lundi 9 janvier 2017

Trump se prépare à attaquer George Soros



Selon des sources  russes, le ministre des Affaires étrangères, Sergey Lavrov, a refusé, ce samedi 7 janvier, une "demande urgente" de l'ambassadeur américain John Tefft , consistant à refuser de donner à l'administration entrante  Trump les dossiers historiques du Service fédéral de sécurité russe (FSB) relatifs au milliardaire américano-hongrois George Soros (la 19e fortune au monde avec 24,9 milliards $). En effet, le régime Obama craint que le président élu Donald Trump n'ait l’intention de poursuivre cet ancien collaborateur nazi  en tant que «menace pour la sécurité nationale des États-Unis ".
En effet, le vendredi 6 janvier, le ministre Lavrov a reçu un avis diplomatique formel de l'équipe Trump demandant que "tous les dossiers" et tous les documents d'enquête en possession du FSB concernant les «actions et activités» de George Soros durant la Seconde Guerre mondiale lui soient fournis.  Ceci est conforme à l’ordre exécutif du 6 mars 2014 (ayant force de loi) signé par le Président Barak Obama intitulé Blocage des biens de certaines personnes contribuant à la situation en Ukraine qui, en partie, dit:
Nous, BARACK OBAMA, président des États-Unis d'Amérique, constatons que les actions et les politiques des personnes qui sapent les processus démocratiques et les institutions en Ukraine; menacent sa paix, sa sécurité, sa stabilité, sa souveraineté et son intégrité territoriale; qui contribuent au détournement de ses biens, constituent une menace inhabituelle et extraordinaire pour la sécurité nationale et la politique étrangère des États-Unis, et Nous déclarons par la présente une urgence nationale pour faire face à cette menace.
Dans les pièces justificatives jointes à cette demande diplomatique, l’équipe de transition de Trump affirme que, 25 jours après la signature de ce décret par le Président Obama, le 31 mars 2014, les câbles diplomatiques américains montrent que Soros a bel et bien travaillé à "saper les processus et les institutions en Ukraine" devenant, en fait, le chef de facto de cette nation
Lors d'une rencontre avec l'ambassadeur des États-Unis en Ukraine Geoffrey Pyatt, Soros « a jeté les bases de la guerre » en déclarant que le « plan de fédération vendu par Poutine à Merkel et à Obama permettrait à la Russie d'avoir une influence et un contrôle de fait sur les régions de l'Est en Ukraine. »
Le plan de fédération (similaire aux États-Unis d'Amérique) pour l'Ukraine, soutenu par le président Poutine, la chancelière Merkel et le président Obama, aurait créé une transition pacifique de pouvoir dans cette nation. Mais, l’intervention illégale de Soros a conduit à des conflits de masse et à des effusions de sang qui ont coûté la vie à environ 9.600 personnes (hommes, femmes et enfants).
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Poue savoir pourquoi le président Obama n'a pas accusé Soros d'être une menace pour la sécurité nationale des États-Unis après qu'il a grossièrement violé cet ordre exécutif, cela s’explique par le flot d’argent déversé par Soros sur le parti démocrate d’Obama-Clinton, estimé à $ 100 Millions de dollars en dons.  Cela a transformé ce parti politique autrefois respecté, et autrefois appelé le «Parti de Jefferson», pour prendre aujourd’hui l’appellation infamante de «Parti de Soros», ce qui équivaut, en fait, à sa destruction.
En fait, à partir de 2004, Soros a commencé sa prise de contrôle du Parti Démocrate, en déclarant que «c'est le centre de ma vie» et «c’est une question de vie et de mort» et en jurant qu'il est prêt à devenir pauvre si cela voulait dire vaincre le président des États-Unis.  Mais tous ses efforts ont abouti à la défaite, tant pour lui que pour le Parti Démocrate.
Avec sa marionnette Hillary Clinton battue, et son Parti Démocrate détruit, Soros a maintenant tourné toute sa puissance financière contre le président élu Trump en disant que "la démocratie est maintenant en crise "  parce que le peuple américain  « a élu un escroc et un probable dictateur comme président » 
Ayant développé une sinistre réputation de  milliardaire avide au début des années 1990, lorsqu'il a causé à lui seul une crise économique en Angleterre en pariant contre la livre sterling, lors du fameux (Black Wednesday), en gagnant plus d'un milliard de dollars aux dépens du peuple britannique.
Extraits : 
STEVE KROFT. Si je comprends bien, vous êtes sorti avec ce protecteur qui a juré que vous étiez son filleul adoptif.
GORGE SOROS: Oui. Oui.
STEVE KROFT: Il est allé, en fait, et a aidé à la confiscation des biens de vos compatriotes juifs, qui étaient des amis et des voisins.
GORGE SOROS: Oui. C'est vrai. Oui.
STEVE KROFT: Je veux dire, cela ressemble à une expérience qui enverrait beaucoup de gens au canapé psychiatrique pour de nombreuses années. Était-ce difficile?
GORGE SOROS: Non, pas du tout. Pas du tout, je l'ai plutôt apprécié.
STEVE KROFT: Pas de sentiments de culpabilité?
GORGE SOROS: Non, seulement des sentiments de pouvoir absolu.

