« Dans son rapport rendu public ce jeudi 8 février, Robert Hur conclut que Joe Biden, 81 ans, a « sciemment gardé et divulgué des documents classifiés après sa vice-présidence alors qu’il était un simple citoyen ». Mais il considère qu’« une inculpation ne se justifierait pas », estimant notamment qu’un jury accorderait le bénéfice du doute à « un homme âgé, sympathique, bien intentionné, avec une mauvaise mémoire ».
Dans son rapport de 388 pages, Robert Hur évoque notamment son entretien de cinq heures avec Joe Biden au cours duquel il dit avoir constaté que « sa mémoire avait empiré ». « Il ne se souvenait plus quand il était vice-président », ne sachant plus exactement en quelle année son mandat avait commencé ou s’était achevé, ni exactement l’année du décès de son fils aîné Beau, y affirme le procureur spécial. »
Alors que c’était fait pour le protéger, Biden n’a pas vraiment aimé :
« Le président a détesté la description faite par le procureur spécial de lui comme un homme âgé qui était distrait lors des interviews lors de remarques programmées à la hâte à la Maison Blanche jeudi soir. Mais quelques minutes seulement après avoir défendu sa mémoire et ses connaissances, Biden s’est mal exprimé et a qualifié le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi de « président du Mexique », un moment qui a mis à mal sa résistance énergique au rapport. »
Mais il y a pire :
« Le problème, qui s’accentue dangereusement depuis quelques mois, c’est que Joe Biden semble avoir une mémoire qui flanche de plus en plus. Une élocution parfois difficile, et surtout ce phénomène remarqué ces derniers jours : le président américain se souvient de certains événements, mais confond les intervenants de manière troublante, comme s’il était resté figé entre les années 1980 et 2000. C’est ainsi que, évoquant le sommet du G7 dans les Cornouailles en juin 2021, il se souvient d’une conversation avec… François Mitterrand, décédé en 1996… au lieu, bien sûr, d’Emmanuel Macron.
Il remet ça quelques jours plus tard, toujours à propos de ce sommet qui l’a marqué, dit-il, car les dirigeants européens exprimaient leurs inquiétudes sur l’état de la démocratie américaine après le mandat de Donald Trump. Il parle cette fois d’une conversation qu’il a eue avec le chancelier allemand Helmut Kohl, mort en 2017, en lieu en place d’Angela Merkel, bien présente, elle, au sommet du G7. »
Mieux que des mots, une vidéo qui montre l’extrême fatigue mentale de Biden. Il fait carrément pitié.
Ainsi sa faiblesse mentale devient de plus en plus évidente aux yeux de la population, alors qu’il veut pourtant se lancer dans un deuxième mandat et que les caciques du Parti Démocrate ne veulent pas d’autres candidats que lui :
« Les sondages montrent avec constance de profondes inquiétudes parmi les électeurs quant à l’âge de Biden. Un nouveau sondage NBC publié cette semaine a révélé qu’un total de 76 pour cent des électeurs déclarent avoir des inquiétudes majeures (62 pour cent) ou modérées (14 pour cent) concernant le fait que Biden ne possède pas la santé mentale et physique nécessaire pour être président pour un second mandat. Ce qui est peut-être le plus inquiétant pour le président, c’est que 81 % des indépendants et 54 % des démocrates déclarent avoir des inquiétudes majeures ou modérées quant à l’aptitude de Biden à un second mandat. »
Un tapis rouge pour l’élection de Trump.
Source : le Saker Francophone
le serpent est cuit
RépondreSupprimerElection. Vous y croyez encore ?
RépondreSupprimerAutour de moi, au sens élargi, personne n'a voté pour Micron. Et pourtant il a été élu !
Supprimerils vont foutre newsom pour remplacer le cadavre et le peu que j'ai lu sur ce fameux gavin c'est que c'est un hard, autrement plus hard que l'effigie biden. requind'air.
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