistes se trouvant dans la bande de Gaza.
Israël a également accepté le retour progressif des Palestiniens déplacés vers le nord de Gaza – à l’exception des jeunes hommes, qui sont «en âge d’être recruté», et l’entrée d’une aide supplémentaire, comprenant des machines et des équipements lourds, et enfin et apparemment, l’installation d’abris temporaires dans le territoire assiégé.
Le régime aurait en outre décidé de suspendre le vol de ses avions de combat au-dessus de la bande de Gaza, y compris ceux chargés de la collecte du renseignement et ce, pour une durée de 8 heures.
Le rapport fait suite au voyage d’une délégation israélienne à Doha où l’émir du Qatar, Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, a rencontré le chef du Hamas, Ismail Haniyeh.
Interrogé sur la date à laquelle il pensait qu’une trêve pourrait démarrer, le président américain Joe Biden a déclaré qu’il espérait un cessez-le-feu à Gaza d’ici lundi prochain.
Israël a lancé une guerre génocidaire contre Gaza, soutenue par les États-Unis, le 7 octobre, après que le Hamas a mené l’opération Tempête d’Al-Aqsa contre le régime usurpateur en représailles à ses atrocités accrues contre le peuple palestinien.
Près de cinq mois après le début de l’offensive contre la bande de Gaza, le régime de Tel-Aviv n’a cependant pas réussi à atteindre ses objectifs de «détruire le Hamas» et de retrouver le lieu de détention des captifs sionistes, bien qu’il ait tué 29 782 Palestiniens, pour la plupart des femmes et des enfants, sans oublier les 70 043 palestiniens blessés.
À la suite d’un cessez-le-feu humanitaire d’une semaine à la fin du mois de novembre, 240 Palestiniens enlevés et détenus par Israël ont été échangés avec 105 captifs sionistes dont 81 Israéliens et 24 ressortissants étrangers.
Israël estime qu’il reste encore 130 prisonniers à Gaza, tandis qu’il y aurait 7000 Palestiniens dans les prisons israéliennes, dont beaucoup sont détenus sans inculpation.
28 février 2024
Source : Press TV via Réseau international
C'est sur, ils vont être heureux (les 400) de retrouver leurs maisons, familles, amis, travail, etc dans leur tout nouvelle prison à ciel ouvert dans le sinai. Une joli plage de sable entouré d'un tres beau mur à l'épreuve de tous voyeurs.
RépondreSupprimerQuel malheur ! Quelle perte d’argent ! Comment allons-nous boucler le budget ?
RépondreSupprimerCette libération de 400 jeunes bipèdes pleins d’organes frais, va gravement perturber notre industrie de greffe d’organe et irriter notre industrie de torture. Surtout que les livraisons de bipèdes ukrainiens sont inutiles, la marchandise arrive crevée et il faut extraire les organes vivants.
Natanyahou
GAZA: Les demandes des féministes Françaises sur le point d'aboutir.
RépondreSupprimerL'académie envisage de féminiser le mot idiot-utile.
Si c'est l'académie qui décide alors ce sera un garçon de moins de neuf ans.
SupprimerLes Palestiniens n'auront plus qu'à recommencer à prendre de la viande avariée fraiche de l'autre côté du mur juif... histoire de parvenir à obliger ce pseudo état étron, totalement illégal, à libérer jusqu'au dernier palestinien détenu.
RépondreSupprimerLa terre appartient au peuple Palestinien, aucun juif n'a le moindre droit à y revendiquer !
Les choses ont-elles changer depuis hier ou les fuites de Reuters concernant les négociations pour parvenir à un cessez-le-feu à Gaza font partie de la guerre psychologique qui correspond au récit et aux idées que l'Israël et les États-Unis tentent de perpétuer ?
RépondreSupprimer« Les fuites sur les négociations de paris ne sont pas sérieuses et la résistance reste ferme sur sa position. L'israël n’obtiendra pas par la médiation ce qu’il n’a pas pu obtenir sur le champ de bataille.
Nous sommes ouverts à toutes les idées avancées par les médiateurs, mais nous tenons également à préserver nos principales exigences. L’occupation israélienne cherche à tenir le Hamas responsable de tout échec ultérieur des négociations, prévoyant d’utiliser ceci comme une excuse pour ouvrir la voie à l’invasion de Rafah ».
Abdul Hadi, représentant du hamas au liban à Al Mayadeen, rapporté par Bruno Bertez, patron de presse français, spécialiste de l'information financière puis Patron d'un groupe de presse spécialisé dans l'économie et la finance, il fonde le quotidien La Tribune.
Il écrit régulièrement dans le quotidien des affaires suisse, L'Agefi. Il est blogueur régulier de plusieurs sites d'information.
A bon lecteur, salut