Avec son monde qui commence à «tomber en morceaux tout autour de lui», Soros a commencé à utiliser le président Poutine comme un bouc émissaire afin de détourner l’attention loin de ses nombreux crimes. 
Il est soutenu aux États-Unis par le sénateur républicain John McCain (que Soros finance depuis 2001), par le sénateur républicain Lindsey Graham (financé, lui aussi, par  Soros depuis longtemps) et par le gouverneur républicain de l'Ohio, John Kasich (que Soros a financé pour devenir président en cas de défaite d’Hillary Clinton). Toutes ces marionnettes de Soros n’arrêtent pas de prévenir avec hystérie, "Les Russes vont venir" à un niveau jamais vu depuis la guerre froide.
Comme Soros utilise maintenant sa puissance financière pour corrompre et détruire le Parti Républicain comme il l’a fait avec le Parti Démocrate, le seul obstacle qui se présente  à son encontre est le président élu Trump. Celui-ci, malgré les agressions continuelles par les médias de propagande et de "fausses nouvelles" dirigés par Soros, ne montre aucun signe de recul contre ce monstre nazi.

Réaction de Soros après l'élection de Trump :  Nous sommes foutus, Trump arrive !


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ANNEXE : George Soros: la face hideuse cachée derrière les nombreux mouvements de protestation
Qu’est-ce que le «printemps arabe», les «manifestations de Maïdan », « Black Lives Matter », « Occupy Wall Street », « Open Borders » et bien d’autres mouvements ont en commun ? George Soros.
Récemment il y a eu beaucoup de mouvements de protestation dans le monde, conduisant  à aggraver les situations politiques, mais si vous jetez un œil dans les coulisses vous pourriez percevoir la face hideuse de George Soros. Il tire tant de ficelles avec ses milliards de dollars qu’il y a de très bonnes raisons d’être alerté.
Soros, dont le vrai nom juif est György Schwartz, a jeté les bases de sa fortune pendant la Seconde Guerre Mondiale. Sa famille vivait en Hongrie à l’époque et a collaboré avec les nazis. Quand les Allemands occupaient la Hongrie, Soros a mené des opérations de change au marché noir – une activité qui était punie de mort. Il a décrit cette époque comme « le plus beau moment de toute ma vie ». Sa famille a été épargnée parce que pendant l'époque communiste de la Hongrie qui a suivi sa libération du joug nazi, Sorosa également collaboré avec le service de renseignement militaire GRU (Renseignement soviétique).
Ce mélange d’opportunisme et de cupidité a fait de George Soros ce qu’il est aujourd’hui: un magouilleur qui suscite les révolutions et les coups d’état tout en se présentant comme un «philanthrope». En raison de ses bonnes relations avec les médias, il risque difficilement d’acquérir une image négative, tant aux États-Unis qu’en Europe et dans les grands médias traditionnels. Les personnes qui sont dans ces médias ne sont pas intéressées de savoir qui est derrière ces mouvements de protestation, tant qu’ils suivent les objectifs politiques des grands patrons de ces médias et tant qu'ils sont grassement payés pour nous raconter des bobards.
Que ce soit :
- le «printemps arabe» (qui s’est transformé en boucherie islamiste-impérialiste), 
- les manifestations de Maïdan (avec pour conséquences le coup et la guerre civile), 
- les «crises des réfugiés syriens  » (avec son aide pour les amener en Europe), ou 
- « Occupy Wall Street  » (une attaque contre ses rivaux), 
- "Open Borders" (comment entretenir l’agitation autrement ?), 
- les " manifestations anti-Trump" (émeutes payées pour lui donner une image négative) et 
- le  "soulèvement de Ferguson" avec le mouvement  "Black Lives Matter " destinés à déclencher une guerre raciale aux États-Unis – 
Ce sont tous des exemples de la façon dont Soros mène ses actions subversives à travers ses organisations et associations.
Il devient de plus en plus évident à quel point les volontés du multimilliardaire Soros peuvent être dangereuses – il utilise ses richesses pour créer l’agitation et les révolutions à son avantage. Si seulement chaque gouvernement dans le monde rejetait les nombreuses organisations soutenues par Soros et d’autres multimilliardaires, nous pourrions avoir un peu plus de paix sur la planète.
Marco Maier
Traduction – Avic – Réseau International